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  • Un tweet de Julien Rochedy

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  • Autriche : l'extrême droite en tête au premier tour de la présidentielle

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    Home ACTUALITE International

     

    Le candidat du parti d'extrême droite, le FPÖ Norbert Hofer, arrivé en tête du premier tour des présidentielles dimanche.

    Le parti national-populiste FPÖ est arrivé largement en tête du premier tour de l'élection présidentielle, avec 35,5% des voix selon les premières estimations. Les partis social-démocrate et conservateur sont éliminés.

     

    L'extrême droite est arrivée dimanche largement en tête du premier tour de l'élection présidentielle en Autriche, les partis social-démocrate et conservateur réunis au sein d'une grande coalition depuis 2008 étant pour la première fois éliminés d'entrée, selon des projections et des résultats partiels à la sortie des bureaux de vote. Le candidat du parti FPÖ, Norbert Hofer, est crédité de 35,5% des voix, réalisant le meilleur résultat de cette formation depuis la guerre à une élection nationale en Autriche.

    Un écologiste, Alexander Van der Bellen, se hisse pour la première fois au second tour avec 21,1% des suffrages, aux dépens d'une candidate indépendante, Irmgard Griss (18,8%), selon des projections actualisées. Le candidat social-démocrate Rudolf Hundstorfer (SPÖ) et le conservateur Andreas Khol (ÖVP) sont éliminés avec respectivement 11% et 11,2% des voix seulement chacun.

    Même si la fonction du président autrichien est essentiellement honorifique, cet échec représente un coup de semonce majeur pour le chancelier Werner Faymann (SPÖ) et pour le vice-chancelier Reinhold Mitterlehner (ÖVP), dont les mandats courent jusqu'en 2018. Ces deux partis ont toujours contrôlé la présidence depuis la Seconde guerre mondiale, soit avec un élu issu de leurs rangs, soit avec un indépendant qu'ils soutenaient.

    Discret vice-président du parlement, Norbert Hofer, 45 ans, se veut une incarnation de l'aile libérale du FPÖ, l'ancienne formation de Jörg Haider, loin des dérapages qui avaient marqué la campagne de sa collègue Barbara Rosenkranz en 2010. Benjamin des candidats, cet ingénieur aéronautique réputé pour sa courtoisie et partiellement handicapé à la suite d'un grave accident de parapente, a particulièrement séduit l'électorat jeune, selon les analyses.

    Son avènement consacre la montée en puissance du FPÖ alors que la coalition gouvernementale est chahutée par la crise des migrants et la montée du chômage dans ce pays prospère. Le parti a déjà dépassé la barre des 30% des suffrages à plusieurs scrutins régionaux l'an passé.

    «Résultat historique»: une première depuis 1945

    «C'est un résultat historique, qui reflète les qualités de Norbert Hofer, mais aussi une profonde insatisfaction vis-à-vis du gouvernement», a souligné le chef du FPÖ, Heinz-Christian Strache, à la télévision publique ORF.

    M. Van der Bellen, un ancien professeur d'université de sensibilité centriste, portera les espoirs du camp de gauche et de la droite modérée au second tour. Théoriquement indépendant, il est soutenu par les Verts, un parti qu'il a longtemps dirigé.

    Quelque 6,4 millions d'électeurs étaient appelés aux urnes pour désigner un successeur au social-démocrate Heinz Fischer, qui achève son deuxième mandat et ne pouvait pas se représenter.

    Le président autrichien, élu pour un mandat de six ans renouvelable une fois, ne participe pas à la gestion au quotidien du pays et est réduit d'ordinaire à un rôle protocolaire et moral. Il dispose toutefois de pouvoirs formels étendus: il est chef des armées, nomme le chancelier et peut dans certaines circonstances dissoudre le parlement. Au cours de sa campagne, M. Hofer a ouvertement menacé, s'il était élu, de recourir à cette possibilité si la majorité ne suivait pas ses recommandations concernant notamment le dossier des migrants. De son côté, M. Van der Bellen a annoncé qu'il refuserait de nommer chancelier le chef du FPÖ, Heinz-Christian Strache, même si ce dernier obtenait la majorité au parlement lors des prochaines législatives.

    Six personnes étaient candidates à la présidentielle, un record pour l'Autriche. M. Fischer n'avait eu à affronter qu'une seule concurrente lors de son élection en 2004, et deux pour sa réélection en 2010, l'emportant à chaque fois au premier tour.

    Quelque 10% des électeurs ayant demandé à voter par correspondance, le résultat définitif de ce premier tour ne sera pas connu avant lundi soir. Le deuxième tour de ce scrutin traditionnellement défavorable à l'extrême droite aura lieu le 22 mai.

  • Autriche : l'extrême droite en tête au premier tour de la présidentielle

    http://www.leparisien.fr/international/autriche-l-extreme-droite-en-tete-au-premier-tour-de-la-presidentielle-24-04-2016-5741659.php

    Pinkafeld (Autriche), dimanche. Norbert Hofer, le candidat du FPÖ, formation d'extrême droite, arriverait largement en tête du premier tour de l'élection présidentielle

     

  • La protection de Julie Gayet coûte 400 000€ par an ! Et le coiffeur de François Hollande…

     

    gayethollandeDepuis plus d’un an, Julie Gayet bénéficie d’une protection policière permanente.

    Et cela en tant que « petite copine » de François Hollande… Enfin, aux dernières nouvelles, car elle l’avait largué, puis repris.

    Bref, elle ne se déplace plus sans garde du corps rémunéré par le contribuable.

    Dans leur livre l’Elysée Off, Aziz Zemmouri et Stéphanie Marteau en disent plus sur les conditions de la protection de l’actrice. « La compagne du président dispose d’une protection personnelle, composée de deux équipes tournantes de deux policiers et deux gendarmes. » Une protection qui selon les chiffres de la cour des comptes est estimée entre 287.000 et 400.000 euros ! « le coût annuel d’un officiel du GSPR est en moyenne de 71879 euros et peut monter jusqu’à 100000 euros »).

    Dans le même livre, on apprend que le coiffeur de François Hollande (si si, il en a un) est rémunéré mensuellement, et pour la somme de … 8000 euros !

    A côté de cela, il y a toujours plus d’impôts.

  • Pour le ministre Najat Vallaud-Belkacem, un plat avec du porc est un plat « confessionnel » !

     

    Afficher l'image d'origineVoilà où nous en sommes en France, en 2016 !

    Suite à la décision du maire de Chalon-sur-Saône de supprimer des cantines scolaires municipales le «menu de substitution » (c’est-à-dire sans porc), le ministre de l’Education nationale (sic) a déclaré dans le Figaro : « Supprimer la possibilité d’avoir un menu non confessionnel, je trouve que c’est une façon, en réalité, d’interdire l’accès de la cantine à certains enfants. »

    Résumons sa pensée : un plat halal préparé spécialement pour un enfant musulman est désigné ici sous le terme « menu non confessionnel », par opposition au « jambon-purée » considéré comme un mets confessionnel…

  • VIDEO - Jean Raspail : « Le Sida mental est toujours là »

    https://youtu.be/9OmqLVVOZMw

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    24/04/2016 – ALLEMAGNE (NOVOpress) : « Le Sida mental est toujours là », déplore Jean Raspail dans un hommage appuyé à Louis Pauwels, qui avait fait du Figaro Magazine un organe de combat.

    Dans le plus célèbre des éditoriaux du Fig Mag, paru le 6 décembre 1986 sous le titre « Le Monome des zombies », Pauwels avait écrit, concernant cette génération qui défilait dans la rue et est, trente ans plus tard, celle qui est au pouvoir :

    « Ce sont les enfants du rock débile, les écoliers de la vulgarité pédagogique, les béats nourris de soupe infra idéologique cuite au show-biz, ahuris par les saturnales de “Touche pas à mon pote”. Ils ont reçu une imprégnation morale qui leur fait prendre le bas pour le haut. Rien ne leur paraît meilleur que n’être rien, mais tous ensemble, pour n’aller nulle part. […] Ce retour au réel leur est scandale. Ils ont peur de manquer de moeurs avachies. Voilà tout leur sentiment révolutionnaire. C’est une jeunesse atteinte d’un sida mental. Elle a perdu ses immunités naturelles ; tous les virus décomposants l’atteignent. Nous nous demandons ce qui se passe dans leurs têtes. Rien, mais ce rien les dévore. »

    Dans cette vidéo réalisée pour le colloque Iliade « Face à l’assaut migratoire, le réveil de la conscience européenne », qui vient de se tenir à Paris, l’auteur du Camp des saints, paru en 1973, s’interroge. Est-il encore possible de stopper l’invasion de l’Europe ? Peut-on vaincre le terrorisme islamiste ? Oui, à condition de faire sauter les barrières mentales et d’arrêter de pleurnicher :

    « Tant qu’il n’y a pas de colère, je ne vois pas du tout comment on s’en sortira. C’est une réaction normale la colère : on vous déclare la guerre, on répond. On ne va pas mettre des fleurs aux premiers morts : on venge les morts ! »

    Jean Raspail revient aussi sur la célèbre couverture du Figaro Magazine, « Serons-nous encore français dans 30 ans ? », qui avait fait scandale en 1985, sur ce « Big Other » qui réifie l’Autre et sur le bâillonnement de la parole des Français : « Si la population ne recouvre pas la totalité de sa liberté d’expression, même si elle est exagérée, on n’en sortira pas non plus. »

     

  • Finlande: quand des parents (fous) prêtent leurs fillettes aux clandestins...

    http://www.delitdimages.org/parents-fous-pretent-leurs-fillettes-aux-clandestins/

    VIDEO à voir absolument

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  • Norvège: une ministre se jette à l'eau pour comprendre le «point de vue» des migrants !

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    Sylvi Listhaug se jette à l'eau pour comprendre le point de vue des migrants qui se dirigent vers l'Europe.

    La ministre norvégienne de l'Immigration s'est jetée à l'eau au large de Lesbos, en Grèce ce mardi, en tenue de survie...pour se mettre dans la peau des migrants. Une initiative largement moquée par ses compatriotes.

     

    Sylvi Listaugh a fait le grand plongeon. La ministre de l'Immigration norvégienne, voulant adopter le point de vue des migrants qui traversent la mer pour rejoindre l'Europe, a décidé mardi 19 avril de se jeter à l'eau au large de l'île de Lesbos, en Grèce. «Vous ne pouvez pas vous mettre dans la même situation que les réfugiés, mais vous pouvez la voir depuis leur point de vue, ce que c'est d'être ainsi dans l'eau» a déclaré à la ministre auprès de la chaîne norvégienne NTB scanpix.

    Accompagnée en mer par des sauveteurs norvégiens venus apporter leur aide aux migrants rescapés, la ministre a voulu marquer son voyage par un acte symbolique en se jetant à l'eau, relève l'hebdomadaire Paris Match. La ministre a cependant concédé aux journalistes que les migrants, eux, ne portaient pas de tenue de survie lorsqu'ils tentent d'atteindre la Grèce pour essayer d'atteindre l'Europe et notamment l'Angleterre.

    Sylvi Listhaug, issue d'un parti anti-immigration, avait déjà fait parler d'elle en janvier dernier en renvoyant des migrants de la Norvège vers la Russie par -30°. La ministre avait alors défendu sa décision par une remarque quelque peu déroutante, avançant que «quand des personnes n'ayant pas le droit de séjour en Norvège sont renvoyées vers d'autres pays, cela implique dans la plupart des cas qu'elles repartent vers des conditions moins bonnes qu'en Norvège, tout simplement parce que la Norvège est un des pays où il fait le mieux vivre».

     Avec son saut à la mer de mardi, la ministre s'est à nouveau assurée les moqueries des internautes, notamment sur le réseau Twitter où une députée socialiste norvégienne, Karin Andersen, est allée jusqu'à proposer à la ministre de l'Immigration «d'ouvrir sa fenêtre pour comprendre le point de vue des sans-abri»... D'autres twittos se sont amusés à parodier la symbolique de ce «plongeon politique» en imaginant la ministre dans un verre d'eau, pour plus de sécurité.

    LE FIGARO

    GROTESQUE!

     

  • Le Prince de ce monde, par Richard Millet

     

     

    23/04/2016

     
     

    Chronique n°61

     

    Le Prince de ce monde

     

    Voilà qu’avec la mort d’un certain Prince, dont j’ignorais l’existence, la presse a trouvé l’occasion d’un de ces orgasmes planétaires qui lui permettent de se détourner davantage de la vérité, et même de  l’obsession des « migrants » – 500 d’entre eux ayant pourtant fait naufrage, cette semaine, « redoute » l’ONU, pour peu qu’il ne s’agisse pas d’un mensonge destiné à rappeler les bobos à leur office lacrymal, quel que soit le stade du jour ou de la nuit, tandis que les décideurs malthusiens trouvent que de tels naufrages sont un excellent régulateur démographique de l’immigration clandestine, en même temps qu’un avertissement lancé « en direction » de ces réfugiés économiques. La chaîne de propagande franco-allemande Arte a bien diffusé, avec le ton d’indignation frémissante qui lui est propre, un reportage sur une très méchante milice bulgare qui seconde la police dans la chasse aux « migrants » qui traversent clandestinement la frontière ; il n’en reste pas moins que le cliché migratoire est fatigué, ou épuisé, et que la mort de Prince, marque déposée, toxicomane, érotomane et Témoin de Jéhovah (je comprends pourquoi, lors de mon séjour à Minneapolis, on ne m’a pas parlé de cet androïde), cette mort a donné à la propagande l’occasion de déverser exactement les mêmes, serviles et pornographiques louanges que pour la mort de David Bowie.

                La sous-musique et ses consommateurs dégénérés mènent le monde ; et il y a longtemps que je soupçonne ce genre de musique d’être un des instruments favoris du Prince de ce monde. J’imagine que je recevrai encore des courriels courroucés de lecteurs qui tenteront de me représenter que je suis dur, élitiste, intolérant. Ne pas savoir qui était Prince est nonobstant une nécessité pour les esprits libres et purs. Rappeler que Satan, Prince de ce monde et Seigneur des mouches littéraires et politico-journalistiques, mène le bal en un monde entièrement inversé est un devoir constant.

                Infiniment plus importante que la mort de ce chanteur à la voix de châtré : les procès qui ont lieu en Turquie, où des journalistes et des universitaires se sont vus inculpés d’atteinte à la sûreté de l’Etat pour avoir montré les liens du pouvoir turc islamiste avec Daech, dans sa tentative pour prendre en tenaille les Kurdes du PKK et leurs alliés irakiens. Il s’agit donc là d’un délit d’opinion, d’une atteinte à la liberté d’expression, et je suis enclin à mettre sur le même plan ces inculpations et mon licenciement à la suite de l’article paru dans le n° 61 de la Revue littéraire. Dans un cas comme dans l’autre, et sans perdre de vue les proportions, il s’agit de museler ou de faire payer ceux qui disent la vérité, là au nom de la sûreté de l’Etat, ici au nom de la sûreté d’une entreprise phare du système médiatico-littéraire, lequel est aux mains non pas (encore) d’un sultan islamiste mais d’un groupe de banquiers de gauche, riches homosexuels, éditeurs fortunés, journalistes francs-maçons, les uns et les autres responsables, avec la déchéance de l’Education nationale, de l’état de misère en milieu littéraire et du bannissement des déviants qui montrent les liens entre la sous-littérature qui a pris le pouvoir et, par exemple, les ravages du multiculturalisme –ce qui n’implique pas, comme le stridulent quelques insectes, dans la presse stipendiée, que je me prenne pour un martyr, ni que je juge tout mauvais dans ce qui se publie, ni même que je me prenne pour le dernier écrivain, ces imbéciles se fiant à mes seuls titres, au lieu de me lire vraiment.

                Oui, parler coûte cher, en Turquie comme en France, pays où, cependant, tout en gardant leur poste, un journaliste peut être convaincu de plagiat ou un ministre soupçonné d’un accès de priapisme sur une femme qui se penchait devant lui. Je suis loin, aujourd’hui, de cette pourriture… Me voilà inscrit au chômage. Il n’y avait pas un seul bobo, hier, dans les bureaux de Pôle emploi. C’est aux bigots du nouvel ordre moral, actuellement en vacances, que je songeais devant ces visages clos ou défaits, ces corps malhabiles, quasi honteux, pour certains – la honte d’être chômeur finissant par me gagner à mon tour.

     

  • Complicités, par Richard Millet

     

     

    21/04/2016

     
     

    Chronique n° 60

     

    Complicités

     

    J’ignore ce qu’on enseigne exactement (pour peu qu’on « enseigne » encore, en France, quelque chose qui ait le sens d’un héritage culturel) dans l’établissement d’enseignement supérieur appelé familièrement et uniquement Sciences-Po – au point que le nom officiel disparaît déjà sous l’effet de l’ignorance et de la métamorphose de cet établissement en laboratoire de destruction politiquement correcte des valeurs françaises – c’est-à-dire chrétiennes. L’établissement vient donc d’organiser un « hijab day » pour lutter non pas contre la christianophobie* mais, bien sûr, contre l’islamophobie  « ambiante » et prêcher la « tolérance » en invitant les étudiantes à venir voilées, sans dire si les mâles devaient revêtir calotte et djellabah, ni si le cocktail serait hallal, encore moins si Dolce et Gabbana ou H&M « sponsoriseraient » un « événement » dont il n’est pas indifférent qu’il fût libellé en globish – pour plaire au capitalisme mondialisé et, par exemple, se démarquer d’un film tel que La Journée de la jupe, qui osait montrer la détresse d’un professeur femme devant la violence, en banlieue, d’une classe à population fortement immigrée : ce genre de cas, pourtant multiple, n’intéresse nullement les libéraux bobos de Sciences-Po, plus proches de  Justin Trudeau, illuminé apôtre du multiculturalisme à tous crins que de ce qu’il reste de l’authentique peuple français, qu’ils méprisent ouvertement.

                Il paraît que ce « day » a été un échec, les greluches sciences potardes n’ayant pas poussé la tolérance jusqu’à se hijabiser ; mais les « prises de parole »  et les « débats » ont été riches et « citoyens », comme on le dit à la Standing Night de la place de la République, où les mêmes ilotes du nouvel ordre mondial ont su émouvoir les pleureuses professionnelles de la Ligue des Droits de l’Homme qui réclame pour eux, au nom de la dignité humaine, l’installation de toilettes publiques, la tolérance boboïque ayant besoin de son petit confort, au lieu de pisser sous les yeux des CRS qui, ayant réprimé les Veilleurs parce que catholiques opposés au mariage homosexuel, ont cette fois ordre de ne point bouger devant les gauchistes en train d’installer là une succursale de Notre-Dame-des-Landes.

                Le ridicule de la « tolérance » le disputant à l’obscénité des « droits », le même jour Anders Breivik gagnait le procès pour « traitements inhumains » qu’il avait intenté à l’Etat norvégien, obtenant en outre 35000 euros de dédommagements pour ses frais de justice. Libre à certains de voir là le « triomphe de la démocratie » ; il me semble que c’est, comme dans le cas des « migrants » et du « racisme » supposé, tout le contraire qui a lieu : les dérives de la démocratie (l’antiracisme d’Etat, le multiculturalisme, le refus d’être soi, la ruine de la culture européenne, la haine du catholicisme) ont engendré Breivik, le terrorisme islamique, le « hijab day », le délire immigrationniste de Trudeau, de Merkel, du pape et de tous les dormeurs debout de l’espace-France. On imagine sans mal les ricanements de l’Etat islamique devant la cynique connerie des idéologues de Sciences-Po qui deviennent ainsi des complices objectifs du terrorisme islamique et qui fait des criminels des bobos mondialistes qui pensent encore que l’islam est compatible avec la démocratie petite-bourgeoise européenne social-démocrate. Les prochains attentats ne suffiront pas à les convaincre du contraire.

     

    _______

     

    * Faites l’expérience : écrivez christianophobie, et le correcteur automatique soulignera le mot comme étant inexistant, alors qu’islamophobie est évidemment recevable.

     

     

     

  • A Hanovre, des milliers d'Allemnds manifestent contre le traité de libre-échange

    http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2016/04/23/20002-20160423ARTFIG00087-des-milliers-d-allemands-manifestent-contre-le-libre-echange.php

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  • Seine-et-Marne : un serrurier tabassé par trois adolescents qui le croyaient juif

     

    Marion Kremp | | MAJ :

     
     

    Comment l'idée a-t-elle pu les effleurer à l'écoute d'une publicité pour un serrurier sur la radio communautaire juive Radio J ? Pour l'instant, le flou persiste. Trois mineurs de 15 ans viennent d'être placés sous contrôle judiciaire par le parquet de Meaux (Seine-et-Marne) pour avoir passé à tabac un serrurier qu'ils pensaient de confession juive.


     Fin novembre, les trois lycéens entendent une publicité pour un serrurier du XIe arrondissement de Paris dont le nom a une consonance juive. A une récréation, l'un d'entre eux emprunte le portable d'une autre élève. Il appelle la société et lui demande un devis pour l'installation d'une porte blindée. Rendez-vous est donné à une adresse bidon à Bussy-Saint-Georges (Seine-et-Marne). Là, les adolescents, visage masqué, armés d'un couteau et d'une bombe lacrymogène, tombent sur la victime, salariée de l'entreprise.

    L'un a été identifié



    S'ensuit un torrent de coups de pied, de coups de poing mais aussi d'insultes et de menaces de mort. Comme « Donne ton pognon, sale juif », ainsi que l'a rapporté l'employé aux policiers du commissariat de Chessy. Il est dépouillé de son smartphone, d'une montre de marque et de quelques papiers. Durant son agression, qui lui a valu une courte hospitalisation, le serrurier, qui s'est débattu, a aperçu le visage d'un des adolescents. Un signalement précieux.

    Interpellés mardi à leurs domiciles familiaux respectifs, les trois jeunes sont restés quasi muets, concédant au final des récits sans queue ni tête. Le premier assure n'avoir passé que le coup de téléphone, sans connaître le dessein de ses copains. Un autre aurait seulement été présent mais n'aurait pas porté les coups. Le dernier, identifié comme l'agresseur par la victime, nie les faits en bloc. En épluchant son téléphone, les enquêteurs sont tombés sur des messages à caractère antisémite : « Je les [h]ai[s] », écrit-il, avec une faute d'orthographe, à propos des juifs. Mis en examen, les adolescents devront répondre de violences en réunion avec arme, injures raciales et menaces de mort. Ils ont l'interdiction d'entrer en contact les uns avec les autres. L'enquête se poursuit pour déterminer les rôles de chacun.

    LE PARISIEN

  • HUMOUR

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    (Merci à Dirk)

  • Pour l'abandon définitif des dissections au collège et au lycée

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    Jean SERVANT
    France
    41 740
    signataires

    En novembre 2014, le ministère de l'éducation nationale communiquait enfin la loi découlant d'une directive européenne et interdisant les dissections sur Vertébrés entiers élevés dans le seul but d'être disséqués.

    Une organisation syndicale enseignante est parvenue à trouver une faille dans l'application de la directive afin de défendre le droit à vagabonder dans les entrailles d'une souris et défendre ainsi l'idée que l'intérêt de la dissection prévaut sur l'intérêt à vivre des souris.

    Au delà de l'anatomie que les élèves oublieront quelques semaines après la dissection, ce qui s'imprimera en eux est l'idée selon laquelle la force fait le droit et que la vie même des êtres sensibles est méprisable devant l'intérêt à observer des ovaires ou une vessie.
    Ils apprendront aussi à obéir lorsqu'une autorité leur demandera de mettre en oeuvre des actions allant à l'encontre de leur sens éthique.
    Ils apprendront à réifier un animal au nom de "la confrontation avec le réel"
    Au final ils retiendront que la vie d'un être sensible ne vaut pas grand chose (précisément 1,97 € par souris*)

    La ré introduction de cette pratique archaïque renforce la pensée discriminante visant à mépriser les intérêts capitaux des individus qui n'appartiennent pas au bon groupe biologique, ici les non humains, pour le profit hautement dispensable des élèves. Cette idéologie "spéciste" est pourtant condamnée par l'association des psychologues de l'éducation nationale**. 

    Par la défense du droit à tuer des êtres sensibles pour des prétendus intérêts pédagogiques, est balayé d'un revers de main toute tentative d'éducation à l'empathie, au souci de l'autre, et aux valeurs qui fondent notre commune humanité. N'est-ce pourtant pas l'urgence d'aujourd'hui ?

    Il existe de nombreuses alternatives (modèles physiques ou virtuels) à la dissection.

    Pour ces raisons nous demandons l'abolition des dissections dans les établissements d'enseignement primaire et secondaire. En accord avec la directive européenne 2010/63/UE nous vous demandons de mettre un terme à cette pratique.

    Si d'aventure les dissections devaient persister dans les écoles, collèges et lycées, alors nous demandons à ce que les élèves désirant disséquer soient contraints à formuler par écrit une demande signée mentionnant qu'ils sont pleinement conscients des alternatives mais qu'ils estiment que leur volonté à disséquer prévaut sur la volonté de vivre d'un être sensible.