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  • Deux députés LR en Israël afin de "trouver des solutions contre le terrorisme"

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Deux-deputes-LR-en-Israel-afin-de-trouver-des-solutions-contre-le-terrorisme-40830.html

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  • Poutine et Erdogan font cause commune

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    • Par Emmanuel Grynszpan
    • Mis à jour
    • Publié
     

    Recep Tayyip Erdogan en compagnie de Vladimir Poutine, lundi, à Saint Petersbourg. Crédits photo : SPUTNIK/REUTERS

    Les deux présidents ont prôné mardi le rétablissement des relations économiques et évoqué le dossier syrien.

    Vladimir Poutine rouvre les vannes du tourisme russe vers la Turquie en tablant que le gaz suivra. Il a promis une levée prochaine de l'embargo sur les fruits et légumes turcs, posé en novembre dernier. «La priorité est de revenir au niveau de partenariat bilatéral d'avant la crise», a résumé le président russe à l'issue de la rencontre. La destruction en vol d'un bombardier russe Su-24 le 24 novembre 2015 par des chasseurs turcs à la frontière syrienne n'est plus qu'un mauvais souvenir.

    La rencontre mardi entre Recep Tayyip Erdogan et Vladimir Poutine à Saint-Pétersbourg consacre le rapide réchauffement des relations entre Ankara et Moscou. Les deux pays ont en commun des relations de plus en plus froides avec le camp occidental et leurs économies fragilisées ont grandement besoin de briser l'isolement créé par les tensions diplomatiques.

    Erdogan est arrivé avec une heure de retard au palais Konstantinov de Saint-Pétersbourg, où l'attendait son hôte. La télévision russe a montré pendant deux minutes un Vladimir Poutine à la mine fermée, attendant debout et seul son homologue turc dans la salle des négociations. Après une poignée de main, ils se sont brièvement exprimés devant la presse. Erdogan a mis en avant l'importance des deux pays: «Notre coopération apportera une grande contribution à la résolution de nombreux problèmes de la région.»

    Un tête-à-tête de deux heures

    Sur une note plus personnelle, il a loué la célérité de Vladimir Poutine: «Votre appel immédiatement après le coup d'État du 15 juillet m'a beaucoup réjoui, ainsi que mes collègues et la population.» Poutine a acquiescé, soulignant avoir été «l'un des premiers à appeler le président (Erdogan) pour lui offrir des mots de soutien.» Un geste présenté par Ankara comme contrastant avec la froideur supposée des dirigeants occidentaux. Les deux présidents ont rapidement congédié la presse pour démarrer un tête-à-tête de deux heures. Auquel ont succédé deux heures de pourparlers en format élargi.

    La composition des deux délégations reflète la nature des rapports bilatéraux. Côté turc, figuraient cinq ministres (Affaires étrangères, Économie, Énergie, Agriculture, Transports) et le secrétaire d'État pour l'Industrie de défense, Ismail Demir. Côté russe, trois ministres étaient présents (Affaires étrangères, Transports et Énergie), ainsi que le représentant spécial du président pour le règlement du conflit en Syrie, Alexandre Lavrentiev, et le patron de Gazprom, Alexeï Miller.

    Avant même la rencontre, le Kremlin prévenait qu'aucune signature n'était prévue à l'issue du sommet. Lors de la conférence de presse, les deux chefs d'État ont confirmé ce que les experts annonçaient: une normalisation progressive des liens commerciaux. Vladimir Poutine a promis d'autoriser «très prochainement» les liaisons charters aériennes permettant à des millions de Russes de se détendre sur la Riviera turque, une contribution notable à l'économie turque. L'embargo sur les produits alimentaires turcs sera «levé avant la fin de l'année», a indiqué le président russe. De son côté, Recep Tayyip Erdogan a réitéré l'intérêt de son pays pour le gazoduc Turkish Stream de Gazprom. Un projet aux contours encore imprécis auquel le Kremlin tient beaucoup. La Turquie est le deuxième client étranger de Gazprom après l'Allemagne. Mais Turkish Stream doit aussi et surtout permettre d'étendre son étreinte gazière sur le sud de l'Europe. Autre pierre angulaire des relations bilatérales, le projet de centrale nucléaire Akkuyu est dégelé. Le président turc envisage d'offrir un «statut d'investissement stratégique» à la centrale, dont la construction et le financement seront assumés par le groupe d'État russe Rosatom.

    Très attendus sur le dossier syrien, les deux chefs d'État ont préféré remettre à plus tard la divulgation des résultats de leurs pourparlers. La presse russe a signalé que les contacts entre les armées russe et turque ont repris, avec pour objectif de mettre au point un mécanisme permettant d'éviter de futurs incidents en Syrie. D'où la présence à Saint-Pétersbourg du patron du renseignement turc, Hakan Fidan, qu'on dit fragilisé par le coup d'État raté. Il s'est entretenu avec le chef d'état-major russe, Valeri Guerassimov. La présence du secrétaire d'État pour l'Industrie de défense, Ismail Demir, est plus surprenante. Ruslan Pukhov, directeur du Centre d'analyse des stratégies et des technologies, émet l'hypothèse que la Turquie, bien qu'elle soit membre de l'Otan, s'intéresse à des technologies militaires russes. «Erdogan crée une armée parallèle, une sorte de garde présidentielle, qu'il a besoin d'équiper. En outre, il est atteint d'une océanomania: il veut faire de son pays une grande puissance maritime. La question est de savoir ce que Moscou est prêt à lui vendre.»


    La Turquie avertit Washington sur le refus d'extrader Gülen

    Ankara a averti mardi Washington, par la voix de son ministre de la Justice, de ne pas sacrifier les relations bilatérales en raison du «terroriste» Fethullah Gülen, à l'origine, selon les Turcs, du putsch avorté du 15 juillet. «Si Gülen n'est pas extradé, les États-Unis sacrifieront les relations (bilatérales) à cause de ce terroriste», a déclaré Bekir Bozdag à l'agence de presse progouvernementale Anadolu, soulignant que le sentiment antiaméricain au sein de la population turque avait atteint un pic en raison de ce différend entre les deux alliés de l'Otan. «Il appartient à la partie américaine d'empêcher que ce sentiment se transforme en haine», a dit le ministre. Le putsch raté, qu'Ankara accuse le prédicateur exilé aux États-Unis d'avoir ourdi, a aussitôt envenimé les relations turco-américaines. Un ministre turc n'avait pas hésité à affirmer que «les États-Unis sont derrière la tentative de coup», tandis qu'un ancien chef d'état-major accusait la CIA d'avoir été à la manœuvre.

  • « Oh Allah, anéantis les chrétiens haïssables. Oh Allah, tue-les tous. N’en épargne aucun »!

    http://www.delitdimages.org/oh-allah-aneantis-chretiens-haissables-oh-allah-tue-nen-epargne/

    video

    NdB: le jeune homme est le fils de l'imam de Verviers (Belgique)

     

  • David Duke, le premier candidat soralien/dieudonniste des États-Unis

    http://www.ndf.fr/poing-de-vue/08-08-2016/david-duke-le-premier-candidat-soraliendieudonniste-des-etats-unis/

    + VIDEO

  • Julian Assange : "Hillary Clinton a encouragé la vente d'armes à l'EI"

    Ajoutée le 3 août 2016

    Sur la chaine Democracy Now, le fondateur de Wikileaks, Julian Assange révèle que les emails d'Hillary Clinton diffusés sur son portail https://wikileaks.org/, montrent que la candidate à la Maison Blanche a encouragé la vente d'armes aux djihadistes en Syrie.

     

  • Après les attentats, les touristes étrangers fuient la France

     

    18h39

    Au cours des six premiers mois de l’année, les nuitées de touristes étrangers en France ont enregistré une baisse de 10 % en moyenne.

    Paris, Châteaux de la Loire, fêtes de Bayonne : de nombreux lieux et manifestations emblématiques du territoire français subissent une forte baisse de fréquentation après les attentats. Au cours des six premiers mois de l’année, les nuitées de touristes étrangers en France ont baissé en moyenne de 10 % en raison des craintes suscitées par les attentats, a révélé le secrétaire d’État chargé de la Promotion du tourisme, Matthias Fekl, dans une interview au Journal du dimanche.

    À Paris, la fréquentation hôtelière a chuté de 9,8 points à 78,1 % en juillet par rapport à l’année dernière, d’après les chiffres de l’Observatoire économique du tourisme parisien. Les plus fortes baisses concernent la clientèle internationale, dite « long-courrier », plus sensible aux questions de sécurité que les touristes français. Dans la capitale, les réservations aériennes des touristes américains, première clientèle touristique étrangère, ont ainsi connu une baisse de 19,2 % entre le 25 et le 31 juillet, alors qu’elles étaient en progression de 14 % entre le 27 et le 3 juillet, d’après les chiffres du service ForwardKeys. [...]

    Le Point

  • Stéphane Ravier vient de twitter:

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  • Gilbert Collard: la France n’a plus de moyen de contrôler ses frontières qui n’existent plus

     

    France
    URL courte
    Crise migratoire (833)
    4634140

    Le député RBM-FN du Gard et secrétaire général du Rassemblement Bleu Marine, Gilbert Collard, a commenté pour Sputnik l'intrusion de quelque 200 migrants aidés par l’association No borders à Menton depuis la ville italienne de Vintimille.

    Vendredi quelque 200 migrants aidés par l’association No borders ont traversé sans obstacles la frontière italo-française et se sont retrouvés à Menton. Les migrants ont ensuite été arrêtés par la police française qui les a remis à l’Italie, dont la ville de Vintimille abrite toujours un millier de migrants. 

    "C’est la preuve que nous n’avons aucune capacité à endiguer le flot de ce qu’on appelle les migrants: migrants à l’intérieur desquels se trouvent aussi des membres maudits de l’Etat islamique", s'est indigné dans un entretien avec Sputnik le député RBM-FN du Gard, Gilbert Collard. 

    Et d'ajouter que 200 "migrants" entraient en France dans une ville fleurie qui s’appelle Menton et réussissaient à divaguer dans la ville comme ils voulaient

    "C’est la preuve qu’on n’a plus aucun moyen de contrôler nos frontières qui n’existent plus", a relevé l'interlocuteur de l'agence. 

    Selon M.Collard, il s'agit d'une invasion pure et simple.

    "Comment ça s’appelle quand des gens à l’égard desquels on peut avoir des sentiments de respect quand ils sont convenables, comment ça s’appelle quand des étrangers entrent massivement en force dans un pays? Ça s’appelle une invasion", a poursuivi le député.

    Selon ce dernier, l’espace Schengen aurait dû être aboli depuis longtemps. 

    M.Collard signale que déjà depuis longtemps, le gouvernement français a été informé par l'Otan et même par le groupe djihadiste Etat islamique (Daech) que parmi les migrants il y aurait des terroristes. 

    "Comment le pouvoir peut à ce point abandonner la sécurité des siens", s'est-il indigné.

    SPUTNIK

  • Magdebourg (All) : un homme armé d’un couteau blesse plusieurs personnes

     

    23h05

    Un homme armé d’un couteau aurait blessé au moins cinq personnes à Magdebourg, dans l’Ouest de l’Allemagne, notamment une femme de 64 ans gravement blessée selon le journal allemand Rheinische Post. Le suspect est en fuite.

    Les forces de police sont mobilisées pour retrouver le coupable, mais les autorités ont déclaré que les recherches seraient suspendues dans la nuit et reprendraient demain matin. Les motivations de l’assaillant sont pour l’instant inconnues.

  • L'étrange histoire de Timothé Fournier: mort en héros à Nice, il n'existe pas !

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    http://www.midilibre.fr/2016/07/27/timothe-fournier-heros-mort-a-nice-n-existe-pas,1372009.php

    Lire!