+ VIDEO
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
+ VIDEO
Dans la nuit de mardi à mercredi, des malfaiteurs anonymes ont «orné» le territoire du centre des réfugiés par environ quatorze têtes de porc.
Bien qu’ailleurs, les habitants n’ont pas exprimé d’agressivité à l’encontre des migrants, la photo de l’incident a été diffusé sur les réseaux sociaux avec l’inscription : «Quand la démocratie échoue, les gens se fâchent et désespèrent. Bienvenue en enfer». Selon la police, cet incident est considéré comme un crime contre l’environnement et les auteurs seront poursuivis.
Le nouveau gouvernement polonais a décidé de retirer le drapeau de l’Union européenne de la salle où se tiennent les conférences de presse des autorités.
C’est un signe de plus du peu d’euro-enthousiasme du nouveau gouvernement polonais. Celui-ci a ainsi décidé purement et simplement de retirer le drapeau aux 12 étoiles sur fond bleu de l’Union européenne de la salle où se tiennent les conférences de presse des autorités. (…)
Merci à Ricou
Au Parlement européen de Strasbourg, Marine Le Pen a mis l’Union européenne face à ses responsabilités suite aux attentats qui ont frappé Paris le 13 novembre.
A voir absolument
En outre, le pilote a indiqué qu'il n'y avait eu aucune mise en garde de la part de la Turquie, ni visuellement, ni à la radio.
"Il n'y a eu aucun contact. C'est pourquoi nous nous sommes préparés à la manœuvre de tir comme prévu. Il faut se rendre compte de la vitesse du bombardier et quelle est celle d’un F-16. Si on avait voulu nous mettre en garde, ils auraient pu se montrer, prenant une direction parallèle. Mais rien de tel n’a eu lieu. Et un missile a frappé subitement la queue de notre avion. Nous ne l'avons même pas observé visuellement afin d’entreprendre une manœuvre anti-missile", a-t-il déclaré.
Le pilote du Su-24 abattu dans le ciel de la Syrie a été sauvé par les unités spéciales russes et l'armée syrienne lors d'une opération qui a duré 12 heures.
Un bombardier russe Sukhoi Su-24 engagé dans l'opération contre le groupe terroriste Etat islamique (EI) en Syrie s'est écrasé mardi sur le territoire syrien, à 4 km de la frontière turque. Selon le président russe Vladimir Poutine, le Su-24 a été abattu dans l'espace aérien syrien par un missile air-air tiré par un chasseur turc F-16.
La Turquie affirme que l'avion russe a violé son espace aérien. D'après le ministère russe de la Défense, l'avion se trouvait dans l'espace aérien syrien, à un kilomètre de la frontière turque.
Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20151125/1019805510/pilote-su-24-declaration.html#ixzz3sX2ut4yD
Le maire de Béziers, Robert Ménard, revient sur l’actualité sanglante qui secoue notre pays. Il évoque également les élections régionales et l’interdiction des crèches dans les mairies, réclamée par François Baroin…
(merci à Catherine)
Selon une dépêche rapportée par le Times of Israel, datée du lundi 16 novembre et qui cite le ministre de la Défense de l’État hébreu Moshe Ya’alon, Israël n’est pas menacé de manière significative par les terroristes de l’État islamique. En revanche, l’implication de l’Iran dans le conflit syrien serait [aux yeux du ministre] beaucoup plus préoccupante.
Quelques jours après l’attentat contre un avion de ligne russe au-dessus du Sinaï, cette déclaration est assez surprenante. Encore plus surprenante depuis la publication, au lendemain des attentats de Paris, d’une vidéo dans laquelle un combattant armé se revendiquant de l’État islamique aurait déclaré en hébreu que « pas un seul juif ne restera à Jérusalem ».
Maintenant que Manuel Valls nous informe d’une possible menace à l’arme chimique et que, dans la foulée, plusieurs experts sortent du bois pour nous expliquer que Daech a déjà utilisé du gaz moutarde et qu’il travaille d’arrache-pied à la fabrication de gaz sarin, il semble très troublant que Tsahal puisse rester l’arme au pied. Troublant parce qu’Israël n’a jamais hésité à frapper un ennemi potentiel à titre préventif, en 1966 (guerre des Six Jours), en 1981 (réacteur d’Osirak), au Liban à plusieurs reprises (contre le FPLP puis le Hezbollah). Dans le même ordre d’idées, on peut mentionner l’invasion de l’Irak en 2003 – qui fut le résultat d’un forcing intense de la part du lobby israélien à Washington – et enfin qu’il aura fallu le bras ferme d’Obama pour empêcher Netanyahou de bombarder l’Iran.
Nul besoin d’être un géopoliticien averti pour noter que Daech combat à la fois Bachar el-Assad et le Hezbollah sur le front syrien et l’Iran sur le front irakien, ni plus ni moins que les pires ennemis d’Israël, alors que la Jordanie, en paix avec l’État hébreu, est totalement épargnée. On notera aussi – ça, les Français le savent moins – que Daech combat aussi les Palestiniens avec une rare férocité, un conflit illustré par les massacres perpétrés dans le camp palestinien de Yarmouk en avril 2015. Dernier petit détail : en janvier 2015, tandis que l’attentat contre Charlie Hebdo était revendiqué par Al-Qaïda dans la péninsule Arabique (AQPA), étrangement l’État islamique s’empressa de nier toute responsabilité dans l’attentat contre la supérette Hyper Cacher.
Alors, à quel jeu joue Israël avec l’État islamique ?
Ce n’est pas nouveau : les spéculations sur une collusion secrète entre Israël et l’État islamique fleurissent sur Internet. En juillet 2014, Edward Snowden avait révélé l’existence d’un plan secret au nom bucolique de « nid de frelons » réunissant les services secrets britanniques, américains et le Mossad. Ce plan visait à créer, au cœur du Proche-Orient, un État capable de catalyser l’ensemble des organisations terroristes de la région, un État dirigé par un homme de paille et contre laquelle l’Iran et la Syrie viendraient se casser les dents. Cet homme de paille serait donc Abu Bakr Al Baghdadi – le calife – qui, curieusement, avait fait un séjour dans la prison irakienne sous administration américaine de Camp Bucca. Notez bien qu’à ce jour, il n’y a pas moyen de savoir avec certitude s’il en est sorti en 2004, comme l’affirment les « démocrates », ou en 2009, comme l’affirment les « conservateurs ».
À tout le moins, si Snowden n’a jamais été capable de produire des preuves irréfutables de ses allégations, il est certain que la passivité d’Israël ne nous aide pas à nous convaincre du contraire.
Le procureur de la République de Draguignan (Var) a requis cet après-midi la démolition de la mosquée de Fréjus dont les travaux s’étaient achevés en avril dernier, dont la validité du permis de construire est contestée. Le tribunal rendra son jugement le 26 février à 13h30.
Saisi à la suite d’une plainte déposée en octobre 2013 par la commune de Saint-Raphaël, voisine de celle de Fréjus, le tribunal correctionnel doit statuer sur le caractère frauduleux ou non de l’obtention d’un permis de construire par l’association El Fath, à l’origine de cette construction, et sur la complicité du maire de l’époque, Élie Brun (ex-UMP), dans la délivrance de cette autorisation administrative.
Le Danemark a annoncé samedi, une semaine après la Pologne, qu’il n’appliquera pas non plus l’accord européen du 22 septembre dernier sur les quotas de migrants. C’est le premier ministre danois Lars Lokke Rasmussen qui l’a annoncé samedi au congrès de son Parti libéral danois Venstre
« Les pays de l’Union européenne se sont mis d’accord pour répartir 160 000 réfugiés à condition que la question de l’afflux d’immigrants soit maîtrisée. Ce n’est pas le cas. La Grèce et l’Italie n’ont pas rendu leurs frontières plus étanches. », a déclaré le chef du gouvernement du Danemark, en soulignant que son pays de 5,6 millions d’habitants s’attendait désormais à 25 000 demandeurs d’asile cette année alors qu’il en avait prévu 15 000. Et encore, la plupart des immigrants clandestins qui lui arrivent d’Allemagne préfèrent continuer jusqu’à la Suède depuis que le Danemark a fortement réduit les prestations sociales cette année pour les demandeurs d’asiles et autres immigrés de fraîche date. Il est aussi devenu plus difficile d’obtenir la nationalité danoise. Une politique imposée par le bon résultat de la droite anti-immigration (parti populaire danois) aux élections de juin et au fait que le parti libéral n’a plus la majorité absolue.
Seulement la Suède a fermé ses frontières aux réfugiés au début du mois, contrainte par l’afflux provoqué par les déclarations irresponsables de ses dirigeants, à l’instar d’Angela Merkel en Allemagne, et aussi par la générosité de ses prestations sociales. Débordé par une immigration qui bat tous les records historiques et l’impossibilité d’assurer le logement de tous ces clandestins demandeurs d’asile (ils demandent tous l’asile pour éviter l’expulsion), mais aussi confronté au retournement en un mois d’une opinion publique qui était traditionnellement favorable à l’immigration, le gouvernement suédois a rétabli les contrôles à sa frontière avec le Danemark et demandé au Danemark d’en faire autant à sa frontière avec l’Allemagne. Vendredi, le Danemark a répondu que la Suède devait elle-même supporter les conséquences de ses politiques en matière d’immigration.
Et aujourd’hui le premier ministre suédois Stefan Lofven lui-même reconnaît que son pays a été naïf en ce qui concerne la menace terroriste, et qu’il est difficile pour les Suédois d’accepter qu’il y a désormais parmi eux des gens qui sympathisent avec les bourreaux de l’État islamique. La Suède, avec ses 9,8 millions d’habitants, son importante population immigrée et ses zones de non-droit comme en France, a déjà accueilli quelques 90 000 demandeurs d’asile rien que cette année.
NDF