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  • « Immigration : la catastrophe » : la leçon de réalisme et de courage de Jean-Yves Le Gallou

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    Michel Geoffroy, essayiste.

    ♦ Assurément le livre que Jean-Yves Le Gallou vient de faire paraître aux Editions Via Romana, Immigration :la catastrophe. Que faire ? fera date.

    Jean Yves Le Gallou a déjà écrit de nombreux essais sur la question de l’immigration, de l’identité ou de la préférence nationale. Mais son dernier livre marque un tournant.


    Un ouvrage de référence sur l’immigration

    C’est d’abord une somme : près de 500 pages denses, ponctuées de nombreuses références, cartes, tableaux, graphiques et annexes. Car l’auteur, qui connaît à fond son sujet, aborde l’immigration sous tous ses aspects : économique, social, éducatif, culturel, sécuritaire, institutionnel, politique, historique, religieux, géopolitique, etc. Rien n’échappe à son analyse. Et tout est référencé, justifié, démontré.

    On en viendrait à regretter l’absence d’un index tant son étude est vaste et argumentée ! Mais il est vrai que le sommaire, très détaillé, facilitera la tâche des chercheurs. Car il s’agit à l’évidence d’un ouvrage de référence mais qui se lit facilement, car le style est alerte, non dénué d’humour, au surplus, malgré la gravité du sujet.

    Un ouvrage contre le mensonge systémique

    Il serait vain de prétendre résumer en quelques lignes un ouvrage aussi riche. Mais son titre parle de lui-même : Immigration : la catastrophe, sans point d’interrogation.

    Contrairement à ce que prétendent l’oligarchie et les médias de propagande à longueur de journée, Jean-Yves Le Gallou démontre en effet que l’immigration n’est une chance ni pour la France ni pour l’Europe.

    C’est l’objet de la première partie de son ouvrage de démonter le mensonge systémique qui entoure les réalités de l’immigration et de décliner, secteur par secteur, les conséquences catastrophiques de la politique menée depuis 40 ans en la matière. Le constat est accablant.

    Mais, justement, l’auteur ne vise pas à nous accabler, ce qui ne serait qu’une autre forme de renoncement, mais à nous ouvrir les yeux.

    Une analyse innovante des causes de la catastrophe

    Jean-Yves Le Gallou ne se limite pas à ce constat, déjà en partie abordé dans ses précédents essais, mais ouvre une vaste réflexion sur les causes, lointaines ou proches, de cette catastrophe. Avec une certaine modestie qui l’honore, d’ailleurs, puisqu’il reconnaît l’enchevêtrement et la complexité des facteurs.

    Cette analyse correspond au second grand temps de son ouvrage. C’est sans doute la plus innovante.

    Que nous dit-il en substance en effet ? Que l’immigration en Europe ne correspond pas tant à une fatalité démographique, climatique ou géopolitique, comme le prétendent les oligarques, qu’à un projet :

    – Car l’immigration est d’abord le projet du patronat qui dès les années 1970 compte sur elle pour pousser les salaires à la baisse.
    – L’immigration est ensuite le projet de la super-classe mondiale qui entend abolir les frontières et dissoudre les identités pour établir son utopique gouvernement mondial.
    – Enfin, la bombe migratoire correspond au projet chaotique des Etats-Unis pour neutraliser durablement l’Europe, concurrent potentiel de son leadership.

    Et, à chaque fois, l’auteur verse des pièces probantes au dossier.

    Immigration : la grande trahison des « élites »

    La troisième partie de l’ouvrage s’intitule d’ailleurs significativement La Grande Trahison. Car le livre est aussi un lourd réquisitoire.

    – C’est d’abord un réquisitoire contre les pouvoirs publics qui, non seulement se sont révélés incapables de réguler l’immigration, mais qui font désormais la guerre à leur propre peuple pour imposer son Grand Remplacement, pour reprendre l’expression de l’écrivain Renaud Camus.
    – C’est notamment un réquisitoire contre le gouvernement des juges qui n’a eu de cesse d’empêcher toute tentative de juguler la catastrophe migratoire au nom de l’idéologie des droits de l’homme ou de la « lutte contre les discriminations ».
    – C’est un réquisitoire contre les politiciens qui se sont sciemment mis à la remorque du communautarisme à des fins électoralistes.
    – C’est aussi un réquisitoire contre les « élites » qui vantent les charmes du « vivre-ensemble » ou de la « discrimination positive », tout en se préservant, personnellement, d’en subir les conséquences. On appréciera à cet égard l’annexe rappelant où habite exactement le gotha judiciaire français ainsi que l’anecdote relative à la scolarisation des enfants de Fleur Pellerin !

    L’économie de l’immigration derrière l’idéologie de l’immigration

    C’est enfin un réquisitoire contre les idiots utiles ou intéressés qui se font les agents de la catastrophe migratoire, en échange de la considération médiatique ou de bénéfices matériels encore plus palpables.

    Car Jean-Yves Le Gallou montre bien que derrière les « nobles » sentiments invoqués se cachent la plupart du temps de sordides intérêts. L’idéologie de l’immigration cache l’économie de l’immigration, comme l’écrit si bien l’auteur.

    Elle cache notamment que la superclasse mondiale empoche seule les bénéfices du chaos migratoire pendant que les peuples du Nord s’appauvrissent.

    Que faire ?

    On attend évidemment la réponse à la question du titre : Que faire ?

    C’est le dernier temps du livre de Jean-Yves Le Gallou.

    Fort de son expérience politique mais aussi administrative, l’auteur n’entend pas nous bercer d’illusions, si fréquentes à droite quand il est question d’immigration. Il nous montre d’ailleurs selon quel processus fatal les mâles déclarations à répétition des politiciens de droite promettant de juguler l’immigration, irrégulière ou non, finissent toujours par produire les résultats inverses : toujours… plus d’immigration !

    A l’évidence, mettre un terme à la catastrophe sera long et difficile.

    Significativement, l’auteur cite l’ancien ministre Hubert Védrines selon qui « un recours à la force sera à un moment ou à un autre inévitable ».

    Force et courage

    La force, telle est bien la question.

    Car Jean-Yves Le Gallou nous explique qu’on ne mettra pas fin à la catastrophe migratoire sans un réarmement moral préalable des Européens. Lequel suppose de briser les tabous qui interdisent de mettre en œuvre les solutions. Car, comme il l’écrit : « Sans nommer les maux, sans évoquer les vraies solutions, rien ne sera réglé ».

    Les solutions existent, mais l’oligarchie les a rendues taboues car elles menaceraient, non pas l’humanité comme elle veut nous le faire croire, mais son projet et ses intérêts.

    On ne mettra donc pas fin à la catastrophe migratoire si on ne se libère pas d’abord de la chape de mauvaise conscience et de repentance ethno-masochiste que l’oligarchie et ses idiots utiles nous ont imposée ; si on ne met pas fin aux lois liberticides dont la fonction réelle est de museler le peuple français ; et si on ne retrouve pas la fierté de notre identité et de notre civilisation.

    Le courage de mettre fin à notre dormition

    Maurras disait « Politique d’abord ». Jean-Yves Le Gallou nous dit à sa manière : « Courage d’abord ».

    Le courage d’appeler les choses par leur nom, droit que le politiquement correct nous refuse. Le courage d’être fier de sa race, de son identité et de ses ancêtres. Le courage de proposer les solutions qui se nomment : souveraineté du peuple, préférence nationale, préférence de civilisation, remigration, indépendance européenne. Le courage enfin de les mettre en œuvre sans faiblesse le moment venu.

    Jean-Yves Le Gallou termine son livre par ces mots « L’histoire revient ». C’est plus qu’un constat : c’est un appel à sortir de notre dormition avant qu’il ne soit trop tard.

    Immigration : la catastrophe, un livre destiné, non pas à nous accabler, mais à nous réveiller.

    Michel Geoffroy
    3/03/2016

    Jean-Yves Le Gallou, Immigration : la catastrophe, Que faire ?, Ed. VIA ROMANA, 482 p.

    Correspondance Polémia – 5/03/2016

    (merci à Dirk)

  • Marine Le Pen refuse de faire le lien entre hooligans et nationalistes

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    Home LE SCAN Les verbatims

      • Par Le Scan politique
      • Mis à jour
      • Publié
     

    Marine Le Pen. Crédits photo : Liewig Christian/ABACA

    LE SCAN POLITIQUE - Le patron du PS, Jean-Christophe Cambadélis, voit un rapport entre les violences survenues à Marseille et la résurgence du sentiment nationaliste en Europe. Un diagnostic que réfute la patronne du FN.

     
     

    Faut-il voir dans les affrontements qui ont opposé samedi à Marseille hooligans anglais et russes l'expression d'un nationalisme qui se développe en Europe? C'est l'analyse que fait Jean-Christophe Cambadélis. Invité du Grand rendez-vous Le Monde-iTélé-Europe 1, le premier secrétaire du PS a fait un lien entre les violences et le contexte européen, marqué notamment par le référendum sur le Brexit outre-Manche. «La désintégration de l'Europe, on en parle d'une certaine manière quand on évoque les matches de football, c'est le nationalisme. Et je le dis à tous les Français: ‘Regardez bien, le nationalisme, c'est ce que vous voyez à Marseille. Le nationalisme, c'est des hommes et des femmes qui, parce que vous êtes d'un autre pays, vous agressent», a assuré Jean-Christophe Cambadélis.

    Une analyse erronée, selon Marine Le Pen. «Ils sont incroyables, ces responsables politiques. Ils ne peuvent pas s'empêcher, en toutes circonstances, de faire de la politique politicienne», s'est agacée la patronne du FN sur France 3. «À Marseille, il y avait des affrontements en 2009. Il y en avait eu aussi en 2011. C'était l'Egypte contre l'Algérie. Est-ce que monsieur Cambadélis s'était précipité à la télévision pour expliquer que c'était le fait du nationalisme?» «Ces propos n'ont aucun sens. On sait pertinemment que le football souffre de l'existence de ces ultras», a assuré la présidente du FN, qui pointe également la présence de «racailles» dans les affrontements.

    Autre point de divergence entre les deux responsables politiques: alors que Jean-Christophe Cambadélis assure, comme les autorités, que «les forces de sécurité étaient en nombre suffisant» à Marseille, Marine Le Pen pointe le «laxisme» du dispositif: «À Marseille, comme ailleurs, les forces de l'ordre n'ont pas d'ordres. Leurs ordres, c'est “surtout pas de vagues, restez statiques, inertes, laissez faire, on verra plus tard”».

    LE FIGARO

    NdB: Comme elle a raison  de ne pas faire d'amalgame!  Et les graves affrontements en 1998 à Marseille, c'était aussi du "nationalisme européen"?

     

     

     

  • EN DIRECT - Tuerie d'Orlando: Daesh revendique la pire fusillade des Etats-Unis

    http://www.lefigaro.fr/international/2016/06/12/01003-20160612LIVWWW00085-fusillade-floride-en-direct.php

  • Euro 2016 : la vente d'alcool interdite par Cazeneuve dans les «périmètres sensibles»

    http://www.leparisien.fr/sports/football/euro-2016/en-direct-euro-2016-une-journee-sous-haute-tension-apres-les-violences-12-06-2016-5876225.php

    Tweets et photos

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    Supporters allemands avant le match contre l'Ukraine

     

  • Qui est Omar Saddiqui Mateen, le tueur présumé d'Orlando ?

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    Au moins cinquante personnes ont été tuées et 53 autres blessées dimanche dans un club gay d'Orlando, en Floride, au cours de la pire fusillade de masse de l'histoire des Etats-Unis, ont annoncé les autorités, qui ont ouvert une enquête pour «terrorisme».
     

    Le tireur présumé, qui a été tué durant l'attaque, serait, selon CNN qui a diffusé sa photo, Omar Saddiqui Mateen, un agent de sécurité américain d'origine afghane de 29 ans, qui vivait à environ 200 kilomètres au sud-est d'Orlando, dans la ville de Port Saint Lucie et dont le casier judiciaire était vierge. Le FBI l'a identifié mais n'a pas voulu en dire plus en attendant de prévenir ses proches. Selon la police fédérale, il pourrait avoir des «sympathies» pour la mouvance islamiste.

     

    «Rien à voir avec la religion», affirme son père

    Sans attendre, les autorités ont permis à un imam local d'intervenir pendant la conférence de presse de la police. Ce religieux a appelé au calme et a demandé à la population et aux médias de ne pas tirer de conclusions hâtives sur le mobile du tireur. Le père du tueur présumé a indiqué sur la chaîne NBC que son fils «n'était pas animé par un mobile religieux mais qu'il était énervé après avoir vu deux homosexuels s'embrasser». «Nous étions à Miami, il a vu deux hommes s'embrasser et se toucher sous les yeux de sa femme et de son fils, il était très en colère», a-t-il raconté, avant de présenter ses excuses au nom de sa famille. «Nous n'étions au courant de rien. Nous sommes choqués comme tout le pays», a-t-il encore dit.

      

    En raison de l'ampleur de cette tuerie, le maire de la ville a demandé au gouverneur de l'Etat de Floride d'instaurer l'état d'urgence comme il l'a, d'ores et déjà, fait pour sa ville. Ce qui lui permet de mobiliser des ressources supplémentaires.

      Leparisien.fr

  • Carnage dans un night-club gay de Floride: 50 morts et 53 blessés, le tireur identifié

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    12/06/16 à 14:59 - Mise à jour à 16:36

    Source: Belga

    La fusillade dans un club gay d'Orlando a fait 50 morts -- la pire dans l'histoire des Etats-Unis -- et quelque 53 blessés selon un nouveau bilan donné dimanche par le maire de la ville, Buddy Dyer.

    © Reuters

    Un bilan initial avait fait état de 20 morts et une quarantaine de blessés. L'auteur de la fusillade, qui est mort lors d'un échange de tirs avec la police, a été identifié par plusieurs chaînes de télévision comme Omar Mateen, un citoyen américain d'origine afghane.

    L'homme qui a ouvert le feu et qui pourrait avoir des "sympathies" pour la mouvance islamiste selon le FBI, avait auparavant pris en otage des clients de la discothèque située dans le sud-est Etats-Unis, lorsque des troupes d'élite du SWAT ont donné l'assaut. Le suspect a été abattu.

    "Malheureusement, il y a des gens qui ont été tués par balles, peut être une vingtaine, à l'intérieur du night-club", a déclaré à la presse l'agent spécial Ron Harper du FBI, qui a ouvert une enquête pour "acte de terrorisme".

    Quarante-deux personnes ont été blessées et évacuées vers trois hôpitaux de la région, a-t-il ajouté.

    "Cela a tourné à la prise d'otages", a déclaré le chef de la police John Mina. "Vers 05H00 (09H00 GMT) ce matin, la décision a été prise de secourir les otages qui étaient à l'intérieur", a-t-il ajouté, sans que l'on sache si les victimes avaient été tuées par le tireur qui avait ouvert le feu vers 02H00 (06H00 GMT) dans la discothèque ou lors d'échanges de tirs avec la police.

    Le président Barack Obama a été informé en début de matinée du massacre par sa conseillère en sécurité intérieure et contre-terrorisme et il a demandé au gouvernement fédéral "de fournir toute l'aide nécessaire", a annoncé la Maison Blanche.

    Les enquêteurs cherchent désormais à comprendre le mobile de l'homme lourdement armé.

    "Nous avons des suggestions (laissant penser) que cet individu pourrait avoir des sympathies pour cette idéologie particulière mais nous ne pouvons pas l'affirmer catégoriquement", a expliqué Ron Harper, interrogé sur de possibles liens entre le tireur et le terrorisme islamiste.

    Ce nouveau drame survient moins de 48 heures après le meurtre par balles, dans cette même ville de Floride, d'une jeune chanteuse américaine, mais, selon la police, il n'existe aucun lien entre les deux affaires.

    'Du sang partout'

    La fusillade a éclaté "vers 02H00", a témoigné l'un des clients de la discothèque, Ricardo Negron, interrogé par Sky News.

    "Quelqu'un a commencé à tirer. Les gens se sont jetés sur le sol", a-t-il raconté. "Il y a eu une courte pause dans les tirs et certains d'entre nous ont pu se lever et sortir en courant vers l'arrière" de l'établissement.

    Ce témoin dit avoir entendu "des tirs continus" pendant probablement moins d'une minute, mais que cela lui a paru beaucoup plus long. "Il y a certainement eu des gens blessés, ou pire", a-t-il ajouté.

    Aucune indication n'a été fournie sur le nombre de clients présents à l'intérieur de la discothèque au moment de la fusillade.

    Sur CNN, Christopher Hanson a expliqué avoir d'abord cru qu'il s'agissait de la musique avant de comprendre que c'était des tirs.

    "Je n'ai vu aucun des tireurs. J'ai juste vu des corps tomber. J'étais au bar pour commander un verre, je suis tombé, j'ai rampé pour sortir. Les gens essayaient de sortir par derrière. Quand je suis arrivé dans la rue, il y avait du monde, du sang partout".

    Le Pulse d'Orlando, qui se présente sur son site web comme "le bar gay le plus chaud d'Orlando", postait peu après sur sa page Facebook un dernier message lapidaire: "Sortez tous et courez!"

    Le tireur est un Américain d'origine afghane

    L'auteur d'une fusillade dans un night-club gay de Floride, qui a fait une vingtaine de morts, a été identifié comme Omar Mateen, un citoyen américain d'origine afghane, né en 1986, selon les chaînes de télévision CBS et NBC.

    La police locale a ouvert une enquête pour acte de terrorisme et la police fédérale avait fait état plus tôt des "sympathies" de l'auteur de l'une des pires fusillades de masse des Etats-Unis pour la mouvance islamiste.

    La police n'avait pas encore officiellement identifié l'auteur de la fusillade, qui selon les médias vivait à environ 200 kilomètres au sud-est d'Orlando dans la ville de Port Saint Lucie.

    Pulse, club emblématique de la cause gay aux Etats-Unis

    Le club Pulse, théâtre du massacre d'Orlando dimanche à l'aube, s'affiche comme l'une des boîtes de nuit emblématiques de la cause des personnes LGBTI (lesbiennes, gays, bisexuelles, trans-genres, intersexuées) en Floride et aux Etats-Unis.

    "Un univers de divertissement et de fantasme, le club le plus chaud d'Orlando", ainsi se présente Pulse sur son site internet, agrémenté de nombreuses photos de fêtards parfois un brin sulfureuses. Le club est réputé aussi pour ses spectacles de drag queens

    L'établissement a été fondé en 2004 des suites d'un drame familial: sa co-fondatrice et co-propriétaire, Barbara Poma, issue d'une famille italo-américaine, raconte sur le site avoir perdu son frère John en 1991, emporté par le sida.

    Il s'agit alors pour Mme Poma de rendre hommage à un être cher prématurément disparu tout en "réveillant les consciences" sur la cause des personnes LGBTI et la prévention du virus HIV du sida.

    Pulse fait partie d'un réseau communautaire dynamique en Floride, faisant notamment la promotion des prochains Gay Games qui doivent se tenir à Paris en août 2018, une manifestation sportive mondiale à laquelle la ville d'Orlando était candidate.

    L'administration américaine du président Barack Obama a fait de la défense des personnes LGBTI aux Etats-Unis et dans le monde l'une de ses priorités. De fait, les comportements et les attitudes ont fortement évolué dans ce pays à l'égard de l'homosexualité, comme le montre la reconnaissance légale du mariage homosexuel dans tous les Etats américains depuis juin 2015.

  • HYMNE NATIONAL DE LA CROATIE - Paroles et traduction

    Paroles et traduction :

    Lijepa naša Domovino, - Notre belle patrie,
    Oj junacka zemljo mila, - Patrie à la gloire ancestrale,
    Stare slave djedovino, - Notre belle patrie,
    Da bi vazda sretna bila! - Sois toujours heureuse !
    Mila kano si nam slavna, - Chère, autant que tu es glorieuse,
    Mila si nam ti jedina, - Chère, là où ton sol est plat,
    Mila kuda si nam ravna, - Toi seule nous est chère.
    Mila kuda si planina ! - Chère, là où il est montagneux.

    Teci Savo, Dravo teci -, Coule Save, Drave coule,
    Nit ti, Dunav, silu gubi ! - Toi non plus Danube, ne perd pas ta vigueur !
    Sinje more, svijetu reci, - Mer azure, va annoncer au monde,
    Da svoj narod Hrvat ljubi ! - Qu'un Croate aime sa nation !
    Dok mu njive sunce grije, - Tant que le soleil réchauffe sa terre labourée,
    Dok mu hrašce bura vije, - Tant que les tempêtes fouettent ses chênes,
    Dok mu mrtve grobak krije, - Tant que les tombeaux cachent ses morts,
    Dok mu živo srce bije ! - Tant que bat son cœur vivant !

  • L'hymne officiel des supporters croates que SOS Racisme veut faire interdire (vidéo)

    https://youtu.be/MCedDJrDZFo

    (Je n'ai pas réussi à trouver la traduction des paroles en français)

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    Trois associations dont SOS Racisme ont demandé l’interdiction du chant officiel des supporters croates pour l’Euro 2016. Nationalisme et incitation à la haine sont pointés du doigt dans une lettre remise au ministre français des Sports, à l’UEFA et à la Fédération croate de football.

      

    L’hymne officiel des supporters croates pour l’Euro 2016 est loin de faire l’unanimité. Et le grain de voix du chanteur n’est en rien responsable. Qualifiant cet hymne « d’appel à la haine  », SOS Racisme, le Mouvement antiraciste européen et la branche croate de l’association Youth Initiative for Human Rights ont demandé son interdiction dans un courrier adressé au ministre français des Sports, à l’UEFA et à la Fédération croate de football.

     

    « Nationaliste, agressif et violent »

    «  Lijepa Li Si  », chant validé par la Fédération croate, est jugé « nationaliste, agressif et violent ». Il « promeut la conquête des territoires de Bosnie-Herzégovine, ravivant ainsi le spectre de la guerre dans les Balkans », regrettent les associations.

    Lire la suite de l’article sur rmcsport.bfmtv.com

  • Les propos de Zemmour sur Vichy qui a protégé les juifs français gênent le rabbin Bernheim

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    Les propos d’Éric Zemmour, la semaine dernière à la grande synagogue de Paris étaient-il à ce point inavouables ? Ou alors, peut-être, les réactions de l’auditoire… Toujours est-il que les organisateurs de la conférence-débat ont semble-t-il renoncé à mettre en ligne la vidéo.

     

    Le 1er juin dernier, près de 1 300 personnes s’était déplacées à la très solennelle et très prestigieuse grande synagogue de la rue de la Victoire, à Paris, pour assister à une conférence-débat intitulée « Qu’est-ce qu’être Français et Juif aujourd’hui ? ».

      

    Animée par Yves Thréard du Figaro et avec pour participants-vedette, le Grand Rabbin Gilles Bernheim et… le polémiste Éric Zemmour. « Une belle affiche » selon l’hebdomadaire Actualité Juive qui co-organisait l’évènement avec le Consistoire, l’autorité centrale qui depuis Napoléon 1er gère les synagogues et institutions juives de France. Des esprits chagrins auraient pu éventuellement poser la question de savoir si un lieu de culte était l’endroit le plus approprié pour voir débattre d’un sujet aux inévitables prolongements politiques un pamphlétaire condamné à deux reprises pour incitation à la haine raciale et un rabbin dont le prestige intellectuel fut tout de même sérieusement écorné, il y a trois ans, pour avoir usurpé pendant plusieurs décennies le titre d’agrégé de philosophie, et avoir été également démasqué pour de nombreux plagiats commis tout au long de sa carrière d’auteur.

    [...]

    La lecture du compte-rendu de la soirée faite par Actualité Juive laisse une curieuse impression. La journaliste aurait-elle été victime d’un dédoublement de la personnalité ? Car l’article commence par les éloges – « Éric Zemmour a expliqué, force citations à l’appui et dans un style brillant que personne ne peut lui enlever… », « Avec érudition, il a rappelé… »

    [...]

    « Les statuts des Juifs n’ont tué personne »

    Mais soudain, il semble que tout dérape. Dans la seconde partie de la conférence, Zemmour aurait exprimé des idées qu’on ne se serait pas attendu à trouver dans la bouche d’un juif (fût-il situé politiquement à la droite de la droite), et qu’il n’avait semble-t-il jamais exprimé auparavant, notamment dans Le Suicide Français, où il s’était seulement livré à une critique feutrée (et parfois pertinente) des excès du communautarisme et de la mémoire de la Shoah. Car la journaliste d’Actualité Juive poursuit : « Éric Zemmour a livré sa vision de l’histoire de Vichy selon sa grille idéologique qui heurte les consciences : Vichy a protégé les Juifs français car 90% d’entre eux ont survécu, les statuts des Juifs n’ont tué personne, Pétain comme De Gaulle sont dignes d’admiration, les Juifs d’Europe centrale sont responsables de l’antisémitisme dont ils étaient les victimes en prenant le travail des "Français" ». Et conclut : « Des propos donnant la nausée ».

    [...]

    Et comme par hasard, il n’est soudainement plus question de mettre en ligne une quelconque vidéo. Le rabbin Bernheim est subitement devenu muet à ce sujet et la journaliste reconnait sur son mur Facebook que « vu la teneur des propos », cette vidéo ne sera probablement pas diffusée. Quant à l’attitude du public de cette conférence, elle précise, toujours sur Facebook, que certains furent « scandalisés  », que nombreux avaient « décroché  », mais qu’il y eut tout de même « quelques applaudissements ».

    Lire l’article dans son intégralité sur blogs.mediapart.fr

  • Un quotidien italien offre Mein Kampf à ses lecteurs en supplément

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Un-quotidien-italien-offre-Mein-Kampf-a-ses-lecteurs-en-supplement-39865.html

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  • VIDEO - A Marseille les hooligans d'Algérie étaient aussi manifestement de la partie

    https://www.facebook.com/fdesouche/videos/vb.298195193543350/1327756633920529/?type=2&theater

    Faire défiler les vidéos avec la flèche

  • Ne dites plus « grand remplacement » mais « dynamique de peuplement » !

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    11/06/2016 – FRANCE (NOVOpress) : Le « grand remplacement » ? Quel « grand remplacement » ? Scandalisée par la récente couverture du Figaro Magazine sur Saint-Denis, qualifiée de « Molenbeek-sur-Seine », deux militantes politiques déguisées en journalistes, Sihame Assbague et Widad Ketfi, viennent de livrer à Acrimed une prétendue « contre-enquête » sur la préfecture de Seine-Saint-Denis, présentée comme un modèle de «  travail de journalisme de terrain ». La bonne blague !

    Parmi les très nombreuses critiques que Sihame Assbague et Widad Ketfi portent sur le reportage du Fig Mag figure celle d’avoir écrit qu’il devient difficile de trouver de la viande qui ne soit pas halal à Saint-Denis. Faux ! s’exclament-elles, car « en se renseignant, auprès des Dionysiens ou de Google » (sic), on trouve une charcuterie tout près de la mosquée et… « au moins deux autres boucheries vendant de la “viande non halal“, un peu plus loin dans la ville » ! « Un peu plus loin » comment ? Au bout de la ligne de bus ? Deux boucheries traditionnelles donc – on n’ose écrire « normales »… – dans une ville de plus de 100 000 habitants et il faudrait se réjouir ?

    Fières de leur trouvailles sur Google, Sihame Assbague et Widad Ketfi écrivent alors :

    « Ce qui se “cache“ derrière le marché du halal, ce n’est pas la main invisible du “grand remplacement islamique“ mais celle de… l’offre et de la demande mue par des dynamiques de peuplement s’expliquant, elles-mêmes, par des facteurs historiques, sociaux et politiques. »

    Mais dites, Mesdames, cette « dynamique de peuplement », n’est-ce pas justement ce qui entraîne le « grand remplacement » ? Vous avez quatre heures.