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  • Meurtre d'Alexandre Junca : la prison à vie requise contre Mickaël Baehrel

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    La réclusion à perpétuité a été requise contre Mickaël Baehrel, principal accusé du meurtre d'Alexandre Junca en juin 2011 à Pau (Pyrénées-Atlantiques). Baehrel a révélé ce mercredi que le collégien de 13 ans n'était pas mort sur le coup, mais qu'il l'avait achevé parce qu'il pleurait. «Il n'y a pas d'autre issue que de prononcer la sanction maximale, la réclusion criminelle à perpétuité», a demandé l'avocat général, Jean-Christophe Muller, aux jurés de la cour d'assises des Pyrénées-Atlantiques.

     

    «Nous parlons de la vie d'un enfant qui est mort de violences qui se situent sur une échelle de gravité particulièrement élevée», a ajouté le magistrat, sans toutefois demander d'assortir la condamnation «d'une peine de sûreté exceptionnelle», pour «tendre la main» à l'accusé.

     

    Depuis le début du procès le 7 juin, Mickaël Baehrel, un marginal de 30 ans jugé pour «vol avec violence ayant entraîné la mort», a constamment varié dans son récit du meurtre, survenu dans le centre-ville de Pau le 4 juin 2011. Ce soir-là, Alexandre Junca rentre chez son père lorsque Christophe Camy, un autre marginal âgé de 28 ans, co-accusé de Baehrel et qui encourt comme lui la réclusion à perpétuité, lui vole son portable. Selon les deux hommes, le collégien serait revenu pour réclamer son téléphone. 

     

    «De l'entendre pleurer, ça m'a rendu fou. J'ai asséné plusieurs coups de marteau»

     C'est à ce moment que Baehrel lui aurait asséné coups de poing et de marteau, parce qu'«il avait la rage», sans plus d'explication. Mais jusqu'à présent, le SDF avait toujours soutenu que le collégien était déjà mort lorsqu'il l'avait transporté dans l'immeuble de sa compagne, Fatima Ennajah, 50 ans, accusée de «non-dénonciation de crime». Énième mensonge ou aveu suscité par la présence, dans la salle d'audience, de son père, l'une des rares personnes devant laquelle il semble soucieux de faire bonne figure ? Mercredi matin, Baehrel a glacé la cour d'assises en affirmant pour la première fois qu'Alexandre avait repris conscience.

     

    Mickaël Baehrel explique avoir commencé par porter à l'adolescent des coups de poing et un coup de marteau, qu'il avait sur lui. «Dans quel état est l'enfant à ce moment-là ?», le presse le président Francis Bobille. «Il est sonné», répond Baehrel, assurant qu'il le croit mort à cet instant. Mais une fois devant l'appartement de Fatima Ennajah, elle «m'a vu avec Alexandre et lui donne un médicament car il était revenu à lui, il pleurait», poursuit-il. «De l'entendre pleurer, ça m'a rendu fou. J'ai asséné plusieurs coups de marteau. Après, il était mort...», bredouille l'accusé.

     

    3 ans requis contre Ducos, le dépeceur

     

    Selon Mickaël Baehrel, c'est Claude Ducos, 76 ans, qui donnait de l'argent au marginal en échange de fellations, qui viendra chercher le corps le lendemain pour le charger dans le coffre de sa voiture. Le septuagénaire, chasseur chevronné, est soupçonné d'avoir ensuite démembré le cadavre pour le faire disparaître. La découverte du corps du collégien avait eu lieu des semaines après sa disparition. D'abord un fémur fin juin, puis d'autres restes en octobre en bordure de la rivière traversant Pau. Lundi, Baehrel avait brièvement reconnu avoir tenté de découper lui-même sa victime peu après le crime, avant de se rétracter. Ce n'est qu'après qu'il aurait fait appel à Ducos.

     

    Contre Christophe Camy, une peine «entre 15 et 18 ans de réclusion» a été requise par l'avocat général qui a souligné «sa qualité de complice de Baehrel».

     

    Quant à Claude Ducos, qui a une nouvelle fois protesté de son innocence ce mercredi, le magistrat a réclamé trois ans de prison, la peine maximale, et une privation des droits civiques, évoquant des «éléments précis dans le dossier» et «aucune raison de les mettre en doute». «Il a réponse à tout sans répondre à rien. Ce ne peut être que lui qui a procédé à cette profanation», a ajouté le magistrat. Il a également requis la peine maximale, trois ans de prison, contre Fatima Ennajah.

     

    Le verdict est attendu jeudi. 

    LE PARISIEN

  • Les Brigandes - La loge des Jacobins

    (merci à Dirk)

  • IGNACE

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  • Le gouvernement en état végétatif

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    Au quotidien

    C’est l’Euro 2016, ce devrait être une période festive, une compétition sportive à même de donner une belle image de notre pays. Et pourtant, le moment est bien sombre, bien triste. Nous vivons une bien étrange période. Les attentats se suivent, à des échéances de plus en plus rapprochées, et le pays s’endeuille régulièrement. Avant-hier encore, la terreur islamiste frappait dans le domicile d’un couple de policiers, laissant un malheureux enfant de 3 ans sans père ni mère. Dans le même temps, alors même que l’état d’urgence a été déclaré, et plusieurs fois prolongé, nos villes sont presque chaque jour désormais dévastées par des hordes de casseurs d’extrême gauche.

    Je ne mets pas sur le même plan les deux phénomènes. Mais je m’interroge sur la passivité coupable du gouvernement, qui, quelle que soit la gravité des actes commis, se contente de commenter, et de jouer ce rôle étrange de spectateur de la violence. Les communiqués du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, ses déclarations martiales, ou celles du Premier ministre, Manuel Valls, s’enchaînent, sans que jamais leur tonalité ne change. C’est à chaque fois un indécent satisfecit sur l’action de l’Etat, et un commentaire du désastre. Mais il n’y a jamais dans ces propos le début d’une prise de conscience, ni l’indication que le gouvernement se préparerait à agir. Non, hélas, il n’y a rien d’autre dans ces discours que l’aveu de l’impuissance de l’Etat. Le gouvernement donne le sentiment à beaucoup de Français, sentiment justifié, d’un état végétatif. Incompréhensible, dangereux.

    Parlons d’abord du terrorisme islamiste. Que nous dit le Premier ministre ? Qu’il y aura d’autres attentats, comme il l’avait déjà dit, et que d’autres innocents perdront leur vie. Commentaire d’un spectateur désabusé, peut-être sincère dans sa compassion, mais effroyablement impuissant, inactif, et, au final, terriblement inquiétant sur la capacité du gouvernement à agir. Car que veulent dire ces propos au final ? Simplement que l’équipe au pouvoir, tout comme la précédente, a laissé grossir la bête monstrueuse, et constate aujourd’hui, désemparée, qu’elle commence de déchaîner sa violence. Mais que veulent-ils faire ? Que pourraient-ils faire ? Eux, qui n’ont jamais voulu admettre le mal, pendant des années, qui ont préféré taire ce que nous dénoncions avec vigueur. Ils n’ont jamais voulu combattre le fléau d’une immigration incontrôlée et du communautarisme, ils n’ont jamais voulu reconnaître que des pans entiers du territoire se nourrissaient d’une radicalisation islamiste insupportable, ils n’ont jamais accepté que l’on parle des frontières, par où passent les armes, les terroristes potentiels partis s’entraîner à l’étranger, ils n’ont jamais rien voulu entendre. PS comme UMP ont laissé se gangréner le pays. Et parce qu’ils n’ont pas une claire conscience des causes de ce phénomène monstrueux, ils sont aujourd’hui incapables d’imaginer les solutions. Parce qu’agir aujourd’hui voudrait dire remettre en cause l’ensemble de la politique menée depuis des décennies, l’ensemble de leurs aveuglements, ce revirement est pour eux inacceptable. Il y a pourtant urgence à agir, à prendre des dispositions essentielles à la sûreté de la Nation. Nous déclinons chaque jour nos propositions, concernant les forces de sécurité, la Justice, la politique pénitentiaire, les frontières nationales, la catastrophe Schengen, la laïcité, l’immigration. Mais ils n’entendent rien, et se contentent de commenter. Cela devient intolérable. Et dire que nous devrons encore attendre un an pour avoir l’espoir de bouger.

    Parlons ensuite des casseurs. Ceux-ci vont et viennent, de ville en ville, quand ils ne viennent pas de l’étranger (là aussi les frontières seraient bien utiles), et cassent. Partout, impunément, sous les yeux de forces de l’ordre à qui l’on donne comme seule consigne de ne pas bouger. Voilà qu’après avoir tenté de tuer des policiers, ils s’attaquent désormais à des hôpitaux, à un hôpital qui soigne les enfants malades. Quel plus abject symbole. Je fais la part des choses entre la légitime contestation de la loi Travail par les Français, que nous combattons depuis le premier jour et qui n’est que l’imbécile traduction de recommandations européennes, loi qu’il suffirait aujourd’hui d’abandonner pour retrouver un peu de sérénité, et l’action de ces hordes d’extrême gauche que personne ne devrait accepter de voir sévir sur notre territoire. Pourquoi une telle mansuétude pour ces acharnés de la violence, ces prétendus « antifa » qui appliquent en réalité des méthodes proprement fascistes ? Vraiment, l’on s’interroge.

    Attentats, casse de nos villes… Je me pose la question : serions-nous capables aujourd’hui d’organiser, comme nous l’avions fait en 1998, une nouvelle coupe du monde ? Quand on voit à quel point le pays se désagrège, alors même qu’il est sous les projecteurs de tous les pays qui suivent l’euro, quand on voit à quel point la sécurité des Français et des visiteurs est malmenée, je me dis que cela ne serait plus possible, tant est grande la faillite de nos dirigeants.

    Nous sommes favorables à l’organisation de grandes compétitions sportives sur le territoire national. Cela peut être source de croissance, de gains pour le pays en termes d’image, de retombées positives dans maints domaines. Mais malheureusement cela devient de moins en moins possible. La faute à des gouvernements qui, par leur aveuglement et leur inaction, plongent peu à peu la France dans un état de guerre civile. Il faut rétablir l’ordre.

    Marine Le Pen

    Carnets d'espérances

     

  • Policiers tués à Magnanville : comment va leur fils de trois ans rescapé ?

     Jean-Basptiste Salvaing et Jessica Schneider ont tous les deux été tués par arme blanche par un terroriste de 25 ans, hier soir, lundi 13 juin, à Magnanville. Leur fils de trois ans est le seul rescapé de ce massacre.

    Francetv info

    Mis à jour le , publié le

    Jean-Basptiste Salvaing et Jessica Schneider ont tous les deux été tués par arme blanche par un terroriste de 25 ans, hier soir, lundi 13 juin, à Magnanville. Leur fils de trois ans est le seul rescapé de ce massacre. "On sait qu'il n'a pas été blessé physiquement, mais vous pouvez l'imaginer, il est ce soir très choqué, car c'est une scène d'horreur qu'il a vécue hier soir pendant plus de quatre heures dans la maison de ses parents. Après l'assaut du Raid, les policiers qui l'ont recueilli l'ont découvert 'prostré' selon leurs mots", explique Clément Le Goff, en direct de Magnanville (Yvelines).

    L'enfant reconnu pupille de la nation

    L'enfant est ce soir hospitalisé à l'hôpital Necker à Paris auprès de sa famille. S'il est sain et sauf, il reste "en état de choc", a indiqué le procureur de la République de Versailles, Vincent Lesclous. "On a appris aujourd'hui que le jeune orphelin serait reconnu pupille de la nation", conclut le journaliste. Ce statut remonte à 1917. Des milliers d'enfants sont alors orphelins à cause de la guerre. La mission est claire à l'époque : assurer les moyens de subsistance de ces citoyens de demain.

  • Brexit J-9 : « Nous devons nous libérer de la dictature de Bruxelles »

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    The Sun Brexit

    Alors que le quotidien The Sun prend ouvertement partie pour le Brexit, plusieurs sondages confirmeraient la victoire possible du Brexit avec 6 points d’avance dans une nouvelle enquête d’opinion d’ICM publiée lundi après-midi par The Guardian et avec 6 points d’avance pour YouGov :

    Dans son éditorial apparaissant également sur sa « une », le Sun soutient qu’une « sortie permettra de réaffirmer notre souveraineté – embrassant un avenir en tant que puissante nation autonome enviée de tous ».

    L’avenir de la Grande-Bretagne serait « bien plus sombre » au sein de l’Union européenne et serait absorbé par « l’expansion sans relâche de l’Etat fédéral allemand », poursuit le tabloïd appartenant au magnat des médias Rupert Murdoch. « Nous devons nous libérer de la dictature de Bruxelles », continue le quotidien, qualifiant l’UE de « plus en plus cupide, dépensière et harcelante » :

    « Notre pays a une histoire glorieuse. C’est notre chance de rendre la Grande-Bretagne encore meilleure, de reprendre notre démocratie, de préserver les valeurs et la culture dont nous sommes fiers à juste titre. »

    Le journal britannique estime que la campagne en faveur du maintien de la Grande-Bretagne au sein de l’UE a été « méchante » et « cynique », et accuse les pro-UE de tenter de « terrifier » en cas de « Brexit ».

    Texte repris du Salon beige

  • Après Orlando, l'heure de la séparation avec l'islam a sonné

    La nouvelle tuerie commise par un musulman à Orlando justifie la proposition de Donald Trump d’interdire l’entrée des adeptes de cette religion aux USA. En ce qui concerne l’Europe, toutes les personnes sensées réclament l’arrêt de toute immigration en provenance des pays à risques et la rémigration des islamistes vers les territoires où ils pourront pratiquer leur culte sans danger pour autrui. Ces mesures doivent être complétées en organisant à l’échelle mondiale une grande séparation avec le monde musulman qui sera la réponse globale au grand remplacement.

    Il s’agit de s’inspirer de l’ancien modèle Est-Ouest lorsque les deux régimes coexistaient en étant strictement séparés. De la même manière, on doit prohiber toutes les relations culturelles, touristiques et commerciales avec les puissances islamiques. Qu’on ne vienne pas nous parler de pétrole ! L’Amérique du Nord et la Russie possèdent toutes les ressources dont l’Europe a besoin. Le monde civilisé qui outre l’ethnie occidentale, inclurait notamment l’Extrême-Orient, la Chine, l’Inde et l’Amérique latine détiendrait dans cette hypothèse 83 % de la richesse annuelle. Économiquement, cette solution définitive n’affecterait nullement notre niveau de vie !

    Sa faisabilité politique dépend de l’élection de Donald Trump. Il s’alliera avec la Russie pour en finir avec le Califat. Tout comme Poutine, il sait que le ventre fécond de cette religion produira toujours des psychopathes. Les deux dirigeants seront donc fatalement conduits à se séparer de l’islam. Comme d’habitude, les laquais européens gémiront mais n’auront pas d’autre choix que de se soumettre à un nouvel ordre mondial qui respectera les droits de l’homme. Puisque certaines populations veulent revenir au septième siècle, au nom de quoi les en empêcherait-on ?

    Pour sauver le « vivre ensemble », le Premier ministre nous a indiqué que "toute une génération devrait vivre dans la crainte du terrorisme". Cet aveu est insupportable. Grâce à la grande séparation, nos enfants pourront au contraire mener une existence normale sans se soucier de la lune des islamistes qui tournera comme une folle autour de la planète civilisée avant de disparaître dans le néant de l’histoire.

      Gérard Pince

    R.L.

    (merci à Dirk)

  • Tuerie de Magnanville : le terrible dessin de Chard dans Présent

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    14/06/2016 – FRANCE (NOVOpress) : Terrible dessin de Chard, à la une du quotidien Présent daté de demain, à la suite de l’assassinat à Magnanville, par un combattant de l’Etat islamique, d’un commandant de police et de sa compagne, devant leur enfant de trois ans. Un dessin qui répond à lui seul à tous les ignobles amalgames entre la barbarie de l’Etat islamique et le combat de la Manif pour tous.

  • Rennes: Un « déséquilibré qui voulait tuer pour le ramadan » poignarde une jeune fille

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    14/06/2016 – RENNES (NOVOpress) : Les faits se sont produits aujourd’hui, vers 16 h 15 à Rennes : une jeune fille de 19 ans qui attendait le bus a été poignardée par un « déséquilibré qui voulait tuer pour le ramadan », selon les mots du procureur de la République. La jeune fille a reçu trois coups de couteau, « un premier à l’abdomen et deux autres au bras, alors qu’elle tente de se défendre. Elle est dans un état grave ». L’agresseur est décrit comme « un homme de 32 ans, déjà connu de la police en raison de ses troubles psychiatriques ».

  • Clinton-Riyad, un tandem sacré, ou quand les Saoudiens paient la campagne d'Hillary

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    © Flickr/ U.S. Department of State
    International
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    Présidentielle 2016 aux Etats-Unis (184)
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    Selon le vice-prince héritier d'Arabie saoudite Mohammed ben Salman Al Saoud, au cours des dernières années, son pays a toujours soutenu financièrement les candidats des deux partis républicain et démocrate.

    L'Arabie saoudite a versé plus de 20% du coût de la campagne d'Hillary Clinton pour l'élection présidentielle américaine, a déclaré dimanche le prince Mohammed ben Salman cité par l'agence jordanienne Petra.

    Cependant, selon Middle East Eye, le rapport a été supprimé du site Web de l'agence. Pourtant, un instantané de la version originale arabe a ensuite été republié par l'Institut pour les affaires du Golfe basé à Washington, rapporte MintPress News.

    "L'Arabie saoudite a toujours parrainé les deux partis républicain et démocrate de l'Amérique. Le royaume fournit également avec plein d'enthousiasme 20% du coût de la campagne d'Hillary Clinton pour l'élection présidentielle américaine en dépit du fait que certaines forces influentes dans le pays n'ont pas un regard positif sur le soutien de la candidate parce qu'elle est une femme", aurait indiqué le prince cité l'agence jordanienne.

    Les commentaires coïncident avec la visite du prince saoudien à Washington pour discuter avec des responsables américains des relations entre les deux pays.

     
     

    Il convient de noter qu'il est illégal aux Etats-Unis pour les candidats à la présidentielle d'accepter des financements de gouvernements étrangers. Mais l'Arabie saoudite et Mme Clinton ne sont pas étrangers à s'échanger des faveurs.

     

    The Clinton Foundation, présidée par Hillary et son mari Bill Clinton, a révélé en 2008 qu'elle avait accepté près de 25 millions de dollars du royaume saoudien la même année.

    En outre, les gouvernements étrangers qui ont donné de l'argent aux Clinton sont la Norvège, le Koweït, le Qatar, Brunei, Oman, l'Italie et la Jamaïque, qui ont versé ensemble environ 20 millions de dollars.

    SPUTNIK