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  • Villiers : la mosquée perquisitionnée, une école coranique mise au jour

     

    >Île-de-France & Oise>Val-de-Marne|Fanny Delporte et Laure Parny|31 août 2016, 10h00 | MAJ : 31 août 2016, 23h08|56

     Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne), mercredi matin

    LP
     
     
    Fanny Delporte et Laure Parny
     
     

    Une opération de police s'est déroulée ce mercredi matin à la mosquée Al Islah de Villiers-sur-Marne. Une perquisition administrative, qui a pris fin vers 9 heures, avait pour objectif d'établir si une école coranique existait au sein de ce lieu. Ce que la perquisition a permis de confirmer.

     

     

    L'opération «s'est bien déroulée en présence des responsables de la mosquée», a indiqué le directeur de cabinet de la mairie, Jean-Michel Carigi. «Cette école coranique, c'était un secret de polichinelle, mais il fallait établir qu'elle existait», a-t-il ajouté.

    Dans un communiqué diffusé en fin de journée, le ministère de l'Intérieur a précisé que trois personnes (dont l'imam de la mosquée) avaient été interpellées à l'issue de la perquisition, et qu'elles avaient été placées « en rétention administrative dans le cadre de la vérification de leur droit au séjour en France. »

     

     

    Fin juillet, une perquisition administrative avait été menée au domicile d’un homme de 41 ans fiché S (Sûreté de l’Etat) qui fréquente la mosquée Al Islah. Le 12 avril dernier, le tribunal correctionnel de Paris avait condamné onze membres d’une filière d’acheminement de combattants vers la Syrie, dont plusieurs jeunes de Champigny qui fréquentaient eux aussi cette mosquée. 

       
      leparisien.fr
  • JOURNAL TVL DU 31 AÖÛT 2016

  • #Sécurité - La majorité des enfants juifs français étudient aujourd'hui dans des écoles juives

    img721945.jpg école juive.jpg

    Lu dans la presse
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    Publié le 31 Août 2016

     

    Selon Francis Kalifat, président du CRIF, le changement se produit principalement à Paris.
     

    Le revirement a été particulièrement dramatique dans la région parisienne, où vivent près de 350 000 Juifs, qui représentent 65% de la population juive de France

    Par Cnaan Liphshiz, publié sur Arutz Sheva le 24 août 2016
     
    Pendant des décennies,les Juifs de France ont envoyé leurs enfants dans des écoles publiques. Malheureusement, ces dernières années, ces parents, qui ont eux-mêmes evolué au sein du  système d'éducation publique francais, ont commencé à en retirer leurs enfants, par crainte pour leur sécurité.
     
    Les données officielles montrent que, si il y a 30 ans, la majorité des Juifs de France envoyait ses enfants dans des écoles publiques, aujourd'hui ils ne sont qu’un tiers à le faire. Les autres vont en écoles juives.
     
    Selon Francis Kalifat, président du CRIF, le changement  se produit principalement à Paris.
     
    "Le revirement a été particulièrement dramatique dans la région parisienne, où vivent près de 350 000 Juifs, qui représentent 65% de la population juive de France. En région parisienne, vous ne pouvez déjà plus trouver d’étudiant juif dans les écoles françaises," dit-il, attribuant ce phénomène à l'atmosphère hostile, aux insultes et attaques contre les Juifs dans les écoles publiques, d'une part et à l'épanouissement des institutions éducatives juives, de l'autre... Lire l'intégralité.

  • Tremblay-en-France (93) : le restaurateur quitte son domicile suite à la provocation islamiste (MàJ)

    http://www.fdesouche.com/760021-tremblay-en-france-93-altercation-entre-un-restaurateur-et-2-femmes-voilees

    Pour des raisons de sécurité, le restaurateur a dû partir avec sa famille

    Déroulez et tout lire!  Et écoutez le chant du "rossignol"!

    Scandaleux!

  • VIDEO - L’Allemagne projette d’accueillir 300 000 nouveaux clandestins cette année et veut forcer ses voisins à se laisser envahir

    http://www.ndf.fr/nos-breves/30-08-2016/lallemagne-projette-daccueillir-300-000-nouveaux-clandestins-cette-annee-et-veut-forcer-ses-voisins-a-se-laL’Allemagne projette d’accueillir 300 000 nouveaux clandestins cette année et veut forcer ses voisins à se laisser envahir

     
     

     

    Et si la chancelière allemande, par son idéologie et sa folle politique d’immigration, achevait l’Union européenne ?

    NDF

     

  • VIDEOS - Macron quitte le gouvernement

    http://www.leparisien.fr/politique/en-direct-emmanuel-macron-quitte-le-gouvernement-suivez-toutes-les-reactions-30-08-2016-6080171.phphttp://www.leparisien.fr/politique/en-direct-emmanuel-macron-quitte-le-gouvernement-suivez-toutes-les-reactions-30-08-2016-6080171.php

  • Des internautes essaient de ruiner la réputation du "Cénacle" à Tremblay, le restaurant qui a refusé deux femmes voilées

    http://www.huffingtonpost.fr/2016/08/30/cenacle-tremblay-restaurant-islamophobie-video-femmes-voilees_n_11776746.html

    Voir les photos et le diaporama

    NdB: Il s'agit de toute évidence d'un coup monté et d'une provocation contre ce restaurant gastronomique apprécié de ses clients.

    Aujourd'hui le restaurant est fermé jusqu'à une date indéterminée.  

  • Restaurateur accusé d'islamophobie : ce que l'on sait de l'affaire

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    Ce restaurant gastronomique, dans la tradition française, n'est pas halal: pourquoi ces deux 

    musulmanes voilées s'y sont- elles rendues?

    En fait, la première chose qu'aurait dû leur dire le patron, c'est:

    " Le Cénacle n'est pas un restaurant  halal, je préfère vous prévenir tout de suite".  ( NdB)

     

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    • A
    Samedi soir, le patron du restaurant le Cénacle, situé à Tremblay-en-France, a refusé d'accueillir deux femmes voilées. @ Capture d'écran Google street view
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    Samedi soir, le patron d'un restaurant de Tremblay-en-France a refusé d'accueillir deux clientes voilées. Une enquête a été ouverte pour "discrimination à caractère racial". 

    L'affaire a suscité une tempête de réactions ce week-end. Samedi soir, le patron d'un restaurant gastronomique de Tremblay-en-France, en Seine-Saint-Denis, a refusé de servir deux clientes au motif qu'elles étaient voilées. Face au tollé provoqué sur les réseaux sociaux, le restaurateur a présenté ses excuses, tandis qu'une enquête a été ouverte dimanche par le parquet de Bobigny. Europe 1 fait le point sur cette altercation qui a agité les réseaux sociaux et déclenché maintes réactions politiques.

    Acte I. "Les terroristes sont musulmans, et tous les musulmans sont terroristes". La vidéo du différend, apparemment filmé par l'une des deux clientes, a fait le tour des réseaux sociaux. Sur celle-ci, on entend deux femmes avoir un échange très tendu avec le patron du restaurant gastronomique Le Cénacle, à Tremblay-en-France. Dans sa salle de restaurant, en tablier blanc, le restaurateur refuse de les servir au prétexte qu'elles portent le voile. 

    "On ne veut pas être servies par des racistes, Monsieur!", lance l'une d'elles, à laquelle le patron répond : "Les racistes mettent pas des bombes et ne tuent pas des gens, les racistes comme moi!". "Parce qu'on a mis des bombes, Monsieur?", lui rétorque une des deux femmes. 

       

    "Madame, les terroristes sont musulmans et tous les musulmans sont terroristes. [...] Des gens comme vous, je n'en veux pas chez moi. [...] Maintenant, vous le savez, alors partez!", maintient le restaurateur.  Après avoir prévenu la police, les deux clientes ont ensuite quitté les lieux. Les policiers se sont rendus dans la soirée sur place, selon une source proche du dossier. 

    Acte II. L'indignation sur les réseaux sociaux. Ces propos islamophobes, visiblement filmés par l'une des deux clientes, ont fait le tour du net, dimanche, provoquant un tempête de réactions. Le président du Conseil français du culte musulman (CFCM), Anouar Kbibech, a exprimé son "indignation" sur Twitter, quand le maire PCF de Tremblay-en-France, François Asensi, a, lui, condamné "sans réserve les propos haineux et stigmatisants enregistrés dans (la) vidéo, propos qui relèvent d'une sanction pénale". 

    Des centaines d'appels à boycotter le restaurant ont également été lancés en ligne. Une vingtaine de jeunes gens se sont d'ailleurs rendus dimanche après-midi devant l'établissement, selon Marwan Muhammad, directeur du Collectif contre l'islamophobie en France. Le patron est sorti "à plusieurs reprises pour discuter avec eux et s'excuser, pour faire retirer la plainte", a relaté le responsable du CCIF, jugeant toutefois que "ce qui est fait est fait" 

    Acte III. Le restaurateur présente ses excuses. Vers 15 heures, dimanche, le restaurateur a présenté ses excuses, rapporte Le Parisien. "J’ai pété un plomb, et je m’en excuse. J’ai un ami qui est mort au Bataclan, j’ai tout mélangé. Ce que j’ai dit, je ne le pense absolument pas : mes propos ont dépassé ma pensée…" a expliqué sur BFMTV le restaurateur, tenant à présenter ses excuses "à toute la communauté musulmane" et aux deux clientes. Selon une source proche du dossier, le restaurateur a dû quitter son domicile avec sa famille pour raisons de sécurité, celui-ci se trouvant juste au-dessus du Cénacle.

    Acte IV. Quelles suites judiciaires ? Dimanche, une enquête a été ouverte pour une enquête pour "discrimination à caractère racial", a indiqué le parquet de Bobigny. La ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes Laurence Rossignol, a quant à elle indiqué avoir saisi la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme et l'antisémitisme (Dilcra) "afin d'engager investigations et sanctions contre le comportement intolérable de ce patron de restaurant".

    EUROPE1