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  • Merci, mon général !

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    08/02/2016 – FRANCE (Présent 8541)

    Nous savions, certes, que l’ordre public était gravement troublé à Calais par ces milliers de « migrants », chaque jour plus violents dans une « jungle » où l’on vole, tue, rackette. L’ordre public est violé aussi lorsqu’ils envahissent les maisons des particuliers ou quand les casseurs de No Borders les excitent et les arment pour en découdre avec la police. Et cela dans l’impunité face à une justice débordée et impuissante.
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    Alors, lorsque nous avons appris que la préfète, obéissant au ministre Cazeneuve, avait décidé de mobiliser la police et la gendarmerie pour prévenir « des troubles à l’ordre public » le samedi 6 février, nous avions une bonne raison de nous réjouir. Las ! Ce n’est pas ces milliers d’individus qui pourrissent la vie des Calaisiens que les forces de l’ordre ont chargé, mais quelques centaines de patriotes qui protestaient contre cette situation scandaleuse.

    Là, il y a eu des arrestations ! Aucun No Borders, aucun clandestin, aucun des quelque 8 000 suspects fichés « S », mais seulement des Français qui chantaient La Marseillaise et brandissaient le drapeau tricolore. Et ils ont mis la main sur le meneur, un dangereux « subversif » qu’il fallait embastiller de toute urgence, le général quatre étoiles (du cadre de réserve) Christian Piquemal, commandant de la Légion étrangère entre 1994 et 1999, officier de la Légion d’honneur et commandeur de l’ordre national du Mérite, ex-président de l’Union nationale des parachutistes. Il fut, en outre, membre du cabinet militaire de trois premiers ministres socialistes, entre 1989 et 1992, c’est dire si ses convictions politiques n’altèrent en rien sa loyauté à l’égard des autorités légales, quelles qu’elles soient.

    Cette photo où on le voit maintenu par deux gendarmes, des militaires comme lui, sera à jamais une honte pour le pouvoir socialiste. Cazeneuve et Hollande ont laissé traiter de manière indigne ce patriote qui est l’honneur de la France, pour laquelle il a risqué sa vie sur tous les champs de bataille. Il est choquant de le faire passer pour xénophobe ou islamophobe : comment peut-on l’être quand on a commandé les hommes d’une Légion étrangère où sont accueillis des soldats de toute origine et de toute confession ?

    La manifestation, certes, était interdite, contrairement à celles qui soutiennent les migrants. Le Journal du dimanche écrit, involontairement comique : « Une interdiction qui n’a pas fait reculer le général Piquemal. » Comme si le général, héritier des glorieux héros de Camerone et qui, à la tête de ses soldats, n’a jamais reculé devant le feu ennemi, avait pu être effrayé par l’opposition de Mme la préfète et reculer devant le gaz lacrymogène et la trique policière, même à 76 ans ! En agissant ainsi, le général reste fidèle à la belle devise de la Légion étrangère, Honneur et Fidélité. Honneur de continuer à se battre pour la France alors qu’il pourrait, eu égard à ses états de service, estimer son devoir largement accompli. Fidélité à la patrie en défendant le territoire national contre ceux qui bafouent sa souveraineté et menacent nos compatriotes.

    Merci, mon général !

    Guy Rouvrais

  • Dupont-Aignan : « pourquoi tous les pays du monde contrôlent leurs frontières sauf l’UE ? »

    08/02/2016 – POLITIQUE (NOVOpress)
    Invité du Grand Oral des Grandes Gueules, Nicolas Dupont-Aignan déplore que « dans notre pays, ce sont ceux qui protestent contre l’illégalité qui se retrouvent en procès ! » À l’inverse, il déplore que les clandestins qui cassent et volent jouissent non seulement d’une totale impunité, mais aussi touchent des prestations sociales et réclame leur retour dans leur pays, bref, que « l’État de droit s’applique », car « la jungle de Calais est une honte pour la République. »
    Le président de Debout la France dénonce aussi l’Union Européenne qui ne défend pas ses frontières et l’hypocrisie qui consiste à stigmatiser la Hongrie pour avoir érigé des barrières à ses frontières et dans le même temps accomplir la même chose au nom de l’Angleterre.

  • Manifestation anti-migrants à Calais : le procès du général Piquemal reporté pour cause de malaise durant sa garde à vue

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    Avec V.M. | | MAJ :

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    Il devait passer en comparution immédiate au tribunal correctionnel de Boulogne-sur-mer ce lundi après son interpellation avec quatre autres personnes samedi à Calais (Pas-de-Calais) lors d'un rassemblement hostile aux migrants.

    Mais le général Christian Piquemal, 76 ans, ancien patron de la Légion étrangère, a été hospitalisé dans la matinée après un malaise alors qu'il était en garde à vue. En début d'après-midi, il est sorti de l'hôpital et son avocat a annoncé qu'il comparaitra libre le 12 mai.

    «Il est extrêmement fatigué et terriblement éprouvé par la rigueur et la brutalité avec laquelle il a été interpellé», a assuré l'un de ses avocats, Me Denis Tailly-Eschenlohr, après qu'il a rendu visite à son client. «Un officier prestigieux comme lui a l'habitude d'être malmené mais, cette fois, il n'avait pas à endurer la violence dont il a été l'objet», a-t-il asséné, refusant de préciser où se trouvait désormais le général Piquemal. C'est, selon lui, «le premier général arrêté par les forces de l'ordre depuis Maurice Challe en 1961, l'un des quatre généraux putschistes d'Alger sous De Gaulle».
    Me Hervé Krych, un autre de ses avocats, a également réagi : «C'est un sacré gaillard, pour autant les conditions de garde à vue sont rudes. C'est naturel qu'il cède au bout de 40-45 heures (....) Le physique a lâché, mais le moral est là et toutes les capacités intellectuelles sont optimales.»
     

    Quatre comparutions immédiates



    Ce dernier est poursuivi pour «participation à un attroupement qui ne s'est pas dissout après sommation» et est désigné comme ayant eu «le rôle principal» dans cette manifestation interdite. Les quatre autres personnes, dont la comparution a bien eu lieu comme prévu ce lundi après-midi, étaient poursuivies pour «port illégal d'armes». Elles avaient été contrôlées en amont du rassemblement et avaient sur elles des «armes dangereuses» de type taser, poing américain et cutter.

    A l'issue d'une audience qui s'est déroulée dans une grande tension, deux prévenus ont été condamnés à deux et trois mois de prison ferme, sans mandat de dépôt, ce qui signifie qu'ils restent libres. Le premier, Cédric C., originaire de Boulogne et âgé de 33 ans, portait un taser. Il avait un casier portant trois mentions, notamment pour vol. Le second, Arnaud P., 41 ans, originaire de Blois, avait déjà été condamné à 25 ans de réclusion pour meurtre et était sorti en 2008 de prison. Il avait été interpellé avec deux bombes lacrymogènes.

    Le troisième prévenu, Romain D., s'est vu infliger une peine de deux mois avec sursis. Originaire de Calais, il portait un poing américain lors du rassemblement. Quant au quatrième, qui avait un cutter, il est convoqué en avril, sa garde à vue ayant été entachée de nullité.

    Ses partisans chantent la Marseillaise



    Malgré l'absence du général Christian Piquemal à l'audience de ce lundi, une soixantaine de ses sympathisants étaient présents devant le tribunal correctionnel de Boulogne-sur-Mer, dont beaucoup arboraient des décorations militaires et des bérets rouges. Ils ont entonné à plusieurs reprises la Marseillaise.

    La manifestation de samedi à Calais, à l'initiative du mouvement islamophobe Pegida, avait été interdite et a été marquée par des échauffourées entre les forces de l'ordre et des manifestants, qui ont scandé des slogans tels que «on est chez nous!», «Etat dictateur», «migrants dehors» ou «journalistes collabos». Pegida, «Patriotes européens contre l'islamisation de l'Occident», est un mouvement d'extrême droite né en Allemagne à l'automne 2014. Il avait appelé à manifester dans plusieurs pays d'Europe ce samedi.

    LE PARISIEN

  • Affaire Piquemal : l'armée, entre solidarité et légalisme

     

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/02/08/01016-20160208ARTFIG00222-affaire-piquemal-l-armee-entre-solidarite-et-legalisme.php

     

     

     

    Sur les réseaux sociaux, certains militaires soutiennent le général arrêté, tandis que les anciens de la Légion se sont désolidarisés. Le général Tauzin et le Général Dary manifestent leur solidarité.

  • Entretien avec Robert Ménard

    DélitD'images   08 02 2016

  • PEGIDA: 200 manifestants à Montpellier

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/02/06/97001-20160206FILWWW00133-pegida-200-manifestants-a-montpellier.php

  • Pétition à signer : Libérez le général Piquemal !

    http://www.france-petitions.com/signatures/add/495?key=b5973a51ff00266e26eac14800f9c43107109a8c&fields=aebc488fae074d40364fe31a619dea3a14543ddc%3A

    Pétition signée!

    Son arrestation est une insulte à l'Armée française - et à la France!

  • Un général arrêté, la fin de l’union nationale ?

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    Il est plus facile d’arrêter un général que de mater des émeutes de migrants qui attaquent les forces de l’ordre aux cris de "vive Daech" comme entendu à Calais

    Hier, samedi 6 février, le général Piquemal a été arrêté. Général de corps d’armée, il manifestait contre la situation de Calais. Ce soir, des policiers épuisés se feront caillasser, demain nos impôts paieront un hélicoptère et des services de secours pour repêcher des migrants dans un canot sur la Manche.

    Il est plus facile d’arrêter un général que de mater des émeutes de migrants qui attaquent les forces de l’ordre aux cris de « Vive Daech ! » comme entendu à Calais, au moment où des attentats imminents de grande ampleur menacent, une immigration qui crée des bidonvilles et des zones de non-droit qui excèdent des populations qui ne supportent plus une situation qu’elle n’a pas désirée. L’incapacité du gouvernement à résoudre des problèmes inadmissibles au XXIe siècle est masquée par des contre-feux médiatiques qui masquent la réalité d’une France en passe de soumission à un islam qui dérive, à des musulmans qui sont pris en otages par des revendications qui ne sont pas forcément les leurs mais dont ils profiteront.

    Nombreux sont les militaires dans les conflits des années 1990-2000 qui ont vu des pays littéralement imploser. Ils sont inquiets de voir des scenarii connus se réaliser dans notre pays et méritent d’être entendus. Un député socialiste voudrait les faire taire en leur imposant le silence même à la retraite. Car ces serviteurs de la France sont aussi des têtes bien faites, issues de grandes écoles où l’on s’instruit pour vaincre. Nos responsables civils actuels débattent, dépensent sans compter, oublient que les Français sont avant tout des hommes et des femmes qui souffrent de leurs non-décisions et de leur incapacité à nous protéger, à garantir nos libertés, et à présent à permettre leur survie.

    Combien d’attentats faudra-t-il pour qu’on tienne compte des alertes lancées pour que l’on cesse d’accepter des gens qui n’ont pas demandé qu’on les accueille mais qui forcent le passage. Sa misère serait plus facile à comprendre et à soulager si nos dirigeants moralistes cessaient de soutenir des chefs d’État dont la fortune personnelle est égale à la dette de leur pays. Les responsables de notre pays ont été élus pour soulager nos maux, pas ceux du monde entier. Quand nos maux seront pansés, la France redeviendra alors accueillante et souriante.

    Le général de division (er) Didier Tauzin, qui fait des conférences et écrit des livres qui commencent à ressembler à un programme politique, sera-t-il déchu de sa nationalité ?

    Le cynisme de nos dirigeants politiques et leur mépris de ceux qui leur sont confiés (nous !) s’opposent à des hommes pour qui le mot honneur a un sens et qui ont toujours eu le souci de ceux qui leur ont été confiés. Arrêter un général, fût-il en retraite, n’est vraiment pas un bon signe.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE