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  • Décryptage – Une Education Nationale impartiale ?

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    11 octobre 2016

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    Il est intéressant de voir à travers ce manuel comment la question de l’accueil des migrants est traitée par l’Education Nationale.

    Sous le titre prometteur de « trouver des arguments pour débattre », il apparaît que la seule position débattue soit l’acceptation de l’accueil des migrants.

     

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    Au delà des convictions personnelles sur la question, le simple fait de former nos têtes blondes en tronquant la vérité et empêchant le débat sous couvert de former au débat est en soi un danger. L’Education Nationale est plus que jamais un lavage de cerveau, « un camp de redressement », pour reprendre Alain Finkielkraut au sujet de la démocratie actuellement pratiquée en Occident.

     

    RIPOSTE CATHOLIQUE

     

  • Visite guidée de la première "salle de shoot" à Paris, rue Ambroise-Paré


    Visite guidée de la première «salle de shoot» à... par leparisien

    Quelle déchéance! Mais quelle source de revenus pour les marchands de mort!

    Ces "salles de shoot" vont sans doute se multiplier en France.

  • Affiche sur les migrants à Béziers : La réponse magistrale de Robert Ménard

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    Migrants : Robert Ménard répond aux Grandes... par bvoltaire

     

     

    12/10/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    L’affiche qui annonce aux habitants de Béziers que l’Etat IMPOSE l’arrivée de migrants AU COEUR DE VILLE sans demander l’avis du maire ni du conseil municipal fait déjà grand bruit.

    Robert Ménard, Maire de Béziers, à l’origine de cette campagne de communication, répond aux Grandes Gueules.

     

  • Pour se protéger, les policiers sont appelés à rester à l’abri dans les commissariats

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    12/10/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    Après la violente agression de policiers à Viry Châtillon. Déplorant une situation catastrophique, Alliance – le syndicat majoritaire de la profession – a appelé les policiers à ne sortir des commissariats qu’en cas d’urgence. Dans d’autres départements, la plupart des gardes statiques ont déjà été supprimées car devenues trop dangereuses.

    Le communiqué est très clair et va à l’encontre du discours aveugle du gouvernement. Alliance Police Nationale exige notamment la révision des textes sur la légitime défense et une réplique sans concessions de la police et de la justice.

    Elle demande aussi « un renfort d’effectifs conséquent afin d’assurer la reconquête du territoire » et de dire « stop aux zones de non droit » tolérées » et à l’impunité installée ».

  • Pleyel interdit de musique classique!

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     La musique classique est désormais contractuellement interdite à la Salle Pleyel. Conçue dès son origine en 1927 pour la musique symphonique, elle est désormais dédiée aux variétés. En effet elle entre en concurrence avec les nouvelles salles de la Philharmonie de Paris installées à La Villette qui sont aussi des propriétés de l’Etat. Elle a vu se produire les plus grands noms du classique, mais aussi du jazz, plus rarement du rock ou des variétés. En renvoyant les mélomanes à la périphérie de Paris, pour tenter de rentabiliser une salle qui a coûté beaucoup trop cher, l’Etat innove. Comment ne pas remarquer que cette décision totalitaire a un aspect idéologique : renvoyer les bourgeois parisiens écouter leur musique dans les « quartiers populaires » ? Tout cela aux frais du contribuable et sans aucun souci de la rentabilité, c’est-à-dire de la réalité.

    La nouvelle programmation débute par un récital de Benjamin Biolay, le « militant socialiste » qui avait appelé à voter Hollande en 2012. Pendant ce temps, Jacques Dutronc et Joey Starr animent un « show » de lingerie à la « Fashion Week de Paris » (c’est comme ça qu’on dit !). Le rappeur, qui collectionne les condamnations pour violences conjugales, est aussi très demandé pour les promotions de sous-vêtements féminins… Pour faire simple, taper sur les femmes c’est bien, voter à droite c’est mal. Quand la musique rend compte de l’état d’un peuple. Car la musique sert aussi à entretenir un rêve : les Beatles, groupe emblématique des années 60 — la génération qui a connu la bombe atomique et la pilule, la société de consommation et Vatican II —, les Beatles, le 9e album du groupe, s’est récemment vendu 620 000 euros aux enchères, le record absolu pour un vinyle. Comme pour maintenir l’illusion de ce qui est pour certains le souvenir d’un mythique âge d’or construit sur les ruines du vieux monde. Là encore, la musique rend compte au quotidien de l’état de la société.

    Le chœur Montjoie vient de sortir un nouveau CD consacré aux chants traditionnels des parachutistes. Il vient heureusement compléter l’enregistrement du premier album en 1983, dédié aux paras qui avaient péri dans l’attentat du Drakkar. La particularité de ce nouveau pressage est qu’il propose des chants méconnus et pour certains jamais enregistrés. Essentiellement des chants régimentaires, notamment celui du 13e régiment de dragons parachutistes, le chant des commandos marine ou encore Para au rouge béret, remontant à la guerre d’Algérie mais jamais gravé. Une œuvre de mémoire, préfacée par le général Dary. Chants traditionnels des para tome II, SDCMSD 266 avenue Daumesnil 75012 Paris, 23€ port compris.

    Nanon Bertrand, organiste et musicologue, donne un concert d’orgue dimanche 9 octobre à 16h dans la chapelle Saint-Louis de la Pitié-Salpêtrière (47 bd de l’Hôpital, Paris 13e). Au programme : Buxtehude, Boëly, Chauvet, Bossi, Vierne, Reger, libre participation aux frais.

    Photo : Pline Wikipedia

    Thierry Bouzard – Présent

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  • VIDEO - Trump: Anne Sinclair, ex-femme de DSK, n'a jamais vu une telle "vulgarité"!

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Pour-Anne-Sinclair-Trump-est-le-symbole-du-refoule-raciste-de-l-Amerique-41930.html

    Il faut absolument voir cette vidéo! C'est renversant!

  • Vous êtes blond ? Vous portez des nattes ? Vous êtes nazis !

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    Matthias Iken, journaliste

    ♦ En Allemagne la reductio ad hitlerum bat son plein pour interdire toute critique de la politique d’invasion migratoire.
    Dans cet article, paru dans le Hamburger Abendblatt (170.000 exemplaires) un journaliste – centriste – arrive à s’inquiéter de cette dérive.

    Un document éclairant sur la situation en Allemagne, traduit par François Stecher, correspondant de Polémia.
    Polémia


    Désormais, même les feuilles de chou des pharmaciens deviennent hystériques : elles considèrent les filles en jupe comme politiquement suspectes.

    Comme c’est bon qu’il y ait des revues pour pharmaciens ! Ils ne se contentent pas de donner des conseils pour toutes les circonstances de la vie en augmentant au passage leur chiffre d’affaires avec pilules, pâtes et pastilles, mais ils s’engagent dans le « combat contre l’extrême droite ». Compte tenu de la xénophobie choquante qui règne, on voudrait saluer cet engagement, n’est-ce pas ?

    Celui qui a pris en main le magazine Baby und Familie, ce catalogue maquillé en travail de journaliste, chez son pharmacien de confiance, a dû être surpris : cela faisait longtemps que l’on n’avait pas vu quelque chose d’aussi raciste dans un journal allemand. Sur cinq pages y était évoqué le « danger de l’extrême droite » – pas en la personne de crânes rasés ultra-violents ou d’arriérés indécrottables et remplis de haine, mais bien dans la figure d’une mère blonde et de son enfant blond, la nouvelle extrême droite. D’étranges experts, provenant d’univers parallèles plus étranges encore, y susurrent quels désagréments menace le quotidien des jardins d’enfants. « Il est difficile de situer la limite entre ce qui est extrémiste et ce qui ne l’est pas », vaticine une certaine Michaela Köttig, professeur de sociologie à Francfort. « Le fait est que cette manière de penser trouve sa source au sein de la société. »

    Le fait est que ceci pourrait être une stupidité confirmée. Cela va encore plus loin dans la bêtise. Heike Radvan, directrice du département « Gender & Extrémisme de droite » à la Fondation Amadeu Antonio, donne des indications pertinentes afin de dépister les déviances. « Les enfants de parents d’extrême droite ne sont pas nécessairement différents des enfants d’autres parents. Parfois, on ne les détecte qu’après un temps assez long, par exemple parce qu’ils sont très sages ou très obéissants. »

    Une assistante sociale berlinoise peut affirmer que les filles d’extrême droite peuvent être repérées « à leurs nattes très exactement tressées et à leurs longues jupes », les garçons « à leur apparence traditionnelle, et au fait, par exemple, qu’ils ne portent aucune inscription américaine sur leurs vêtements ». Et Kötter de trouver suspects « les parents gentils et engagés ». Oui, chers lecteurs, si vos enfants portent des nattes ou des chemises aux armes de Hambourg, saluent poliment le voisin et ne courent pas comme des dératés dans le jardin d’enfants, ils relèvent de la surveillance du Verfassungsschutz, dans ce joli nouveau monde.

    Même le simple lecteur de Baby und Familie, bien qu’il ne soit diffusé qu’à 711.900 exemplaires au sein du peuple des suspects, apprend vite où le danger menace. Sur cinq pages, on peut identifier les extrémistes de droite à leurs nattes et à la couleur de leurs cheveux : le Mal a le cheveu blond. Le site « Stern.de » en arrive à ce jugement définitif : « Ils sont aussi mauvais que les racistes, qui se comportent et s’expriment de manière xénophobe, tous ceux qui condamnent globalement les êtres humains ».

    C’est le site Web « tichyseinblick.de » qui a découvert cette perle du journalisme. L’exemple parfaitement grotesque issu de la pharmacie montre que le combat antiraciste déraille, pour s’en prendre maintenant au cœur de la société. Sur Internet, des « privés » de la police de la pensée battent la forêt des réseaux sociaux à la recherche de messages de haine ; les discussions s’interrompent, parce que ceux qui expriment des doutes, par exemple sur la politique des migrants, sont immédiatement soupçonnés d’être des nazis ; le reproche d’une appartenance à un parti populiste apparaît comme argument définitif dans le moindre débat.

    Jusque dans les pages culturelles on agite l’argument-massue de l’AfD, pour assener l’interdiction de penser. Le dernier récital de chant Wittenbrink, au théâtre de Sankt Pauli, a reçu du site « Zeit.de » le label « Hambourg a maintenant sa première comédie musicale pour sympathisant de l’AfD ». La nécessaire séparation d’avec la droite extrême menace de se perdre en un rejet du centre, avec des conséquences fatales ; cela ne contribue qu’à une chose : pousser des gens dans les bras des populistes de droite.

    Les antifascistes auraient en principe suffisamment à faire avec les vrais racistes, comme par exemple le responsable AfD Kay Nerstheimer, qui s’en est pris aux migrants, les taxant de « vermine répugnante ». Il est simplement idiot que ceci n’ait été vraiment rendu public qu’après que les Berlinois eurent voté, dimanche – Nerstheimer a remporté un mandat direct. Antifascisme et antiracisme étaient, il fut un temps, des positions issues d’une pensée éclairée. Entretemps, par leur caractère impitoyable et radical et leur hystérie, certains responsables professionnels de la lutte contre l’extrême droite rappellent plutôt l’antifascisme d’Etat de la RDA. On peut encore voir aujourd’hui où cela a conduit.

    Matthias Iken
    24-25/09/2016

     Matthias Iken, 38 ans, est rédacteur en chef adjoint au Hamburger Abendblatt

    Source : Hamburger Abendblatt

    Correspondance Polémia- 6/10/2016

    Image : Deux jeunes filles aux nattes blondes !!! Heidi, la bavaroise et Monika, la berlinoise.

  • DEUX FRANCE

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    Oui, deux France : celle de Vincent, 28 ans, qui était fier de porter l’uniforme et qui le paye de sa vie. Et celle de la Grande Borne, l’un des endroits les plus dangereux du pays, 3 600 logements pour environ 12 000 habitants, le quartier d’enfance d’Amédy Coulibaly, notamment, le tueur de l’Hyper Cacher.

    Vincent est entre la vie et la mort. Brûlé à 30 % au visage, aux mains et aux poumons, ce jeune adjoint de sécurité a été grillé vif dans son véhicule de police samedi par des assaillants de la cité de la Grande Borne qui ont bloqué les portières tandis qu’il hurlait à l’intérieur. Ces tueurs hyperviolents, aux mœurs de barbares, Cazeneuve les a qualifiés de « sauvageons », il est dans les aventures de Fripounet et Marisette. Toujours cette volonté de minimiser, ce déni, ce handicap à ne jamais nommer ni identifier l’ennemi et finalement à ne jamais le combattre à la hauteur de ce qu’il est. Que fait-on de « sauvageons » ? On les renvoie chez eux après leur avoir tiré les oreilles ?

    Vincent travaillait chaque jour pour passer son concours de gardien de la paix. Ses collègues disent qu’il était particulièrement fier de porter l’uniforme de la police française. Face à lui une autre France : celle des cités, gangrenées par les trafics et l’islamisme. La France de la Grande Borne.

    « Ces individus ont voulu tuer vos collègues, je vous l’atteste », a déclaré Manuel Valls sur les lieux de l’agression, comme pour contrebalancer l’effet désastreux des déclarations de Cazeneuve. Avant d’avancer cette réplique digne du Père Noël est une ordure : « Il n’y a pas de zone de non-droit, il y a des territoires particulièrement difficiles » (cf. : « Thérèse n’est pas moche, elle n’a pas un physique facile. »)

     

    Si vraiment il n’y a pas de zones de non-droit, pourquoi plutôt que de surveiller une caméra de surveillance régulièrement attaquée à la meuleuse, la police en force (et avec des ordres clairs) n’est-elle pas allé chercher les racailles qui frappent et dépouillent les automobilistes à ce carrefour depuis des années ? Puis qui foncent se réfugier dans la cité avec leur butin sans qu’il n’y ait jamais d’interpellation. « Aucune interpellation » a rappelé la mairie centriste. Pourtant tout le monde sait qui ils sont.

    Mais pour cela il faudrait entrer dans les quartiers et déranger les trafiquants de drogue de la Grande Borne parfaitement connus des services de police, qui dealent des centaines de kilos de stupéfiants chaque semaine. A tel point qu’on nous prévient que malgré la gravité des faits, la tâche des enquêteurs de police « s’annonce d’ores et déjà délicate », dans un quartier « sensible », « où prévaut la loi du silence ».

    Les deux syndicats policiers affiliés à la CFDT, le SCSI et Alternative-Police rappellent qu’« il existe toujours des zones de non-droit en France, aux mains de gangs délinquants et criminels ». Eux-mêmes se demandent « si les forces de l’ordre ont vraiment les moyens de pénétrer ces quartiers pour y rétablir la sécurité ».

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 11 octobre 2016