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  • George de Cambridge va intégrer une école maternelle à 25.000 euros l'année

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    Par Marion Galy-Ramounot | Le 29 mars 2016

     

     Adieu le charme discret du comté de Norfolk et les balades incognito à la campagne. La famille Cambridge sera bientôt de retour à Londres et, ce, pour l'éminente éducation de sa seigneurie le prince George. Selon le Daily Mail et ses correspondants royaux, George de Cambridge intègrera l'école maternelle de Wetherby à la rentrée 2016, la même maternelle qui a accueilli le prince William et le prince Harry dans les années 1980. Celle qui coûte 8175 € le trimestre. Celle qui impose un uniforme à ses mini-élèves (le fameux combo cravate rouge, casquette et blazer gris, knepp rouge bordeaux). 

    LE FIGARO MADAME

  • Etats-Unis: pour Donald Trump, les femmes qui avortent méritent "une punition"

    Nouvelle déclaration choc de Donald Trump. Le favori de la primaire républicaine aux Etats-Unis s’en est pris ouvertement ce mercredi à l’avortement en déclarant lors d’une interview sur MSNBC que les femmes qui se faisaient avorter illégalement devraient faire face à « une certaine forme de punition ». 

    Donald Trump s’était déjà attaqué aux interruptions de grossesse en annonçant qu’il voulait rendre l’acte médical illégal. Interrogé une nouvelle fois sur cette question, qui divise jusque dans le camp républicain, il parle de « très sérieux problème, un problème que nous devons régler ». Pressé par le journaliste, le milliardaire finit par déclarer qu' »il devra y avoir une certaine forme de punition ». Sans préciser pour autant quelle sorte de sanctions il pourrait faire voter. 

    Reconnaissant volontiers que l’interdiction de l’avortement entraînerait une augmentation des pratiques illégales, l’équipe de campagne de Donald Trump a tenté d’éteindre la polémique. Dans un communiqué, le porte-parole du candidat explique que la législation sur l’avortement n’était « pas claire » et que la décision devrait revenir « aux Etats ». « Comme Ronald Reagan, je suis pro-vie avec des exceptions, que j’ai énumérées à plusieurs reprises », est-il écrit dans le texte. Son fils a tenté également de le défendre en assurant que son père ne parlait que des avortements illégaux.

    « Horrible »

    Mais il n’en fallait pas moins pour que ses adversaires s’indignent après ces déclarations. A commencer par Ted Cruz, son rival dans la primaire républicaine. « Ne pas trop réfléchir: Trump ne comprend pas la position des pro-vie, car il n’est pas pro-vie », raille le porte-parole du sénateur du Texas, Brian Phillips. Avant d’expliquer qu’il s’agissait d' »une preuve supplémentaire de ce qu’il est un menteur. Trump n’est et n’a jamais été pro-vie ».

    Hillary Clinton, prétendante à l’investiture démocrate, a violemment dénoncé la proposition de Trump. « Juste quand vous pensez qu’il ne pouvait pas faire pire… Horrible et révélateur », a écrit sur Twitter l’ancienne secrétaire d’Etat de Barack Obama. « Honteux », a complété l’équipe de campagne de Bernie Sanders, le rival démocrate de Hillary Clinton.

    BOULEVARD VOLTAIRE

     

     
  • Marine Le Pen coupée au montage : le Petit journal accusé de désinformation au Canada

    http://www.fdesouche.com/714733-marine-le-pen-coupee-au-montage-le-petit-journal-accuse-de-desinformation-au-canada#

    A voir absolument!

    (merci à Dirk)

  • Le FN veut monter un «gouvernement fantôme» en vue de 2017

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    Marine Le Pen, présidente du FN, et les conseillers régionaux Florian Philippot et Nicolas Bay Crédits photo : VINCENT BOISOT/Le Figaro

    LE SCAN POLITIQUE - La direction du parti de Marine Le Pen envisagerait la constitution d'un cabinet afin d'identifier à l'avance les membres potentiels d'un futur gouvernement, y compris hors des rangs du FN.

     
     
     
     

    «Nous ne sommes pas le MoDem, nous ne faisons pas de “shadow cabinet” (cabinet fantôme, ndlr)», assure officiellement ce jeudi matin au Scan un membre du cabinet de Marine Le Pen. Pourtant selon France Info, le Front national semble bien être passé dans une phase discrète mais active de la préparation de la présidentielle de 2017. Le parti envisagerait de nommer un «gouvernement fantôme» afin de talonner un pouvoir affaibli, mais aussi pour préparer une solide équipe capable de prendre le relais en cas de victoire. «Il se peut bien que ce soit au menu des réflexions menées actuellement. Cette piste avait été abordée lors du séminaire d'Étiolles, mais aucune décision définitive n'a encore été prise à ce sujet», confirme au Scan, sous couvert d'anonymat, l'un des principaux architectes du parti. «D'une façon générale, contrairement aux autres partis, le FN est déjà rangé derrière sa présidente et peut donc concentrer à se préparer dès maintenant à la prise du pouvoir», poursuit ce cadre. Il s'agit pour le parti fondé par Jean-Marie Le Pen de sortir de l'enclavement politique qui l'empêche jusqu'ici d'accéder au pouvoir, malgré un succès croissant aux élections depuis 2012.

    Si le FN n'envisage toujours pas d'alliance avec d'autres partis de droite modérée, Nanterre ne désespère pas de débaucher quelques personnalités issues de la droite conservatrice et souverainiste, jugées compatibles dans la perspective d'un futur gouvernement. Une hypothèse qu'a d'ailleurs ouvertement abordé Marion Maréchal-Le Pen le 15 mars dernier, dans une interview à la revue en ligne proche du FN France. «Je souhaite qu'un certain nombre de personnalités politiques aillent au bout de leur cohérence idéologique. Henri Guaino, Alain Marsaud, Jacques Myard, Thierry Mariani, Éric Ciotti ou encore Nicolas Dupont Aignan et Philippe De Villiers devraient pouvoir nous rejoindre dans un gouvernement futur», avait-elle imaginé. Une manière d'ouvrir un dialogue direct par média interposé avec les principaux intéressés.

    «Ce n'est pas du tout surprenant que le FN veuille monter un “shadow cabinet”, c'est même sain. Tout le monde le fait, c'est assez constant. Il s'agit juste d'être prêts en cas d'arrivée au pouvoir», abonde l'un des proches de la députée du Vaucluse. «Quand François Hollande a gagné en 2012, on savait déjà à peu près qui seraient ses ministres par exemple. Mais au FN, nous ne savons pas encore vraiment faire ça. Le “shadow cabinet”, ce seront certainement quelques anonymes qui se réuniront en secret pour réagir aux décisions du gouvernement, sans que le public en sache grand-chose. En Angleterre par exemple, chaque ministre à un vis-à-vis dans l'opposition connu du public, et prêt à réagir à tout instant», relève-t-il, dubitatif sur la possibilité de voir des personnalités extérieures au FN rejoindre un tel dispositif.

    «Toutes les droites» attendues à Béziers

    Karim Ouchikh, président du SIEL (parti identitaire et souverainiste satellite du FN) et fervent partisan de «l'union des droites» se montre beaucoup plus enthousiaste. «Je confirme que la possibilité d'un cabinet fantôme est en discussion dans les couloirs du Carré (le siège du Front national à Nanterre, ndlr), même si aucun calendrier précis n'a été fixé par Marine Le Pen», explique-t-il au Scan. «L'enjeu d'ici 2017 est de se doter de cadres et d'un programme totalement crédibles. Nous avons deux pistes complémentaires pour y parvenir: les collectifs thématiques et le cabinet fantôme. Cette structure décalquerait le gouvernement en place pour porter les idées de Marine Le Pen pendant les 14 mois qui nous séparent de la présidentielle et permettrait donc de faire émerger le futur personnel d'État», poursuit-il, en manifestant sa propre «disponibilité».

    Si un ralliement d'Henri Guaino ou de Nicolas Dupont-Aignan semble peu probable, le cabinet fantôme du FN pourrait trouver quelques recrues à l'occasion des journées du «rassemblement de toutes les droites» organisées par Robert Ménard à Béziers, les 28 et 29 mai prochains. Il s'agira notamment de mieux structurer «le no man's land politique» qui existe entre les Républicains et le FN, explique Ouchikh. Très courtisé dernièrement à droite, Philippe de Villiers y est notamment invité.


    Des candidats aux législatives soumis à une période d'essai

    Pour éviter les déconvenues relatives au recrutement de candidats que le FN a rencontrées aux dernières élection départementales, et régionales en 2015, les mesures de «professionalisation» impulsées par Nicolas Bay se précisent et se durcissent. Dans une note interne révélée par Le Canard Enchaîné mercredi, le secrétaire général du FN pose des conditions très strictes qu'il souhaite voir imposées aux postulants à l'investiture aux législatives de 2017. Investis le plus tôt possible - dès le mois d'octobre - les prétendants à la députation devront justifier de leur casier judiciaire vierge, ainsi que de leur engagement associatif et politique dans le cadre «d'entretiens personalisés», menés sous la houlette du secrétariat national aux élections.

    Dans le cadre de cette période d'essai sous surveillance, les candidats devront également justifier de leur efficacité militante: le nombre de tracts distribués, la présence sur le web et qualité de la communication seront passés au peigne fin. Il faudra également pouvoir revendiquer une augmention de 10% du nombre des adhérents dans la circonscription visée entre les mois d'avril et d'octobre. Au Scan, Nicolas Bay confirme l'existence d'une telle note. «Nous posons des exigences très fortes, à l'image de celles que portent les Français. Il s'agit de veiller que les candidats aux législatives soient les bons, et ça se manifestera notamment par la qualité de leur travail de terrain», commente l'élu normand.

  • Renaud Camus rejoint la galaxie FN

    http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/coulisses/2015/11/23/25006-20151123ARTFIG00204-le-theoricien-du-grand-remplacement-rejoint-la-galaxie-fn.php

  • Cisjordanie : Israël prive des milliers de personnes d’électricité

     

    Une affaire de dette...

    La compagnie d’électricité israélienne a réduit jeudi ses livraisons à Jéricho et à sa région en Cisjordanie occupée, privant des milliers de personnes de courant selon un responsable local, en raison d’un contentieux sur les sommes dues par les Palestiniens.

    La moitié de Jéricho, deux camps de réfugiés et plusieurs villages environnants, soit entre 25 et 30 000 personnes, étaient privés de courant jeudi en début d’après-midi, a dit à l’AFP par téléphone le gouverneur de Jéricho, Majed al-Fityani.

    Israel Electric Corporation (IEC) a confirmé avoir réduit la fourniture d’électricité à Jéricho et sa région en invoquant un impayé palestinien de plus de 1,7 milliard de shekels (450 millions de dollars, 396 millions d’euros). « Nous avons informé toutes les parties concernées et après d’incessantes tentatives pour trouver des solutions, nous avons décidé d’agir pour réduire la dette », a expliqué un responsable israélien sous le couvert de l’anonymat. Cette mesure a été prise pour une durée illimitée, a-t-il ajouté sans s’exprimer sur les répercussions concrètes de la mesure.

     

    « Châtiment collectif »

    Le gouverneur de Jéricho a confirmé que les Palestiniens et les Israéliens étaient en désaccord depuis plus de deux ans sur le montant de la dette. Mais il a affirmé que les Israéliens avaient réduit l’approvisionnement en électricité sans préavis. « C’est un châtiment collectif. Pourquoi punir les gens ? », s’est-il ému.

    Israel Electric Corporation a réduit des deux tiers le volume d’électricité, selon Hisham Omari, directeur de la compagnie d’électricité palestinienne de Jérusalem, à laquelle les Israéliens vendent le courant et qui le redistribue aux Palestiniens. La Cisjordanie, occupée par Israël depuis 1967, dépend d’Israël pour son alimentation en électricité.

  • Nouvelles règles prévues pour l’élection présidentielle : une attaque lourde contre la démocratie

     

    Communiqués / 31 mars 2016 / Étiquettes : /
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    Communiqué de presse de Marine Le Pen

    L’Assemblée Nationale doit voter définitivement le 5 Avril pour ou contre un projet de loi modifiant les règles du jeu de l’élection présidentielle de 2017.

    Le vote de cette loi modifierait de manière substantielle des procédures encadrant la plus importante des élections de notre pays.

    Du fait des pressions exercées par les baronnies locales et les appareils des partis, la publication au fil de l’eau et l’envoi direct des parrainages par les élus rendra très difficile pour nombre de candidats l’obtention des 500 parrainages. Cela créera un obstacle important à l’expression de la pluralité des opinions de la société française lors de l’élection présidentielle, moment le plus fort de la vie démocratique de notre pays.

    Un autre aspect de cette loi est profondément malsain : il s’agit du passage de l’égalité du temps de parole à un vague principe d’« équité » du temps de parole dans la période comprise entre cinq semaines et deux semaines précédant l’élection présidentielle. Si cette réforme est adoptée, seuls les « gros candidats » pourront parler et surtout être entendus par les Français avant que le choix des citoyens ne se cristallise. L’élection présidentielle en France est décrite à juste titre comme la rencontre entre un homme et un peuple. Le contexte et la possibilité de cette rencontre seraient largement manipulés par de telles règles au moment où la fracture entre le peuple et les partis politiques n’a jamais été aussi profonde.

    Le Front National s’est opposé à ce changement malsain des règles du jeu démocratique par la voix de Marion-Maréchal Le Pen à l’Assemblée Nationale et par la voix de David Rachline au Sénat (http://www.frontnational.com/videos/intervention-de-marion-marechal-le-pen-contre-le-projet-de-loi-organique/ et http://www.frontnational.com/videos/david-rachline-sur-les-regles-de-lelection-presidentielle/).

    Ceux que certains nomment abusivement « petits candidats » seront les perdants. Mais la plus grande perdante sera la démocratie, la république et donc la France telle que nous la concevons et telle que nous la voulons.

    Je demande avec la plus grande force au gouvernement, au Parti Socialiste et au parti Les Républicains de ne pas mettre en place ces règles qui dénatureraient profondément la démocratie dans notre pays.

  • Deux employés de SFR se filment en train de détruire le téléphone d'un client (vidéo)

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    | MAJ :

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     Des employés SFR détruisent le téléphone d’un client en direct sur Periscope. Capture d'image Youtube

    Deux employés de SFR se sont filmés en train de détruire le téléphone d’un client «désagréable» et ont ensuite diffusé les images sur Periscope, le service de live streaming video de Twitter... Les deux employés zélés pensaient sans doute que leurs images resteraient confinées sur Periscope.

    ..  sauf qu'ils ont vu leur vidéo diffusée sur les réseaux... Et c'est là que commence l'histoire des arroseurs... arrosés...

    Sur les images, on peut voir les deux employés de SFR très sûrs d'eux expliquer qu'ils vont détruire en direct le téléphone d'un client compliqué : «Son téléphone était en réparation, il nous casse les couilles depuis ce matin. Tu sais ce qu’on va lui faire avec son téléphone ?....À 50 personnes connectées je prends le téléphone du client, je claque le téléphone par terre», dit l'un d'eux, haraguant ses «followers» et leur promettant du spectacle.

    Après avoir démontré qu'il ne s'agissait pas d'un téléphone factice, l'auteur de la vidéo le jette donc comme promis au sol, en disant : «Tu lui dis que le transporteur l’a ramené comme ça et c’est tout, on l’a retrouvé dans cet état-là», dit-il présentant aux internautes l'appareil très endommagé. 

    Il n'a pas fallu longtemps pour que l'opérateur SFR réagisse également sur Twitter, annonçant que les auteurs de la vidéo avaient été «identifiés» et que ceux-ci seront «sévèrement sanctionnés».

    http://www.leparisien.fr/economie/video-deux-employes-de-sfr-se-filment-en-train-de-detruire-le-telephone-d-un-client-31-03-2016-5674775.php