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  • Allemagne : des migrants ont pris le contrôle d’une petite ville

     

    La maire de Garmisch-Partenkirchen, une petite station de ski bavaroise, a demandé de l’aide à l’État de Bavière pour gérer une « situation explosive » créée par une recrudescence de criminalité de la part des migrants. Elle expose la situation de la ville dans une lettre qui a fuité dans la presse.

    En effet, la maire, issue du parti social-démocrate SPD, se plaint de « très graves problèmes » et écrit que « l’ordre public et la sécurité » sont mis en danger s’il n’y a pas d’action rapide. Dans la ville, le Centre Abrams, anciennement une caserne de l’armée américaine, héberge aujourd’hui environ 250 demandeurs d’asile. Si l’année dernière la plupart d’entre eux étaient des familles syriennes, aujourd’hui environ 150 sont d’origine africaine, et 80% sont des jeunes hommes seuls. « La situation s’empire de plus en plus depuis plusieurs semaines autour du centre d’enregistrement Abrams », écrit-elle. Les occupants actuels de l’installation sont devenus « problématiques » et posent des problèmes à « l’ordre public ».

    La presse locale a rapporté des affrontements, des agressions contre les biens et les personnes, ainsi que des agressions sexuelles, notamment au sein du centre. Les plaintes des riverains se multiplient, et la maire précise qu’elles ne viennent pas de groupes d’extrême-droite. « Ils nous expriment leurs difficultés. Il y a de très graves problèmes avec les réfugiés à Garmisch-Partenkirchen. »

    Source

  • ARgenteuil: un enseignant frappé devant ses élèves de CE2

    Les enfants ont pleuré, ils étaient sous le choc. Ils voient leur maître par terre se prendre des coups, ce n’est pas anodin. » Ce lundi après-midi, à la sortie de l’école Paul Langevin 1 d’Argenteuil, dans le quartier du Val-d’Argent sud, la violente agression d’un enseignant de CE2 est sur toutes les lèvres. Un père arrivé immédiatement après les faits explique avoir récupéré une classe « en panique ».

    Il est 11 h 30, les élèves reviennent à pied d’un cours d’éducation physique au stade du Marais, quand leur instituteur de 50 ans est soudainement attaqué par deux jeunes hommes. Le professeur venait de remettre à sa place une de ses élèves qui disait des gros mots et qui sortait du rang. Les deux agresseurs sont sortis de leur voiture et lui ont crié : « Tu lui parles pas comme ça, raciste ! » L’enseignant a alors rétorqué : « Mais je suis leur maître. » Tout en s’approchant du quinquagénaire, l’un des assaillants a alors répondu : « Et moi, je suis une racaille. »

    L’enseignant a tenté de les repousser avec son bras et un parapluie. Mais ses assaillants l’ont finalement fait tomber au sol en effectuant une balayette par-derrière et lui ont donné un coup de poing. Selon une source syndicale, l’un d’eux aurait lancé : « Il n’y a qu’un seul maître, c’est Allah. »

     
      

    Le visage tuméfié, la victime a été transportée à l’hôpital. Dans l’après-midi, il est allé porter plainte avec le directeur de l’école. Selon l’inspection académique, l’enseignant aurait refusé de prendre ses jours d’incapacité totale de travail. D’après les parents concernés, la victime, qui travaille depuis plusieurs années à Paul Langevin 1, reviendrait dès ce mardi assurer ses cours.

    Une attaque vivement condamnée par la direction académique et le maire de la ville, Georges Mothron (LR), qui dénonce une « agression totalement gratuite ». « Nous lui apporterons toute forme d’aide dont il pourrait avoir besoin », ajoute l’inspection.

    Françoise Houttemane, secrétaire générale du syndicat Snuipp 95, déplore « une attaque violente de l’institution ». Elle a demandé la mise en place d’une cellule psychologique : « Notre collègue est extrêmement choqué, l’école est bouleversée. » A la sortie des classes, les parents sont effectivement stupéfaits : « C’est incroyable. En plus c’est le professeur que tous les enfants veulent parce qu’il est gentil », raconte une mère de famille. « Il n’est pas raciste mon professeur, je l’aime bien », lance une de ses élèves âgée de 8 ans.

    Les agresseurs, à peine majeurs selon les témoignages, sont toujours en fuite. L’enquête a été confiée au commissariat local. Il devra notamment déterminer s’ils ont un lien de parenté avec la fillette qui s’est fait sermonner par l’enseignant.

    LE PARISIEN

     

  • Seine-Saint-Denis: une proviseure frappée et des policiers pris pour cible

    Par Yohan Blavignat
    Publié le 17/10/2016 à 18h46

    Depuis dix jours, de nombreux incidents ont eu lieu devant le lycée professionnel Hélène Boucher de Tremblay-en-France. Ce lundi, la proviseure de l'établissement a été agressée et évacuée par les secours. Les policiers ont également essuyé des tirs de mortiers.

    Nouvel accès de violence au lycée Hélène Boucher de Tremblay-en-France, en Seine-Saint-Denis. Ce lundi, vers 08 heures, plusieurs individus se sont livrés à des actes de malveillance devant l'établissement professionnel, relate France Bleu. L'un d'eux a notamment jeté un cocktail Molotov à l'intérieur du lycée. Excédée, la proviseure est alors sortie pour s'expliquer avec les fauteurs de troubles, et a été frappée. «La proviseure, présente à la grille, a essayé de raisonner ces individus, de calmer la situation, et l'un d'entre eux lui a porté des coups», a indiqué le rectorat de l'Académie de Créteil, précisant que l'auteur de cette agression «très grave et inacceptable» n'a pas été identifié, pas plus que les autres participants à ces faits de violence. Choquée, la proviseure a été prise en charge et hospitalisée. Par ailleurs, des pétards ont également éclaté et un tir de mortier a été recensé, selon le rectorat de l'Académie de Créteil.

    Alors que les forces de l'ordre avaient été appelées sur place, les mêmes individus s'en sont alors pris aux policiers, qui ont essuyé des tirs de mortiers, confectionnés artisanalement afin de propulser des projectiles, ont raconté des sources policières. Au total, une cinquantaine de personnes seraient impliquées dans ces incidents, dont une dizaine se sont montrées particulièrement virulents, ont-elles précisé. Le parquet de Bobigny a confié une enquête à la Sûreté territoriale. La ministre de l'Éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, a condamné «très fermement l'agression de la proviseure du lycée» et apporté «tout [son] soutien face à ces violences inacceptables».

    La région Île-de-France a également condamné ces «agissements inacceptables». La vice-présidente du Conseil régional, Agnès Evren, s'est notamment rendu au lycée Hélène Boucher et demande «des sanctions exemplaires contre les auteurs de ces violences».

    «Pas de motif rationnel à ces violences»

    C'est le troisième épisode de violences qui se produit en 10 jours aux abords de cet établissement. Le 10 octobre dernier, une trentaine de jeunes munis de barres de fer s'étaient affrontés devant l'enceinte du lycée où, quatre jours plus tôt, deux véhicules avaient été incendiés. Pour le rectorat, ces violences n'ont a priori pas de rapport avec la vie de l'établissement. «Nous sommes dans un contexte de violences urbaines dont il appartiendra de déterminer les causes». «Il n'y a pas vraiment de motif rationnel à ces violences», juge de son côté une source policière.

    Pourtant, un policier interrogé par Le Parisien le 7 octobre dernier faisait référence à «une technique connue à Tremblay» selon laquelle des jeunes «se donnent rendez-vous via Internet et cassent dans le but d'attirer les policiers et de les caillasser». «Ils choisissent tôt le matin car ils savent que les effectifs sont plus légers à cette heure-ci», avait-il ajouté.

    En avril, dans le cadre des mouvements contre la loi travail, des manifestations de lycéens avaient également été particulièrement violentes dans les Hauts-de-Seine, et notamment devant Hélène Boucher. Là encore, un véhicule avait été incendié, deux autres retournées et les policiers caillassés par une centaine d'individus encagoulés.

    LE FIGARO

  • La Manif pour tous veut peser sur la présidentielle

    Par Stéphane Kovacs
    Publié le 16/10/2016 à 20h05

    REPORTAGE - En défilant dimanche à Paris, les manifestants ont voulu obliger les candidats à se positionner sur la loi Taubira, la PMA et la GPA.

    À quelques semaines de la primaire de la droite et du centre, à sept mois de l'élection présidentielle, la Manif pour tous tenait à «se faire entendre». «Une fois élus, les politiques ont vite fait de vous oublier!», sourit une grand-mère bardée d'autocollants et de fanions roses et bleus. Ils sont donc venus de toute la France, ce dimanche à Paris, pour défendre la famille traditionnelle: «entre 23.000 et 24.000 personnes» selon la Préfecture de police, 200.000 pour les organisateurs. Au plus fort de la mobilisation, en mars 2013, ils avaient réuni plus d'un million de personnes, (300.000 selon la police).«Nous sommes toujours là, immensément nombreux, a lancé la présidente, Ludovine de La Rochère, dans son discours de clôture. Paris bleu-blanc-rose, pari gagné!»

    Tout le long du parcours, dans le XVIe arrondissement, les voitures ont été enlevées. En ce contexte de menace terroriste, la Manif pour tous a été particulièrement vigilante sur la sécurité: dès leur arrivée porte Dauphine, les manifestants ont été filtrés et fouillés. Derrière une poussette, munis d'une canne ou même en fauteuil roulant, tous brandissent, sous un soleil radieux, les affiches et drapeaux aux couleurs du mouvement. Quant aux slogans, ils les connaissent par cœur: «Quatre ans qu'on les répète!, souligne Aude, venue de la banlieue parisienne. PMA, GPA, on lâchera pas!»

    Procréation médicalement assistée «sans père» et gestation pour autrui, avatars de la loi Taubira selon la Manif pour tous, sont toujours dans le collimateur. Mais, au fil du quinquennat, s'y sont ajoutés le «matraquage fiscal», la «casse de la politique familiale», ou encore la «diffusion du genre»… «En SVT, mon prof nous a dit que le sexe biologique pouvait être différent du sexe social!», s'indigne une lycéenne d'Angers.

    L'abrogation de la loi sur le mariage homosexuel est, pour la plupart des militants, toujours envisageable, trois ans après son adoption. «Vous président de la prochaine alternance, en réponse à toutes nos voix, vous n'aurez d'autre choix que de réécrire la loi Taubira pour stopper ses dérives!», a lancé Clément Borioli, responsable du mouvement Sens Commun des Hautes-Pyrénées et membre de l'association homosexuelle Homovox. Mais la quasi-totalité des candidats à la primaire ne comptent pas revenir sur la loi Taubira. À l'exception du président du Parti chrétien-démocrate, Jean-Frédéric Poisson, le seul à réclamer l'abrogation, et, dans une moindre mesure, François Fillon, qui souhaite une «réécriture» pour interdire la filiation exclusive d'un enfant par deux personnes de même sexe.

    Paris, le 16 octobre 2016, la Manif pour tous débute Porte Dauphine.
    Paris, le 16 octobre 2016, la Manif pour tous débute Porte Dauphine. - Crédits photo : Stephen Dock pour Le Figaro

    Si la Manif pour tous a clairement annoncé qu'elle ne soutiendrait aucun candidat, Sens Commun, son émanation au sein des Républicains, a pour sa part choisi de se prononcer en faveur de François Fillon. Samedi, l'ancien premier ministre a d'ailleurs adressé un message de «soutien» aux manifestants, assurant que s'il était élu, il prendrait «la tête d'un combat européen» contre «l'aberration humaine qu'est la GPA». Un geste qui en a touché certains. Car au cœur du cortège, on assure que ce sujet de la famille sera déterminant au moment du vote. «C'est quand même un enjeu de civilisation!, s'exclame Pascale, chef d'entreprise en région parisienne. J'aurais bien voté pour Poisson, mais je préfère miser sur Fillon, dont le programme économique est le meilleur, et qui est le seul à même de battre Juppé.»

    D'autres veulent y croire: «Moi je ne vois que Jean-Frédéric Poisson pour reprendre les choses en main, affirme Nathalie, cadre parisienne. Si tous ici on vote pour lui, il pourra accéder au second tour! Regardez comme il a pris de l'étoffe depuis le premier débat à la télévision.» Pour la députée des Bouches-du-Rhône Valérie Boyer, c'est à François Fillon qu'il faut faire confiance: «Face à des candidatures de témoignage, il a une stature d'homme d'État, et ne change pas d'avis au gré des sondages, souligne-t-elle. Il a mis la famille au cœur de son projet, que ce soit économique, sociétal ou fiscal.»

    «Je tiens (...) à témoigner de ma sympathie et de mon soutien à tous ceux qui seront mobilisés pour la famille»

    François Fillon, samedi

    Certains font entendre de tout autre choix: «Moi je ne m'intéresse ni à la primaire de droite, ni à celle de gauche, vous saisissez?», lance une petite rousse venue du Midi. Un peu plus loin, d'autres sympathisants s'émeuvent du fait que la députée FN Marion Maréchal-Le Pen, soit invitée sur le podium, comme «toutes les sensibilités politiques», selon les organisateurs. Quant à Vincent, il parie sur «Emmanuel Macron, plus moderne que certains à droite qu'on a beaucoup trop vus»: «Peut-être va-t-il se prononcer contre la loi Taubira?», veut-il croire. Très peu de succès en tout cas pour Nicolas Sarkozy, «qui change tout le temps d'avis parce que c'est pas cher», et encore moins pour Alain Juppé, qui n'est «pas clair du tout». Après avoir soutenu le député de la Drôme Hervé Mariton, son collègue Philippe Gosselin s'est rallié comme lui à Alain Juppé. Ce que beaucoup de militants ont du mal à comprendre. «Il faut des “veilleurs”, qui rappellent aux candidats l'importance de ces sujets-là, tente l'élu de la Manche. Alain Juppé recevra d'ailleurs les responsables de la Manif pour tous dans les prochains jours.»

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 17/10/2016

    NdB: Très bien, la Manif pour tous... Mais il faut atterrir dans le réel! Et le réel en 2016, c'est l'immigration musulmane, l'islamisation de la France, qui marche chaque jour à grands pas !

  • Albi (81) : 2 policiers blessés, «Ici vous êtes sur une terre d’Allah. C’est pas des mécréants qui vont nous dicter leur loi»

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    23h40
     

    14/10/2016

    Deux policiers en tenue du commissariat d’Albi ont été blessés lors d’une interpellation, dans la soirée de mercredi, quartier de Rayssac à Albi.

    [...] «Ici vous êtes sur une terre d’Allah. C’est pas des mécréants qui vont nous dicter leur loi… Je vais te tuer, toi et ta famille» Ces propos, cités dans le rapport des policiers, auraient précédé une confrontation physique avec l’un des jeunes, auteur d’un coup de poing dans la figure d’un policier, avant d’être maîtrisé et plaqué au sol. Un deuxième jeune, interpellé dans la foulée, aurait cravaté le policier pour tenter de lui faire lâcher prise.

    Pour les témoins au contraire, le policier volontaire pour le «tête à tête», aurait violemment poussé le jeune homme contre le mur du hall. La réaction n’a pas traîné, il a pris son poing dans la figure. Trois ou quatre de ses collègues, en tenue et en civil, venus à sa rescousse, auraient violemment plaqué le jeune boxeur au sol. Que s’est-il passé alors, pour que ce dernier se retrouve gravement blessé au visage, avec un enfoncement du plateau orbital qui nécessitera une opération ? L’enquête devra le préciser. Le «cravateur», lui aussi placé en garde à vue, soutient qu’il s’est simplement interposé pour calmer le jeu. Un rôle minime qui pourrait expliquer l’absence de blessure. Pendant leur garde à vue les deux jeunes n’ont reconnu ni la version des policiers, ni, en dehors d’insultes, les propos à caractère religieux dont ils les accusent. à ce point de l’enquête, hier le parquet n’a pas demandé leur comparution. Ils ont été laissés libres vers 18 h. [...]

    La Dépêche


    13/10/2016

    Deux policiers ont été agressés et blessés (à la main pour l’un et au visage pour l’autre) dans la soirée du mercredi 12 octobre vers 21 heures lors d’un contrôle dans un hall d’immeuble à Albi.

    Un des fonctionnaires a été menacé de mort, ainsi que sa famille, dénoncent les syndicats « Alliance » et « SGP Police ». Deux hommes ont été interpellés après cet incident qui se produit dans un contexte tendu.

    Lundi 10 octobre, à l’appel de leurs syndicats, les policiers se sont rassemblés dans toute la France devant les commissariats pour réclamer des moyens supplémentaires.

    Il manquerait selon eux près de 60 fonctionnaires de police dans le Tarn. « Nous constatons encore une fois, dans notre département dit tranquille que nos collègues sont pris à partie alors qu’ils venaient juste faire leur travail après un appel sur le 17″, souligne le syndicat « SGP police »

    La Dépêche

  • Allemagne: la révisioniste Ursula Haverbeck fortement soutenue à son procès

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/En-Allemagne-la-revisionniste-Ursula-Haverbeck-fortement-soutenue-a-son-proces-41976.html

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    Ursula Haverbeck, 88 ans

  • Trois vues de la Manif Pour Tous sur Facebook

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    Louis Aliot, Marion Maréchal-Le Pen et Gilbert Collard  (de g à d)

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