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  • Tribune libre – A quand une Europe fidèle à ses racines ? par Vincent Revel

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    L’Europe, telle une déesse des temps anciens, est une vielle dame qui a le secret de rester éternellement jeune et séduisante. Pour les technocrates de Bruxelles, elle ne représente qu’un système politique apatride et une économie mondialiste mais pour ceux qui l’aiment avec respect, elle est un continent-civilisation, elle est une histoire attachée à une mémoire et une promesse symbole d’un espoir.

    Vitrail Chartres

    Dire que l’Europe est de tradition chrétienne relève du bon sens. Ceci est une réalité, si ce n’est pour nos déconstructeurs multiculturalistes auxquels se joint, à la surprise de certains, le pape-altermondialiste François Ier. Face à l’énergie débordante de nombreux milieux gauchistes, qui tentent de couper les pays européens de leur héritage cultuel en virant vers un laïcisme pur et dur lorsqu’il s’agit de la seule Eglise catholique, des Européens, chrétiens pratiquants ou non, païens ou athées, essayent tant bien que mal de faire entendre un son de cloche différent.

    Martine Méheut, présidente de l’Union pour l’Europe fédérale, dénonçait, dans le quotidien la Croix, une construction européenne rétrécie « à l’aune des rationalités de l’économie » ainsi que le refus du gouvernement français de faire apparaître, dans une charte européenne, « une référence à l’héritage religieux » des Européens. A refuser « le passé de l’Europe et notre appartenance à une civilisation judéo-chrétienne », comment pouvons-nous prétendre fonder une Union européenne « respectueuse de ses différentes cultures » si nous sommes incapables de donner un sens autre qu’économique et social permettant de souder les nations européennes entre elles autour d’un projet d’espoir solidement enraciné dans notre Histoire commune ?

    Même Nicolas Sarkozy avait reconnu publiquement lors de sa visite à Rome, en décembre 2007, que « l’Europe s’est fourvoyée gravement dans le communisme et dans le nazisme » et il considérait « qu’une nation qui ignore l’héritage éthique, spirituel, religieux de son histoire, commet un crime contre sa culture. » « Arracher la racine, c’est perdre la signification. » Alors ne soyons pas dupes, dans la bouche de Sarkozy, il est vrai que ça sonne faux, mais, malgré tout, je ne peux que convenir que pour construire un projet d’avenir, l’Europe a un devoir de mémoire. C’est indispensable.

    Europe déesse sur le taureau Zeus

    Et dans ce devoir de mémoire, il est urgent d’arrêter les détracteurs de l’Occident, les adeptes du bien vivre ensemble qui nient volontairement, à des fins idéologiques, la singularité de nos patries. L’Europe, c’est la culture celte, la tradition germano-nordique, l’immense héritage gréco-latin, les mondes slave et finnois, c’est aussi le paganisme et la philosophie antique sur lesquelles est venue se greffer le christianisme. C’est un univers aux multiples richesses et visages ! Nous sommes loin de Molenbeek et de la Seine-Saint-Denis d’aujourd’hui et encore plus éloignés de l’esprit faussement « cool » adopté par les « bobos ».

    L’Europe c’est aussi l’amour du courage, du savoir, de l’honneur, de la liberté, c’est la communion avec la nature, c’est un attachement à l’expression artistique tant développée sur notre continent, c’est l’élévation en direction du ciel des tours-clochers des immenses vaisseaux gothiques.

    L’Europe ne peut être réduite à la commission corrompue de Bruxelles. L’Europe ne se quantifie pas et ne se laisse pas culpabiliser et enfermer dans des doctrines et des idéologies utopistes. La défaite de Norbert Hofer ne nous découragera pas car elle est plutôt le signe d’un possible réveil.

    Vincent Revel

  • Le leader des identitaires autrichiens à la manif « On est chez nous ! »

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    27/05/2016 – PARIS (NOVOpress) : Martin Sellner, le leader des Identitaires autrichiens, sera présent ce samedi à la manifestation « On est chez nous ! », dont le rendez-vous est fixé à 15 heures place Monge, à Paris. Il a enregistré une courte vidéo en français pour rappeler qu’en France comme dans toute l’Europe, « on est chez nous ! »

    (pas de code d'intégration)

     

  • Israël : 25 enfants palestiniens ont été tués en trois mois

    http://www.france-palestine.org/Vingt-cinq-enfants-palestiniens-ont-ete-tues-en-trois-mois

    L’Unicef dénonce « un usage excessif de la force » de la part d’Israël, et s’inquiète d’une hausse des détentions d’enfants.

    Lire!

  • Trump atteint le nombre de délégués nécessaire pour remporter l’investiture républicaine

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    17h42

    Seul en lice côté républicain depuis début mai, le milliardaire a remporté 1.238 délégués, alors qu’il en faut 1.237 pour remporter l’investiture du parti, selon Associated Press.

     

    Les voyants verts s’accumulent pour une investiture républicaine de Donald Trump dans la course à la Maison blanche. Le milliardaire, déjà seul en lice depuis le retrait de son dernier rival Ted Cruz début mai, vient de remporter le nombre de délégués nécessaire pour être adoubé par le parti républicain en vue de la présidentielle, annonce Associated Press ce jeudi.

    (…) BFM TV

  • Calais : bagarre géante entre migrants afghans et soudanais. Une vingtaine de blessés (MàJ vidéo)

    http://www.fdesouche.com/734287-calais-bagarre-geante-larme-blanche-entre-migrants-afghans-et-soudanais-une-vingtaine-de-blesses

    VIDEO, PHOTOS

  • La loi travail relance la lutte des classes et la CGT pour faire le lit de la gouvernance mondiale

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    Le blocage des raffineries, des centrales nucléaires et des transports par la CGT est une grande victoire de la loi travail. Celle-ci ne vise pas en effet à relancer l’économie, mais la lutte des classes : c’est un leurre pour détourner l’attention du peuple français de l’invasion en cours et mieux le mener, toutes frontières ouvertes, vers la gouvernance mondiale.
     
    Quand on voit en ce mois de mai l’économie française au bord de l’arrêt, juste quand Christine Lagarde, patronne du FMI, nous annonçait qu’elle allait mieux, la tentation est grande de prendre François Hollande pour un crétin, Manuel Valls pour un psychorigide, et Myriam El Khomry, l’inventeuse de la loi travail, pour une pouliche soumise au principe de Peter. L’implacable Martinez exulte, la CGT triomphe, l’une après l’autre les raffineries ferment leur robinet, les centrales nucléaires menacent de couper le courant, et, côté SNCF, la grève se prépare sérieusement ; nous ne serons pas déçus du voyage la semaine prochaine. Alors, nos dirigeants seraient-ils des amateurs, comme on l’entend ici ou là, incapables de mesurer la résilience des travailleurs, oublieux des leçons de l’histoire (il ne faut pas provoquer la gauche en mai), des apprentis sorciers qui auraient rallumé la lutte des classes par mégarde ?
     

    La lutte des classes, joker de la gouvernance mondiale

     
    Il me semble que cette interprétation pèche par naïveté et que le gouvernement au contraire maîtrise parfaitement le calendrier de la manœuvre – il ne pouvait pas ne pas prévoir les réactions qu’elle engendre. De même qu’il a laissé sciemment œuvrer les casseurs dans les manifestations qui ont accompagné la lente élaboration de la loi travail pour faire monter la pression et susciter un besoin d’ordre, de même a-t-il volontairement provoqué un tollé sur sa gauche pour déplacer les projecteurs de l’actualité de la question identitaire et nationale où l’invasion les fixe sur la question sociale. Tout le monde est content, Mélenchon et son front de gauche, les frondeurs, Nuit debout, les syndicats, etc. Ce peuple de gauche enfin réuni, retrouvé, se joue dans sa tête un remake de mai 68 qui rajeunit ses vieilles articulations.
     
    Le phénomène s’apparente à ce qui s’est passé en Espagne avec Podemos, à ce qui a été raté en France avec Stéphane Hessel et ses indignés, à ce qui marche en Grèce avec Syrisa. Il est significatif que l’Union européenne et le Fonds monétaire international se soient mis d’accord pour donner une rallonge à Alexis Tsipras : l’homme qui a sauvé Bruxelles et l’euro en fournissant aux Grecs un ersatz d’insurrection nationale méritait bien un bakchich. D’une façon non moins instructive, c’est un nomade apatride écologiste antinational, Van der Bellen, qui a sauvé le système de l’hydre populiste en Autriche. La question d’ensemble qui se pose aux élites mondialistes confrontées à la révolte des peuples est : comment juguler la poussée populiste ? Quelle alternative trouver? Et la réponse aujourd’hui passe par la gauche. Le joker du mondialisme est l’altermondialisme, qui se présente en antimondialisme.
     

    La loi travail nécessaire si les frontières restent ouvertes

     
    Voyons maintenant de plus près comment cela se passe pour la loi travail. Dans son premier état, elle comprenait des dispositions véritablement propres à libérer les entreprises françaises du carcan où elles se trouvent prises, si bien que les syndicats patronaux, perplexes, n’ont pas osé l’approuver trop fort, et qu’ici même nous nous sommes demandés quelle était son intention. Cette loi travail arrivant en fin de mandat ne pouvait porter d’effets suffisamment tôt pour que le candidat Hollande en bénéficiât dans sa campagne présidentielle, et elle ne pouvait manquer de susciter la colère de ce qui subsiste de socialistes convaincus en France. Et c’est bien ce qui s’est passé. Tout ce qui fait profession d’être à gauche et de « défendre les travailleurs » n’a cessé de hurler au scandale depuis que le contenu de la loi a été connu.
     
    Faut-il en conclure que Manuel Valls et Myriam El Khomry ont manqué de pédagogie, comme ils l’ont prétendu ? Au contraire. La présentation de la loi travail dans son premier état et le long gymkhana qui l’a menée à son état actuel ont été l’occasion d’une double communication assez subtile. La loi travail I disait aux entrepreneurs et à la droite raisonnable : dans un système mondial aux frontières ouvertes dont nous ne sortirons pas, et qui établit par péréquation un socialisme planétaire, nous permettons aux entreprises françaises de souffler, de survivre, nous leur donnons un peu de mou.
     

    Comment Valls et Hollande relancent la lutte des classes

     
    Aujourd’hui, il ne subsiste pas grand-chose des bonnes velléités affichées dans le projet initial. La loi travail II sert surtout de muleta pour agacer le taureau syndical et le troupeau du peuple de gauche. Mais elle fait encore passer deux messages. Auprès des entrepreneurs et de la droite raisonnable, elle dit : deux ou trois éléments résiduels le prouvent, j’ai initié un processus, si on veut faire quelque chose pour améliorer l’économie, il faudra aller dans ce sens en cas d’alternance, refaire en mieux ce que le courageux Valls a manqué par amateurisme (Elle a donc pour fonction d’interdire une autre hypothèse, la fermeture des frontières, et c’est un cadeau fait à la droite raisonnable censée lui succéder, une preuve manifeste de la collusion maçonnique gauche-droite). Auprès du peuple elle susurre : le libéralisme, voilà tout le mal, il faut se révolter contre les patrons, la flexibilité du travail, la précarité – en lui faisant oublier que la précarité et la ruine ne viennent pas de la liberté d’entreprendre mais de l’abaissement des frontières.
     

    Vous avez le choix : gouvernance mondiale ou gouvernance mondiale

     
    Ainsi les partisans de la gouvernance mondiale par la collaboration avec le grand capital s’opposent-ils aux partisans de la gouvernance par la lutte des classes, schéma qui reproduit la valse à deux temps lancée par les socialistes et les communistes en 1920 et renouvelée par l’altermondialisme depuis le premier forum social mondial de Porto Alegre en 2001. Et le but de cette dialectique est de détourner l’attention des peuples de la vraie menace qui pèse sur eux : la disparition par l’ouverture des frontières.
     
    Dans cette entreprise de résurrection de la lutte des classes pour faire oublier le déplacement des ethnies et précipiter la fin des nations, les élites mondialistes accentuent la question sociale en Europe et singulièrement en France. Et rendent artificiellement aux syndicats l’importance que le peuple leur dénie. Le spectre de la grève générale requinque en particulier une CGT moribonde. D’après une étude parue en 2007, les syndiqués en France, un million sept cent mille salariés sont syndiqués, soit 7 % de la population active, dont un peu moins d’un tiers à la CGT. Les auteurs s’étonnent que notre pays soit, parmi les plus développés, celui qui compte à la fois le moins de syndiqués et le plus d’organisations syndicales, et constatent le poids politiques que gardent celles-ci.
     

    La loi travail requinque une CGT et un syndicalisme moribonds

     
    Il s’agit d’un phénomène artificiellement entretenu par le pouvoir politique. Comme les autres syndicats, la CGT est en baisse constante, moins que dans les années quatre-vingt, mais de manière encore très sensible. Dans le secteur de l’énergie qui est son bastion, moins de 20 % des salariés y sont affiliés, contre plus de 50 % voilà encore vingt ans. Cela suffit pour tout bloquer, comme au temps où le politburo de l’URSS décidait une aide d’urgence à la CGT à la demande de son secrétaire général d’alors, Henri Krasucki. Mais la situation de la centrale syndicale est catastrophique. Alors que tout le monde à l’époque connaissait un Léon Jouhaux, un Georges Séguy, le nom de Philippe Martinez ne disait rien à personne avant la loi travail. Le dernier secrétaire général de la CGT dont on se souvienne est Thierry Lepaon, épinglé parce que des travaux de 100.000 euros dans son appartement de fonction et de 30.000 euros dans son bureau avaient été réglés par les cotisants syndiqués – la CGT lui a encore versé 150.000 euros depuis son départ en 2015.
     
    Manuel Valls et François Hollande ont donc choisi de remettre en selle un syndicalisme sans appui populaire et complètement dévalué pour agiter le fantôme de la lutte des classes et masquer ainsi l’invasion et la ruine en cours. Par cette manœuvre, ils méritent bien de la future gouvernance mondiale, et la loi travail peut être qualifiée malgré les apparences de parfaite réussite.
     

    Pauline Mille

    Réinformation TV

  • Manifestation à Paris de GENERATION ID Flandre Artois Hainaut: "On est chez nous!"

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  • Hollande désigné "homme d’État mondial" de l’année

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Hollande-designe-homme-d-Etat-mondial-de-l-annee-39578.html

    Un prix fondé par un rabbin américain...

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  • Loi travail : les manifestations émaillées de nouvelles violences (vidéo)

    http://bcove.me/fbd0y0c1

     

     

    VIDÉO - De nombreuses échauffourées ont eu lieu à Paris, Nantes, ainsi qu'à Bordeaux, où un commissariat a même été attaqué par les casseurs. Les forces de l'ordre ont procédé à 77 interpellations.

     

    La place de la Nation, à Paris, noyée sous les gaz lacrymogènes, un commissariat attaqué par des dizaines d'énergumènes à Bordeaux, des jets de projectiles, des voitures de police endommagées, des vitrines brisées et partout des tags vengeurs, comme ce «Nike les CRS» inscrit à la bombe de peinture sur la devanture d'une concession automobile saccagée, au cœur de la capitale, boulevard Diderot, sans que la police ne puisse s'interposer. Force est de constater que la tension ne faiblit pas sur le terrain depuis le début de la fronde contre la loi El Khomri.

    Le bras de fer entre le gouvernement et les durs de la CGT, mais aussi de FO ou de SUD, qui réclament le retrait pur et simple de ce texte, s'est donc traduit, ce jeudi, par de nouveaux heurts, en marge des cortèges qui ont défilé dans toute la France. Les casseurs se sont déchaînés, s'insérant dans le flot des salariés en colère, qui condamnaient toutefois ces débordements «intolérables».

    La mobilisation a été de taille, même si la distorsion entre les chiffres donnés par les autorités et ceux des syndicats ne laisse pas d'étonner: de 18.000 à 19.000 manifestants à Paris, selon la Préfecture de police, contre 100.000, assure Force ouvrière. Mais sur le terrain, à Paris, les estimations de la police semblaient tout de même plus proches de la réalité que celles des centrales syndicales.

    La police a compté 6000 manifestants à Toulouse, contre 20.000 selon d'autres sources. La manifestation interdite de Nantes a réuni environ 2 000 personnes, celle de Bordeaux, qui a dégénéré à la suite d'une interpellation, plus de 3000 personnes. À Marseille, des milliers de manifestants se sont également rassemblés. Un incident a eu lieu vers midi, non loin de là, à Fos-sur-Mer, où un automobiliste, excédé par un barrage filtrant, a délibérément renversé avec sa voiture un syndicaliste qui l'empêchait de passer, le blessant gravement à la tête. Dans l'ensemble du pays, les forces de l'ordre ont recensé 153.000 manifestants, la CGT 300.000, près du double.

     

    Au ministère de l'Intérieur, l'attaque en règle du commissariat des Capucins, à Bordeaux, a beaucoup choqué. L'entourage du ministre a fermement condamné ces actes. Les manifestants jetaient des plots de stationnement sur la façade du bâtiment, mais aussi des objets métalliques. Ils ont brisé les vitres de plusieurs véhicules de police. Une victime, venue porter plainte, a même été légèrement blessée par les jets de projectiles.

    La police ne sait-elle plus protéger ses implantations? Patrice Ribeiro, le secrétaire général de Synergie-Officiers, regrette cette dérive. «Les manifestants savaient qu'ils n'avaient pas à craindre de riposte, puisque c'est aujourd'hui la consigne. Et pourtant, nous disposons des moyens pour disperser une foule agressive, avec les grenades de désencerclement ou les lanceurs de balles de défense.»

    Enrayer ce cycle de violences

    À Paris, la police avait procédé, en fin de journée, à trente-six interpellations. Neuf personnes ont été légèrement blessées. À Nantes, les casseurs étaient une vingtaine tout au plus. Particulièrement agressifs, ils s'en sont pris à deux agences bancaires et ont mis le feu à des poubelles. Seulement cinq vandales présumés ont été appréhendés. Au total, sur l'ensemble des villes, soixante-dix-sept personnes ont été interpellées, selon le ministère de l'Intérieur. Quinze policiers ou gendarmes auraient été blessés.

    Comment enrayer ce cycle de violences? Le commandant Ribeiro considère, pour sa part, que «les violences dureront tant que la justice se montrera incapable de prononcer des décisions à la hauteur des faits».

    Ce syndicaliste policier fait référence aux arrêtés d'interdiction de manifester que le juge administratif a retoqués en bloc à Paris, le 17 mai dernier.

    Il se scandalise également de la décision du juge judiciaire qui, mardi dernier, a conduit à la libération de trois des quatre hommes mis en examen dans l'enquête sur des violences contre la police, le 11 mai dernier. Des incidents au cours desquels un véhicule de police a été incendié, quai de Valmy, à Paris, alors que deux agents se trouvaient à l'intérieur.

    LE FIGARO

  • Loi Travail: Florian Philippot en duplex sur BFM TV

    https://youtu.be/YAaevua402s

    Philippot dit la vérité sur la crise que nous subissons: la CGT communiste se nourrit de la colère des Français pour répandre le chaos dans notre pays gouverné par les petits fonctionnaires de Bruxelles.

  • Marine Le Pen sur les enjeux humains de la crise migratoire et l'irresponsabilité de l'UE

    Aux côtés de nos alliés européens, Marine Le Pen s’est exprimée à l’occasion d’une conférence de presse organisée par le groupe Europe des Nations et des Libertés et qui portait sur le thème « Les enjeux humains derrière la crise migratoire : l’irresponsabilité de l’UE » (26/05/16)