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  • Calais: la capitulation de l'État, la révolte et la haine

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    Crédits photo : PASCAL ROSSIGNOL/REUTERS

    FIGAROVOX/TRIBUNE - Pour Alexis Theas, le déchaînement médiatique qu'a suscité le micro-rassemblement «anti-migrants» samedi est un écran de fumée destiné à masquer une situation apocalyptique et la démission de l'Etat.

     

     

    Alexis Theas est universitaire.


    Pendant que le président de la République apparaissait sur France 2 à la mi-temps de France-Italie pour commenter le match de rugby de samedi, le naufrage de Calais se poursuivait. Une manifestation d'une centaine de personnes, présentée comme «anti-migrants», s'y réunissait. Ce mouvement répondant à un appel du groupe allemand Pegida, «contre l'islamisation de l'Europe», il a été attribué par les médias à l'ultra-droite, voire les néonazis. La manifestation ayant été interdite par le ministre de l'Intérieur, la répression policière a été sévère: 20 interpellations, soit un cinquième des manifestants, 10 placements en garde à vue... Fait marquant: un général de corps d'armée à la retraite, ancien commandant de la Légion étrangère, Christian Piquemal, dont le parcours ne révèle rien d'un factieux ni d'un extrémiste, s'est trouvé parmi les personnes arrêtées. Les commentaires médiatiques se focalisent sur la condamnation virulente du rassemblement qualifié de raciste. Mais que recèle vraiment cette indignation?

    La situation de Calais a pris une dimension apocalyptique. Plusieurs milliers de migrants en situation irrégulière ont installé un gigantesque bidonville, surnommé la Jungle, devenue une zone de non droit. Des personnes en provenance du Moyen-Orient et d'Afrique, dont des enfants, y survivent dans des conditions sanitaires épouvantables, indignes de la France contemporaine, sous la férule des passeurs mafieux et des activistes d'extrême gauche. La violence et le chantage y règnent en maîtres. La police y est prise pour cible et de violents affrontements s'y déroulent périodiquement. Toute une région est gravement sinistrée. Les commerces dont le chiffre d'affaires s'est effondré doivent fermer, les habitants du voisinage vivent dans la terreur. Un véritable chaos se répand sur toute une partie de la région dont l'image est dévastée.

    Une tragédie fruit de l'impuissance européenne

    Le drame n'a rien de nouveau, même s'il s'est considérablement aggravé en quatre ans. Il remonte à la fin des années 1990, lié au fonctionnement de l'espace Schengen: la France a ouvert ses frontières européennes et s'est engagée à protéger par tous les moyens celles de la Grande-Bretagne, transformant, le Calaisis en cul-de-sac, réceptacle des migrants qui ont traversé une partie de la planète dans le but de se rendre Outre-Manche. Cette tragédie est le fruit de l'impuissance européenne à contrôler la frontière extérieure commune, d'ailleurs totalement démantelée depuis la grande ouverture de septembre 2015. La manifestation de samedi résulte en outre de la faillite de l'Etat dans sa mission d'autorité et de protecteur des populations. La faiblesse, comme toujours, est le plus court chemin qui conduit à la haine et la violence. La responsabilité de M. François Hollande est engagée. L'article 5 de la Constitution de 1958 fait du chef de l'Etat le «garant de l'intégrité du territoire». Le président de la République, qui ne s'est jamais rendu sur place, est responsable de l'abandon à des groupes mafieux d'une parcelle du territoire national. Calais fait autant partie de la France que le huitième arrondissement de Paris, faut-il le lui rappeler?

    La vigueur des réactions politiques et médiatiques à un micro-rassemblement de cent personnes, le déchaînement médiatique autour des incidents, se présentent ainsi comme un écran de fumée destiné à masquer le désastre humanitaire et national dans toute son ampleur. La vigueur de la répression policière contraste avec le laxisme généralisé qui a abouti à la formation d'un bidonville abandonné à la mafia et aux groupuscules d'extrême gauche. Il faut y voir une gesticulation destinée à compenser une capitulation quotidienne, face à l'immigration illégale, face aux passeurs mafieux, à l'image d'un mode de gouvernement fondé sur les leurres et les manipulations. Le psychodrame de samedi renvoie au débat en cours sur la déchéance de la nationalité, et ses coups de menton destinés à recouvrir la désintégration en cours de la société française, sa plongée dans le désordre et la violence, de Calais à Marseille, en passant par Paris. Il est plus facile de réformer la Constitution dans les Palais feutrés de la République en donnant des leçons de morale républicaine, que de venir au secours de compatriotes aux prises avec l'horreur mafieuse. Le pouvoir évite ainsi de braver par des actes réels l'angélisme et le sans-frontiérisme, qui demeurent les piliers idéologiques du parti socialiste.

    Le monde politico-médiatique s'est déchaîné contre le général Piquemal accusé d'extrémisme. Et si le geste solitaire de ce Soldat n'était rien d'autre qu'un mouvement de désespoir et de colère contre la grande dérobade politicienne, la démission de l'autorité face au chaos français et européen, dont la Jungle de Calais est devenue le sinistre symbole?

     

  • Tariq Ramadan, bientôt français comme vous et moi ?

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    Âgé de 54 ans, il se découvre soudainement une passion pour la France.

    Tariq Ramadan, citoyen suisse d’origine égyptienne, petit-fils de Hassan el-Banna, fondateur des Frères musulmans, est un « islamologue » réputé et controversé. Âgé de 54 ans, il se découvre soudainement une passion pour la France et le manifeste bruyamment en souhaitant devenir un membre de notre communauté nationale.

    L’annonce est tombée vendredi par l’intermédiaire d’un message diffusé sur les réseaux sociaux. Une déclaration d’amour à la France non sans arrière-pensées au moment où s’ouvrent, à l’Assemblée nationale, les débats relatifs à la réforme des dispositions entourant la déchéance de nationalité. Se parant des atours du champion des valeurs de la République française, Tariq Ramadan aspire à devenir français pour « contrecarrer les propos nauséabonds » qu’il entend dans les médias hexagonaux. Cela serait fort comique si le spécialiste ès djinns n’était pas sérieux. Probablement inspiré par le parcours de Mohammed Ben Abbes, personnage du roman Soumission de Michel Houellebecq, élu président de la République sous les couleurs d’un parti communautariste islamiste appelé « Fraternité musulmane ». Tariq Ramadan se rêve en représentant des musulmans de France et, peut-être, demain, en candidat à l’élection présidentielle de la plus vieille nation constituée du continent européen.

    Dialecticien tortueux, Tariq Ramadan manipule les concepts intellectuels pour mieux se jouer de nous. « Après des années de réflexion, j’ai pris la décision de prendre la nationalité française. Il est bon de donner un exemple concret et positif d’adhésion aux valeurs de la République », a-t-il ainsi malicieusement déclaré. Puis, n’oubliant pas d’écorner ce pays qu’il assure pourtant chérir, Tariq Ramadan a écrit que sa réponse était une démarche « sensée et raisonnable » dans une France frappée de surdité par rapport à son propos vivre-ensembliste. L’homme a bien appris sa leçon. Nul doute que Christiane Taubira et Najat Vallaud-Belkacem seront sensibles au charme de cet intellectuel qui a toutes les apparences du sérieux. Les sages savent, quant à eux, que les gens vraiment sérieux ne se prennent jamais au sérieux. Ils savent aussi que les rigidités intellectuelles cachent bien souvent des personnalités dangereuses.

    Tariq Ramadan n’a rien d’un Français. Sa démarche d’accession à la nationalité française ne lui fera d’ailleurs pas abandonner sa nationalité suisse, et encore moins son héritage identitaire égyptien. Sa demande est une provocation, un affront. La seule communauté que reconnaît réellement monsieur Ramadan est celle constituée par l’Oumma musulmane. Il est profondément internationaliste ainsi que son ancêtre frère musulman, comment pourrait-il alors vouloir s’inclure dans une nation souveraine à l’identité millénaire ?

    Pour être français, il faut pleinement s’assimiler. Tariq Ramadan a proposé en 2003 un « moratoire » contre la lapidation des femmes, sujet interne à la communauté musulmane et devant faire consensus entre les « savants », selon lui. Il a, par ailleurs, tenu des propos très ambigus sur Charlie Hebdo, estimant leur humour comme étant celui de « lâches ». Cet homme peut-il devenir français ? Non, et nous devons nous y opposer de toutes nos forces.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • La lettre du Front

    DÉBOUTÉS DU DROIT D'ASILE
    METTRE LES PAYS D'ORIGINE DEVANT LEURS RESPONSABILITÉS !

     

    Hier, le ministre autrichien des Affaires étrangères, le conservateur Sebastian Kurz, a déclaré qu'il souhaitait que l'Union européenne puisse couper les aides accordées à certains pays si ceux-ci continuaient de se montrer réticents à accepter le retour sur leur territoire de leurs nationaux s'étant vus refuser l'asile en Europe. Le ministre a notamment cité le Pakistan, le Maroc, ou encore la Tunisie : « En ce moment, (l'UE verse) par exemple 480 millions d'euros chaque année au Maroc, 414 millions à la Tunisie, et malgré cela ces pays refusent de reprendre les déboutés du droit d'asile ». Une attitude en effet inacceptable, et traduisant en creux la faiblesse constante de l'Union européenne tant dans la maîtrise des flux migratoires que de manière plus générale dans le domaine des relations internationales.

    De toute évidence, la lutte contre l'immigration clandestine doit se mener à nos frontières, mais aussi en amont. Une telle politique ne pourra être mise en place qu'à travers le retour à des relations saines et équilibrées avec les nations de l'autre rive de la Méditerranée. Des relations respectueuses, mais fermes s'il le faut : être voisins, dans un immeuble ou un quartier tout comme dans une aire géographique, cela passe par la reconnaissance d'un ensemble de règles communes fondant la relation. Il serait parfaitement normal qu'à l'instar de la proposition autrichienne, l'aide que les nations d'Europe fournissent à un certain nombre de pays du pourtour méditerranéen et du continent africain soit soumise non seulement à la réadmission des déboutés du droit d'asile dans leurs pays d'origine mais aussi à une lutte accrue (ce qui passe par des moyens policiers mais aussi une volonté politique traduite par une communication claire vers la population) contre l'émigration clandestine. En allant un peu plus loin, il ne semblerait pas non plus absurde qu'un certain nombre de peines de prison de ressortissants étrangers condamnés en France soient effectuées dans les pays d'origine. Cette « relocalisation » des criminels est d'ailleurs défendue en Suisse par le responsable de la sécurité du canton de Genève depuis l'été 2014. Après que celui-ci ait constaté que 91% des détenus de la prison du canton de Genève étaient étrangers, il avait notamment effectué un voyage au Maroc pour défendre cette idée. Si nous aidons financièrement ces pays à maintenir, ou reconstruire, leur équilibre social, il ne semble pas infondé de leur demander de nous aider en retour à préserver nos sociétés.

    Pour qu'un véritable dialogue s'instaure, il faut bien entendu des interlocuteurs stables et légitimes dans les pays amis, mais aussi un pouvoir parlant avec suffisamment de force et de clarté dans notre propre nation. Reconstruire une France qui parle fort et clair, respectée en ses frontières comme au-delà, c'est bien tout le projet du Front National.

  • MIEGE

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  • Un migrant irakien viole brutalement un garçon de 10 ans dans une piscine car «il n'en pouvait plus»

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    © Wikipédia
    La piscine de Theresienbad à Vienne, où a eu lieu l'agression
     

    Un enfant de dix ans a été brutalement violé par un migrant irakien dans la cabine d'une piscine municipale de Vienne. Le garçon a dû être hospitalisé. L'agresseur s'est justifié en disant qu'il n'avait «pas eu de relations sexuelles depuis 4 mois».

    Les faits se sont déroulés le 2 décembre dernier dans la piscine de Theresienbad à Vienne (Autriche). Un sauveteur travaillant dans l'établissement a immédiatement appelé une ambulance après avoir découvert le garçon traumatisé et en pleurs. Pendant ce temps, son agresseur, un demandeur d'asile venant d'Irak, continuait tranquillement de s'amuser dans l'eau en sautant du plongeoir de trois mètres, rapporte le Daily Mail

     

    La police a directement procédé à son arrestation. Lors de son interrogatoire, l'agresseur a dit à la police qu'il avait eu une «urgence sexuelle» et qu'il «n'en pouvait plus» car il n'avait «pas eu de rapports sexuels depuis quatre mois». 

    Agé de 20 ans, le migrant était arrivé à Vienne en septembre dernier via les Balkans et avait trouvé un emploi en tant que chauffeur de taxi. Il a dit aux policiers qu'il savait que son acte était «une erreur» et qu'il n'avait «pas l'intention de laisser de cicatrices au garçon». Il s'est avéré par la suite qu'il était marié et avait une fille, toutes deux restées en irak.

    Sur Facebook, la police a expliqué qu'elle avait attendu longtemps avant de révéler l'affaire pour «protéger la victime» a assuré qu'elle appliquerait la «tolérance-zéro pour ce genre de crime, rappelant cependant qu'il ne fallait pas juger trop sévérement les réfugiés qui ont «vécu des choses difficiles». Les autorités se sont néanmoins dit «extrêmement choqués» par ce qui s'était passé. 

    Lire aussi : Carnaval de Cologne : déjà 22 plaintes pour agression sexuelle

    Récemment, les médias autrichiens ont également fait état du viol d'une adolescente de 13 ans par son mari de 26 ans qui l'a épousée en Syrie. La jeune fille n'a pas porté plainte contre son mari car il avait «le droit d'avoir des relations sexuelles avec elle quand il le voulait», selon la loi islamique.

    Pendant ce temps, l'Autriche veut limiter l'arrivée de migrants sur son territoire

    Cette affaire survient alors que les autorités autrichiennes ont annoncé vendredi que les migrants pris en charge à leur arrivée en Grèce par l'agence européenne aux frontières Frontex devaient être directement renvoyés en Turquie.

    C'est le chancelier autrichien social-démocrate Werner Faymann qui l'a déclaré samedi à la presse. 

    «Frontex doit arrêter les gens qui fuient vers la Grèce. Tous doivent être sauvés, mais ensuite ces personnes doivent être renvoyées en Turquie. Ainsi Frontex ne serait pas qu'un programme de sauvetage mais réellement un service de protection des frontières», déclare le chancelier dans le tabloïd Österreich.

    Il a ajouté avoir proposé «cette solution optimale» au Premier ministre turc Ahmet Davutoglu lors de la conférence des donateurs sur la Syrie, jeudi à Londres. Dans le journal Kronen Zeitung, Werner Faymann assure que ce serait «la seule mesure complètement efficace pour briser les réseaux de passeurs».

    Selon les services de la chancellerie interrogés par l'agence APA, la Turquie obtiendrait en contrepartie un déblocage plus rapide des trois milliards d'euros d'aide approuvés par l'Union européenne pour juguler le flux des migrants.

    L'Autriche est l'un des pays européens qui a accueilli, au regard de sa population, le plus grand nombre de demandeurs d'asile en 2015. En effet, pour une population totale de 8,7 millions d'habitants, 90.000 demandeurs d'asile sont arrivés en Autriche l'année dernière, soit l'équivalent de plus de 1% de sa population.

    Le 20 janvier dernier, Vienne a annoncé vouloir limiter à 37 500 le nombre de nouveaux demandeurs d'asile en 2016, un chiffre qui pourrait être atteint dès le mois avril.

    RT

  • PEGIDA: 10 000 à 15 000 manifestants à Dresde

    Le mouvement Pegida manifestait aujourd’hui à Dresde. Le gouvernement allemand s’inquiète de l’augmentation des manifestations contre l’islam, les réfugiés ou « un prétendu envahissement par les étrangers ». Une interdiction de Pegida est envisagée.

    FDS 6 février 2016

  • Saint-Brieuc : les manifestants anti-immigration dispersés, les militants antifascistes ont pu défiler

     

    20h56

    Ce samedi une trentaine de personnes anti-islamisation se sont rassemblées d’une part, 300 personnes contre le fascisme d’autre part. Les gendarmes mobiles étaient là.

    Malgré l’arrêté du préfet des Côtes-d’Armor interdisant toute manifestation, l’association résistance républicaine avait maintenu l’appel à se rassembler « contre l’islamisation de la France ». Une trentaine de personnes se sont retrouvées vers 10 h ce samedi entre la cathédrale de Saint-Brieuc et la préfecture avec des drapeaux français ou blancs à croix noire. Rapidement les gendarmes mobiles se sont positionnés tandis que le directeur départemental de la sécurité publique Laurent Dufour sommait les manifestants de se disperser. [...]

     

    Au même moment environ 200 personnes selon la police et 400 selon les manifestants se sont retrouvées square Allende devant le centre commercial les Champs. Le collectif rassemblant Solidaires, la CGT, Attac, Alternative libertaire, le NPA, le CNT avait lui aussi maintenu son appel à manifester. « La précarité et le chômage jettent une partie de la population dans les bras du front national. Il appartient aux syndicats de lutter en proclamant leurs valeurs de solidarité et de lutte contre les inégalités. », a déclaré un représentant de Solidaires.

    Estimant que le succès du rassemblement était une victoire, Solidaires a appelé à la dispersion de la manifestation. Mais une partie des manifestants ont tenu à manifester malgré tout. La décision a donc été prise de défiler jusqu’à la gare, l’appel à dispersion devant être lancé devant la gare. [...]

    Source

    200 personnes ont décidé de braver l’interdiction du préfet des Côtes-d’Armor. Ce dernier avait interdit tout rassemblement en centre-ville de Saint-Brieuc ce samedi 6 février.

    Les manifestants répondaient à l’appel de la Ligue des droits de l’Homme pour une déambulation festive, sonore et déguisée à partir de 10h place Allende à Saint-Brieuc. Un rassemblement qui se voulait « répondre » à la manifestation d’extrême-droite prévue à 10h ce même jour devant la préfecture des Côtes-d’Armor.

    Ce rassemblement voulait « combattre les amalgames simplistes et la stigmatisation nauséabonde » et dire « bienvenue aux migrants que la guerre et la misère jettent à nos frontières ». Après s’être rassemblées place Allende, les 200 personnes ont défilé jusqu’à la gare. Le cortège a ensuite été dispersé dans le calme par les forces de l’ordre alors que certains manifestants voulaient revenir place Allende. [...]

    Une trentaine de manifestants contre « l’islamisation et l’immigration » [...] Les 30 manifestants ont rapidement été dispersés dans le calme par les forces de l’ordre en nombre devant la préfecture.

    Source

  • L'Europe face à la montée des partis anti-migrants

    http://www.lefigaro.fr/international/2016/02/05/01003-20160205ARTFIG00346-l-europe-face-a-la-montee-des-partis-anti-migrants.php

    + INFOGRAPHIE