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  • Le préfet de Saint-Brieuc interdit la manifestation contre l’islamisation et l’immigration

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  • Juppé en Algérie, étape incontournable d'une campagne présidentielle

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    LE SCAN POLITIQUE - Le maire de Bordeaux est en Algérie pendant trois jours. Une visite stratégique à plusieurs égards, à laquelle se plient tous les présidentiables.

    C'est un point d'étape fondamental du parcours d'un présidentiable. Alain Juppé, candidat déclaré à la primaire de la droite et du centre, a entamé ce dimanche une visite de trois jours en Algérie. L'occasion d'abord de rencontrer son homologue, le maire d'Oran, avec laquelle Bordeaux est jumelée. Mais également de s'entretenir avec le président algérien Abdelaziz Bouteflika. Et de traiter, avec son état-major, toute une série de dossiers cruciaux pour l'Hexagone.

     

    Le maire de Bordeaux n'est pas le premier présidentiable à rendre visite à Alger. François Hollande, dès la fin 2010, avait effectué son pèlerinage de trois jours dans l'ancienne colonie française. Il en avait profité pour rencontrer le premier président de l'Algérie indépendante, Ahmed Ben Bella. Qu'il s'agisse d'Alain Juppé aujourd'hui ou de François Hollande et Nicolas Sarkozy hier, tous ont à l'esprit les mêmes motivations.

    Diaspora, coopération militaire et hydrocarbures

    Pour Benjamin Stora, historien spécialiste de la question algérienne, il y a «trois raisons principales» à ces déplacements. «D'une part, il y a une diaspora algérienne très importante en France, qui représente une clientèle électorale de plusieurs millions de voix. Aujourd'hui, ils s'abstiennent, mais en 2012 ils ont voté massivement en faveur de François Hollande», explique-t-il. Un élément sur lequel Alain Juppé tentera sûrement de capitaliser. «Autre élément capital, la coopération très étroite sur le plan militaire entre Paris et Alger», poursuit Benjamin Stora. Notamment sur la question antiterroriste: «L'Algérie partage une très grande frontière avec le Mali, la Libye et la Tunisie. Cela représente des considérations stratégiques très importantes», assure l'historien. Et puis, enfin, il y a l'enjeu des hydrocarbures, «mais que je ne citerais qu'en troisième», relativise Stora. Probablement parce que les réserves de pétrole et de gaz du pays, d'après de nombreux experts, sont en voie d'épuisement. En 2014, le premier ministre algérien Abdelmalek Sellal avait déclaré que «d'ici 2030, l'Algérie ne sera plus en mesure d'exporter les hydrocarbures, sinon en petites quantités seulement».

    En 2017, le passé pourrait ressurgir

    Quid de la question mémorielle? Pour Benjamin Stora, elle «n'est abordée que lorsque les choses vont mal entre la France et l'Algérie. Quand ça va mal, on ressort le passé, les morts de la guerre, les harkis, etc. Mais pas quand les relations sont bonnes». La problématique avait été relancée par François Hollande lors de sa visite à Alger en décembre 2012, sept mois après son élection. Devant les parlementaires algériens, le président français déclarait reconnaître «les souffrances que la colonisation a infligées au peuple algérien». Aucun de ses prédécesseurs n'avait formulé d'excuses aussi appuyées vis-à-vis de l'ancienne colonie.

    Lors de sa visite en novembre 2006, Nicolas Sarkozy «venu en ami», avait dénoncé «un système colonial, qui est un système injuste, qui a fait beaucoup de souffrance». Sans toutefois présenter d'excuses officielles, préférant dire qu'il «n'y avait pas de douleur que d'un seul côté». Alors qu'il se lançait sur sa trajectoire présidentielle, le ministre de l'Intérieur de l'époque avait également annoncé un «assouplissement» des conditions d'attribution des titres de séjour aux Algériens.

    Mais le président des Républicains, qui ne s'est pas encore officiellement lancé dans la course pour la primaire, pourrait être moins consensuel lors de sa future campagne. Dans son livre La France pour la vie, Nicolas Sarkozy remet en cause «la spécificité, en matière migratoire, de la situation avec l'Algérie». Une situation régie par une convention internationale spécifique, en vigueur depuis 1968. «J'avais engagé des discussions avec les autorités algériennes, en 2011, pour renégocier cet accord», écrit l'ancien président. Une initiative dont on verra si elle est reprise par d'autres candidats à droite, ou si elle est laissée de côté au profit d'un dialogue plus apaisé.

    LE FIGARO

  • Le turc devient une des langues officielles des institutions européennes de Strasbourg

     

    Le Conseil de l'Europe et la Cour européenne des droits de l'Homme incluent désormais le turc parmi leurs langues de travail.

     

    La langue turque est devenue une des langues officielles des institutions européennes de Strasbourg après la promotion de la Turquie au rang des pays les plus représentés au Conseil de l'Europe.

    Le Conseil de l'Europe a ainsi adopté le turc comme une de ses six langues officielles avec l'anglais, le français, le russe, l'allemand et l'italien lors de sa Session d'hiver qui se tient actuellement à Strasbourg.

    L'adoption du turc comme une langue officielle a été motivée par la transformation de la délégation turque à l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE), dont le nombre est passé de 12 à 18. La Turquie est ainsi devenue parmi les pays les plus représentés à l'APCE avec la France, la Russie, l'Allemagne et le Royaume-Uni et l'Italie.

    Le premier discours prononcé en turc à l'APCE a été celui du député Utku Cakirozer (Parti républicain du peuple - CHP) lors de la session de mercredi.

    S'exprimant à l'Agence Anadolu sur l'adoption du turc comme la langue officielle du Conseil, Talip Kucukcan, président de la délégation turque (Parti de la Justice et du Développement - AK Parti), s'est dit "fier" de promouvoir le turc comme une langue de travail à l'échelle internationale.

    "L'influence d'un pays se mesure à son pouvoir de représentation", a-t-il ajouté.

    D'autre part, la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH), juridiction internationale fondée par le Conseil de l'Europe, a également adopté le turc comme une de ses langues de travail.

    La plateforme du Recueil des arrêts et décisions de la Cour (HUDOC) est ainsi devenue disponible en turc avec l'anglais, le français et le russe.

    AA

    TRT

  • Un avertissement de madame Taubira !

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  • Deux sculptures uniques découvertes en Crète

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    © REUTERS/ Alkis Konstantinidis
    Culture
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    Des sculptures des anciens dieux grecs, Artémis et Apollon, ont été découvertes lors de fouilles archéologiques en Crète. Les deux sculptures sont uniques dans leur genre et sont très bien conservées.

    Lors de fouilles archéologiques dans la ville ancienne Apter, dans les environs d'Héraklion, les scientifiques ont retrouvé deux sculptures de dimensions modérées représentant les dieux de la mythologie de la Grèce antique, Artémis et Apollon, annonce le site du ministère grec de la Culture.

     

    La hauteur de chacune des sculptures ne dépasse pas 35 centimètres, ou un demi-mètre avec la base. Celle d'Artémis a été faite en bronze, celle d'Apollon — en marbre. Les chercheurs estiment que ces sculptures auraient pu décorer une des villas situées sur l'île.

    Selon les archéologues, les deux sculptures sont uniques dans leur genre, grâce à leurs dimensions modérées et à leur état exceptionnellement bon. Ce dernier fait rend la découverte d'autant plus étonnante. Les scientifiques ont été impressionnés par les insertions réalisées en matériaux de couleur blanche destinées à faire ressortir l'iris des yeux de la déesse de la chasse.

    Les sculptures peuvent être datées de la deuxième moitié du I siècle de notre ère. Les archéologues estiment que ces sculptures ont été réalisées en dehors de la Crète pour ensuite y être transportées et utilisées dans un temple domestique. Ces sculptures étaient très certainement des objets de luxe pour l'époque.



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