Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Intervention d'Eléonore Bez, conseiller régional FN, à la séance plénière du Conseil Régional PACA le 24 juin 2016

    Le président de la Région PACA est M. Christian Estrosi

  • Brexit : Pour François Hollande, « le danger est immense face aux extrémismes et aux populismes »


    Brexit : François Hollande pointe un « danger... par Lopinionfr

    Partager sur Facebook Tweeter

     

    25/06/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    « Le danger est immense face aux extrémismes et aux populismes. Il faut toujours moins de temps pour défaire que pour faire, pour détruire que pour construire. La France pays fondateur de l’Europe ne l’acceptera pas. Un sursaut est nécessaire. L’Europe pour aller de l’avant, ne peut plus faire comme avant » a expliqué François Hollande.

    NdB: Un danger pour qui ?

  • Pour Juncker, le Brexit ne sera pas "un divorce à l'amiable"

    2790203.jpg

     

    25/06/16 à 09:39 - Mise à jour à 09:52

    Source: Belga

    La sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne ne se passera pas comme un "divorce à l'amiable", a mis en garde le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker en réclamant que Londres dépose "immédiatement" sa demande de quitter l'UE.

    © Reuters

    "Ce n'est pas un divorce à l'amiable mais après tout ce n'était pas non plus une grande relation amoureuse", a-t-il lâché à l'antenne de la télévision allemande ARD vendredi soir.

    "Je ne comprends pas pourquoi le gouvernement britannique a besoin d'attendre jusqu'au mois d'octobre pour décider si oui ou non il envoie la lettre de divorce à Bruxelles. J'aimerais l'avoir immédiatement", a-t-il insisté.

    Le Premier ministre britannique David Cameron a annoncé vendredi, après la victoire du Brexit au référendum, qu'il quitterait ses fonctions en octobre et qu'il laisserait à son successeur le soin de négocier la sortie de l'UE de son pays.

    Un des favoris à sa succession, l'ex-maire de Londres Boris Johnson, a assuré de son côté que le départ britannique devait se faire "sans précipitation", laissant entendre que les autorités allaient faire traîner les choses le plus longtemps possible.

    "Scandaleux"

    Le président du Parlement européen, Martin Schulz, a jugé "scandaleux" le choix de M. Cameron de ne quitter son poste qu'en octobre, estimant qu'il prenait "tout le continent (européen) en otage".

    Lorsque M. Cameron a annoncé en 2013 son intention d'organiser un référendum sur le maintien ou la sortie de la Grande-Bretagne de l'UE, "il a emprisonné un continent entier pour ses négociations tactiques", a déclaré dans la soirée le responsable social-démocrate sur la chaîne publique ARD.

    Après la victoire du Brexit lors du référendum de jeudi, M. Cameron a annoncé sa démission en précisant qu'il quitterait ses fonctions après la désignation d'un nouveau leader lors du congrès de son Parti conservateur début octobre.

    "Une nouvelle fois, tout un continent est pris en otage pour des réflexions internes au parti conservateur britannique", a fustigé M. Schulz, qui juge ce retrait trop tardif.

    "On peut aussi convoquer un congrès demain matin si on le souhaite", a encore critiqué le président du Parlement européen.

    Berlin va jouer un "rôle central"

    Jean-Claude Juncker, a également estimé samedi dans un entretien au quotidien allemand Bild que Berlin allait jouer un "rôle central" au sein de l'UE après le vote en faveur du Brexit.

    "L'Allemagne va continuer à jouer un rôle central, voire même encore plus important au sein de l'Union européenne", a déclaré M. Juncker à Bild, alors que la chancelière Angela Merkel a d'ores et déjà invité lundi à Berlin le président français François Hollande, le Premier ministre italien Matteo Renzi et le président du Conseil européen Donald Tusk.

    Samedi, une réunion des ministres des Affaires étrangères des six pays fondateurs de l'UE (Allemagne, France, Italie, Belgique, Pays-Bas et Luxembourg) est également prévue à Berlin.

    L'UE n'est certes pas parfaite mais "c'est ce que nous avons de meilleur pour rassembler les pays d'Europe à la même table et forger des compromis afin que les gens y vivent en paix, libres et dans la prospérité", a déclaré M. Juncker. Le Royaume-Uni va "nous manquer à cette table familiale", a-t-il dit.

    M. Juncker a toutefois pointé la responsabilité et l'ambivalence du Premier ministre David Cameron, démissionnaire vendredi après le référendum lors duquel 51,9% des électeurs ont voté pour le Brexit, alors que M. Cameron avait fait campagne pour le maintien de son pays dans l'UE.

    "Quand on peste du lundi au samedi sur l'Europe, il est difficile de passer pour un Européen convaincu le dimanche", a accusé M. Juncker, pour qui Bruxelles ne porte "aucune responsabilité" dans les résultats d'un scrutin voulu par M. Cameron "et non par le Parlement européen, la Commission ou le Conseil européen".

    Lors du prochain sommet extraordinaire des dirigeants de l'UE, mercredi et jeudi, il faut réfléchir à "comment nous pouvons mieux nous occuper des soucis des gens et contrer les mouvements populistes de façon résolue et unie", a-t-il insisté.

    Le président de la Commission européenne n'exclut du reste pas l'hypothèse de nouveaux référendums dans d'autres pays de l'UE, dans la mesure où "les populistes (...) ne perdent aucune occasion pour faire entendre à grand bruit leurs (idées) politiques anti-européennes".

    "Les effets du référendum britannique pourraient toutefois amener la fin de cette grossière agitation haineuse. Il pourrait rapidement s'avérer que la Grande-Bretagne allait mieux lorsqu'elle était dans l'UE", a-t-il estimé.

     

     

     

     

     

  • Vers un nouveau référendum sur le Brexit ?

     

    25/06/16 à 12:03 - Mise à jour à 12:03

    Source: Belga

    Après la victoire serrée (51,9%) en faveur du Brexit vendredi, plus d'un million de Britanniques réclament un second référendum sur le maintien dans l'Union européenne via une pétition en ligne.

    © Reuters

    Le cap du million de signataires a été atteint samedi avant midi.

    Le gouvernement britannique est tenu de répondre à toutes les pétitions atteignant au moins 10.000 signatures. Si 100.000 signatures sont récoltées, la pétition doit être débattue au Parlement.

    Les initiateurs de la pétition veulent que le gouvernement britannique organise un second référendum sur la question, le premier n'ayant pas atteint 75% de taux de participation et aucun des camps n'ayant réuni 60% des voix.

    Selon les données officielles, 72% des Britanniques ont pris part au vote et 51,9% d'entre eux se sont manifestés en faveur d'une sortie de l'Union européenne.

    En plus d'être relativement serrés, les résultats ont montré l'image d'un Royaume-uni fort divisé, tant géographiquement qu'entre les milieux sociaux et les générations. L'Angleterre a voté à 53,4% pour quitter l'UE. Au contraire, l'europhile Écosse a soutenu le maintien à 62%. L'Irlande du Nord a elle aussi voté le maintien à 55,7%, de même que Gibraltar (95%) et Londres (60%). La division a également été nette entre les jeunes électeurs, pro-UE, et les électeurs plus âgés, anti-UE. Elle a été encore plus marquée entre les Britanniques détenteurs d'un bagage éducatif et les autres.

    NdB: Les pétitions en ligne ont-elles une valeur juridique?

  • Brexit: "il aura un effet domino", selon le dirigeant du parti flamand

     

    © REUTERS/ Neil Hall
    International
    URL courte
    Brexit (116)
    61060233

    Suivant l'exemple britannique, d'autres Etats européens, notamment les Pays-Bas, pourraient envisager de sortir de l'UE, estime le leader du Vlaams Belang, parti d'extrême droite flamand.

    Le président du Vlaams Belang Tom Van Grieken se réjouit du résultat du référendum britannique qui acte la sortie prochaine du Royaume-Uni de l'Union européenne et prédit un effet de domino.

    "C'est une nouvelle fantastique! Finalement, le peuple britannique a fait entendre sa voix. Ils veulent récupérer leur pays", a-t-il déclaré dans un entretien à Sputnik.

     

    Selon lui, le débat tournait notamment autour de l'immigration :

    "Le peuple veut contrôler ses frontières. Le peuple en a assez de la crise migratoire et de l'asile. Vous aimez fermer votre verrou ? Eh bien les pays aiment fermer leurs frontières quand ils le veulent. Et l'UE ne le permet pas : elle interfère avec la souveraineté des Etats et le peuple en a assez. Il veut le retour de son pays et aujourd'hui, les Britanniques ont retrouvé leur pays !".

    Et si les Britanniques ont "retrouvé leur pays", d'autres pourraient bien leur emboîter le pas, à en croire Tom Van Grieken, qui mise sur les Pays-Bas comme pour succéder au Royaume-Uni :

    "D'autres pays suivront. Oui, je pense qu'il y aura un effet domino, et le premier pays que nous devrions surveiller, ce sont je pense les Pays-Bas. Un référendum s'est tenu là il y a quelques mois et le "non" l'avait emporté. Donc je pense que s'il y a une sortie prochaine, je miserai mon argent sur le NExit !".

    Le 23 juin, les Britanniques se sont prononcés par référendum sur le maintien ou non du Royaume-Uni au sein de l'UE. Les premiers résultats ont été annoncés quelques minutes après la fermeture des bureaux de vote et donnaient les partisans du "In" gagnants. Toutefois, le résultat définitif a changé la donne. Le pays a choisi de quitter l'UE à 51,9%. Un cas sans précédent.

     

    Suite à la publication des résultats, le premier ministre David Cameron a annoncé sa démission.

    SPUTNIK

  • Brexit: scène de liesse dans le camp des "leave"

    Merci au Royaume-Uni de nous avoir donné ce grand jour de joie !

  • Les bébés, des marchandises comme les autres!

     

    Download PDF

    Il est aujourd’hui possible, en France, de commander un bébé qui naîtrait d’une mère porteuse… en passant un simple coup de téléphone ! C’est ce qu’affirme Jean-Frédéric Poisson. Il nous en a fait la démonstration en appelant devant nous une société canadienne qui dispose d’une antenne en France. En se faisant passer pour un homosexuel à la recherche d’un bébé, un jeune homme de l’équipe du député a demandé le détail des prestations et a obtenu un devis chiffré, pour un hypothétique bébé qui serait conçu en Ukraine.

    Un bébé garanti « sans handicap »

    La conversation avec la téléopératrice est surréaliste ! Lorsqu’on lui demande s’il est possible de choisir une personne du même niveau social et d’éviter les handicaps, voire les « becs-de-lièvre », elle répond systématiquement par l’affirmative. Concernant le risque de voir la mère porteuse se rétracter et refuser de donner le bébé qu’elle a porté aux parents adoptifs, elle affirme que le « programme » est parfaitement verrouillé de ce côté-là. D’une part, aucun argent ne sera remis à la mère porteuse si elle se rétracte, et d’autre part, « la loi ukrainienne privilégie toujours les parents plutôt que les mère porteuses ».

    Hypocrisies en cascade

    Les autorités françaises ne réagissent pas devant ces pratiques qui tombent pourtant sous le coup de la loi et dont l’existence est avérée. Jean-Frédéric Poisson saisit donc le procureur de la République contre cette société canadienne qui dispose d’un bureau à Paris. « Nous le savons depuis longtemps, assure-t-il, toutes les facilités sont faites en ce sens », et il dénonce le double langage des députés qui affirment « la main sur le cœur » qu’il n’est pas question de légaliser la gestation pour autrui (GPA), mais qui, dans le même temps refusent de voter en faveur d’un projet de loi qui permettrait d’inscrire, sans ambiguïté, l’interdiction de la GPA dans la Constitution. Ce dernier projet, lancé par Philippe Gosselin (LR) et Valérie Boyer (LR), rencontre en ce moment même une forte résistance à l’Assemblée nationale.

    « Une course effrénée vers un nouvel esclavagisme »

    Malgré l’interdiction des mères porteuses en France, plusieurs centaines voire milliers de couples y ont déjà eu recours, participant à ce que le député des Yvelines qualifie de « course effrénée vers un nouvel esclavagisme ». Elle donne désormais lieu à des concurrences sordides : récemment, la Thaïlande a pris des « parts de marché » à l’Inde, en proposant les services de mères porteuses moins chères… « On arrive au bout d’une logique entamée avec la loi bioéthique 1994, explique le député. À partir du moment où l’on a validé la réduction embryonnaire, on a validé la mécanique eugénique qui trouve son expression quasi parfaite dans la pratique des mères porteuses. »

    source

    Et en France… Découvrez co.parents.fr…

    DélitD'images

  • Brexit : en route vers l'Europe des Nations !

     

    Tribunes libres / 24 juin 2016 / Étiquettes : /
     

    Edito de Nicolas Bay (24.06.2016)

    Projet dévoyé, ayant trahi sa vocation originelle, l’Union Européenne se voit aujourd’hui infligée une gigantesque gifle. S’il s’agit avant tout d’une victoire pour le peuple britannique, c’est aussi une victoire pour la démocratie et tous les peuples d’Europe qui ont plus que jamais soif d’identité, de souveraineté et de liberté.

    Avec 52% des suffrages exprimés en faveur d’une sortie de l’Union Européenne, la volonté des Britanniques doit maintenant être respectée et mise en œuvre. N’oublions pas que le peuple Français, lui, avait voté NON au traité constitutionnel européen en 2005 et que ses dirigeants, Nicolas Sarkozy en particulier, avec la participation effective des instances européennes, l’avaient honteusement trahi en bafouant son vote avec le traité de Lisbonne !

    Comme les Britanniques, les autres peuples d’Europe aspirent aujourd’hui à retrouver leur indépendance nationale, décider de leurs lois, retrouver l’entière maîtrise de leur destin. En cela, le Brexit c’est aussi, et surtout, le rejet d’une immigration massive présentée par les technocrates de Bruxelles et leurs complices nationaux comme « une chance » économique.

    Le Front National et Marine Le Pen le réclament depuis des années : il est temps qu’un référendum ait lieu. À l’issue d’un vrai débat, les Français doivent avoir le droit de se prononcer et de trancher, d’autant qu’ils ont beaucoup plus de raisons que les Britanniques, lesquels ne sont pas dans l’espace Schengen et ont eu la sagesse de conserver leur liberté monétaire, de vouloir s’extraire de ce carcan.

    L’Union Européenne doit désormais laisser la place à la véritable Europe : cette civilisation faite de patries souveraines et libres. C’est ce projet pour une autre construction européenne, basée sur ces réalités intangibles que sont les nations, que nous allons continuer de porter et que Marine Le Pen et son gouvernement mettront en œuvre.

  • La belle couverture du Sun

    brexit-sun.jpg thze Sun.jpg