Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • VIDEOS - Ce qu'il faut retenir de l'intervention de Hollande sur France 2

    http://www.leparisien.fr/politique/dialogues-citoyens-hollande-tente-sur-france-2-une-operation-reconquete-14-04-2016-5715663.php

    NdB: au moment où je mets ce lien, les vidéos ne s'ouvrent pas...

  • L' Église luthérienne de Norvège mariera désormais les couples homosexuels

     




    3
     
    Download PDF

    Avec 88 voix sur 115, le dernier synode de l’Église luthérienne de Norvège, tenu le 11 avril, a décidé qu’une nouvelle liturgie serait développée pour permettre de consacrer les unions de couples homosexuels. En Norvège, le mariage civil et l’adoption sont autorisés depuis 2009 mais à ce jour, le mariage gay religieux n’existait qu’en Suède, au Danemark et dans quelques congrégations anglo-saxonnes.

    Minoritaires, les opposants estimaient naïvement que la Bible définit le mariage comme l’union entre un homme et une femme. Mais pourquoi une Église, dont les fidèles représentent tout de même 70% des Norvégiens, propagerait-elle l’Évangile quand elle peut tenir le discours que le monde veut entendre ? Il devient amusant de rappeler que les protestants se sont séparés de l’Église catholique parce qu’ils la considéraient comme « trop éloignée des Écritures » !

    NDF

  • Le Mein Kampf d’Adolf Hitler détourné par la propagande antiraciste

    ogilvy-mein-kampf-1.jpg

    Ich-bin-Muslima.jpg

     

     

    14/04/2016 – BERLIN (NOVOpress) : La réédition de Mein Kampf, d’Adolf Hitler a donné des idées à la branche berlinoise de l’agence de publicité new-yorkaise Ogilvy. Utilisant le même graphisme que la réédition qui s’est déjà vendue à plusieurs dizaines de milliers d’exemplaires en Allemagne, avec la couverture barrée d’un bandeau rouge avec le titre en lettres gothiques, elle vient de lancer ses propres Mein Kampf ! Mais des Mein Kampf bien particuliers puisque ce sont des « Mein Kampf against racism ».

    ogilvy-mein-kampf-2

    Onze ouvrages ont été mis en vente, tirés à chacun à mille exemplaires, écrits – ou du moins signés – par onze auteurs différents, parmi lesquels un survivant d’un camp de concentration, Mosche Dagan, une ancienne réfugiée afghane, Wana Limar, devenue présentatrice de télévision, ou Irmela Mensah-Schramm, « chasseuse de tags néo-nazis » : lorsqu’elle croise un de ces infâmes graffitis, « elle extrait alors de sa besace un chiffon imbibé de dissolvant, un grattoir ou une bombe de peinture noire. Et systématiquement elle efface, désintègre ou recouvre l’objet de son indignation. Avec pour seule récompense la sensation du devoir accompli »…

    Mais tout cela, c’est pour la galerie. Car le vrai but de l’opération est de stopper la route aux idées nationales et identitaires, qui n’ont strictement rien à voir avec le national-socialisme. A commencer par celles portées par l’Alliance pour l’Allemagne (AFD), comme le reconnaît à mots à peine couverts Tim Stuebane, directeur de la création à Ogilvy Berlin : « En raison d’une constante augmentation du nombre de réfugiés et d’immigrés, nous sommes confrontés en Allemagne à une montée de l’extrémisme et du racisme. Lors des dernières élections, un parti d’extrême droite a récupéré 24 % des voix. Tout cela est dangereux pour l’avenir du pays. »

    Cette opération de publicitaires militants (« En tant que communicants, il est de notre devoir de prendre part à la lutte contre la montée de l’extrême droite en Allemagne » dit encore Stuebane) se prolonge par le versement de 1 euro sur chaque exemplaire vendu au mouvement Gesicht Zeigen, présenté comme une organisation non gouvernementale « qui combat pour la justice sociale » et qui est en fait un mouvement militant d’extrême gauche « Für ein weltoffenes Deutschland » : « Pour une Allemagne ouverte sur le monde », ou, comme dirait Google traduction, qui est plus abrupt : « Pour une Allemagne cosmopolite ». Gesicht Zeigen milite « gegen Rechts » (« contre le droit ») dans le soutien complet aux migrants et autres clandestins.

    Le financement permet à Gesicht Zeigen (« Montre votre visage ») de mener de vastes campagnes de propagande en faveur d’une Allemagne multiculturelle et multiethnique, comme celle qui, jouant elle aussi sur la persécution des juifs, associe en différents visuels de célébrités outre-Rhin le « Ich bin Jude » aux « Ich bin migrant », « Ich bin Türke » et autres « Ich bin Muslima »…

    Pour mesurer la force de frappe de cette opération de propagande, il suffit de savoir qu’Ogilvy, de son nom complet Ogilvy & Mather Worldwide, est la propriété de WWP, entreprise dont le siège social est à Jersey et qui est « le plus important réseau d’agences de publicité et de communication mondial », employant « environ 179 000 personnes dans 3 000 bureaux à travers 111 pays »…

  • Selon un élu PS, 90 % des élèves de Molenbeek considèrent les terroristes de Bruxelles comme des héros

    molenbeek-aujourdhui.jpg

     

     

    13/04/2016 – EUROPE (NOVOpress)
    Interviewé par le New York Times, le conseiller communal (PS) Yves Goldstein dénonce l’échec des politiques d’intégration menées en Belgique. Il vise notamment cette population musulmane qui éprouve de la sympathie pour les terroristes qui ont frappé l’Europe.

    Nos villes sont confrontées à un énorme problème, peut-être même le plus important depuis la Seconde Guerre mondiale. Comment des personnes nées à Bruxelles ou Paris peuvent qualifier de héros des gens qui sèment la violence et la terreur ? C’est une vraie question qu’il faut se poser.

    Mais l’élu belge va encore plus loin en se basant sur les témoignages de professeurs en activité dans les villes de Molenbeek et de Schaerbeek :

    90 % de leurs élèves, âgés de 17 ou 18 ans, considèrent les terroristes de Bruxelles ou Paris comme des héros !

    Pour lire cet entretien paru dans le New York Times, c’est ici.

  • L'UNESCO publie des recommandations éducatives sur l’Holocauste en six langues

    11.04.2016 - Education sector

     

     

    Des recommandations applicables à la rédaction des programmes scolaires et des manuels d’enseignement de l’Holocauste ont été publiées en anglais, en arabe, en chinois, en espagnol, en français et en russe.

    L’objet de ces recommandations, préparées par l’UNESCO et l'Institut Georg Eckert pour la recherche internationale sur les manuels scolaires, est d'aider les décideurs de l’éducation à veiller à ce que les supports éducatifs soient historiquement de bonne qualité et permettent d’enseigner l’histoire de l'Holocauste dans des perspectives en résonance avec des contextes locaux donnés.

    Elles offrent aussi des conseils sur les approches conceptuelles et narratives qui aideront les apprenants à acquérir les connaissances historiques et une compréhension approfondie de la nature, de la complexité et de l'impact des crimes commis par le régime nazi, en particulier du génocide contre le peuple juif.

    Ces recommandations fourniront ainsi des conseils pour utiliser les supports éducatifs afin de sensibiliser les apprenants aux moyens d’empêcher que des événements similaires se reproduisent.

    Les recommandations s’appuient sur une importante recherche réalisée par l'Institut Georg Eckert et par l'UNESCO pour dresser la cartographie de l’enseignement de l’Holocauste partout dans le monde et pour comparer les représentations de l'Holocauste à partir d’une analyse de 272 programmes scolaires en vigueur dans 135 pays et de 89 manuels utilisés dans 26 pays.

    La recherche a été publiée en 2015 sous le titre Statut international de l’enseignement de l'Holocauste, cartographie mondiale des manuels et des programmes scolaires. Les recommandations sont précédées d’un résumé des recherches.

    (Merci à Dirk)

     

  • Créteil : à 12 ans, victime de racket, elle se fait martyriser

    5712423_17acbcc6-019d-11e6-bff4-f3b42d3a92c0-1_545x460_autocrop.jpg

    Laure Parny et Elsa Marnette | | MAJ :

    réagir
    1
    Info le Parisien
     
    Créteil, ce mardi soir. C’est à la sortie du collège Guyard, où elle est scolarisée, que Sandra* a été agressée par une bande de filles qui avaient pris l’habitude de la racketter. (LP/Laure Parny.)

    Couverte de bleus, brûlée par les cigarettes de ses agresseuses au visage et au bras, la mâchoire déplacée… Sandra raconte, entourées de ses proches, l’effroyable scène qu’elle a vécue...