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  • Jean-Marie Le Pen: "Panama papers, une baudruche nauséabonde de courte durée"

    Jean-Marie Le Pen a répondu aux questions du Rouge et du Noir

    Boulevard Voltaire

  • Colloque Iliade – Jean-François Gautier : « L’histoire n’a pas de sens préalable »

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    Docteur en philosophie, Jean-François Gautier est l’auteur de nombreux ouvrages sur la science et la musique dont Le Sens de l’Histoire (éditions Ellipses). Il interviendra demain, samedi 9 avril, au colloque de l’Institut Iliade à Paris (Maison de la Chimie, 10h-18h30). Propos recueillis par Aloysia Biessy pour Le Rouge et le Noir.

    Le Rouge et le Noir : Votre intervention lors du colloque annuel de l’institut Iliade portera sur la pérennité de l’âme européenne. Comment définir, à l’heure où des vagues migratoires successives engendrent le « renouvellement » des populations autochtones, l’âme européenne ?

    Jean-François Gautier : L’âme, la psuchè intellective telle que l’entendaient Aristote et une part essentielle du néoplatonisme (que l’on qualifierait mieux de néo-artistotélisme), est une manière de mise en forme de la réalité, et surtout de la réalité spatiale, c’est-à-dire politique. Les Européens ont toujours distingué ce qui est de chez eux et ce qui est du dehors. Dans les cités helléniques, cela correspondait aux domaines d’Hestia et d’Hermès. L’imperium romain distinguait quant à lui les citoyens et les autres. Et la Déclaration de 1789 rappelle que la souveraineté « réside essentiellement dans la Nation ». L’âme européenne est ce qui donne forme et mouvement à une certaine manière de vivre, de dire le droit des gens et d’affronter le devenir sur un territoire donné. Elle est actuellement ‘en dormition’, comme disait notre ami Venner, mais cela ne signifie pas qu’elle ait disparu.

    Le Rouge et le Noir : Le terme de pérennité laisse sous-entendre une continuité dans le temps. Quel rôle joue le christianisme, présent en Europe depuis plus de 1500 ans, dans la continuité de l’âme européenne ?

    Jean-François Gautier : Il me semble nécessaire de distinguer deux réalités sociales et culturelles. D’un côté le christianisme proprement dit, qui relève d’une théologie monothéiste propre aux clercs et aux savants. Il a entretenu des relations souvent conflictuelles avec les institutions politiques, mais ces mêmes institutions se sont souvent servi de lui, et de son personnel, pour arbitrer des conflits purement politiques. Ce fut le cas en Angleterre lorsque l’Acte de suprématie de 1534 fit de Henry VIII le seul chef d’une Église devenue ‘anglicane’ sans changer quoi que ce soit à la théologie. Et il ne faut pas oublier, en France même, la première convocation des États généraux qui permit à Philippe IV, en janvier 1302, d’affirmer l’autonomie du pouvoir royal sur ses terres. Geste repris par Louis XIV avec la Déclaration de 1682 rédigée par Bossuet et consacrant une Église ‘gallicane’. Ce sont bien des problèmes de territorialisation des pouvoirs qui sont ici évoqués, tout comme ils le furent dans le très long conflit opposant la papauté et l’Empire germanique. Le christianisme en fut un révélateur efficace.

    D’un autre côté, moins directement politique, il a existé un catholicisme rural qui, quant à lui, était polylâtre, à cultes multiples, et magnifiait nombre de saints locaux, ceux des territoires paroissiaux. Il en subsiste encore des traces en Bretagne, en Irlande, en Espagne ou en Italie. Ce catholicisme-là a été le dernier conservatoire des ferveurs européennes traditionnelles, très éloignées des contenus monothéistes officiels. Le concile Vatican II a eu soin d’en limiter la portée, mais le facteur décisif de leur effacement a été celui des grandes vagues d’urbanisation de la seconde moitié du XX° siècle, avec un recul des pratiques religieuses qui a nui tout autant à l’entretien de l’âme européenne qu’au christianisme proprement dit.

    Le Rouge et le Noir : Pérennité suppose qu’il y ait eu transmission d’une psyché commune aux Européens par le passé. Or, nous faisons face à un phénomène de mondialisation abhorrant les frontières et assujetti à un besoin compulsif d’immédiateté, non inscrit dans l’horizon de la longue mémoire. Dans ce cadre, n’estimez-vous pas ce combat perdu d’avance ?

    Jean-François Gautier : La psuchè européenne ne se résume pas à un contenu, mais se dit de manières de vivre et d’organiser tant l’espace institutionnel que l’espace symbolique. Il y a là motif à variations multiples, régionales ou locales. Le premier support de cet agir européen, ce sont les langues. Les Européens ont en commun des langues à construction en sujet-verbe-complément. Tant qu’elles se maintiendront face au globish, elles porteront un potentiel d’indépendance et prépareront d’éventuelles révoltes, si celles-ci deviennent indispensables. Les Européens n’aiment pas être le complément de quoi que ce soit, ils préfèrent être les sujets de l’action, c’est-à-dire, chez eux, les maîtres de leur sort.

    Le Rouge et le Noir : Vous aviez évoqué par le passé que, pour l’Européen, la seule signification de l’histoire est son absence de sens. Conditionnant sa conduite, la perpétuelle construction constitue l’un de ses seuls exutoires. En quoi cette acception des choses diffère de l’immédiateté plébiscitée par une grande majorité de nos contemporains à l’heure actuelle ?

    Jean-François Gautier : C’est précisément parce que l’Histoire, pour les Européens, n’a pas de sens préalable qu’ils ont été portés vers les confins. De longues périodes de conquêtes, commencées à la Renaissance, ont pris fin du fait de la rotondité de la Terre : on ne refait pas deux fois le même tour du monde, pas plus qu’Ulysse n’entreprend deux fois son Odyssée. Les décolonisations ont marqué cet achèvement. Aujourd’hui, les peuples colonisés reprennent en sens inverse la Querelle de Valladolid de 1550 : puisque nous sommes comme vous, nous exigeons d’habiter chez vous, et tout de suite. C’est typique des peuples sans mémoire, mais néanmoins pourvus d’habitudes et de mœurs qui ne sont pas les nôtres. Ulysse rentrant à Ithaque découvrit des gens prêts à prendre sa place et à transformer Ithaque en Las Vegas, pour parler moderne. Ils n’ont pas duré bien longtemps. Ceux qui débarquent chez nous se persuadent qu’ici (ici, pas en Chine) on gagne à tout coup au casino de la Sécurité sociale, des allocations familiales et du logement. Nombre d’Européens emboîtent le pas. Mais le bandit manchot va se fatiguer, la première grande crise financière en sonnera le glas, de même que celui de la marchandisation transfrontalière. Alors, bien sûr, les apologistes de la fatigue de vivre et de l’impuissance à agir, tous les conservateurs modernes, ceux-là vont être déçus. Mais il y a, dans tous les pays européens, une jeunesse prête à inventer son devenir ailleurs que dans les salles de shoot. Leur enthousiasme sera d’autant plus irrésistible que la tâche sera immense.

    Le Rouge et le Noir : Aujourd’hui véhiculé à grand renfort de plaidoyers pour le vivre-ensemble, le cosmopolitisme érigé en vertu semble avoir remporté un combat – au moins sémantique. Dans cette perspective, quels moyens mettre en œuvre pour retrouver une identité européenne ?

    Il n’y a pas à retrouver une identité européenne perdue, mais seulement à continuer d’affirmer celle qui nous caractérise. Il faut se méfier des grands textes et des idéologies qui expliquent tout par avance. Mieux vaut regarder la réalité quotidienne, certes partielle, mais combien éloquente. Les Européens du centre ou de l’Est ont compris où les a menés l’asservissement à un sens préétabli de leur histoire. Ils n’ont aucune envie de réentendre la même leçon universalisante. Chez nous, où les idéologies égalitaires et marxisantes ont tenu les chaires universitaires et les relais médiatiques, la leçon n’est pas encore entendue. Mais il y a tout un peuple d’instituteurs et d’enseignants qui en ont assez de se faire insulter par des gamins, ou des policiers et des gendarmes qui ne supportent plus d’être rabroués à chaque coin de rue, des médecins et des pompiers qui ne veulent plus être caillassés. Il paraît que nombre de candidats aux prochaines élections présidentielles cherchent des programmes convaincants. Qu’ils ne cherchent pas trop loin. Imposer le retour de l’instruction élémentaire dans les écoles, et l’application du droit dans les territoires où il est bafoué, voilà de quoi remplir au moins deux quinquennats, avec réélection garantie. Le reste s’en suivra. Et si rien n’est fait en ce sens, il restera évidemment la rue. Ce n’est pas la perspective la plus enviable, d’autant moins engageante qu’elle serait doublée d’une perte des élites, dont une partie s’en irait vivre ailleurs. Mais tous les peuples européens ont connu, à un moment ou à un autre, des institutions qui les ont trahis. Ils n’ont pas disparu pour autant. Quant aux élites en partance, il faut se rappeler que l’armada d’artisans calvinistes chassée par la Révocation de l’édit de Nantes, en 1685, a initié ce qui est devenu l’industrie de la Prusse. Très mauvaise affaire pour la France, certes, mais pour l’Europe ? Il est possible que les Russes ou les Polonais, comme Frédéric-Guillaume Ier en Prusse, trouvent les termes d’une sorte de nouvel Acte de Tolérance accueillant les révoqués de l’Universel, chassés de France ou d’ailleurs par les caillasses des idéologues et de leur dogues. Un tel transfert nuirait certainement aux États, ou à ce qui en restera, mais pas à l’âme européenne. Avec toutes ses riches variantes, elle s’exprimait déjà sur les parois de nos grottes voilà trente mille ans. Nul ne peut la rayer d’un trait de plume. Pas même le mammouth laineux ou le rhinocéros à poils longs qui, eux, ont disparu de nos horizons.

  • Soumission aux assassins djihadistes : le cas Antoine Leiris

     

    9 avril 2016 par Guillaume Faye

    Face aux attentats islamiques et au djihad sanguinaire arabo-musulman, on relève souvent une attitude de pardon – et donc de soumission. Le refus de toute idée même de vengeance s’accompagne de larmoiements bisounours avec allumage de bougies et bouquets de fleurs sur les lieux des attentats. Cet esprit victimaire (”Je suis Charlie”), symbole de dévirilisation, mêle angélisme infantile et – paradoxe véritablement maladif – condamnation indignée de toute ”islamophobie”. Ce qui plonge dans l’hilarité, le mépris et l’excitation les très nombreux approbateurs et coreligionnaires des tueurs djihadistes. 

    Symbole de peur, exemple de reddition

    Le journaliste et auteur Antoine Leiris, 34 ans, dont la femme Hélène Muyal–Leiris a été assassinée au Bataclan le 13 novembre 2015 par les djihadistes arabes, est l’exemple type de cet état d’esprit de soumission et de naïveté. Il a posté sur Facebook, rebondissant sur la mort de sa femme, un message émotif qui a fait le tour du monde et qui a été repris par Le Monde et Der Spiegel, –deux puissants médias du politiquement correct de gauche – intitulé « Vous n’aurez pas ma haine ». Autrement dit : je ne hais pas les assassins de ma femme. Il vient d’en faire un livre (même titre) publié chez Fayard, éditeur au bon instinct commercial. Son discours est un concentré de platitudes soporifiques politiquement correctes et un « plaidoyer pour la tolérance », selon la langue de bois de l’idéologie dominante. « Une déclaration d’amour à sa femme » liées au pardon pour les assassins, selon le Journal du Dimanche (03/04/2016), organe, lui aussi, de la pensée fléchée, qui titre « l’amour à perpétuité ». Face aux tueurs qui éclatent de rire, on allume des bougies, on pleure, on renifle.

    Il pardonne aux assassins de sa femme. Pardonner aux assassins, ne pas les haïr et refuser la vengeance est non seulement offensant pour la mémoire des victimes mais en dit long sur l’état mental d’une société qui adopte un  comportement contre nature. C’est un dévoiement pathologique du principe chrétien du pardon.

    Sans aucunement vouloir porter atteinte à l’immense chagrin de cet homme, j’estime que le message de son livre est détestable et qu’il encourage les futurs djihadistes à tuer. Son attitude et celle des médias qui le soutiennent sont stupides et lâches. Face à la haine, refuser la contre attaque et la riposte est suicidaire. À propos du livre et du message d’Antoine Leiris, le JDD, sentencieux, énonce cette contre–vérité stupide : « l’homme sans haine refuse toujours la colère  et la peur ». Il faudrait rétablir les choses et dire : ”l’homme qui a peur n’ose pas se mettre en colère et prétend ne pas haïr ”. Le message qui est retenu du déplorable essai de Leiris, c’est : on a peur. Un cadeau pour les djihadistes et tous leurs amis.

    Dévirilisation, xénophilie, haine de soi

    Le djihadiste qui hait et cherche à assassiner, avec l’approbation de nombre de ses coreligionnaires, se délecte de ce qu’on ne le haïsse pas. Il est ravi par les cérémonies larmoyantes, les alignements de bougies, les ”pas d’amalgame”, les condamnations de l’ ”islamophobie. C’est dire si l’ essai d’Antoine Leiris Vous n’aurez pas ma haine et son bon accueil par les médias du système rassurent sur notre faiblesse les musulmans belliqueux ; cela les excite et encourage le recrutement de nouveaux tueurs parce que l’idéologie véhiculée est un signal de démission humiliante, un appel masochiste aux prédateurs : allez-y, tuez, je ne me vengerai pas. Humiliez- moi, humiliez-nous ! implorent les amis idéologiques de Leiris.

    Faisant allusion à cette affaire, Éric Zemmour fait l’analyse suivante, très pertinente : « nous subissons une féminisation de la société, qui s’affirme dans ses valeurs les plus sacrées : pacifisme, principe de précaution, négociation, consultations, psychologisation, hiérarchie délégitimée. Et dans les comportements de ces hommes occidentaux qui refusent de se battre, assument leurs sentiments et laissent couler leurs larmes et préfèrent allumer des bougies et ” refuser la haine” plutôt que venger leurs femmes ou leurs enfants massacrés par les djihadistes ». (Le Figaro , 07/04/2016).

    Ce cocktail de dévirilisation, de xénophilie et de haine de soi est une potion mortelle pour la civilisation européenne. La gauche bien pensante est le principal incubateur de ce poison idéologique.

    Collaborateurs et idiots utiles

    Le pire, en effet, c’est le discours ”islamo–gauchiste”, tenu par une frange importante des politiques et intellectuels de gauche (dont Jean-Luc Mélenchon, Edwy Plenel, etc.) On en a lu un exemple récent dans Libération (23/03/2016) avec une tribune de Corinne Torrekens, directrice de DiverCity (jeu de mot sur ”diversité”), un lobby de l’Université libre de Bruxelles, proche du think tank français Terra Nova, communiant dans le même discours pro-immigration et islamophile (ou islamolâtre) militant.

    Cette idéologie prêche la ”culture de l’excuse”, qui protège aussi bien le voyou de droit commun que le djihadiste musulman. Les populations d’origine immigrée et musulmane sont présentées comme des victimes de discriminations et d’exclusions socio-économiques, selon une logique (marxiste, dénoncée par Orwell) d’inversion de la réalité puisqu’elles sont en réalité privilégiées. Victimiser l’islam radical est un sport intellectuel répandu à gauche, par exemple par Pierre Siankowski, dans les colonnes du périodique bobo–gaucho Les Inrockuptibles, qui déverse sa haine sur les « islamophobes » et s’agenouille devant ses maîtres. (1)

    L’islam ne produit pas seulement le terrorisme physique, mais le « terrorisme intellectuel », comme l’a noté Ivan Rioufol, en paralysant de peur tous les Antoine Leiris (très nombreux dans les rédactions et les cabinets ministériels et aussi effrayés et couards à droite qu’à gauche) qui non seulement n’osent pas le désigner comme ennemi mais pardonnent et excusent ses exactions. (2)

    Antoine Leiris et tous ceux qui l’approuvent sont, de mon point de vue, des ennemis au même titre que les envahisseurs eux-mêmes. Ils en sont les idiots utiles et ils ne seront ni remerciés ni épargnés par leurs maîtres. Les collabos doivent toujours payer le double prix du sang : envers ceux qu’ils servent et qui se débarrasseront d’eux, et envers ceux qu’ils trahissent et qui les puniront. Avec ce message : « vous aurez ma haine ».

    .

    NOTES

    (1) Les victimes du Bataclan et autres lieux festifs mitraillés en novembre 2015 appartenaient à des milieux sociaux parisiens ”bobos” gauchisants, antiracistes et islamophiles. Le paradoxe est intéressant. Les tueurs ont attaqué leurs défenseurs. Mais ces derniers continuent de les aimer !

    (2) Par simplicité et honnêteté, il faut utiliser le terme ”islam” et non pas ”islamisme”, parce que le véritable islam est l’islamisme et que l’ ”islam modéré” est une fiction qui ne correspond pas à la réalité de l’islam. Cette dernière est celle du Qoran.

    Guillaume FAYE

  • Les survivants à la loi Veil

    Vous le savez, en France, l’avortement continue de faire souffrir. Les femmes bien sûr mais également les hommes, les familles et la société tout entière.

    220000 IVG pour 800 000 naissances par an, cela prive chaque génération d’un cinquième de ces membres.

    Nés après 75, nous sommes donc tous des survivants statistiques.

    Certains d’entre nous ont une soeur ou un frère qui a été avorté et dans le coeur cette question lancinante « Pourquoi lui et pas moi ».

    Il est temps qu’une nouvelle génération se lève pour demander à la société de développer une vraie alternative à l’avortement.

  • Trappes (78) cherche un boucher traditionnel mais n’en trouve pas : «Ils craignent de ne pas avoir assez de clients»

    1604090140510105.jpg Trappes.jpg

     

    22h11

    Depuis ­décembre 2013, Trappes, cette ville de 30 000 habitants, détient un record. ­Cinquante d’entre eux ont rejoint Daech. Des hommes, des femmes et même des enfants. Des fratries ou des bandes de copains. Un élu accuse Internet. Mais la Toile est la même ici ou dans les banlieues voisines. Pareil pour le ­chômage, la misère sociale. Pourquoi le terreau de Trappes serait-il plus fertile qu’un autre à l’extrémisme religieux ?

    [...]

    A coups de millions d’euros, la ville s’est ­rénovée, sans pour autant vaincre les ­trafics et la voyoucratie. Les tours HLM ont été rasées, remplacées par des ­pavillons ­attrayants, des petits immeubles. Allées d’amandiers en fleur, squares ­verdoyants, aires de jeux pour les ­enfants… le paysage est soigné. Soixante-dix nationalités y cohabitent. Elles se partagent une église, une synagogue et quatre lieux de prière musulmans, dont la grande mosquée ­En-Nour, gérée par l’Union des musulmans de Trappes (UMT), proche des Frères musulmans.

    [...]

    Il arrive que des ados prient dans les vestiaires du stade, qu’ils refusent de se mettre nus pour prendre leur douche. Les ­commerces se communautarisent. Toutes les boucheries sont halal. « On réclame un boucher traditionnel, déplore une élue, mais on n’en trouve pas. Ils craignent de ne pas avoir assez de clients ! » On redoute également la déscolarisation. A Sevran, à quelque 50 kilomètres de là, 60 gosses ont été retirés de l’école par leurs parents. On les a retrouvés dans des appartements, sous l’influence d’une école coranique clandestine…

    [...]

    Paris Match

    NdB: En marche (rapide) le Grand Remplacement, M. Macron!

     

     

  • Les Français du clip « En Marche! » de Macron… sont en fait quasiment tous des étrangers!

  • Compiègne (60) : Incendies à la mairie, 34 véhicules municipaux brûlés, 15 vigiles attaqués par 50 individus (Màj : trafic de drogue ?)

    http://www.fdesouche.com/717465-compiegne-60-34-vehicules-municipaux-incendies-et-des-vigiles-attaques-au-clos-des-roses

    + 2 VIDEOS

    1604080339330097.jpg Compiègne.jpg

    NdB: Policiers et pompiers n'ont aucun répit dans la France du Grand Remplacement