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  • Eric Zemmour: la CGT n'est plus rien, ne représente plus rien

    https://youtu.be/D8IezBKDpQ4

    21/04/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    Éric Zemmour est revenu ce jeudi 21 avril sur l’affiche de la CGT qui dénonçait des violences policières, mais qui a choqué les policiers et Bernard Cazeneuve.

    On la dirait sortie d’un musée. Une affiche dans une exposition consacrée à mai 68. On imagine les ateliers de création gauchistes du quartier Latin. Sartre et Beauvoir qui viennent en voisins et amis.

    Néanmoins, Éric Zemmour estime que les temps ont changé, notamment du côté d’une CGT “à l’époque appuyée par ses millions de travailleurs syndiqués et qui négociait la fin de la grève générale avec le premier ministre Georges Pompidou. On était entre gens sérieux, responsables“.

    Enfin, pour Éric Zemmour :

    La CGT n’est plus rien, ne représente plus rien. Demain elle sera supplantée par la CFDT qui déjà monopolise l’attention du gouvernement socialiste.

    NOVOPRESS - 21 04 2016

     

  • Palestinien brûlé vif: le principal accusé israélien jugé sain d'esprit

    http://www.bfmtv.com/international/palestinien-brule-vif-le-principal-accuse-israelien-juge-sain-d-esprit-967903.html

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  • VIDEO - Xavier Raufer : “Les gens qui ont encore une capacité de rébellion seront fin mai à Béziers”

    https://youtu.be/BPX3fXpq6UE

     

     

    21/04/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    Xavier Raufer explique à Boulevard Voltaire pourquoi il sera au Rendez-vous de Béziers fin mai. Il participera à la table ronde “Sécurité/justice : comment faire en cinq ans ce que ni Chirac ni Sarkozy n’ont fait depuis 30 ans ?”

  • Bruxelles : « J’ai vu des scènes de joie après les attentats » raconte un policier belge

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    11h47
     

    Alors que l’information concernant le nombre de victimes commençait à filtrer, un agent de policier – qui préfère rester anonyme – a été témoin de plusieurs incidents. Selon lui, un certain nombre de musulmans se sont clairement réjouis des attaques.

    « J’ai été témoin de trois incidents, impliquant neuf personnes. On a vu des jeunes rire, faire le signe V (en guise de victoire) et lever l’index au ciel (ndlr. signe devenu symbole de l’allégeance à l’Etat islamique). J’ai également assisté à une scène où un homme a dit: ‘Enfin! Il est était temps que vous soyez punis’ », raconte-t-il à la chaîne flamande vtm, qui recevait le Ministre de l’Intérieur Jan Jambon sur son plateau.

    « Musulmans qui dansent »?

    Quant à de véritables scènes de liesse ou « des musulmans qui dansent », le policier ne va pas jusque-là. « Ca me paraît exagéré. Mais en revanche, j’ai l’impression – à travers les contacts que j’ai eus- qu’il y avait certainement un sentiment de sympathie pour ce qui s’est passé ».

    Source

    Merci à Stormisbrewing

     

  • Israël : le soldat accusé d'avoir achevé un Palestinien inculpé d'homicide

    http://www.leparisien.fr/international/israel-le-soldat-accuse-d-avoir-acheve-un-palestinien-inculpe-d-homicide-18-04-2016-5726387.php

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  • La France profonde selon Élie Semoun : « le trou du cul du monde »

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/La-France-profonde-selon-Elie-Semoun-le-trou-du-cul-du-monde-38980.html

    On attend la réaction de SOS Racisme

  • Marine Le Pen visitera le Royaume-Uni pendant la campagne du Brexit

     

    © REUTERS/ Pascal Rossignol
    International
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    La chef du Front national Marine Le Pen a l’intention d'aller en Grande-Bretagne dans les deux prochaines semaines pour la campagne du Brexit.

    Mme Le Pen apparaîtra à côté de la députée britannique au Parlement européen et ancienne du parti UKIP (Parti pour l'indépendance du Royaume-Uni) Janice Atkinson, rapporte le journal britannique Independent.

     

    Mme Le Pen, comme d'autres politiciens français, est une fervente partisane du Brexit parce qu'elle pense que ce serait une réaction en chaîne de décomposition de l'Union européenne.

    "La sortie de la Grande-Bretagne va prouver qu'il est possible de vivre en dehors de l'Union européenne. Soit nous sommes libres, soit nous ne le sommes pas", a déclaré Mme Le Pen récemment.

    Mme Atkinson, député européen pour le sud-est de l'Angleterre, a été expulsé de UKIP en mars de l'année dernière après que son chef de cabinet a été accusé d'avoir tenté de cacher ses dépenses du Parlement européen. La police a décidé de ne prendre aucune mesure à cet égard.

     

    La présence de Mme Le Pen au Royaume-Uni va probablement irriter UKIP, notamment le leader du parti, Nigel Farage, qui s’est fâché avec Mme Le Pen au cours des dernières années en déclarant que son parti était raciste et antisémite.

    Pour le moment, les Britanniques ne sont pas sûrs au sujet de la sortie de l’Union. Un sondage récent, menés par l’agence de recherches sociales TNS BMRB a montré que 38% des personnes interrogées sont pour l'UE, 34% sont contre et 28% — indécises.

    La décision concernant l'appartenance du Royaume-Uni à l'Union européenne doit être prise à l'issue d'un référendum qui se tiendra le 23 juin.

    SPUTNIK

  • Donald Trump et Hillary Clinton triomphent à New York

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    60% des voix républicaines pour le milliardaire. 57% des voix démocrates pour l'ex-secrétaire d'État. La primaire de New York a confirmé le statut des deux favoris pour la course à la Maison-Blanche.

     
     

    De notre correspondant à New York

    Donald Trump espérait un triomphe, et c'est exactement ce qu'il a obtenu. En remportant la primaire si importante de New York, mardi, avec près de 60% des voix, il fait taire ses détracteurs, stratèges républicains et dirigeants du Grand Old party, qui espéraient ouvertement imposer une convention «arrangée» en juillet à Cleveland.

    La potion est amère pour ses deux derniers rivaux encore en lice, Ted Cruz et John Kasich, qui, comme prévu, se partagent les miettes du festin new-yorkais: le premier n'a jamais pu remonter son insigne maladresse sur «les valeurs de New York» évoquées ironiquement lors d'un débat en janvier, et se contente d'un score insignifiant (14%). Le second, qui n'a réussi qu'à remporter Manhattan, se voyait comme un recours en cas de convention arrangée. Avec seulement 25% de vote, la perspective s'éloigne, à mesure que le milliardaire new-yorkais s'approche du chiffre magique des 1237 voix de délégués, avec 840 déjà dans son escarcelle, dont 84 sur les 95 qu'offrait l'Empire State mardi.

    «Ce n'est plus vraiment une course»

    La suite des événements lui est très favorable: il affiche une nette avance dans les sondages concernant les primaires de Pennsylvanie, du Maryland, du Connecticut, du Delaware et de Rhode Island, qui toutes se joueront le mardi 26 avril. Si le magnat de l'immobilier triomphe à nouveau dans ce «Super Tuesday du nord-est», il peut miser sur un élan lui permettant de remporter haut la main le dernier trophée convoité de ces primaires: la Californie, le 7 juin.

    Donald Trump lors de l'annonce de sa victoire dans l'État de New York.

    Donald Trump lors de l'annonce de sa victoire dans l'État de New York.

    Il parviendrait alors très près des 1237 voix requises et les tractations en coulisses commenceraient, pour «retourner» ici et là les délégués restés fidèles à des candidats ayant précédemment jeté l'éponge, comme Marco Rubio qui en conserve toujours 171 par-devers lui. «Ce n'est plus vraiment une course», plastronne le magnat, qui veut à présent s'arroger les 172 voix de délégués mises en jeu le 26 avril.

    Objectifs atteints

    Hillary Rodham Clinton, elle aussi, a gagné, et bien gagné. Avec 57% des voix, elle s'impose là où se trouve la moitié du vote démocrate : New York City, ainsi que dans la plupart des zones à forte densité démographique comme Rochester, Syracuse et le comté de Westchester. Avec le vote des femmes, des minorités (dont 75% des noirs), des 30-45 ans et des personnes âgées, elle atteint ses objectifs fixés, notamment dans le bourg de Brooklyn et ses 2,6 millions d'habitants. Solide, coriace et, pour une fois, avec un enthousiasme qu'on pensait définitivement évanoui: critiquée pour sa raideur, elle a esquissé un pas de salsa dans Harlem, enlacé un enfant tandis qu'elle mangeait une glace. Oubliée, sa mésaventure du métro new-yorkais, lorsqu'elle peinait à valider sa carte de transport.

    Hillary Clinton célèbre sa victoire mardi soir à New York.

    Hillary Clinton célèbre sa victoire mardi soir à New York.

    Hillary Clinton, de l'avis de ses plus fervents supporters, n'est «pas parfaite», mais elle parvient à enrayer la série de sept victoires consécutives de son rival Bernie Sanders, vent en poupe depuis le 22 mars. Le sénateur «socialiste» du Vermont, à New York, a drainé les foules, mais perdu du terrain, crédité de seulement 41% des suffrages. En voulant paraître dur face à Clinton, un peu contre sa nature, il s'est fourvoyé en osant la juger «non qualifiée» pour exercer la mandature suprême. «Il ressemble à un vieux bougon et, depuis deux semaines, Hillary, elle, toujours moquée pour son sourire forcé, a réussi à apparaître comme une guerrière joviale», résume Mark Halperin, de Bloomberg.

    La victoire est à la mesure du professionnalisme de son équipe de campagne, qui peut sereinement envisager une nomination, avec 1887 voix de délégués sécurisées sur les 2383 nécessaires pour décrocher l'investiture en juillet lors de la convention nationale démocrate de Philadelphie. Mais Sanders, comme Cruz et Kasich, a promis de vendre chèrement sa peau.

    LE FIGARO