Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Marion Maréchal-Le Pen invitée de Jean-Jacques Bourdin sur BFM TV

    http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/marion-marechal-le-pen-face-a-jean-jacques-bourdin-en-direct-838347.html

    Merveilleuse Marion!

     

  • Après le BREXIt, Juppé a peur du FREXIT !

     Organiser un référendum en France aujourd’hui serait totalement irresponsable », met en garde Alain Juppé, dans une interview publiée sur le site du journal Le Monde ce lundi, et dans son édition papier datée de mardi. D’autres candidats déclarés ou probables à la primaire de la droite, comme Bruno Le Maire ou Nicolas Sarkozy, n’excluent pas eux un recours au référendum.

    Les hommes d’Etat doivent « guider » et non « suivre » l’opinion

    S’il ne faut pas de référendum maintenant, « en revanche, les peuples européens ont le sentiment que la construction européenne s’est faite sans eux. Ce sentiment fait partie du rejet actuel. Il faudra un référendum, non pas seulement en France, mais dans tous les pays concernés, à un certain stade de la reconstruction de l’Europe », affirme Alain Juppé. « Si la France et l’Allemagne se mettent d’accord sur un accord de reconstruction de l’UE, et que des partenaires y sont associés, on pourra alors proposer aux peuples de l’approuver. »  « Je ne suis pas contre un référendum – ce serait paradoxal pour un gaulliste – mais je pense qu’une telle consultation populaire se prépare », tient-il à préciser.

    « Il y a des moments historiques où les hommes d’Etat ne sont pas faits pour suivre l’opinion. Ils sont là pour la guider: voilà ce que nous pensons et ce que nous proposons à nos peuples et, à ce moment-là, il est possible d’organiser un référendum. Pas avant. »

    BV

  • Punir les Britanniques, par Guy Rouvrais

    Chard-Punir-Britanniques.jpg

     

    Partager sur Facebook Tweeter

     

    Les Britanniques ont « mal » voté, il faut donc les punir. Ce n’est pas dit si crûment à Bruxelles, mais c’est ainsi que l’on entend traiter ces impertinents qui ont osé claquer la porte. Ils sont simplement « coupables » d’avoir utilisé la possibilité offerte par le traité de Lisbonne de quitter l’UE, un passage par les urnes dont devraient se féliciter les dirigeants européens qui se gargarisent tous les matins du mot « démocratie. » Mais l’article 50 ne devait être pour eux qu’une simple clause de style, car qui pouvait sérieusement songer à une « marche en arrière » et abandonner cette merveille que serait l’Union européenne ? C’est cet aveuglement qui a engendré d’abord la stupéfaction, puis la colère, chez les Tusk, Schultz, Hollande, Merkel et autres Junker, qui sont à Bruxelles ce que le Politburo était à Moscou.

    Le président de la Commission, Junker, a proclamé : « Ce n’est pas un divorce à l’amiable », c’est donc à torts réciproques, mais il omet de dire quels sont ceux de Bruxelles ayant poussé nos voisins d’outre-Manche à prendre congé. Ceux des Britanniques ? De ne pas avoir cédé aux objurgations de l’intelligentsia. Rappelons tout de même que le peuple a dû faire face aux pressions conjuguées du parti travailliste, de la moitié du parti conservateur, des libéraux, de quatre anciens Premiers ministres, conservateurs et travaillistes lançant un appel commun, de la plupart des représentants de la City, du patronat dans son ensemble, des dirigeants des multinationales américaines. On a même vu le président Obama faire le voyage de Londres pour exprimer son soutien à Cameron en campagne pour le « in ». Sans compter aussi l’archevêque de Canterbury, primat des Anglicans, et une grande partie de la hiérarchie de l’épiscopat catholique, qui se prononcèrent publiquement contre le « out ».

    C’en est fait des paroles prudentes quand, pour ne pas effaroucher les électeurs, Bruxelles évitait d’aborder les sujets qui fâchent. Maintenant, les propos sont expéditifs : puisqu’ils ne sont pas rentrés dans le rang, qu’ils partent le plus tôt possible ! Le président du Parlement européen, Martin Schultz, dénonce comme « scandaleux » d’attendre octobre avant de faire jouer l’article 50, c’est une « prise d’otage » de l’Union, assure-t-il. Junker aussi veut les voir partir rapidement. « Je ne comprends pas pourquoi le gouvernement britannique a besoin d’attendre jusqu’au mois d’octobre pour décider si oui ou non il envoie la lettre de divorce à Bruxelles. J’aimerais l’avoir immédiatement. » Même son de cloche à l’Elysée.

    Le but de cette urgence soudaine ? Empêcher Londres de procéder aux nécessaires adaptations législatives et réglementaires pour remplacer les règlements bruxellois (plus de 7 000 !), dans l’espoir de susciter chaos et confusion qui affaibliraient l’économie britannique. Punir la Grande-Bretagne pour l’exemple aussi et, surtout, afin de dissuader ceux qui, en Europe, voudraient suivre leur « mauvais » choix « Voyez ce qui arrive quand on quitte l’Union ! » Mais ce chantage sera contre-productif, il ne fera que souligner l’arrogance de Bruxelles et son impérialisme, incitant les peuples non point à s’y soumettre, mais à s’en libérer eux aussi.

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 28 juin 2016

    NOVOpress

  • Brexit. B.-H.-Lévy : la victoire « de la xénophobie, de la haine longtemps recuite de l’immigré et de l’obsession de l’ennemi intérieur »

    levy-bernard-henri-1728x800_c.jpg

     

    J-1

    Extraits d’une tribune de Bernard-Henri Lévy, (écrivain, philosophe, et membre du conseil de surveillance du « Monde ») sur la victoire du Brexit, intitulée « Etrange défaite à Londres »*.

    * Le titre de la tribune fait allusion à « L’Étrange Défaite » un témoignage écrit en 1940 sur la bataille de France par Marc Bloch, officier et historien. [NDLR]

    Ce sera, toujours, la victoire de l’ignorance sur le savoir. Ce sera, chaque fois, la victoire du petit sur le grand, et de la crétinerie sur l’esprit.

    Ce « Brexit », c’est la victoire, non du peuple, mais du populisme. Non de la démocratie, mais de la démagogie. C’est la victoire de la droite dure sur la droite modérée, et de la gauche radicale sur la gauche libérale. C’est la victoire, dans les deux camps, de la xénophobie, de la haine longtemps recuite de l’immigré et de l’obsession de l’ennemi intérieur. C’est, dans tout le Royaume-Uni, la revanche de ceux qui n’ont pas supporté de voir les Obama, Hollande et autres Merkel donner leur avis sur ce qu’ils s’apprêtaient à décider.

     

    [...]

    C’est la victoire, en France, des Le Pen et autres Mélenchon qui rêvent d’une variante française de ce « Brexit », alors qu’ils ignorent, l’un comme l’autre, jusqu’à la première lettre de l’intelligence française, de l’héroïsme français, de la radicalité et de la rationalité françaises.

    [...]

    C’est la victoire des casseurs et des gauchistes débiles, des fachos et hooligans avinés et embiérés, des rebelles analphabètes et des néonationalistes à sueurs froides et front de bœuf. [...]

    Cela pourra se dire en engliche, en rital, en franglais. Cela va se dire en grognant, en cognant, en virant, en renvoyant à la mer, en interdisant de rentrer ou en proclamant bien fort le dérisoire et fiérot : « Je suis anglais, moi, Monsieur » – ou écossais, ou français, ou allemand, ou n’importe quoi d’autre.[...]

    Le Monde

    NdB: Quel triste imbécile! S'il savait comme ses insultes racistes glissent sur les Français comme l'eau sur les plumes d'un canard!

     

     

  • La question aux internautes de Valeurs Actuelles

    Capture.PNG sondage VA.PNGSondage Valeurs Actuelles 26 06 2016

  • Tribune libre – Risque de guerre civile ?, par Vincent Revel

    Guerre-civile.jpg

     

     Partager sur Facebook Tweeter

    Le terme guerre civile s’invite de plus en plus dans le débat public. Pour continuer à vendre leur modèle multiculturel et pour ne pas avoir à se remettre en cause, nos dirigeants incriminent les partis patriotes d’Europe pour expliquer les échecs flagrants du « bien vivre ensemble ».

    Avec le Brexit, les peuples européens peuvent enfin se rendre compte que tout est possible. Nous pouvons dire non à l’Europe sans que notre monde s’effondre. Nous pouvons dire que nous voulons une autre Europe sans avoir obligatoirement l’apocalypse. La pensée unique s’effrite et la propagande antiraciste, néo-libérale et altermondialiste s’essouffle. Le rêve d’un village monde s’efface comme une brume s’évapore à la chaleur du soleil. La réalité est toujours plus forte que l’idée. La véritable vie ne s’embarrasse pas des utopies.

    CaillerasSouvent, nous entendons parler des territoires perdus pour la République. Ces fameux territoires qui se multiplient considérablement depuis moins de vingt ans par la faute d’une politique migratoire complètement folle. Perdus ! Mais sont-ils perdus pour tout le monde ? Et si les lois de la République ne peuvent plus s’y appliquer normalement comme sur le reste du territoire, que se passe-il réellement dans ces zones que l’on décrit fréquemment comme des lieux de non-droit ?

    Tout ceci n’est qu’une vaste hypocrisie car tout le monde sait que ces nouveaux territoires sont dès à présent déconnectés de l’identité charnelle de notre pays. Nos lois ont été remplacées par un code juridique étranger et notre culture disparaît mètre après mètre pour laisser place à un nouveau mode de pensée et de croire. Le multiculturalisme s’est transformé depuis longtemps en communautarisme et la diversité, si chère à nos censeurs modernes, a fini par effacer complètement l’héritage de nos anciens.

    De la France, pays européen possédant une culture millénaire et un roman national permettant à ses habitants d’être unis autour d’une mémoire commune, nos dirigeants en ont fait une nation sans frontière, découpée comme une mosaïque. Dans cette espace sans règle commune, viennent prendre place des peuples et des individus nouveaux, désireux pour la plupart de vivre selon leurs us et coutumes.

    Devant la faiblesse de nos élus et avec la collaboration d’un grand nombre de nos compatriotes de souche, ces nouveaux arrivants, selon leurs origines culturelle et religieuse, n’hésitent plus à s’arroger systématiquement des droits au détriment de l’unité nationale. De ce fait, une crainte légitime s’installe chez les autochtones que nous sommes.

    Malgré la censure féroce du système antiraciste qui tente de nous faire culpabiliser, les inquiétudes d’un grand nombre de Français s’expriment de plus en plus librement. Face à ce communautarisme, qui fait craindre dans les coulisses dorées de notre République une éventuelle guerre civile, seule une action politique forte peut nous éviter la catastrophe toute annoncée.

    Isabelle Surply

    Dernièrement, Isabelle Surply (ci-contre), conseillère régionale de Rhône-Alpes-Auvergne et responsable du canton de Rive-de-Gier pour le Front national de la Loire, a été menacée de mort, de violences et de viol à plusieurs reprises pour avoir simplement relayé sur Twitter un message d’un internaute exprimant sa colère contre les politiques, « qui souhaitent un bon ramadan » à la communauté musulmane de France en les nommant des « collabos » de l’islamisation de notre pays. Pour ça, dans la France du XXIe siècle, avec le silence complice d’une grande partie de nos élites, une jeune femme et son enfant peuvent être menacés de mort !

    Peu de jours avant, dans le même secteur géographique, le maire de Lorette, Gérard Tardy, avait fait passer deux messages sur les panneaux municipaux pour demander à la communauté musulmane de sa ville de vivre le ramadan « sans bruit » tout en précisant, comme la loi l’explique, que « la République se vit à visage découvert. » Quel fut le résultat pour cette action que nous devrions tous trouver normale ? Comme pour Isabelle Surply, des menaces furent proférées et la Ligue des Droits de l’Homme, en la personne de Jamal Rami, étudiait une possibilité de dépôt de plainte pour islamophobie !

    Et oui, nous en sommes là ! Un rappel de civisme pour ces nouveaux arrivants peut valoir à un maire de France d’être menacé et poursuivi pénalement ! Alors, oui, avec des cas comme ceux-là, qui se multiplient de plus en plus, la guerre civile n’est peut-être pas qu’une affabulation.

    NOVOpress

     

  • Racisme anti-blanc : un grave déni de réalité

    Racisme-anti-blanc-600x313.jpg

     

    Le livre Sale Blanc ! Chroniques d’une haine qui n’existe pas, aux Editions Idées, a démontré l’ampleur du racisme anti-blanc. Après l’avoir nié pendant trois décennies, les journalistes, comme les associations antiracistes ou la justice, tentent désormais de le minimiser.

    Rapport racisme-anti-blancLa plupart des médias ont relayé la sortie, début janvier 2016, d’un rapport, intitulé « Trajectoires et origines. Enquête sur la diversité des populations en France ». Ce rapport écrit par des chercheurs de l’Institut national d’études démographiques (INED) affirme que le « racisme anti-blanc n’est pas une expérience de masse ».

    Le racisme à l’encontre des « majoritaires », car c’est le qualificatif donné par les auteurs pour désigner les Français de souche, serait « un phénomène minoritaire ». Ce rapport annonce : « Non seulement le racisme vécu par la population majoritaire est bien moins fréquent, mais il se produit essentiellement dans la rue. » Il serait donc « sans comparaison avec le racisme qui vise les populations issues de l’immigration extra-européenne, envers qui il s’exprime de façon massive, répétée et préjudiciable ».

    Pourtant, la réalité montre chaque jour le contraire. Revenons sur l’affaire du viol collectif d’Evry-Courcouronnes. Le 30 mars 2014, quatre adolescents violent et torturent une jeune fille de 18 ans à la sortie de la gare. Le magazine Le Nouveau Détective de juin 2014 a donné le profil des quatre violeurs aux moments des faits : ce sont trois frères turcs nés à Istanbul âgés de 13 à 17 ans, et un « Français » de 13 ans, se nommant Belkacem. Les sévices endurés par cette jeune fille sont innommables : « Fellations forcées, sodomies, coups de bâtons… Les violences s’enchaînent pendant près de deux heures. Ils l’attachent et la bâillonnent, lui urinent dans la bouche et lui crachent au visage. »

    Détective racisme anti-blancLes insultes adressées à la jeune fille ne laissent aucun doute sur les motivations racistes des agresseurs. Selon le quotidien Le Parisien, un des violeurs a demandé ses origines à la victime. Et un troisième a déclaré s’en être pris à cette jeune fille parce qu’elle était française et qu’il n’aime pas les Françaises. En effet, pendant le viol et les tortures, la jeune fille a été plusieurs fois insultée : « T’es qu’une salope de Française. » Le meneur de la bande dira même aux policiers lors de sa garde à vue : « Quand je sortirai, je niquerai la France. »

    Des déclarations sans ambiguïté et pourtant, la dimension raciste n’a pas été retenue par la cour d’assises des mineurs d’Evry. Selon une source proche du dossier, rapportée par Le Parisien : « Les juges ont choisi de retenir les qualifications les plus graves de viols et d’actes de tortures et barbarie, qui font encourir la peine la plus forte. Y ajouter l’injure raciale ne change rien à la peine encourue. »

    Une justification absolument fausse puisque la loi Lellouche du 3 février 2003, déclare : « Les peines encourues pour un crime ou un délit sont aggravées lorsque l’infraction est commise à raison de l’appartenance ou de la non-appartenance, vraie ou supposée, de la victime à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. »

    Ce refus par la justice de qualifier ce viol de raciste va avoir des conséquences du point de vue des médias. Selon Francis Chouat, maire d’Evry et membre du Parti socialiste, il y a eu « des consignes de diète médiatique » données aux journalistes de la part des parents de la victime pour ne pas évoquer ce viol et ses motivations anti-françaises. Résultat ? A part Le Parisien, aucun média national ne va mentionner les motivations des agresseurs. Aucune association ne s’est portée partie civile, la classe politique s’est tue dans son ensemble sauf, il faut le noter, Jacques Bompard et Marion Maréchal-Le Pen.

    Ce cas dramatique n’est malheureusement pas isolé puisqu’en mai 2010, l’émission Envoyé spécial avait diffusé les images d’un procès d’un violeur en série expliquant avoir voulu « humilier les Blancs ». Là aussi, malgré les déclarations de ce violeur ayant agressé sexuellement 15 jeunes femmes, le tribunal ne qualifiera pas ces actes de raciste.

    En clair, la justice ne prend pratiquement jamais en considération les motivations anti-Blanches des auteurs de viol, de meurtre ou d’agression.

    NOVOpress

  • Après l’Autriche, la Hongrie, la Pologne et le Brexit, l’Islande vient d’élire un eurosceptique à sa tête

    576cf9fec3618866698b45f1.jpg Brexit.jpg

    gudni-johannesson-759.jpgIslande.jpg

     

       PI - L'information sans concession

     

     

    image: http://images.indianexpress.com/2016/06/gudni-johannesson-759.jpg

     

     

    L’ Islande dans la foulée du Brexit vient de porter à sa tête un président qui a fait une grande partie de sa campagne sur son opposition à l’Union européenne.

    Sans étiquette, âgé de 48 ans l’universitaire Gudni Johannesson est le nouveau président islandais avec 39,1 % des voix. Il devance la femme d’affaires Halla Tomasdottir (27,9%) . Les candidats du système, comme en Autriche ont été repoussés loin derrière. M. Johannesson succède ainsi à Olafur Ragnar Grimsson qui présidait le pays depuis 20 ans. David Oddsson, l’ancien premier ministre qui briguait le titre n’arrive que 4ème. La présidentielle est surtout protocolaire en Islande, les élections législatives de l’ automne devraient confirmer le mouvement eurosceptique.

    Le nouvel élu est hostile sans concession à une adhésion de l’île à l’Union européenne, comme la majorité des Islandais qui se sont réjouis de la victoire du « Brexit ». Le divorce entre la Grande-Bretagne et l’UE « change beaucoup de choses dans le bon sens pour les Islandais », commentait vendredi soir le futur président d’Islande. « Il pourrait éventuellement amener le Royaume-Uni à renouer avec l’Association européenne de libre-échange entre l’Islande, la Norvège, la Suisse et le Liechtenstein. » Cet euroscepticisme n’est pas nouveau en Islande où le gouvernement de centre-droit avait retiré en 2015 la candidature à l’UE déposée par son prédécesseur de gauche en 2009, mettant ainsi fin à toutes négociations avant même qu’elles aient pu débuter.

    Les pays membres de l’Union de plus en plus eurhostiles

    Après que l’Union européenne ait été très attractive en phagocitant, par manque de recul probablement,  les anciennes républiques soviétiques du centre européen, c’est aujourd’hui le désenchantement. Les élections municipales en Espagne ont amené des eurosceptiques à la tête des plus grandes villes, comme en Italie tout récemment. En Espagne les élections législatives qui se déroulent aujourd’hui dimanche risquent de porter Podemos, la gauche eurosceptique, au pouvoir ou très prés du pouvoir. En Italie la Ligue du Nord identitaire et donc eurosceptique, gagne de plus en plus de territoire. L’Autriche a manifesté son opposition à la politique immigrationniste de l’Union lors d’ élections présidentielles en mai dont le résultat a été manifestement manipulé. Auparavant les élections en Hongrie ont porté au pouvoir Victor Orban très remonté contre les abus de pouvoir du directoire de l’Union. En Pologne, même cas de figure après les élections successives à la présidence puis aux législatives d’un président (Andrzej Duda) et d’un premier ministre (Beata Szydło), qui se montrent très réticents à intégrer la zone euro et très opposés sur la politique immigrationniste de l’Union menée très autoritairement par Angela Merkel qui n’a pourtant aucune légitimité pour le faire. Sans compter la Belgique dont un appel au référendum vient du Vlaams Belang de Flandre, ou la Slovaquie dont le parti identitaire « Notre Slovaquie » entend organiser la collecte de signatures en faveur d’un référendum sur la sortie de la Slovaquie de l’Union européenne, au lendemain du Brexit. Le Danemark demande aussi un référendum. Etc.

    En France, suite au Brexit de jeudi, des voix  rejoignent celle de Marine Le Pen pour réclamer une sortie de l’Union. Le Front national a toujours été hostile à l’Union européenne tombeau des nations. Le Front national, malgré une diabolisation systématique et virulente de la part du système, représente en nombre d’électeurs le premier parti de France.

    De même au Pays-Bas : le député identitaire, Geert Wilders, qui a récemment convaincu ses compatriotes avec le référendum contre l’ouverture de l’Ukraine à l’UE, a réclamé vendredi matin un référendum pour que son pays ait sa « propre monnaie » et sa « propre politique d’immigration »« Les Néerlandais ont droit à un référendum aussi. Le Parti pour la liberté (PVV) demande ainsi un référendum sur un Nexit, une sortie néerlandaise de l’UE », a-t-il déclaré dans un communiqué. « Nous voulons être en charge de notre propre pays, notre propre monnaie, nos propres frontières, et notre propre politique d’immigration », a-t-il souligné. « Si je deviens Premier ministre, il y aura un référendum aux Pays-Bas ». Un récent sondage réalisé par la télévision publique hollandaise, donnerait une majorité de Néerlandais « favorables à la sortie de l’UE ». Les élections législatives aux Pays-Bas sont attendues l’année prochaine et les sondages sont invariablement favorables au parti  identitaire de Geert Wilders pour cette prochaine élection à surveiller.

    La vague anti-Union qui recouvre l’Autriche, l’Italie, l’Espagne et la France touche des pays entièrement  et anciennement intégrés à la totalité des systèmes mis en place par Bruxelles dont: le traité de Schengen qui coiffe la souveraineté de ces nations sur leurs frontières, sans toutefois les remplacer. La politique de défense dont le Traité de Lisbonne impose l’alliance inconditionnelle atlantique; l’accord sur la Politique Agricole Commune qui est en train de désertifier nos campagnes de ses agriculteurs traditionnels au profit d’un agriculture industrielle. Enfin, en adhérant à l’eurozone ces pays ont abdiqué leur droit régalien de frapper monnaie et se sont soumis au système bancaire privé promu par Bruxelles.

     

    La volonté des peuples de plus en plus méprisée dans l’Union

    Si le camp des nations que l’Union européenne cherche à abolir ne cesse de gagner du terrain dans tous les pays membres, en revanche le respect de la volonté des électeurs est de plus en plus bafouée. Après les rejets de la constitution européenne par les Français et les Néerlandais en référendum, l’UE européenne a quand même mis celle-ci en application par le Traité de Lisbonne avec à la manœuvre l’euro-mondialiste Nicolas Sarkozy qui compte sur l’amnésie des électeurs en briguant un nouveau mandat présidentiel. Il en a été de même beaucoup plus récemment avec le référendum aux Pays-bas, sur le rejet d’un accord avec l’Ukraine. Plus de 60% des électeurs ont rejeté cet accord d’association politique , commerciale et de libre-circulation entre l’UE et l’Ukraine, ce qui n’a pas empêché Berlin qui mène l’Union par la barbichette, de dispenser quand même  les Ukrainiens de visas.

    Les élections présidentielles autrichiennes sont un autre exemple du mépris de la volonté populaire par l’oligarchie européenne, puisque des manipulations de grandes ampleurs ont entaché les élections présidentielles. Des élections législatives devraient avoir lieu dans quelques mois dans ce pays le plus touché par l’immigration clandestine musulmane de l’Union. Quant au référendum sur le Brexit, d’étranges manœuvres semblent s’opérer depuis lundi pour tenter un nouveau référendum ou bien pour détacher l’Ecosse et l’Irlande du Nord du royaume en les rattachant à l’Union, sous le prétexte que dans ces régions l’adhésion au Brexit aurait été moindre qu’en Angleterre. Un bon moyen d’atomiser les nations pour les faire disparaître au profit de l’Union européenne dont Angela Merkel à eu l’audace de déclarer au lendemain du Brexit: «C’est un coup porté au processus d’unification européenne», alors que la volonté des peuples européens qui ont été consultés sur le sujet en 2005 (la France et les Pays-bas) avait clairement manifesté son opposition à cette union.

    Du mépris des peuples à leurs soulèvements

    Si ce processus de mépris des volontés nationales se poursuit, le système démocratique continuera de perdre son rôle de soupape de la colère des peuples et il se pourrait bien que tout cela aboutisse à des situations de soulèvements généralisés. La réaction affolée des médias de l’Établissement le prouve, qui depuis lundi vont jusqu’à prétendre que le Brexit aurait été voté par des électeurs décérébrés qui se seraient réveillés tout groggy lundi d’apprendre qu’ils avaient gagné et qui loin de s’en réjouir l’auraient regretté. Mes informations en provenance d’Angleterre directement, me disent l’exact contraire, puisque même ceux qui avaient voté pour le maintien du Royaume-uni dans l’Union sont finalement enchantés du résultat. Mais ces mêmes médias se donnent bien garde d’interroger Nigel Farage, le chef de file du parti identitaire UKIP, qui a été le plus engagé dans le brexit et qui s’est le plus fort réjoui (voir la photo ci-dessus). L’Histoire enseigne que la force au service du mépris des peuples ne dure qu’un temps, ainsi que l’a déclaré récemment Vladimir Poutine. La chute de l’empire soviétique en est l’exemple le plus récent, il se solde soit par l’usure du pouvoir, soit par le soulèvements des peuples.

    Voir aussi: Le dissident soviétique Vladimir Boukovsky compare l’UE à l’URSS: « J’ai vécu dans votre futur et ça n’a pas marché. »

    emiliedefresne@medias-presse.info

     

  • Italie: plus de 3300 immigrés secourus au large de la Libye

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/06/26/97001-20160626FILWWW00180-italie-plus-de-3300-migrants-secourus-au-large-de-la-libye.php

    Il faut les ramener sur les côtes libyennes au lieu de les débarquer en Europe! L'Italie devient-elle folle?

     On comprend encore mieux le Brexit!

  • Le Parlement européen veut que le Royaume-Uni engage sa sortie dès mardi

    3170283.jpg Schulz.jpg

     

    26/06/16 à 12:22 - Mise à jour à 12:55

     

    Le président du Parlement européen Martin Schulz a exhorté dimanche le Premier ministre britannique David Cameron à entamer la procédure de sortie de l'Union européenne dès mardi, date à laquelle un sommet européen doit se tenir.

     

    Selon un entretien publié dans le journal Bild, Martin Schulz estime qu'une période de flou "conduirait à davantage d'insécurité, mettant ainsi l'emploi en danger".

    "Cette attitude d'hésitation, simplement pour faire le jeu tactique des conservateurs britanniques, nous nuit à tous", poursuit-il. "C'est pourquoi nous comptons sur le gouvernement britannique pour tenir ses promesses dès maintenant et le sommet de mardi sera le bon moment."

    Les quatre plus grandes formations du Parlement européen ont également rédigé une résolution invitant David Cameron à engager le Brexit dès mardi, rapporte le journal allemand Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung.

    Il est impératif, écrivent les parlementaires, "d'éviter une incertitude préjudiciable à tous et de préserver l'unité de l'Union".

    "Aucune relation nouvelle, de quelque ordre qu'elle soit, entre le Royaume-Uni et l'UE ne pourra être entérinée tant que l'accord de sortie n'a pas été achevé", ajoutent-ils.

    Vendredi après le choc des résultats du référendum, qui consacrent la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne, David Cameron avait annoncé sa démission d'ici le mois d'octobre, laissant à son successeur le soin de négocier le Brexit avec les autres pays membres.

    Comme le stipule l'article 50 du traité de Lisbonne qui n'a jamais été utilisé jusqu'ici, pour engager son retrait, le Royaume-Uni doit notifier au Conseil européen composé des chefs d'Etat et de gouvernement, son intention de quitter l'Union.

    A partir de là, l'Etat sortant et les membres de l'UE ont deux ans pour négocier le retrait.

    Un sommet des chefs d'Etat et de gouvernement est prévu mardi et mercredi pour discuter de l'issue de ce référendum britannique. Le Parlement européen se réunira mardi en session extraordinaire.

    Les ministres des Affaires étrangères des six pays fondateurs qui se sont réunis samedi à Berlin, ont pressé le gouvernement britannique de démarrer le processus de sortie "dès que possible".

    Cependant la chancelière allemande Angela Merkel s'est montrée plus nuancée, estimant qu'il revenait au Royaume-Uni de décider quand lancer le processus de sortie sans toutefois "s'éterniser".

    "Nous n'avons aucune raison d'être désagréables dans ces négociations. Nous devons suivre les règles du jeu", a-t-elle déclaré samedi.

    Selon son directeur de cabinet, Peter Altmaier, qui s'exprimait dimanche matin à la radio publique allemande, "la demande (de sortie) sera déposée dans quelques semaines voire dans quelques mois, certainement à l'arrivée d'un nouveau gouvernement".

    A son arrivée, le nouveau gouvernement britannique devra d'abord "s'organiser puis présenter la demande. Nous devrions tous attendre calmement", a-t-il estimé.