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  • Marseille; un homme de 89 ans battu à mort pour son collier

    http://www.laprovence.com/article/faits-divers-justice/4101588/marseille-un-homme-de-80-ans-battu-a-mort-pour-son-collier.html

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    Tout a l'air tranquille... Mais trois salopards ne sont pas loin.

  • Robert Ménard s'indigne à nouveau de la proportion d'élèves musulmans à Béziers

    Le maire de Béziers Robert Ménard a une fois de plus évoqué la proportion des enfants de confession musulmane, lundi 5 septembre, dans une classe de sa ville de Béziers. Sur LCI, l’élu de l’Hérault proche du FN a déclaré: 

    « Dans une classe du centre-ville de chez moi, 91% d’enfants musulmans, évidemment que c’est un problème, il y a des seuils de tolérance »

    Il avait déjà suscité la polémique en mai 2015 en évoquant « 64,6% d’enfants musulmans scolarisés dans les écoles publiques de Béziers, une estimation basée sur « les chiffres de (la) mairie ». Une enquête avait été ouverte pour vérifier l’existence éventuelle de fichiers illégaux à la mairie, avant d’être classée sans suite. Dans un tweet le jour de la rentrée des classes, le 1er septembre dernier, Robert Ménard avait déjà écrit: 

    Le maire de Béziers, élu en 2014 avec le soutien du FN, a rappelé que pour lui,

    « Marine Le Pen est la seule qui incarne la possibilité qu’on change de politique (…). Les gens en ont ras-le-bol de l’immigration, des clandestins », a-t-il assuré, ajoutant que « l’islam et la chrétienté n’ont pas le même statut dans notre pays et ne doivent pas l’avoir ».    


    En savoir plus sur http://www.bvoltaire.fr/breves/robert-menard-sindigne-a-nouveau-de-la-proportion-deleves-musulmans-a-beziers,281172#uRqibjAf4CvEEYgp.99
  • Corse: des femmes voilées refoulées à l'entrée d'une école maternelle

    L’année scolaire 2016-2017 ne démarre pas de la manière des plus apaisées qui soient. Lundi 5 septembre, plusieurs parents d’élèves ont bloqué l’accès à une école maternelle de Bonifacio en Corse, à cinq femmes voilées « portant une djellaba et un voile sur les cheveux », selon l’un de ces parents d’élèves.

    Corse-Matin rapporte que la gendarmerie et la direction de l’école maternelle ont du intervenir, et qu’une réunion-débat est prévue en mairie cet après-midi. Les parents d’élèves réclament « une explication », selon le quotidien, car ils estiment que leurs « enfants sont réprimandés si l’on voit leur croix ».


    En savoir plus sur http://www.bvoltaire.fr/breves/corse-des-femmes-voilees-refoulees-a-lentree-dune-ecole-maternelle-2,281217#BfgTAI59rwTYRLHu.99
  • Pour aider le restaurateur du Tremblay, allez manger au Cénacle (et aussi parce que c'est bon!)

    http://ripostelaique.com/aider-restaurateur-tremblay-allez-manger-cenacle.html

    Contrairement à des informations erronées, le restaurant est ouvert! Pas de changement!

    Lisez l'article de Riposte Laïque.

  • VIDEO - Élection régionale en Allemagne : le parti anti-immigration AfD devant la CDU de Merkel (Màj)

     

     

    20h13

     


    Le parti anti-migrants allemand AfD est arrivé avec environ 21% en deuxième position lors de l’élection régionale en Mecklembourg-Poméranie occidentale (nord-est), devançant la CDU de la chancelière Angela Merkel, selon des sondages réalisés à la sortie des bureaux de vote.

    Les sociaux-démocrates du SPD arrivent en tête avec envrion 30%, soit cinq points de moins qu’en 2011. Le parti de Mme Merkel, pourtant élue de la région, se classe donc 3e avec de 19 à 20% des voix, selon les sondages des chaînes publiques ARD et ZDF.

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    Le Nouvel Obs

     

  • Allemagne : le parti d'Angela Merkel vaincu par les populistes

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    • Par Nicolas Barotte
    • Mis à jour
    • Publié
     

    La chancelière allemande (ici à Berlin le 28 août) perd lourdement dans sa terre d'élection. Crédits photo : STEFANIE LOOS/REUTERS

    La CDU a été reléguée dimanche derrière les sociaux-démocrates et le parti antimigrants AfD, lors d'une élection régionale test en Mecklembourg-Poméranie Occidentale.

    Correspondant à Berlin

    Le bonus Merkel s'est transformé en malus. Dimanche soir, la CDU a enregistré son pire résultat en Mecklembourg-Poméranie Occidentale lors de l'élection régionale, et même l'un des plus mauvais de toute son histoire. Avec seulement 19%, selon l'estimation disponible à 21h30, le parti d'Angela Merkel a aussi subi l'humiliation d'être relégué en troisième position, derrière la formation AfD, qui a obtenu 21,4%. La campagne de l'Alternative für Deutschland contre la politique d'asile et contre la chancelière a fonctionné. Le parti a bénéficié plus que les autres de l'augmentation de la participation, qui s'est élevée à 61% contre 51,5% en 2011. Selon un sondage Infratest Dimap, 67% des électeurs de l'AfD ont choisi d'exprimer leur mécontentement lors de leur vote plutôt qu'une conviction. «Trop longtemps, les électeurs n'ont pas été entendus», a déclaré Frauke Petry, la chef de file de l'AfD, pour expliquer le résultat de son parti. Sur twitter, la présidente du FN Marine Le Pen s'est félicitée du résultat outre-Rhin: «Ce qui était impossible hier est devenu possible: les patriotes de l'AFD balaient le parti de Mme Merkel».

    Angela Merkel, qui se trouve actuellement au G20 en Chine, n'a pas commenté le camouflet. «C'est un résultat amer», a déclaré le secrétaire général de la CDU, Peter Tauber. Le résultat est symboliquement fort: c'est la première fois que le parti conservateur est devancé par l'AfD. Et même si le Mecklembourg-Poméranie Occidentale est un terrain électoral défavorable historiquement à la CDU, c'est néanmoins la terre d'élection de la chancelière. Sa circonscription se trouve à Stralsund, près de la mer Baltique.

    Mais au sein de la formation chrétienne-démocrate, on cherchait aussi à relativiser: en recul de 3,7 points par rapport à la dernière élection, le parti conservateur enregistre une sanction paradoxalement moins forte que celle du SPD. Avec 30,3%, les sociaux-démocrates ont certes remporté l'élection, mais reculent de 5,3 points. «La CDU est responsable de la progression de l'AfD», accuse-t-on du côté des sociaux-démocrates en regrettant les tiraillements internes aux conservateurs sur la politique migratoire. «C'est Angela Merkel qui fournit le fonds de commerce de l'AfD», a ironisé dans Der Spiegel l'ancien responsable du parti, Hans-Olaf Henkel.

    Un signal d'alarme tiré

    Tous les partis ont pâti de l'essor des populistes. À gauche, Die Linke, traditionnellement fort dans ce Land d'ex-Allemagne de l'Est, subit le revers le plus important en passant de 18,4 % à 12,6 %. Les Verts, quant à eux, ne franchissent pas la barre des 5%. Ils n'auront pas d'élus. Deux solutions sont désormais possibles pour gouverner la région du Mecklembourg-Poméranie Occidentale: reconduire la coalition SPD-CDU au pouvoir depuis dix ans ou tenter une alliance à gauche SPD et Die Linke.

    À court terme, le vote en Mecklembourg-Poméranie Occidentale n'aura pas de conséquence sur Angela Merkel, qui n'a pas l'intention de modifier sa ligne politique. Avec seulement 1,6 million d'habitants, le Land pèse par ailleurs peu sur la scène nationale. Mais le signal d'alarme a été tiré. Sans attendre le résultat de dimanche, Angela Merkel avait fixé la ligne lors d'une réunion avec des parlementaires de la CDU jeudi. «Nous allons devoir travailler à regagner la confiance perdue», a-t-elle déclaré, selon le compte rendu des médias allemands.

    À un an des élections fédérales, les conservateurs chancellent. Avec 34% d'intentions de vote dans le dernier baromètre Emnid pour Bild, l'alliance CDU-CSU continuerait d'arriver largement en tête, devant le SPD à 23%. Mais elle serait loin des 41,5% obtenus en 2013. Cette situation de faiblesse entrave le leadership d'Angela Merkel.

    Portés par leurs succès à chaque élection régionale, les populistes de l'AfD sont en route pour entrer au Bundestag en 2017. Ils devraient obtenir largement plus que les 5 % requis. Le dernier baromètre pour Bildleur promet 12%, ce qui ferait d'eux la troisième force politique du Parlement allemand. Paradoxalement, Angela Merkel pourrait tirer parti d'une situation la plaçant au centre d'un jeu de coalition compliqué et empêchant ses adversaires de construire une alliance adverse.


    Les néonazis perdent leurs élus

    Les néonazis perdent leurs élus en Mecklembourg-Poméranie Occidentale, les derniers dont ils disposaient dans un Parlement régional. Avec seulement 3,5%, le NPD a obtenu clairement moins que le seuil requis de 5% pour être représenté. Lors de l'élection de 2011, il avait obtenu 5 élus régionaux avec 6% des voix. Le parti néonazi n'a pas résisté à la concurrence de l'AfD, qui a offert un visage plus respectable aux électeurs les plus en colère contre les formations traditionnelles. En 2014, le NPD avait aussi été chassé du Parlement régional de Saxe, un autre Land d'Allemagne de l'Est où son implantation était forte. Avec 4,9%, contre 5,6% en 2009, le NPD avait raté de peu la marche d'entrée et perdu ses 8 députés, cette fois encore au profit du parti antimigrants de l'AfD. Durant toute la campagne, l'AfD a flirté avec les limites pour séduire les électeurs du NPD sans toutefois tendre la main au parti néonazi. Dans un souci d'ambiguïté, l'un de ses leaders, Jörg Meuthen, avait ainsi laissé ouvert la possibilité de soutenir des propositions du NPD au sein du Parlement régional. «Si le NPD fait une proposition sérieuse, alors nous la voterions, comme nous le ferions si elle venait de Die Linke», avait-il expliqué. Dans le jeu politique allemand, marqué par l'histoire, le NPD reste ostracisé. Une procédure d'interdiction nationale est même en cours. La Cour constitutionnelle devrait rendre son avis cet automne.

    LE FIGARO

  • Un tweet d'Eléonore Bez sur l'abattage rituel

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    Affiche vue à Villeneuve-Saint-Georges (94)