Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • L’abbé Hervé Benoît dénonce l’origine du mal qui a mené au massacre du Bataclan : lynché par les médias, Mgr Barbarin le lâche

     

     

    L’abbé Hervé Benoît est prêtre du diocèse de Lyon. Le site riposte-catholique.fr a publié son analyse sociétale – reproduite ci-dessous – de ce qui a mené au massacre du Bataclan, analyse d’une accuité remarqueble qui montre comment notre société devenue folle a engendré deux générations « siamoises », celle marquée « tolérance, relativisme, universalisme, hédonisme » et celle revendiquée « intolérance, dogmatisme, cosmopolitisme de la haine », celle qui invoque le diable clamant « … j’aimerai le diable et sa chanson ! » et celle qui agit par le diable – dont l’Islam n’est que l’une des concrétisations – en perpétrant cet ignoble massacre.

    Et que dire du crime inconcevable de ce prêtre de rappeler le nombre de morts que fait chaque jour le massacre de l’avortement : 600 !

    Le prêtre a bien mis le doigt où ça fait mal, quelle que soit la mauvaise foi du journal Lyon capital qui n’hésite pas à titrer : « Un prêtre de Lyon compare les victimes des attentats aux terroristes ». Quelle honte !

    Naturellement, ce journal a trouvé du soutien dans le personne de l’évêque de Lyon, Mgr Philipe Barbarin. Plutôt que de tenter d’expliquer ce qu’a voulu dire son prêtre et de déminer les interprétations malveillantes et tronquées, ce dernier l’a lâché lametablement dans les colonnes de 20minutes : « C’est un texte très blessant pour nous tous. Ce n’est pas possible d’écrire cela. […] “avant de se révolter contre les autres, il faut se dire que s’il écrit de telles choses, c’est qu’il ne doit pas aller bien ». Avant de conclure : « Il livre une analyse qui n’a plus rien d’un cœur de prêtre. Je vais essayer de m’en occuper comme on s’occupe d’un frère qui va mal. »

    Il est vrai qu’il est difficile d’attendre mieux de l’archevêque de Lyon, personnage bien symptomatique de l’état de dhimmitude et de soumission au monde de cet épiscopat vérolé du relativisme conciliaire (1). Ce dernier s’est vanté d’avoir appris par cœur la chahâda (2) pour la réciter au chevet des musulmans mourants. La chahâda n’est pas une phrase banale. Elle est le premier des cinq piliers de l’Islam. C’est la profession de foi qui permet de reconnaître un musulman : « Il n’est pas d’autre dieu qu’Allah et Mahomet est son prophète» (3).

    Cette nouvelle Eglise issue du concile Vatican II est devenu le porte manteau de cet Islam conquérant qui sème la mort.

    Voici le texte de l’abbé Hervé Benoît :

    Les Aigles (déplumés) de la mort aiment le diable !

    Notre degré d’avachissement intellectuel et moral est tel qu’il faut s’entortiller de précautions pour émettre le moindre propos… Soyons bien clair, aux lecteurs choqués par le titre de cet article, par son contenu ou les titres et qualités de l’auteur, qu’ils sachent que les devoirs, publics et privés, à rendre aux morts, qui devaient leur être rendus l’ont été.

    Paix aux morts et, maintenant, debout les hommes !

    D’abord, une lecture mystique.

    L’idée circule sur les réseaux. Oh, très mollement, comme une sorte de dissonance, de grincement dans la mécanique de sidération collective. Personne ne s’y risque vraiment. D’ailleurs, l’injonction fuse. Le rappel à l’ordre claque ! Vous n’y pensez pas ! Bigot ! Réac ! Coincé !

    Il faut bien que quelqu’un se dévoue. Que voulez-vous, j’ai été bercé dans ma jeunesse cléricale, par l’injonction de « lire les signes des temps ».

    Quels « signes » ? Pas les corps entassés, les rues ensanglantées, les hurlements des blessés. Non, des images sous-jacentes, en arrière-plan, si fortes qu’elles aveuglent.

    Qu’avons-nous vu ? Il est 21 h, ce funeste vendredi 13, au Bataclan. Devant 1 500 personnes en transe, serrées et échauffées comme dans une matrice, les Aigles de la Mort MétalEagles of Death Metal en v.o. – entonnent : « Qui va aimer le diable ? Qui va aimer sa chanson ? Qui va aimer le diable et sa chanson ?… ». Personne, et pour cause, n’entendra la conclusion : « … j’aimerai le diable et sa chanson ! ».

    Et cette phrase de l’Évangile selon saint Luc, proclamée le matin même à la messe : « Où sera le corps, là aussi se rassembleront les aigles » (trad. Crampon, 17, 37). D’autres traduisent « vautours », mais c’est la même chose : les rapace qui se repaissent des morts. Voilà des signes ! Je les vois multipliés, sur les tee-shirts, sur les tatouages, sur les pochettes de disques : « mort… diable… », et les ingrédients qui vont avec : violence… sexe… défonce… jouissance… vacarme…, codes partagés de la culture de masse.

    Qu’on ne me dise pas, avec des pudeurs de chaisières, que ce n’est pas du « métal ». Enfumage ! Ne me dites pas non plus que ce ne sont que des mots. Que c’est pour rire. À force de ne rien prendre au sérieux, tout fini par devenir tragique. Si vous élevez des pitbulls vicieux et pervers, parce qu’ils sont utiles pour faire peur aux voisins, ne vous étonnez pas si, un jour, ils sautent à la gorge de vos enfants. Vous invoquez le diable en rigolant ? Lui vous prendre au sérieux. Un exorciste extraordinaire me le disait le jour même des attentats : « Si vous lui ouvrez la porte, il se fait une joie d’entrer. » On ne joue pas avec les icônes, elles véhiculent le sacré…

    Je vais allez plus loin. Tant pis pour les lecteurs sensibles. Regardez les photos des spectateurs quelques instants avant le drame. Ces pauvres enfants de la génération bobo, en transe extatique, « jeunes, festifs, ouverts, cosmopolites… » comme dit le “quotidien de révérence”. Mais ce sont des morts-vivants. Leurs assassins, ces zombis-haschishin, sont leurs frères siamois. Mais comment ne pas le voir ? C’est tellement évident ! Même déracinement, même amnésie, même infantilisme, même inculture… Les uns se gavaient de valeurs chrétiennes devenues folles : tolérance, relativisme, universalisme, hédonisme… Les autres, de valeurs musulmanes devenues encore plus folles au contact de la modernité : intolérance, dogmatisme, cosmopolitisme de la haine… Les uns portent le maillot du PSG – « Fly Emirates » en effaçant le berceau de Louis XIV, et les autres profitent du même argent pour se faire offrir un costume en bombes. Une minute avant leur mort, les uns et les autres étaient penchés sur leurs smartphones, comme accrochés au sein de leur nourrice. Ce n’est pas le retour du Moyen Âge, contrairement à ce que disent les crétins, c’est la postmodernité dans toute son absurdité. Le drame de l’humanisme athée, qui aime le diable, la mort, la violence, et qui le dit… et qui en meurt ! Le signe de la mort et du chaos ne flotte pas que sur les rues de Paris, un vendredi soir maudit. 130 morts, c’est affreux ! Et 600 morts, c’est quoi ? C’est le chiffre des avortements en France le même jour (Ministère de la Santé – merci Orwell !). Où est l’horreur, la vraie ?

    Écoutez le sage : « Chers djihadistes, chevauchant vos éléphants de fer et de feu, vous êtes entrés avec fureur dans notre magasin de porcelaine. Mais c’est un magasin de porcelaine dont les propriétaires de longue date ont entrepris de réduire en miettes tout ce qui s’y trouvait entassé. […] Vous êtes les premiers démolisseurs à s’attaquer à des destructeurs. Les premiers incendiaires en concurrence avec des pyromanes. Nous triompherons de vous. Nous vaincrons parce que nous sommes les plus morts » (Philippe Muray).

    Puis une lecture politico-sociologique.

    Qu’avons-nous vu ? Des rockers californiens de deuxième zone, entretenant la flamme d’une musique désormais recyclée dans la grande lessive consumériste, une fausse rébellion pour de juteuses connexions avec l’industrie. Loin de moi l’idée d’encenser le rock et ses valeurs, mais on peut accorder au minimum à la génération « beat » le désir d’avoir voulu ébranler non pas tant la société patriarcale, que le matérialisme. Ses solutions étaient mauvaises, mais la révolte contre Mammon pouvait avoir quelque chose de sincère. Tout cela est aujourd’hui totalement intégré dans la matrice. Pire, la tentative de révolte a été « retournée » pour servir à la domination, par le divertissement (au sens étymologique), l’abrutissement de la moindre velléité de révolte. On peut écarter d’un revers de la main dédaigneux ces faits en estimant qu’ils relèvent d’un humour au second degré. Lorsqu’un membre du groupe revendique son goût pour les armes, la pornographie et la méthamphétamine… (Wikipedia), il ne fait que dealer un cocktail particulièrement efficace pour le contrôle social. Pas besoin de complot, pas besoin de police, l’appât du gain des trafiquants, les névroses sociales pullulantes et l’intérêt du système financier suffisent à faire le boulot. Des milliers de romans de science-fiction l’ont mieux dit que tous les sociologues. Voilà d’ailleurs en grande partie pourquoi vous ne pouvez pas faire la moindre remarque critique sur le sujet, sans vous faire agonir de sottises. Les chiens de garde veillent…

    Ne parlons même pas des propos consternants de premières communiantes chez ces rockers revenus peureusement à la maison : « Bien que nous soyons désormais rentrés chez nous et en sécurité, nous sommes horrifiés et tentons toujours de comprendre ce qu’il s’est passé… », avant de remercier servilement la police et le FBI… Ils vénéraient Satan mais n’étaient visiblement pas impatients de le rencontrer. Ah, ils peuvent s’afficher avec leurs tatouages virils, leurs admiratrices en bikini et leurs grosses motos,« c’est rien que des demi-sels » comme dirait Audiard, des aigles déplumés, bien loin de la mère des Maccabées, « cette femme héroïque qui parlait avec un courage viril » comme dit l’Écriture Sainte ces jours-ci.

    Pour finir, le sordide et les intérêts bien compris. Ils vont gagner au grattage après le tirage. Les victimes ne sont même pas enterrées qu’un journaliste du système peut tranquillement expliquer : « Lancée dans la foulée des attaques terroristes ayant frappé Paris vendredi 13 novembre, la campagne visant à porter la chanson Save A Prayer au sommet des ventes de singles britanniques bat son plein » (Le Figaro). C’est nous les complotistes, les obscurantistes, les réactionnaires, mais eux, ils peuvent tranquillement se repaître sur le dos des morts, ça ne gêne personne ! À vomir ! Il n’y a pas que ceux qui tiennent les kalachnikovs qui sont des monstres.

    Grégoire Nysse : « Quand on dit que Dieu inflige un châtiment douloureux à ceux qui font un usage pervers de leur liberté, il convient de comprendre que c’est en nous-mêmes que ces souffrances ont leur principe et leur cause » (La vie de Moïse, 2, 87).

    Hervé Benoît, prêtre catholique

    (1) Nostra Ætate est la Déclaration sur l’Église et les Religions Non-Chrétiennes du Concile Vatican II. Elle a été promulguée le 28 octobre 1965 par le pape Paul VI, ayant été votée 2 221 voix pour et 88 voix contre lors du dernier concile.
    Son titre signifie À notre époque en latin.

    Chapitre 3 de la déclaration Nostra Aetate sur l’Eglise et les religions non chrétiennes

    – Déclaration Nostra Aetate sur l’Eglise et les religions non chrétiennes

    Ch.3. L’Eglise regarde aussi avec estime les musulmans, qui adorent le Dieu Un, vivant et subsistant, miséricordieux et tout-puissant, créateur du ciel et de ta terre[5], qui a parlé aux hommes. Ils cherchent à se soumettre de toute leur âme aux décrets de Dieu, même s’ils sont cachés, comme s’est soumis à Dieu Abraham, auquel la foi islamique se réfère volontiers. Bien qu’ils ne reconnaissent pas Jésus comme Dieu, ils le vénèrent comme prophète; ils honorent sa mère virginale, Marie, et parfois même l’invoquent avec piété. De plus, ils attendent le jour du jugement où Dieu rétribuera tous les hommes ressuscités. Aussi ont-ils en estime la vie morale et rendent-ils un culte à Dieu, surtout par la prière, l’aumône et le jeûne.
    Si, au cours des siècles, de nombreuses dissensions et inimitiés se sont manifestées entre les chrétiens et les musulmans, le Concile les exhorte tous à oublier le passé et à s’efforcer sincèrement à la compréhension mutuelle, ainsi qu’à protéger et à promouvoir ensemble, pour tous les hommes, la justice sociale, les valeurs morales, la paix et la liberté.

    (2) Chahâda : (témoignage) qui signifie « attestation » ou « témoignage de foi » en arabe, est le premier des piliers de l’islam. Elle est directement liée au principe de l’unicité de Dieu et l’opposition formelle et agressive du dogme de la Sainte Trinité.Cette profession de foi musulmane est très brève : اشهد ان لآ اِلَـهَ اِلا الله و أشهد ان محمدا رسول الله (Achhadou an lâ ilâha illa-llâh, washadou ana muhammadun rasûlu-llâhi), pouvant se traduire par « « Il n’est pas d’autre dieu qu’Allah et Mahomet est son prophète».

    (3) Yves Daoudal déclare dans un message sur le FC en date du 24 février 2011 : « Aucun laïc, aucun prêtre, aucun évêque ne peut dire la chahada, en quelque circonstance que ce soit. Car la chahada est D’ABORD une condamnation du christianisme. C’est pourquoi la chahada est la seule et unique « profession de foi » religieuse qui commence par une négation: « J’atteste qu’il N’y a PAS d’autre Dieu que le Dieu unique (du Coran) et que Mahomet est son prophète. » La première partie est une négation de la Trinité (et c’est compris ainsi par les théologiens musulmans), la deuxième partie est une négation du Christ. »

     

    MEDIAS-PRESSE-INFO  24.11.15

  • Pétition adressée à François Hollande: "Fermez les mosquées salafistes ! "

    http://www.ndf.fr/poing-de-vue/14-11-2015/petition-adressee-a-francois-hollande-fermez-les-mosquees-salafistes#.VlTgsZWFOM8

    Signée

  • Su-24: un des pilotes abattu pendant sa descente en parachute

    International
    URL courte
    La Turquie abat un Su-24 russe (25)
    335170269

    Selon les informations précédentes, les pilotes du Su-24 abattu en Turquie se sont éjectés.

     

    Selon les premières informations, un des pilotes du bombardier russe Su-24 abattu par un avion turc en Syrie, a été tué depuis le sol alors qu'il effectuait un vol en parachute après s'être éjecté pour se mettre en lieu sûr, a annoncé l'Etat-major général russe.

    Un représentant d'un groupe armé de "l'opposition syrienne" a antérieurement déclaré que son groupe avait exécuté les pilotes de l'avion russe.

     

    Les militaires russes poursuivent l'opération de recherche des pilotes.

    Les données de la défense antiaérienne syrienne confirment que l'avion n'avait pas franchi la frontière syro-turque, a précisé l'Etat-major russe.

    Un bombardier russe Sukhoi Su-24 engagé dans l'opération contre le groupe terroriste Etat islamique (EI) en Syrie s'est écrasé mardi sur le territoire syrien, à 4 km de la frontière turque. Selon le président russe Vladimir Poutine, le Su-24 a été abattu dans l'espace aérien syrien par un missile air-air tiré par un chasseur turc F-16.

    La Turquie affirme que l'avion russe a violé son espace aérien. D'après le ministère russe de la Défense, l'avion se trouvait dans l'espace aérien syrien, à un kilomètre de la frontière turque.



    Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20151124/1019780166/pilote-turquie-su24-tue.html#ixzz3sRH9DJ8J

  • Ne perdons jamais notre humour!

    !cid_image003_jpg@01D126D2.jpg Manneken.jpg

    (merci à Dirk)

  • AUDIO - Florian Philippot du Club de la Presse sur Europe 1

    http://www.frontnational.com/videos/florian-philippot-sur-europe-1-39/

    Le "Passenger Name Record" (PNR), un fichier européen des données personnelles des voyageurs aériens, pourrait bientôt être enclenché par l'Union européenne. Vendredi soir, les ministres de l'Intérieur et de la Justice des pays membres ont souhaité une mise en place rapide de ce système.   

  • Florian Philippot sur RFI

    Florian Philippot, Vice-Président du Front National, tête de liste FN/RBM région Alsace, Champagne-Ardenne et Lorraine, était l’invité de Frédéric Rivière sur RFI.

  • Tunis : l'explosion d'un bus de la garde présidentielle fait au moins onze morts et de nombreux blessés

     

     24 Nov. 2015, 17h42 | MAJ : 24 Nov. 2015, 18h19

     
     
     

    Un bus a explosé à Tunis mardi après-midi alors qu'il circulait sur l'avenue Mohammed V.  Selon la télévision d'Etat tunisienne, le véhicule était un bus de la sécurité présidentielle. Selon la présidence tunisienne, il s'agit bel et bien d'un attentat commis devant le siège du Rassemblement constitutionnel démocratique, le parti de l'ex-président Ben Ali.

     
     

    D'après le ministère de l'Intérieur, l'attaque a fait au moins onze morts ainsi que de nombreux blessés. De nombreuses ambulances ainsi que des fourgons de police sont sur place et un périmètre de sécurité a été mis en place, selon les médias locaux.

     

    Conseiller du président tunisien Béji Caïd Essebsi, Firas Guefrech a évoqué sur Twitter «une scène de guerre». «C'est la république qui est visée», a-t-il ajouté.
     
    LE PARISIEN
  • Avion russe abattu par les Turcs : Poutine dénonce «un coup de poignard dans le dos»

    5308027_mow4809-974453-01-02_545x460_autocrop.jpg Poutine.jpg

     

    Le bombardier russe Su-24 abattu par l'aviation turque ne menaçait pas la Turquie, a assuré mardi le président russe Vladimir Poutine.

    24 Nov. 2015, 14h28 | MAJ : 24 Nov. 2015, 16h30 - Le Parisien

     
    réagir
    56
     

    Vladimir Poutine a employé le ton le plus ferme qui soit après qu'un avion de combat russe SU-24 a été abattu par l'armée turque, ce mardi, à la frontière syrienne.

     

     «Notre avion, nos pilotes, ne menaçaient nullement la Turquie», a-t-il assuré lors d'une conférence de presse à Sotchi (Russie), en présence du roi de Jordanie Abdallah II. Selon lui, le bombardier a été touché à un kilomètre de la frontière turque et s'est écrasé à quatre kilomètres. Selon des sources rebelles et des militants de l'opposition syrienne, un pilote russe de l'avion abattu a été tué tandis que le deuxième est porté disparu.

    «La perte d'aujourd'hui est un coup de poignard dans le dos qui nous a été porté par les complices des terroristes», a poursuivi le président russe. Il accuse ainsi implicitement le régime d'Ankara d'être un allié de l'organisation Etat islamique (Daech). «Je ne peux qualifier autrement ce qu'il s'est passé aujourd'hui. (...) Nous ne tolérerons jamais que des crimes comme celui d'aujourd'hui soient commis», a-t-il poursuivi.

    «Bien sûr, nous allons analyser tout ce qui s'est passé. Et les événements tragiques d'aujourd'hui vont avoir des conséquences sérieuses sur les relations russo-turques», a menacé Vladimir poutine. «Nous avons toujours eu avec la Turquie des bonnes relations de voisinage mais plus encore des relations amicales avec le gouvernement. Je ne sais pas qui avait besoin de ce qu'il s'est passé aujourd'hui. Sûrement pas nous», a-t-il asséné.

    Le président russe a en outre regretté qu'Ankara ait demandé une réunion extraordinaire de l'Otan, dont elle est membre, au lieu de discuter de ce problème directement avec Moscou. L'attaché militaire turc à Moscou a été aussitôt convoqué par le ministère russe de la Défense. 

    De son côté, Ankara a assuré que l'avion avait violé son espace aérien et qu'il avait été mis en garde à plusieurs reprises. «Tout le monde doit savoir qu'il est de notre droit internationalement reconnu et de notre devoir national de prendre toutes les mesures nécessaires contre quiconque viole notre espace aérien ou nos frontières», a déclaré le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu, lors d'un discours prononcé à l'occasion de la journée nationale des enseignants. «Notre estimée nation doit savoir que nous n'hésiterons pas, même un seul instant, à prendre les mesures (nécessaires)», a-t-il insisté.

    Le ministre des Affaires étrangères russe annule sa visite à Istanbul
    Conséquence de cet incident entre la Russie et la Turquie, le ministre des Affaires étrangères russe Sergueï Lavrov a annoncé l'annulation de sa visite officielle à Istanbul, prévue mercredi. Sergueï Lavrov a évoqué la «menace terroriste croissante» en Turquie pour justifier cette annulation.

    Le ministre a aussi affirmé que la Russie déconseillait à ses concitoyens de voyager en Turquie. «Le nombre de manifestations de terrorisme sur le territoire turc n'est pas moindre, selon nos estimations, qu'en Egypte. Nous déconseillons donc à nos concitoyens de se rendre en Turquie à des fins touristiques ou autres», a-t-il ainsi déclaré à la télévision. La Turquie constitue la principale destination touristique des Russes au coude à coude avec l'Egypte, vers laquelle toutes les liaisons aériennes ont cessé après le crash de l'Airbus russe dans le Sinaï.
  • Le Nouvel Obs’ : « un prêtre catholique publie une tribune odieuse après les attentats »

    0x3FMi8.jpg

     

    19h53

     

    Dans cette tribune hallucinante, publiée sur le blog catholique ultra-conservateur « Riposte catholique » et vivement critiquée sur Twitter, le père Hervé Benoît, l’un des chapelains de la basilique de Fourvière à Lyon, y décrit les spectateurs du Bataclan comme les « frères siamois » des terroristes :

    « Regardez les photos des spectateurs quelques instants avant le drame. Ces pauvres enfants de la génération bobo, en transe extatique, ‘jeunes, festifs, ouverts, cosmopolites’ comme dit le ‘quotidien de révérence’. Mais ce sont des morts-vivants. Leurs assassins, ces zombis-haschishin, sont leurs frères siamois. Mais comment ne pas le voir ? C’est tellement évident ! Même déracinement, même amnésie, même infantilisme, même inculture… » [...]

    Et le prêtre de se lancer ensuite dans un horrible parallèle entre les victimes des attentats et… le nombre d’avortement en France : « 130 morts, c’est affreux ! Et 600 morts, c’est quoi ? C’est le chiffre des avortements en France le même jour. Où est l’horreur, la vraie ? »

    Le Nouvel Obs’

  • « Désignons à la vindicte de l’Histoire ceux qui ont créé les conditions de possibles drames à venir »!

    pada001-770x1057.jpg Miège.jpg

    Depuis les attentats, les avertissements visant à éviter les amalgames entre terroristes et musulmans se multiplient, car les musulmans intégrés ne sont bien évidemment pas coupables des crimes commis en leur nom. Mais cela ne doit pas conduire à nier les liens entre l’islam et l’islamisme ; refuser de voir ce lien est tout aussi condamnable que de faire d’injustes amalgames.
    La voie de la vérité est étroite et le courage est donc de refuser ces deux tendances du déni que sont l’amalgame qui stigmatise et le refus de voir les réalités historiques de l’islam, système idéologique global plus que religion, moyen d’emprise sociale plus que foi.
    C’est donc par une réflexion sur la nature de l’islam que passera le combat contre l’islamisme. Cette perspective incontournable déplaît aux uns et terrorise les autres, parce qu’elle nécessite de questionner les fondements de l’islam : le personnage de Mahomet à la vie peu conforme aux idéaux humanistes, érigé en « beau modèle » (de djihadiste ?) non critiquable et imitable en tous points ; le Coran et certains de ses versets insupportables pour la conscience occidentale ; son prolongement juridique, la charia.
    Lire aussi : Nous ne pouvons continuer à dire : ceci n’a rien à voir avec l’islam
    Le drame est peut-être qu’une telle exégèse pourrait aboutir au constat de l’impossible intégration de l’islam à la société occidentale, sans un aggiornamento radical. Et c’est peut-être parce que chacun perçoit intuitivement l’impasse actuelle que beaucoup dénient le lien consubstantiel unissant l’islam et l’islamisme.
    L’auteur de ces lignes a pu constater les difficultés induites par la problématique. Tous ses élèves, musulmans ou non, sont sincèrement horrifiés par les attentats. Chacun est d’accord pour rejeter la tentation des amalgames. Mais, selon certains, les gens ne connaîtraient pas le véritable islam. Qu’est-ce que le véritable islam, demande le professeur ? C’est la paix ! répondent-ils. Pourtant, certains versets agressifs d’un Coran non amendable ne constituent-ils pas une menace permanente pour les non-musulmans ? Lourd silence. Mahomet le conquérant vivait-il pacifiquement ? Silence gêné. Et ainsi de suite. La limite du débat est atteinte.
    Et l’angoisse est là pour tous, chacun sincère et de bonne foi, mais ignorant des fondements opposés des sociétés occidentales et islamiques, liberté intérieure pour l’une, soumission pour l’autre. Musulmans et non-musulmans se trouvent dans un face-à-face qu’ils n’ont pas désiré et dont ils pourraient faire les frais.
    Alors, désignons à la vindicte de l’Histoire ceux qui ont créé les conditions de possibles drames à venir : les politiques qui n’ont pas évalué les capacités d’adaptation de l’islam, les intellectuels qui ont abusé le peuple en créant une psychose « extrême droite », les évêques qui se refusent à faire preuve de discernement sur l’islam, tous, âmes damnées vendues à une oligarchie mondialiste, acharnée à détruire les peuples historiques par l’instrumentalisation d’un multiculturalisme délétère.

    Bruno Riondel – Boulevard Voltaire

    DélitDimages

  • VIDEO - Crachat de Karim Benzema pendant la Marseillaise : Nadine Morano demande son exclusion des Bleus

     

  • I-Média spécial attentats : Synthèse et décryptage d’une semaine d’intox

     




    30
     
    Download PDF

    Au sommaire de ce numéro d’I-Média produit par TV Libertés et animé par Jean-Yves Le Gallou :

    01:38 – Terroristes, des français comme vous et moi.
    07:10 – Le zapping d’I-Média
    14:41 – Hoax et fantasme, la novlangue médiatique
    25:41 – Les tweets d’I-Média
    32:15 – Censure gouvernementale des images
    37:30 – Le bobard breton de France Bleue

  • Renaud Camus a adhéré au SIEL

     




    1
     

    annonce le parti, membre du Rassemblement Bleu Marine, dans un communiqué :

    Ce 20 novembre 2015, Renaud Camus a adhéré au SIEL, tout en conservant par ailleurs la présidence du Parti de l’In-nocence dont il est le fondateur. Oeuvrant aux côtés du Front national, au sein du Rassemblement Bleu Marine, au rapprochement de ceux de nos compatriotes qui éprouvent à l’égard de la France un attachement patriotique charnel, le SIEL s’honore d‘accueillir désormais parmi ses membres l’une des grandes consciences européennes de notre temps.

    Cette adhésion ne fait que confirmer la proximité idéologique qui existe entre la ligne nationale-identitaire imprimée par Karim Ouchikh à l’action politique du SIEL qu’il préside depuis un an, et l’œuvre politique du grand écrivain qui a conceptualisé, avec courage et lucidité, la réalité tragique qui pèse sur le destin de l’Europe et de la France, celle du Grand remplacement. Ce processus de substitution de peuples, qui s’accélère désormais avec la crise migratoire de ces derniers mois, bouleverse les grands équilibre ethnico-culturels de l’Europe : il constitue manifestement un péril mortel, – sans doute le plus considérable dans l’histoire de notre continent -, à l’égard duquel ni Renaud Camus, ni Karim Ouchikh n’entendent pas renoncer à agir.

    Si le SIEL considère que le premier des défis politiques à relever demeure toujours celui de la souveraineté politique qu’il importe de recouvrer pour assurer la conduite plénière des affaires du pays, il ne néglige en rien le combat pour la sauvegarde de la souveraineté identitaire de la France, qui lui est même consubstantiel : il est vain en effet de vouloir disposer de la maitrise nominale de nos frontières, de notre monnaie, de notre budget ou de nos lois, si, dans le même temps, notre socle anthropologique et les traits homogènes de notre civilisation sont appelés à s’évaporer avec la disparition programmée du peuple français. Loin de toute vision strictement hexagonale, une telle entreprise salutaire implique nécessairement d’agir à l’échelle européenne, dans un même élan politique, car les périls contemporains affrontés par la France ne sont au fond guère différents de ceux éprouvés en Italie, en Hongrie ou en Grèce.

    Renaud Camus était jusqu’à présent l’un des grands inspirateurs de l’action politique du SIEL. Il en sera désormais un acteur central, à un niveau de responsabilité qui sera défini prochainement.

    NDF

  • Un coupeur de têtes irakien demande l’asile en Finlande?

    sans-titre.png coupeur.png

     




    60
     
    Download PDF

    Un site finlandais publie les photos d’un « réfugié » irakien, un certain Ammar Al-Ziadi, qui se trouverait dans un centre de réfugiés à Tornio, en Laponie. On peut voir un homme à l’air inoffensif, en tant que « réfugié » irakien en Finlande, ou encore, sur une autre photo, dans une gare en Autriche, mais aussi, sur d’autres photos, le même homme en tenue de djihadiste avec une tête coupée à la main ou sous le pied.

    C’est le site MVLEHTI qui dit avoir trouvé les photos version djihadiste sur un profil Facebook supprimé depuis. Les photos sont publiées par les Finlandais ici : http://mvlehti.net/2015/11/13/onko-tama-tappaja-nyt-suomessa-turvapaikanhakijana-k-18-kuvia/

    Samedi soir, l’accès au site finlandais semblait avoir été bloqué par des hackers, mais plusieurs sites espagnols ont repris l’information et le site Estrella Digital publie les mêmes photos ici : http://www.estrelladigital.es/articulo/mundo/finlandia-teme-llegada-asesinos-centros-refugiados/20151117193646261295.html

    Ce n’est pas la première fois que des djihadistes infiltrés parmi les immigrants clandestins sont rattrapés par leur profil Facebook. En septembre dernier, les autorités hongroises avaient pu identifier deux terroristes parmi les migrants de passage justement grâce à leur profil Facebook où ils se vantaient d’être arrivés en Europe.

    NDF

  • Il a vu le commando stationné deux heures à proximité du Bataclan : « J’ai appelé la police, elle est passée deux fois et elle n’a rien fait, elle ne les a pas contrôlés »




    17
     
    Download PDF

    Voici l’incroyable témoignage d’un homme qui a vu les terroristes se positionner en voiture à proximité du Bataclan vendredi 13 novembre. Selon lui, ils sont restés au moins deux heures rue de Crussol, à trois minutes de la salle de concerts. Il leur a signalé qu’ils étaient mal garés mais leur réaction l’a refroidi. Il pensait que c’était des voleurs ou des bandits, mais quand il a appris pour les attaques au Stade de France, il s’est décidé à appeler la police qui est passée deux fois dans la rue sans procéder au moindre contrôle, à son grand étonnement. On connaît tous la suite…

    NDF - 23/11/15