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  • Place de la République, les riverains excédés par Nuit debout

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    Des manifestants en marge de Nuit Debout place de la République, le 22 avril 2016 à Paris.

     Habitants et commerçants protestent contre les nuisances sonores et dénoncent les dégâts provoqués par les actes de vandalisme et les affrontements entre CRS et manifestants en marge du mouvement. Certaines enseignes se plaignent d'une baisse de chiffre d'affaires.

     
     

    Sur la place de la République à Paris, on a plus vite fait de compter les devantures encore intactes, trois semaines après le début du mouvement Nuit debout. Les vitrines des commerces de la place sont émaillées d'impacts de projectiles ou souillées par des tags. Les distributeurs de billets sont repeints, et les devantures de banques couvertes d'inscriptions. La multiplication des nuisances et des actes de vandalisme en marge de Nuit debout agace riverains et commerçants, qui commencent à le faire savoir. «Notre vitrine a déjà été brisée trois fois», s'agace Johann, responsable de la brasserie La Taverne, à l'angle de la place et du boulevard Voltaire. «Alors que les beaux jours reviennent, nous avons dû évacuer la terrasse à plusieurs reprises sur demande des CRS qui s'apprêtaient à charger...» À cela s'ajoute le défilé permanent de personnes qui demandent à utiliser les toilettes. «On finit par les nettoyer trois fois par jour pour qu'elles restent présentables», poursuit Johann.

    Des histoires similaires se multiplient partout sur la place. Le 10 avril dernier, des projectiles brisent la véranda du Roi du Café en plein service. Les débris s'effondrent à l'intérieur du restaurant, alors que des clients sont attablés. Deux jours plus tard, la véranda est à nouveau détruite, mais pendant la nuit cette fois-ci. Le 21 avril, quatre individus en marge de Nuit debout empruntent une porte de secours et grimpent sur le toit du Crowne Plaza, un hôtel quatre étoiles qui donne sur la place. Bilan: le quatrième étage taggué et un peu de casse qui s'ajoute à une vitre brisée une semaine plus tôt dans des affrontements entre les CRS et les manifestants. Vendredi dernier, le propriétaire d'un laboratoire d'analyse retrouve le trottoir de sa devanture jonché de débris de verre, et un éclat dans sa porte qui ressemble, selon lui, à un impact de projectile de petit calibre.

    «On finit par avoir peur de sortir le soir»

    La plupart des commerçants s'accordent pour remarquer une baisse d'activité ces dernières semaines. «Je n'ai pas encore fait les comptes, mais j'estime que ma clientèle a été divisée par deux ce mois-ci», assure Isaac Levy, gérant d'une franchise Optic 2000 qui donne sur la place. Il ouvre un classeur dans lequel il consigne ses quittances de loyers: «Regardez combien je paye par trimestre... C'est impossible de s'en sortir dans ces conditions», estime-t-il. Il vient d'adresser un courrier à son bailleur pour demander un geste.

    «Pour nous, les nuisances ne viennent pas tant des participants à Nuit debout que des mouvements qui se greffent autour», tempère Jean-Pierre Olivier, président de l'association des commerçants de la place de la République. «Certains individus ont des comportements inacceptables. Ils s'invectivent, boivent et s'arrogent le droit de passer de la musique toute la nuit», explique-t-il.

    Autant de nuisances qui n'épargnent pas les riverains. «Tous les sons arrivent jusqu'à nous», s'agace un professeur d'économie. «Ils passent leur musique jusqu'à 6 heures du matin. J'ai un enfant en bas âge qui ne fait plus ses nuits, il en est tombé malade.» Depuis le début du mouvement, l'association Vivre le Marais, qui lutte contre les nuisances sonores, enregistre de nouvelles adhésions. «En plus des nuisances nocturnes, s'ajoutent celles qu'il faut subir au petit matin, lorsque la place est nettoyée par les services de la ville», ajoute Gérard Simonet, président de l'association. D'autres riverains soulignent les problèmes de sécurité causés par les affrontements entre CRS et manifestants. «On finit par avoir peur de sortir le soir», assure une dame dont l'appartement surplombe la place. «Je croyais qu'on était en état d'urgence...» À la mairie de Paris, on plaide l'apaisement. «Ça s'est beaucoup amélioré ces derniers jours», explique-t-on au service communication. «Nous prenons en compte chaque remarque critique, mais pour autant la cohabitation se passe plutôt bien. Il y a eu une phase assez délicate deux semaines plus tôt, mais actuellement, on note une baisse des troubles à l'ordre public.»

    LE FIGARO

  • Le chanteur black Will.I.Am, nouvel ambassadeur du Louvre

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    26/04/2016 – PARIS (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Le leader des Black Eyed Peas (groupe d’electro dance américain), Will.I.Am, invite à célébrer le Louvre en sortant simultanément le clip Mona Lisa Smile, où il s’insère dans plusieurs chefs-d’œuvre du musée, et un documentaire autour du département des Objets d’art.

    « Je veux donner aux gens l’envie de venir au Louvre ou même d’aller dans les musées près de chez eux » : c’est avec ces mots que le leader des Black Eyed Peas explique, dans le documentaire intitulé sobrement Will.I.Am au Louvre, l’origine de ce projet réalisé en collaboration avec l’institution muséale la plus fréquentée au monde.

    Dans le clip Mona Lisa Smile, cet artiste américain se glisse et désacralise ainsi des œuvres classiques du Louvre, de la Joconde de Vinci à La liberté guidant le peuple de Delacroix ou L’Astronome de Vermeer.


    Will.i.am – Mona Lisa Smile ft. Nicole Scherzinger par louvre


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  • L’actuelle inversion des valeurs en Europe occidentale

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    Dr Bernard Plouvier, auteur, essayiste ♦

    Autrefois, quand un étranger s’établissait dans un pays d’accueil, il en adoptait la langue et les usages. C’était à la fois une manifestation de pure logique et un désir d’intégration (qui ne signifie pas obligatoirement : assimilation, qui – elle – implique une union physique par mariage et engendrement).

    De nos jours, où les maîtres du jeu économico-politique veulent casser les valeurs identitaires (si l’on préfère : les valeurs nationales), les immigrés sont encouragés à se comporter en envahisseurs, exigeant le respect de leurs usages exotiques et ne prenant pas toujours la peine d’apprendre la langue du pays, qu’ils considèrent davantage comme une zone à conquérir que comme un site de refuge.

    Ils y sont grandement aidés par une multitude de collaborateurs locaux qui préfèrent sacrifier les coutumes ancestrales à l’ombrageuse fierté des envahisseurs. Les boucheries hallal remplacent les boucheries de tradition ; le porc disparaît des cantines de l’État ou des municipalités ; le port de la chemise brodée d’édelweiss est devenu prohibé par nombre d’enseignants suisses qui tolèrent parfaitement que de jeunes musulmanes arborent leur voile islamique ; les islamistes peuvent hurler leurs prières en pleine rue, le vendredi soir, et nombreux sont les politiciens à aider, avec l’argent public, la construction de mosquées.

    L’on pourrait multiplier les exemples de cette inversion de polarité. Plutôt que de forcer les nouveaux venus, issus de cultures et de mentalités opposées à celles des Européens, on exige des autochtones, pourtant encore majoritaires, une tolérance d’usages médiévaux, d’abus manifestes, d’ingérences multiples dans la vie de la Nation.

    Ceci s’explique très aisément. La veulerie d’une majorité de citoyens-électeurs a permis l’accès aux apparences du Pouvoir d’une cohorte de politiciens rarement efficaces, parfois corrompus, mais tous soumis à la propagande globalo-mondialiste qui exige, pour assurer la pérennité de la domination des maîtres de l’économie, la réduction des Européens en un état proche de l’abêtissement, qui sera grandement favorisé par le brassage des races, riche d’une promesse de métissage généralisé.

    La grande peur des bien-pensants actuels est le réveil de fierté des Européens de souche, face à la désertification industrielle de leur continent, à l’afflux d’immigrés d’origine extra-européenne, à l’invasion par les islamistes conquérants.

    La vie en société doit tenir compte de l’opposition irréductible, car génétiquement programmée, entre les hommes d’ordre et les libéraux. Il ne s’agit pas de la simple opposition entre la « droite » et la « gauche » parlementaires, notions simplettes devenues universelles depuis les pitreries rhétoriques puis l’agitation sanguinaire des membres des assemblées françaises, qui ont débuté l’année 1789.

    Le tenant de l’ordre n’est pas obligatoirement un conservateur aux plans politique et social, mais il est de personnalité obsessionnelle. Fiable, psychorigide et intransigeant, il peut être altruiste, mais de façon méthodique, donc légaliste. S’il est sentimental, il devient le serviteur fanatiquement dévoué d’une grande cause. Sa motivation est le sens du devoir et le sens de l’honneur.

    Le libéral, en économie comme en politique, est un enthousiaste sectaire : il croit au progrès, mais il hait toute tradition. Altruiste avec l’argent commun, le produit des impôts, il peut être le pire des esclavagistes dans sa famille ou son entreprise. Le libéral est par essence un égoïste, dont la motivation est le succès personnel, un homme qui n’en fait qu’à sa guise tout en se donnant bonne conscience et en voulant paraître à son avantage dans la comédie humaine.

    En raison de caractéristiques cérébrales différentes, l’homme, plus rationnel, est bien plus légaliste que la femme, elle-même généralement plus sensible aux charmes d’un accommodement entre parties opposées. Cette propension féminine à « arranger les choses », à ne pas suivre les règlements, à détruire les valeurs anciennes et à tolérer l’importation d’absurdités exotiques pour éviter des affrontements, est à la mode en Europe occidentale, où les hommes se sont laissés imposer depuis 1945 le féminisme, dans tous ses débordements.

    Tant que les Européens n’auront pas pris conscience de l’érosion quotidienne de leurs valeurs identitaires par la mollesse politique et administrative, ils iront lentement mais sûrement vers la pire catastrophe de leur histoire.  La fin de l’Empire romain d’Occident pas plus que la Shoah ne furent des catastrophes européennes, mais elles en initièrent d’autres.

    Du IIIe au VIe siècles, l’Empire accueillit de gré ou de force des tribus germaniques (dont certaines aidèrent à repousser l’invasion asiate des Huns), mais ce fut l’occasion d’une régénération du capital génétique européen, tandis que la catastrophe venait de l’implantation d’une foi rejetant la force. Le christianisme fut l’un des pires agents de destruction de l’Empire romain d’Occident… en Orient, les empereurs ayant compris la leçon, domestiquèrent leurs patriarches et poursuivirent la rude tradition impériale.
    La Shoah fut une catastrophe pour les Juifs, mais elle leur permit d’obtenir un Etat indépendant en plus d’un afflux considérable – qui n’est toujours pas tari – de richesses. L’évocation quotidienne de cet épisode historique fut une catastrophe pour les Européens, étant source de dévirilisation, de repentance grotesque dans sa durée et ses effets, puisqu’étant devenue tous azimuts.
    Des pleurs sur le sort des Juifs on est passé à la ridicule tolérance d’un islam militant et conquérant, à l’abjecte résignation face aux viols de la dernière Saint-Sylvestre en Allemagne, aux discours absurdes, parce qu’incomplets, sectaires et faux, sur la colonisation et l’esclavage. Les politiciens mollassons d’Europe occidentale et scandinave enfoncent jour après jour les Européens dans leur abjection.

    L’Europe a besoin d’hommes d’ordre pour se régénérer. Leurs premières actions seront, bien sûr, de faire respecter les lois de séparation des États et des cultes par les islamistes et d’organiser le retour dans leurs continents d’origine des immigrés extra-européens, pour qu’ils puissent les civiliser, les faire prospérer à

    L’Europe n’est pas une terre d’islam et ne doit jamais le devenir. L’Europe n’appartient qu’à la race européenne, de la même façon que l’Afrique n’appartient qu’aux Africains.

    Illustration : Mons, capitale européenne de la culture 2015.

    (merci à Dirk)

  • Autriche : nouvel avertissement du peuple au système

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    Jean Bonnevey ♦

    Les partis européistes éliminés de la présidentielle dès le premier tour

    C’est une élection qui doit interpeller du coté de chez Hollande et de Sarkozy. Les deux candidats des partis de gouvernements autrichien – conservateur et socialiste ont été éliminés des le premier tour de la présidentielle. Celui qui arrive en tête est très largement le candidat classé à l’extrême droite. Son rival sera le représentant de la gauche écologique politique, une autre dissidence.

    Le vote sanctionne de fait l’Europe de Bruxelles et le traitement de la crise migratoire.

    C’est l’idéologie du système qui a été rejetée par le peuple autrichien dans cet espace alpin européen attaché à son identité traditionnelle. Pour Ursula Plassnik, ambassadeur d’Autriche en France, « un résultat, d’une telle ampleur, n’était pas prévu dans les sondages mais il était clair que le candidat du Parti de la liberté arriverait en tête« . Alors qu’il y a six ans, seulement un électeur sur deux était allé voter, cette année le taux de participation atteint les 70%, ce qui renforce encore un peu plus le score obtenu par le FPÖ. « C’est un vote de frustration, de protestation, peut-être même un vote de colère« , estime sur RMC Ursula Plassnik.

    Le FPÖ réalise son meilleur résultat à une élection nationale dans ce pays de 8,5 millions d’habitants. C’est même un plébiscite : en reportant 36,4 % des suffrages, Norbert Hofer fait nettement mieux que feu Jörg Haider, la grande figure de proue par le passé de cette formation, alliée au Front National à Bruxelles. Le candidat du parti FPÖ, créé par le sulfureux Jorg Haider aujourd’hui décédé, a fait connaître son intention de dissoudre le parlement si ce dernier ne changeait pas radicalement sa politique en matière d’accueil des étrangers dans ce pays. Cette élection marque aussi la fin d’une ère, car un ancien professeur d’université indépendant, Alexander Van der Bellen (20,4 %), soutenu par les écologistes, est arrivé en seconde position. Or jamais les Verts (Die Grünen) n’avaient, auparavant, réussi à se hisser au second tour d’une élection nationale en Autriche.

    Que le président autrichien n’exerce que des fonctions symboliques importe peu.  Ce qui compte en l’espèce est que l’élection au suffrage universel d’une autorité politique morale, puisse aboutir à ce résultat alors que depuis la fin de la guerre, les fonctions de président de la République ont été exercées soit par un social-démocrate, soit par un démocrate-chrétien. «C’est un résultat historique, qui reflète les qualités de Norbert Hofer, mais aussi une profonde insatisfaction vis-à-vis du gouvernement», a souligné le chef du FPÖ, Heinz-Christian Strache, à la télévision publique ORF.

    L’éventuelle victoire de l’extrême-droite en Autriche pourrait, au moment où la Grande-Bretagne connaît une période incertaine quant à l’issue du référendum sur la sortie ou le maintien dans l’Union européenne, contribuer à déstabiliser encore plus l’Europe.

    En France, la présidente du Front national, Marine Le Pen, elle-même donnée en tête pour la présidentielle de 2017, a salué un «résultat magnifique», tweetant «bravo au peuple autrichien». «Le national populisme hante l’Europe», a pour sa part estimé Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste français.

    Illustration : Victoire du FPÖ et de Norbert Hofer, qui était crédité de 18 à 22 % des suffrages par les sondages et qui a obtenu 35,5 % des voix ! Il affrontera au second tour de cette élection présidentielle au suffrage universel direct l’écologiste Alexander Van der Bellen, arrivé loin derrière avec 21 %.

    METAMAG

  • Marseille - Des mamans voilées surveillent leurs enfants à l'aire de jeux du square Rabatau (8ème)

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    Zoomez sur la photo

    Beaucoup de kébabs s'installent au Bd Rabatau: le quartier change...

    (Photo EB)

     

  • GR - Jeumont (59) : ouverture prochaine d’une boucherie halal

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    Depuis plusieurs jours, les riverains de la rue Hector-Despret, à Jeumont, ont pu s’interroger. Sur la façade du point chaud Crousti’pat, une nouvelle enseigne est venue se fixer : celle d’une boucherie halal. Une boutique qui ouvrira le 30 avril.

     

    [...] L’envie de démarrer une nouvelle activité et le départ du boucher apprécié de la supérette de la gare sont à l’origine de ce projet. « Nous allons avoir un vrai boucher de profession, qui fera les découpes sur place », se réjouit la jeune femme. La Boucherie jeumontoise ouvrira le 30 avril, le temps pour Nadia et son époux Hassan, de finaliser les derniers travaux de l’enseigne. [...]

    La Voix du Nord

  • Vers une Europe des patriotes ?

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    Seule une union, ou à tout le moins une entente, des patriotes pourra changer le visage du continent.

    Collaborateur parlementaire belge
     
    Son blog
     
     
     

    Partout en Europe, la vieille et la nouvelle, de l’Ouest et de l’Est, anglo-saxonne et carolingienne, la progression des formations politiques patriotes est linéaire. Dans un heureux paradoxe, malgré leur amour immodéré de la cause nationale et des frontières, ces rebelles de la politique contemporaine parviennent à cohabiter et tisser des liens, notamment au sein des institutions européennes qu’ils exècrent avec plus ou moins de retenue.

    Ce qui aujourd’hui les rassemble, c’est-à-dire essentiellement un discours anti-élites, un amour du pré carré, un respect des valeurs et une volonté de limiter l’immigration, pourrait demain, lorsqu’ils arriveront, simultanément ou successivement, au pouvoir – parce que c’est inscrit dans les astres -, laisser place à ce qui les divise.

    La frontière séparant les phalanges patriotiques est peut-être moins ténue qu’il n’y paraît. L’union des patriotes souffre de quelques écueils qu’il faudra surmonter.

    Les intérêts nationaux. Par définition, les patriotes défendent les intérêts égoïstes de leurs pays, souvent au nom d’une realpolitik qui ne s’encombre pas de sentiments. Seulement, les intérêts ne sont pas les mêmes au sein de chaque État. Les questions géostratégiques (par exemple entre pro-Russes et anti-Poutine), monétaires (pour ou contre l’euro) ou économiques sont potentiellement clivantes.

    Le différentiel de respectabilité. Dans de nombreux pays, les patriotes se divisent entre post-fascistes ayant accompli leur aggiornamento démocratique et dissidents de partis traditionnels. On imagine mal une cohabitation entre le souverainisme propre sur lui de Debout la France qui revendique être ni du système ni des extrêmes et le discours musclé du Vlaams Belang dont une figure historique a récemment déclaré « être fier d’être raciste ».

    L’idéologie. Il semble a priori difficile d’unir des patriotes populistes, souverainistes, libéraux, conservateurs ou socio-démocrates (essentiellement nordiques).

    L’écueil stratégique. Les patriotes se trouvent aujourd’hui dispersés dans les différents groupes politiques européens : pour schématiser de façon grossière, le patriotisme dur est représenté au sein de l’Europe des nations et des libertés et le patriotisme doux au cœur du groupe Europe de la liberté et de la démocratie directe. Pour ne rien arranger, le Fidesz hongrois émarge au Parti populaire européen et le Parti populaire danois aux Conservateurs et réformistes européens.

    L’Union européenne péchant par un déni de démocratie et de représentativité, et donc de légitimité, il importe, à moins d’en sortir complètement, de faire triompher une Europe des peuples. Une Europe des souverainetés. Une Europe des terroirs. Une Europe comme idéal de civilisation. Seule une union, ou à tout le moins une entente, des patriotes pourra changer le visage du continent. Il ne faudra pas rater l’occasion historique rendue possible par leur actuelle bonne santé électorale.

    BV

  • Marais poitevin : au printemps, la transhumance se fait sur l’eau

    http://www.francetvinfo.fr/france/marais-poitevin-au-printemps-la-transhumance-se-fait-sur-l-eau_1420761.html#xtor=AL-67-

    Ecrit le 25 avr 2016 à 11:23 par Eric Martin dans Nos brèves

     
     



     Tradition. Au début du printemps dans le Marais poitevin, huit éleveurs transportent leurs 150 bêtes sur la rivière vers des pâturages inaccessibles par voie terrestre. Une équipe de télévision les a suivis.
     
    NDF

     

  • Manuel Valls et la lâcheté de la (place de la) République

    Ecrit le 24 avr 2016 à 10:24 par Floris de Bonneville dans Poing de vue

     
     




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    Cette histoire de Nuit debout, véritable feuilleton pour écervelés, est à dormir debout. Par la lâcheté d’un Premier Ministre et d’un Président inexistants.

    Monsieur Valls, comment pouvez-vous tolérer l’occupation d’une place, symbole de la République, par ces quelques centaines ou milliers de désœuvrés sans foi ni loi qui n’ont qu’un seul but : refaire le monde en l’anéantissant. Qui se moquent comme de l’an 40, du Code du Travail. Qui veulent casser. Qui osent chasser, sans état d’une âme qu’ils n’ont pas, l’un de nos grands philosophes, qui plus est académicien. Mais savent-ils même ce qu’est l’Académie Française?

    Monsieur Valls, comment pouvons-nous tolérer de votre part, autant de faiblesse, autant de sectarisme. En 2013, vous n’aviez pas hésité à gazer des familles, à lancer vos gendarmes sur cette même place pour en évacuer, à coups de matraques et de GAV, les sages et disciplinés veilleurs issus de la Manif Pour Tous. Ils déclamaient du Molière, des poèmes, des pages de notre Histoire à la lumière de bougies vacillantes. Vous aviez alors fait remplir les autobus de la GAV, de gentils étudiants, de jeunes filles venues des beaux quartiers, de couples d’âge mur, et même  de quelques curés en soutane !

    Pourquoi cette différence de traitement ? Je crois deviner l’origine de ce sectarisme très en vogue chez les socialistes et autres gauchistes de tous horizons.

    En 2013, votre bien-aimé Président et alors protecteur, se croyait encore tout puissant. Gorgé de son discours du Bourget, et fier comme un paon. Mais en 2016, à un an de la Présidentielle, il en est tout autrement. Vous jugez que laisser pourrir la situation sur cette place symbolique, comme au métro Stalingrad, à Calais, à Rennes ou à Nantes, serait au final beaucoup plus bénéfique. Plus vous laisserez la France en état d’insurrection, de déliquescence, et osons écrire le mot, de bordel, plus vos adversaires à votre droite auront du mal à redresser le pays et à y faire respecter l’ordre sans risquer des débordements révolutionnaires dans nos rues.

    Ré-écoutez en boucle le témoignage qu’un gradé de gendarmerie, futur Général Soubelet sans doute, a donné au micro d’Eric Brunet dans lequel il décrit son écœurement de ne pouvoir réagir aux exactions et autre provocations que ses hommes et que les biens subissent de la part des antifas (plus fascistes que les plus fascistes) et autres casseurs ou branleurs de toutes sortes. « Nous assistons à ces débordements sans pourvoir réagir car les ordres n’arrivent jamais ! ». Oui Monsieur Valls, avec votre complice Cazeneuve, vous restez de marbre.

    Puisque vous arrivez en fin de course de votre parcours politique, vous que François Hollande utilise comme une poupée de cire, pourquoi ne pas réagir et agir. Un seul ordre de votre part, et quelques centaines de CRS entoureront cette place et la videront de tous ces énergumènes qui ne représentent rien d’autre que des 18-40 ans sans cervelle. Si, en fait, ils représentent, ils symbolisent l’ensemble de vos valeurs, celles qui conduisent la France au suicide.

    L’un de vos derniers actes n’est-il pas d’avoir puisé 4 milliards dans une caisse vide pour aider nos jeunes à partir de 18ans, avec un chèque mensuel de 500 euros et les encourager à rester tranquillement chez eux, chez leurs parents, et à les assoupir. Sûrement pas à les réveiller. La France Socialiste est décidément, en endormissement. Le réveil sera brutal.

    Nouvelles De France

  • ZOOM La petite histoire: Bertrand Du Gueslin, le dogue indomptable (vers 1320 - 1380)

    https://youtu.be/Q8-Y8Z2_jrY

     

    Vaillant, intrépide, bien que d'une laideur légendaire, Bertrand Du Guesclin est l'une des figures de proue du roman national. Toujours fidèle au roi de France, il mettra sa bravoure et ses talents militaires au service d'une seule cause : bouter l'Anglais hors de France. Racontée par Christopher Lannes, voici la petite Histoire de celui que la perfide Albion surnommait « le dogue noir de Brocéliande »

    TVL.