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  • C’est George Soros qui a financé les « Panama Papers » !

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    Ce qui m’a fait dresser l’oreille sont les « unes » de ces journaux…

      

    D’abord, je n’y prête qu’une oreille distraite. Lorsque j’entends que l’affaire commence par un « lanceur anonyme d’alertes », ma première réflexion est : « Que c’est bizarre. Généralement, les lanceurs d’alertes ne cachent jamais leurs noms. » Puis, cris et chuchotements, indignations globalisées, les cris d’orfraies sont de sortie ! C’est à la Süddeutsche Zeitung que « l’anonyme » s’est adressé. Je souligne que ce quotidien fait partie d’un mastodonte médiatique allemand, Süddeutscher Verlag, dont les tentacules s’étendent à la Suisse, en passant par l’Autriche, pour se déployer dans toute l’Europe centrale et de l’Est… Il n’y a pas de hasard.

    Les documents dévoilés sont en provenance d’une firme panaméenne, Mossack Fonseca, et dénoncent un grand nombre de personnalités célèbres comme fraudeurs fiscaux. On nous raconte que des centaines de journalistes de tous les pays auraient collaboré à l’étude de ces documents, tout cela sous l’égide d’une association américaine « bien propre sur elle », la ICIJ – The International Consortium of Investigative Journalists. Et pour nous faire gober l’importance de l’histoire, on nous chante qu’il faudrait trente ans pour « éplucher » tous ces documents…

    Ce qui m’a fait dresser l’oreille sont les « unes » de ces journaux. Vous l’aurez remarqué comme moi, le portrait du président Poutine est partout. Une aubaine pour tous les poutinophobes mondialisés ! Il est dans le coup ! On vous l’avait bien dit que ce mec est infréquentable ! Pensez : grâce à lui, l’armée de Bachar a pu reprendre Palmyre. La goutte qui fait déborder le vase de Washington ! Le doute commence à m’envahir. Animée par ma bienveillance connue pour le président des Russes, je me pose la question : mais qui est donc derrière toute cette affaire ?

    Pour moi, cela ressemble à une « false flag attack », comme disent les Américains pour désigner une attaque sous fausse bannière. Des coups montés par des gouvernements pour couvrir des actions peu avouables, mais pour lesquelles une « couverture » est indispensable pour persuader l’opinion publique. Souvenez-vous de la fiole de Colin Powell à l’ONU, destinée à convaincre la communauté internationale à accepter l’entrée en guerre en Irak.

    Les « Panama Papers » ont pour moi la même odeur nauséabonde ; sinon, pourquoi cette abondance de « unes » avec le portrait de Poutine ? Par la même occasion, d’autres personnalités seront jetées en pâture, pour dissimuler la vraie cible…

    Trois Russes sont nommés comme étant proches du président Poutine : les frères Arkady et Boris Rotenberg, des amis d’enfance, et Serguey Rodulgin, désigné comme proche. Vladimir Poutine a bon goût. Serguey Rodulgin est violoncelliste. Les poutinophobes font vite le rapprochement. Certains imprudents haineux déclarent que Poutine est corrompu, d’autres procèdent par insinuations. Pourquoi ne pas impliquer Hollande, aussi ? Après tout, son ministre « chouchou » d’autrefois, Cahuzac, est aussi désigné ! Hollande a bien côtoyé Platini, non ? Ne serait-ce que dans un stade ! L’on dira qu’il a moins de goût que son homologue russe… Mais non, c’est Poutine qu’il faut abattre médiatiquement pour influer sur les prochaines élections en Russie.

    Alors, qui finance tout ce bazar ? Grand prince, l’association déclare que son travail est gratuit… Je scrute le site de l’association qui regroupe tout ce monde de « journalistes d’investigation » et je ne tarde pas à trouver sous la rubrique « Our Supporters » l’un de leurs bienfaiteurs et non des moindres… Il s’agit du OCCRP, soit « The Organized Crime and Corruption Reporting Project », qui se veut un réseau de journalistes d’investigation à travers l’Europe de l’Est et l’Asie centrale. D’où le rapprochement avec la Süddeutsche Zeitung. Et c’est l’OCCRP qui finance le ICIJ, qui fédère tous ces journalistes à travers le monde.

    Et qui finance cette « false flag attack » appelée « Panama Papers » ? La Open Society Foundation du bienfaiteur de l’humanité, grand promoteur du NOM (Nouvel ordre mondial), monsieur George Soros.

    Soros hait Poutine qui annonce un monde multipolaire, tout autant qu’il hait Trump, le nationaliste populiste. Tous deux sont les empêcheurs de tourner en rond dans la réalisation des ambitions Soros à mettre en place son NOM.

    Cerise sur le gâteau qu’avait déjà divulguée Bloomberg en janvier 2016, le pays offshore financier le plus important au monde est les États-Unis d’Amérique…

    En septembre 2015, le directeur général de la « law firm » Rothschild & Co., Andrew Penney, raconte pour Bloomberg comment les riches peuvent éviter de payer des impôts. Son message est clair : « Vous pouvez aider vos clients à transférer leur fortune aux États-Unis en toute sécurité, “tax free” et à l’abri de leurs gouvernements. Certains nous appellent déjà la “nouvelle Suisse”. »

    La boucle de la corruption globalisée est bouclée. Qu’est-ce que le Panama face à l’empire « intouchable » ? D’où l’absence de noms américains dans l’affaire du « Panama Papers ». Mais qu’attendent les journalistes du Monde pour nous expliquer tout cela ?

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Invasion migratoire par ponts aériens!

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    Dénoncé par l’auteur du 7ème Scénario et de la 8ème Plaie*. Ce 4 avril le pont aérien migratoire entre l’Asie et l’Europe entre en activité, d’abord à une échelle expérimentale et rassurante. Communication oblige, les premiers avions ont débarqué les heureux élus à Hanovre, en Allemagne. Discrétion oblige, la presse n’a pas mentionné les aéroports concernés en France, aux Pays-Bas et en Finlande, certainement des aéroports internationaux desservant la Turquie. Communication oblige, les premiers amenés sont des familles avec enfants. Discrétion oblige, les jeunes hommes seuls, qui constituent l’essentiel des flux manoeuvrés par la Turquie, ne commenceront à être amenés qu’après que les journalistes aient fait leur moisson de photos familiales émouvantes et quitté les aéroports.

    L’opinion européenne passive a appris la mise en place de ce pont aérien avant-hier 2 avril, bien qu’une nouvelle voie d’entrée « dans l’Union Européenne d’une manière ordonnée » (mémo 15-5777 de la Commission Européenne du 5 octobre commenté par Stratediplo le 15), aux modalités pratiques imprécisées, ait été annoncée dès la signature de l’accord turco-uniopéen du 18 mars, accord dont l’idée avait été évoquée publiquement par la Commission Européenne le 7 mars. Seuls les lecteurs de la Huitième Plaie savaient depuis le 20 janvier qu’un pont aérien serait prochainement mis en place.

    On pensait que le prétexte initial en serait un incident humanitaire dans la neige hivernale, cependant les étapes ont pu être brûlées grâce à l’accord léonin proposé par la Turquie après l’annonce, par dix pays de transit, du rétablissement du contrôle de leurs frontières terrestres fin février. C’est dans le cadre de cet accord que l’Union Européenne a officialisé la reconduction de sa subvention de trois milliards d’euros à la Turquie (annoncée par Stratediplo le 29 novembre), la reprise du processus d’admission de la Turquie parmi une Union Européenne réduite aux membres que la Turquie accepte de reconnaître (et n’occupe pas militairement come Chypre), et l’accélération de la levée de l’obligation de visa pour les porteurs de passeport turc.

    En échange la Turquie prétendait accepter le retour des clandestins débarqués en Grèce par les Turcs et désormais bloqués en Grèce, ce qui n’est en réalité que l’application du droit international puisque tout intrus clandestin doit être refoulé vers le pays en provenance duquel il vient de s’introduire illégalement, qu’aucun pays ne peut accorder à un étranger un permis de transit (écrit ou tacite) vers un pays tiers qui n’a pas accordé d’autorisation d’entrée, et que tout pays est tenu de contrôler ses frontières et reste responsable des actions (incursions par exemple) menées à partir de son territoire vers les pays tiers. En pratique la Turquie a effectivement accepté aujourd’hui, pour la presse, le raccompagnement de 131 étrangers qui avaient fait intrusion illégalement en Grèce à partir de la Turquie, à la quasi-surprise d’ailleurs du maire et de la capitainerie du port de retour Dikili qui n’ont reçu aucune instruction du gouvernement turc. Les hors-la-loi ramenés étant essentiellement des Pakistanais et des Bengalis dont les pays refusent le retour, la Turquie tentera de les faire accepter par l’Union Européenne, comme tels ou comme prétendus Syriens.

    Le chiffre annoncé pour cette première phase du pont aérien est, selon l’accord du 18 mars, de 72000… « dans un premier temps » (selon l’expression désormais habituelle), et sera distribué selon la clef de répartition adoptée définitivement en septembre, en l’occurrence 20% pour la France qui a durement négocié pour obtenir plus que les misérables 14,17% que la Commission Européenne lui avait proposés en mai. Evidemment ces effectifs s’ajoutent à ceux des réinstallations durables et des relocalisations temporaires décidés l’année dernière, à titre essentiellement symbolique puisque portant sur moins d’un dixième du total des volontaires qui ont répondu à l’appel à l’intrusion illégale massive lancé par Angela Merkel et François Hollande le 25 août. Ce chiffre de 72000 sera donc, comme les précédents, rapidement dépassé.

    En vérité l’objectif d’un demi-million de Syriens certifiés à transférer directement de Turquie par voie aérienne, évoqué par Stratediplo dès octobre (bien avant la révélation d’un « accord secret » par Viktor Orbán), avait certainement déjà été augmenté en novembre et il n’est pas illogique de déduire qu’il ait été porté à un million et demi. Autant dire que ces vols concernant la fin de l’avant-garde (les primo-arrivants) ne font que commencer .
    Mais l’opération a surtout pour objet de familiariser les opinions européennes à la phase aérienne de cette « migration de remplacement », pour reprendre le titre du rapport de l’ONU du 21 mars 2000, par les images de ces familles souriantes qui commencent à descendre en ordre des avions qu’on leur a envoyés, tellement moins inquiétantes que les hordes de jeunes hommes qui enfonçaient de force les barrières frontalières en hurlant Allah Akhbar, l’année dernière.

    Car la phase suivante, sans préjudice des accords annoncés ou secrets avec la Turquie, et dès qu’on aura terminé la régularisation des deux millions d’intrus entrés par effraction dans l’espace Schengen l’année dernière, ce sera l’affrètement des vols plus lointains pour la mise en oeuvre de leur regroupement familial, estimé au bas mot à douze millions (six ayants-droit par ex-hors-la-loi). Il ne s’agit là que des douze millions d’ayants-droit au titre des deux millions d’intrus de 2015, pas encore des ayants-droits au titre des transférés aériens directs de 2016.

    En faisant le point des événements de 2015 et de leurs conséquences, on annonçait dans la Huitième Plaie le plus gros pont aérien qu’ait connu la courte histoire de l’aviation. Il a été inauguré ce 4 avril.

    Lu sur Le Salon beige

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    • Son thème, l’invasion légale que nous concoctent les traîtres qui nous gouvernent pour notre peine: 300 pages irréfutables préfacées par une autorité du droit et de la sécurité.

    Les membres de l’Union européenne s’apprêtent à régulariser deux millions de hors-la-loi introduits illégalement par voie de fait en 2015, afin d’inviter leurs douze millions d’ayants-droit au regroupement familial, tout en accueillant encore huit millions (certains disent treize) de nouveaux hors-la-loi en 2016 pour ouvrir la porte au regroupement familial de leurs quarante-huit millions d’ayants-droit en 2017. Le gouvernement français, aussi discret sur les chiffres que pendant la canicule de 2003, a déjà réservé 20 % de ces soixante-dix millions d’hères venus d’un autre monde. Cette régularisation illégale est inacceptable, il n’y a pas d’alternative heureuse à l’application des textes votés. Il fallait exposer les chiffres, enjeux, acteurs, desseins, feintes et pièges, pour que les peuples d’Europe puissent agir avant que l’irréparable ne soit commis. Car s’ils veulent survivre, ils doivent de toute urgence contraindre leurs gouvernements, actuels ou de substitution, à l’obéissance civile.

    Lu sur Le Salon beige

    DélitD'images

     

  • VIDEO - L'interview intégrale de Marine Le Pen par Anne-Marie Dussault sur Ici Radio Canada 24/60

    http://ici.radio-canada.ca/audio-video/media-7464448/entrevue-danne-marie-dussault-avec-marine-le-pen-a-2460

    A regarder jusqu'au bout!

    Contrairement à ce qui a été raconté par les médias, c'est Marine Le Pen qui a mis KO la journaliste canadienne!