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  • Après les attentats de Paris, les plaintes des migrants contre les garde-frontières seront facilitées par l'Union européenne

      

    Communiqués / 26 novembre 2015 / Étiquettes : /

    Communiqué de presse de Sylvie Goddyn et Gilles Lebreton

    Au Parlement européen, l’aveuglement des européistes face aux menaces sécuritaires et identitaires ne se dément pas. Quelques jours seulement après les attentats de Paris, les commissions Libertés civiles et Pétitions, réunies dans le cadre d’une procédure accélérée, ont voté une résolution sur Frontex permettant de faciliter les plaintes des migrants contre les garde-frontières : 62 voix pour, 11 voix contre et 6 abstentions.

    Cette résolution prévoit que Frontex, l’agence européenne de gestion des frontières, facilite les plaintes des migrants relatives à d’éventuelles violations de leurs droits, alors qu’ils sont eux-mêmes présents sur notre territoire en toute illégalité. Cette procédure prévoit également que des tiers, tels que des ONG grassement subventionnées, puissent déposer des plaintes au nom des migrants. Pour enfoncer le clou, les députés européistes préconisent une campagne d’information auprès des migrants pour être certains qu’ils utiliseront ce recours… Tout cela tend bien sûr vers un seul but : réduire encore le nombre d’expulsions, déjà quasi-nul.

    Ce rapport voté en commission sera de nouveau soumis au vote le 2 décembre prochain en séance plénière. Dernièrement, les socialistes et les Républicains ont affiché ostensiblement une fermeté toute nouvelle en matière d’immigration et de sécurité : nous aurons l’occasion de voir, lors de cette plénière à Bruxelles, si cette fermeté passera aussi bien la frontière que les migrants.

  • Quinze jours après les attentats de Paris, le point sur l'enquête

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/11/27/01016-20151127ARTFIG00226-15-jours-apres-les-attentats-le-point-sur-l-enquete.php

    + INFOGRAPHIE  -dérouler l'article

  • Marine Le Pen sera présente à l’hommage national aux victimes des attentats islamistes


    L'invité de Bruce Toussaint du 27/11/2015 par ITELE

     

    mlp marine le pen

    Marine Le Pen, la présidente du Front national, était l’invitée de Bruce Toussaint sur I>Télé ce matin, à quelques heures de l’hommage national aux victimes des attentats terroristes islamistes du 13 novembre.

  • Massacres du 13 novembre (2) - La France désarmée - Pour des solutions radicales - par Guillaume Faye

    http://www.gfaye.com/massacres-du-13-novembre-2-la-france-desarmee-pour-des-solutions-radicales/?utm_source=subscribe2&utm_medium=email&utm_campaign=postnotify&utm_id=1127&utm_title=Massacres+du+13+novembre+2+La+France+d%26eacute%3Bsarm%26eacute%3Be.+Pour+des+solutions+radicales

    Remarquable

  • TROIS COULEURS : FLOTTE PETIT DRAPEAU...MAIS PAS TROP HAUT

      

    TROIS COULEURS : FLOTTE PETIT DRAPEAU...MAIS PAS TROP HAUT - Le retour du patriotisme en inquiète plus d’un.

    Le retour du patriotisme en inquiète plus d’un.



    Raoul Fougax
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    Ils se sont donné le mot. Stupéfaits devant le mouvement populaire autour du drapeau, symbole de la nation, l’idéologie médiatique trace la ligne rouge.

    Le drapeau d’accord, mais à côté des bougies et pas au-dessus. Le patriotisme, on peut l' accepter mais attention voilà que derrière se profile le … nationalisme. Alors on a droit à un cours de rééducation à la Viet, le patriotisme c’est la fierté, le nationalisme, c’est la haine. Le nationalisme c’est la guerre, disait Mitterrand qui savait de quoi il parlait et en faisait des tonnes pour montrer qu’il était de gauche. Certes, mais le pacifisme aussi non ?

    Et que dire de la démocratie de toutes les tolérances, n’est-elle pas responsable de la guerre qu’on mène chez nous à notre peuple ?  Les Français ont bien senti que c’est l’abandon du roman historique de la France et de ses valeurs traditionnelles qui sont responsables de la situation actuelle. D’où le recours au drapeau.  C’est un réflexe peut-être pas nationaliste mais identitaire sûrement. Le drapeau abandonné a été ramassé par ceux à qui il disait encore quelque chose. Ils se sentent moins seuls mais pas mieux compris.

    Ce recours en effet n’a rien à voir avec le mondial de la France "black blanc beur" dont on nous rebat les oreilles. On a changé de monde. La diversité, ce bien absolu connaît maintenant ses limites. Qui peut le nier ?

    On sent bien que finalement certains changerait bien  le blanc de la royauté contre le vert de l’islam pour disent-t-il refléter la réalité de la France d’aujourd’hui. Eh bien non c’est bleu blanc rouge comme pour Napoléon et 14 -18. Comme au retour de De Gaulle paraît-il.  La libération et le mondial, voilà le drapeau politiquement correct. Les autres doivent s’abstenir. Mais celui des Français d’Algérie contre le terrorisme et l’abandon, drapeau souillé de sang français déjà par les trahisons et renoncements, celui là ils n’en parlent pas. Et pourtant il y a plus de lien entre le terrorisme d’aujourd’hui en métropole et celui d’ hier dans nos départements d’Afrique du nord qu’avec la libération. En abandonnant l'Algérie, la France voulait la paix, mais en sortant de l'histoire. L’histoire nous a rattrapée de la pire des manières. 

    Le recours au drapeau en est la conséquence. Et ils savent bien que, lorsque sort le drapeau des « misérables » d'Alger, les barricades ne sont pas loin même si elles peuvent changer de forme.
     
    METAMAG
  • Saint Denis au 3ème siècle, Saint-Denis en 2015

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    Denis ou Denys (de Dionysos, dieu grec de la vigne et du vin !) a participé à l'évangélisation de la Gaule au 3e siècle comme chef chrétien ou comme premier évêque de Paris. Il fut décapité en 258, au temps de l'empereur Aurélien, sur la colline de Montmartre...

                                 

    Le martyr aurait alors porté sa tête jusqu'à l'emplacement de l'actuelle basilique de Saint-Denis, au nord de Paris, à l'endroit même où des moines recueillirent ses reliques.

     

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  • HUMOUR

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  • Attentats : pavoiser aux côtés des responsables ?

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    26/11/2015 – FRANCE (Présent 8491)

    Nous sommes Emmanuelle Prévost. La sœur de ce jeune garçon de 29 ans, François-Xavier, assassiné au Bataclan, appelle au boycott de l’hommage national rendu aux victimes vendredi. Elle refuse de se retrouver assise aux côtés de ceux qu’elle juge responsables de la mort de son frère.
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    « Merci monsieur le président, messieurs les politiciens, mais votre main tendue, votre hommage, nous n’en voulons pas et vous portons comme partie responsable de ce qui nous arrive ! C’est plus tôt qu’il fallait agir », écrit Emmanuelle Prévost, qui précise que sa famille n’y prendra pas part. La jeune femme estime que depuis les attentats qui ont frappé Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher en janvier, « rien n’a été fait » : « 10 mois plus tard, les mêmes hommes sont en mesure de recommencer et de faire cette fois-ci 10 fois plus de morts ». Et elle passe en série, les fautes, les carences, le laxisme effarant. Elle rappelle qu’en France, il est possible d’être en lien avec un réseau terroriste, de « voyager en Syrie et de revenir librement ». « En France, les personnes fichées S circulent librement, empruntent les transports en commun, louent des voitures, travaillent à nos côtés, sans faire l’objet d’aucune obligation de suivi ni de surveillance ». Elle ajoute qu’il a fallu attendre la tuerie du 13 novembre pour se poser enfin la question de la dissolution des « 89 mosquées recensées comme étant radicales », « c’est-à-dire qu’elles appellent ou profèrent la haine ».

    Ce que dit Emmanuelle aujourd’hui résonne au plus profond de nous-mêmes. Il y a des mois que nous écrivons que ce gouvernement devra un jour répondre de ses actes de haute trahison et de collaboration avec l’ennemi intérieur et extérieur. L’appel d’Emmanuelle a été énormément suivi, repris et approuvé sur Facebook. Le père d’une autre victime – Aurélie de Peretti – a également fait savoir qu’il ne se rendrait pas à l’hommage auquel il a été convié.

    En janvier 2015 déjà, des millions de Français ont marché en chœur derrière les responsables de la politique d’islamisation de masse. Quinze jours après les massacres du 13 novembre, François Hollande donne le sentiment de vouloir nous rejouer la scène. Il faut pavoiser aux couleurs de la Hollandie et peut-être même permettre au « chef de guerre » de retrouver l’état de grâce de janvier 2015, l’embellie permettant d’atténuer la bérézina annoncée des très prochaines élections.

    On sera curieux de savoir combien de drapeaux français vont flotter sur la banlieue ? Combien de drapeaux frappés du croissant islamique ? Et combien de drapeaux de l’E.I ?

    Caroline Parmentier