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  • Hongrie : lancement d’un secrétariat d’État contre la christianophobie !

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    Lu sur l’Observatoire de la Christianophobie :

    Peu après la visite du président hongrois Victor Orbán au pape François, le gouvernement magyar a annoncé la création d’un secrétariat d’État dont la fonction est de « lutter efficacement, et avec l’aval du gouvernement, contre tout type de persécution de chrétiens » au Moyen-Orient et dans le monde entier. Ce secrétariat d’État sera rattaché au ministère des Ressources humaines dirigé par Zoltán Balog. L’ancien rempart contre l’expansionnisme ottoman est donc toujours là ! Ce secrétariat d’État sera doté d’un budget annuel de 3 millions d’€. La Hongrie est un pays de 10 millions d’habitants : 58 % de catholiques et 13 % de protestants (dont le président de la République Victor Orbán…).

    En voilà une, une véritable politique de défense de l’identité européenne !

    NDF

  • Eléonore Bez twitte:

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  • Eric Zemmour apprend l’Islam à Anne-Sophie Lapix et Patrick Cohen

    http://www.fdesouche.com/763539-eric-zemmour-apprend-lislam-anne-sophie-lapix-et-patrick-cohen

  • "Non, je ne sollicite pas le parrainage d'élus Front national", assure NKM

     

     
    BFMTV

    Nathalie Kosciusko-Morizet a jusqu'au 9 septembre pour réunir les parrainages des 250 élus et 2.500 adhérents nécessaires afin de valider sa candidature à la primaire de la droite et du centre. Alors qu'il lui manque encore près de 500 signatures d'adhérents, une trentaine d'élus et 5 parlementaires, a-t-elle annoncé sur BFMTV, la députée de l'Essonne ratisse large... au point d'aller chasser sur les terres du Front national.

    Steeve Briois, le maire d'Hénin-Beaumont et vice-président du parti d'extrême droite, a révélé ce jeudi sur Twitter que la conseillère LR de Paris lui avait envoyé un mail afin de l'appeler à soutenir sa candidature.

    "Je soutiens une autre candidate"

    Sur la capture d'écran du message, Nathalie Kosciusko-Morizet demande son soutien pour "représenter une sensibilité politique faite de modernité et éprise de liberté". Et ajoute: "On peut partager ou pas cette sensibilité, mais cette voix doit pouvoir être entendue". 

    Le député européen a répondu, déclinant la proposition et rappelant qu'il soutenait "une autre candidate à la présidentielle."

    "Bien entendu, c'est une erreur"

    Nathalie Kosciusko-Morizet a assuré sur BFMTV que ce message avait bien été envoyé à l'élu frontiste mais a précisé que c'était une erreur.

    "On envoie des mails aux maires sur la base d'un fichier d'adhérents aux Républicains, centristes ou sans étiquette/non inscrit. Je ne sais...

     

    Lire la suite sur BFMTV.com

  • Marion Maréchal-Le Pen dénonce les «calculs politiciens sans avenir» de son grand-père

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    >Politique|Propos recueillis par Olivier Beaumont @olivierbeaumont |06 septembre 2016, 7h00 | MAJ : 06 septembre 2016, 11h18|22

     ARCHIVES. Marion Maréchal-Le Pen, le 25 novembre 2015. 

    LP / Matthieu de Martignac
     
      

    La jeune (26 ans) députée du Vaucluse brocarde les adversaires du FN, englués dans leur « bataille d'ego ». En ciblant un Nicolas Sarkozy «qui ne doute de rien».

    Marion Maréchal-Le Pen, désormais presque aussi populaire que sa tante Marine auprès des sympathisants du FN, balaie l'actualité.

     

    Le parquet a demandé le renvoi de Nicolas Sarkozy dans l'affaire Bygmalion. Ça vous étonne ?
    MARION MARÉCHAL-LE PEN.
    Je respecte la présomption d'innocence, mais manifestement il y a quand même suffisamment de preuves pour qu'il y ait des poursuites. Au-delà de cette affaire qui va continuer à rebondir, il est tout de même invraisemblable qu'un homme dont les comptes de campagne ont été annulés, qui a violé la loi, puisse se présenter en toute conscience devant le suffrage des Français.


     

    Samedi, Marine Le Pen a beaucoup cogné sur lui. Le FN le redoute tant que cela ?
    Il a été un mauvais dirigeant, mais reconnaissons que c'est un très bon candidat. Il sait faire campagne, sans jamais se départir de son incroyable culot. Le voir se draper en chantre de l'identité française, après le bilan qui a été le sien à l'Elysée sur les questions d'immigration et de sécurité, c'est stupéfiant. Il ne doute de rien.

     

      

    Il cherche surtout à récupérer ses électeurs qui sont partis au FN. Ça peut marcher ?
    La ficelle n'est pas grosse, elle est énorme. C'est même une corde ! Je ne comprends pas sur quelle légitimité il va s'appuyer. Mais Nicolas Sarkozy a une force médiatique indéniable, alors on reste vigilants.

     

    L'université d'été du FN se déroule à Fréjus les 17 et 18 septembre. N'est-ce pas un peu tard pour un parti qui aspire à être au pouvoir en 2017 ?
    Pas du tout. Nous avons décidé de ne pas être contraints par le temps médiatique. Vu les circonstances dramatiques qui touchent le pays, on a besoin de temps pour travailler sur nos idées. Pas comme nos adversaires qui sont actuellement secoués par une guerre des ego terrible, entre une primaire de revenants à droite et une primaire de fantômes à gauche.

     

    «Je dépose vendredi mon dossier pour intégrer la réserve opérationnelle»


     

    Plus de flamme, plus de logo sur les affiches de Marine Le Pen : le FN n'est plus une marque qui fait vendre ?
    Ce n'est pas révolutionnaire qu'en période présidentielle les candidats se détachent du parti. Mais je ne crois pas que le Front national soit un boulet dans une campagne. C'est même un levier très porteur pour 2017.

     

    Votre grand-père a annoncé vouloir présenter des candidats aux prochaines législatives. Vous comprenez sa démarche ?
    Non, je la regrette même. Ce n'est pas son rôle et c'est un peu dommage qu'il se perde dans des calculs politiciens qui n'ont pas beaucoup d'avenir. Ce n'est pas à la mesure de l'homme.

     

    Vous vouliez intégrer la réserve opérationnelle nationale ? Où en êtes-vous ?
    J'ai fait les démarches ! J'ai rencontré la semaine dernière le colonel du régiment dans lequel je veux entrer, le 21e RIMa de Fréjus. Je dépose mon dossier vendredi. Puis il sera transmis au ministère de la Défense. Je souhaiterais faire la formation initiale des officiers à Coëtquidan, dans le Morbihan, qui implique trois semaines de formation, plus dix-neuf jours de formation à côté.

     

    Vous comprenez le combat de NKM qui redoute l'absence d'une femme à la primaire de la droite ?
    Je n'ai jamais compris les combats qui enferment dans des communautés, des catégories. J'ai toujours le sentiment qu'à travers ces combats féministes on s'enferme dans une espèce de logiciel victimaire qui me dérange beaucoup. Il fut un temps où on s'enorgueillissait d'être des héros. Aujourd'hui, on s'enorgueillit d'être des victimes.

    LE PARISIEN

  • JOURNAL TVL DU 06 SEPTEMBRE 2016

  • Plus de 14% des Français vivent sous le seuil de pauvreté

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    >Société|06 septembre 2016, 19h12|54

    Le seuil de pauvreté s'établit à 1 008 euros par mois.

    LP/ ARNAUD JOURNOIS
     
     
     
     
    SociétéInseePauvretéSalairesStatistiques
     

    La France compte 8,8 millions de personnes pauvres. C'est l'un des enseignements d'une étude sur les niveaux de vie publiée mardi par l'Insee. Selon elle, le taux de pauvreté est resté stable en 2014 à 14,1% de la population. L'année précédente, ce taux s'établissait à 14% un an plus tôt.
     

    Ces 8,8 millions de personnes vivent en-dessous du seuil de pauvreté de 1 008 euros par mois. Ce seuil correspond à 60% du niveau de vie médian de la population, qui s'établissait à 1 679 euros mensuels en 2014. Cela signifie que la moitié de la population disposait d'un niveau de vie inférieur à ce montant et que l'autre moitié disposait d'un niveau de vie supérieur.
     

    Une légère augmentation «qui n'est pas significative»

     

    D'après les auteurs de l'étude, la légère augmentation du taux de pauvreté constatée en 2014 de 0,1 point n'est pas «significative d'un point de vue statistique (...) compte tenu de l'incertitude inhérente à l'utilisation d'une enquête par sondage». Le «niveau de vie médian» des personnes pauvres s'est par ailleurs maintenu, atteignant 805 euros par mois en 2014, contre 806 euros en 2013 en euros constants.

    LE PARISIEN

     

     

     

  • Burkini : l'arrêté de Sisco validé par le tribunal administratif de Bastia

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    >Faits divers|06 septembre 2016, 16h25 | MAJ : 06 septembre 2016, 18h08|58

    (A gauche) Le maire de Sisco (Haute-Corse)  

     
     
      

    Le tribunal administratif de Bastia a validé ce mardi l'arrêté de Sisco interdisant le port du burkini sur les plages de cette commune de Corse. Depuis la décision du Conseil d'Etat, plus haute instance administrative française, de suspendre ce type d'arrêtés, c'est la première fois qu'un tribunal administratif en valide un. La Ligue des Droits de l'Homme, à l'origine de la requête, va une nouvelle fois se tourner vers le Conseil d'Etat.  
     

    Dans sa décision, le Conseil d'Etat avait précisé que les arrêtés anti-Burkini pris dans 30 communes seraient tous suspendus une fois contestés en justice. Il a également rappelé à tous les maires qui ont invoqué le principe de laïcité qu'ils ne peuvent se fonder sur « d'autres considérations » que « des risques avérés » pour l'ordre public pour interdire de se rendre à la plage avec cette tenue de bain islamique couvrante.


     Le juge de Bastia estime qu'« en l'espèce, compte tenu des récents événements (...), la présence (...) d'une femme portant un costume de bain de la nature de ceux visés par l'arrêté (...) serait (...) de nature à générer des risques avérés d'atteinte à l'ordre public qu'il appartient au maire de prévenir ».
     

      

    Le maire de Sisco ne se sent pas concerné


    Après cette décision, le maire de Sisco avait annoncé son intention de maintenir son arrêté survenu après des affrontements entre une famille d'origine maghrébine et habitant Furiani, et des villageois. Pourtant, cette rixe n'avait pas été déclenchée par une photo d'une musulmane se baignant en burkini comme cela avait été avancé au départ.  



    « Je ne me sens pas concerné par la décision du Conseil d'Etat», avait déclaré l'édile. «Mon arrêté n'était pas de la prévention, je l'ai pris pour la sécurité des biens et personnes de ma commune, je risquais d'avoir des morts !», avait-il expliqué. Ange-Pierre Vivoni avait déclaré avoir pris cet arrêté «pour protéger toute la population, y compris les musulmans». Il estimait que, dans le contexte actuel, «il ne peut y avoir aucune provocation, de qui que ce soit». «Des musulmans m'ont remercié d'avoir pris cet arrêté, car leur religion prône la paix et l'entente des peuples», avait-il ajouté.

    Reste désormais à savoir si le Conseil d'Etat estime que le Sisco est un cas à part.

     

    LE PARISIEN