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  • Eric Zemmour: "May et Poutine écoutent leur peuple et défendent leur pays"

    Par Eric Zemmour
    Mis à jour le 21/10/2016 à 17h03 | Publié le 21/10/2016 à 09h01

    CHRONIQUE - Theresa May et Vladimir Poutine sont les deux mauvais élèves d'une petite classe européenne qui ne jure que par le droit et le marché.

    Ils hantent tous deux les nuits d'Angela Merkel et de François Hollande. Ils n'ont pourtant pas grand-chose en commun. Ils s'affrontent même durement autour de l'Ukraine ou de la Syrie. Vladimir Poutine ne connaît pas encore Theresa May ; et celle-ci considère qu'elle en connaît déjà assez sur celui-là.

    Mais si tous deux sont devenus les têtes de Turcs favoris des grands médias internationaux et des principaux dirigeants de l'Union européenne, ce n'est pas un hasard. Avec Poutine, c'est désormais une vieille histoire. Géorgie, Ukraine, Syrie, on sait ce que reprochent les Occidentaux au Président russe. On connaît aussi les arguments de Poutine.

    C'est au fond à chaque fois la même chose: il défend les intérêts de son pays à ne pas voir les forces de l'Otan aux portes de la Russie d'une part, à conserver des alliés fidèles et à lutter, à l'intérieur comme à l'extérieur, contre l'offensive djihadiste venue du monde musulman.

    Avec Theresa May, c'est plus récent. Le nouveau premier ministre britannique a décidé de se soumettre à la volonté de son peuple, manifestée lors du référendum sur le Brexit. C'est peut-être ce que ne lui pardonnent pas les élites médiatiques, politiques et financières européennes.

    «Theresa May, ce sera le dirigisme de l'État dans l'économie, le protectionnisme, la préférence nationale, l'arrêt de l'immigration, la réduction des inégalités»

    Mais, désormais, elle va plus loin. Elle fait du Margaret Thatcher à l'envers. C'est-à-dire avec la même détermination, mais pour conduire une politique exactement opposée. Thatcher, c'était le libéralisme, le libre-échange, la baisse des impôts, l'ouverture des frontières, les inégalités sociales, l'individu roi.

    Theresa May, ce sera le dirigisme de l'État dans l'économie, le protectionnisme, la préférence nationale, l'arrêt de l'immigration, la réduction des inégalités, la dénonciation «des élites cosmopolites et des citoyens du monde, qui ne sont de nulle part». Ce sera aussi la préférence donnée à l'industrie sur la finance.

    «Theresa May et Vladimir Poutine n'ont rien de commun, sauf d'assumer pleinement la souveraineté de leur nation. Et cela change tout»

    Et, last but not least, le rejet de la tutelle des grands juges européens, Cour de justice de l'Union européenne et Cour européenne des droits de l'homme.

    Theresa May et Vladimir Poutine n'ont rien de commun, sauf d'assumer pleinement la souveraineté de leur nation. Et cela change tout.

    Aux deux extrémités du continent européen, ils sont les deux mauvais élèves d'une petite classe européenne qui ne jure que par le droit et le marché. Une petite classe européenne convaincue que l'origine des deux guerres mondiales du XXe siècle provient du déchaînement des nationalismes ; et que la disparition des nations assurera la paix.

    C'est cette illusion postnationale que ne partagent pas les Anglais et les Russes. Peut-être parce qu'ils furent les seuls à ne pas avoir été vaincus par l'Allemagne nazie ; les seuls à ne pas avoir été «libérés» de l'occupation allemande par les armées américaines.

  • Cazeneuve a préféré protéger une bouffe privée de Hollande que les Niçois : 86 morts !

    http://ripostelaique.com/cazeneuve-a-prefere-proteger-une-bouffe-privee-de-hollande-que-les-nicois-86-morts.html

    VIDEOS

    La réponse à la question sur le pourquoi de la suppression impérative, précipitée et totale des vidéos sur le massacre de Nice sur le lien ci-dessus.
    Autre hypothèse, y avait-il des personnes sur ces vidéos qu'il ne fallait pas voir ? 

    (merci à Dirk)

  • Maltraitance animale : vidéo et plainte contre le rituel juif Kapparot

    http://www.l214.com/maltraitance-animale-video-et-plainte-contre-le-rituel-juif-kapparot

    NdB: Oiseaux et poulets sont égorgés à vif selon le rituel d'un autre monde...

  • ZOOM - "La France n'a pas vocation à devenir la fille aînée de l'islam" par Philippe de Villiers

    Excellent entretien à écouter attentivement sur le Grand Remplacement et le projet criminel de la "partition" du territoire français.

  • Présidentielle américaine : « Trump n'a pas atteint son maximum »

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    >International>Election américaine 2016|Propos recueillis par j.A.|09 octobre 2016, 7h00 | MAJ : 09 octobre 2016, 13h10|6

    Jean-Claude Beaujour

    DR
     
     
    Propos recueillis par j.A.
     
    Election américaine 2016Donald TrumpBill ClintonJean-Claude Beaujour
     

    Vice-présidentdu think tank France-Amériques, qui a pour mission de mieux faire connaître les Etats-Unis en France, Jean-Claude Beaujour, avocat, partage sa vie entre Paris et Washington. Il estime que rien n'est joué pour la présidentielle.

     

    Le dernier scandale ne sera-t-il pas fatal à Trump ?

    Jean-Claude Beaujour. Ses propos particulièrement sexistes ne vont évidemment pas l'aider. Cependant, il faut rester très prudent. Je ne pense toujours pas que Donald Trump ait atteint son maximum. Il y a bien sûr les incertitudes inhérentes aux « swing states » (ces quelques Etats indécis où l'opinion bascule régulièrement d'un camp à l'autre). Mais il y a aussi un phénomène que je comparerais à celui du FN il y a une vingtaine d'années : un électorat dormant qui n'osait pas avouer qu'il votait pour Jean-Marie Le Pen. Je pense qu'il joue à plein en faveur de Trump et que les sondages le sous-estiment.

     

    Quelles sont les raisons qui vous rendent prudent ?

    Le facteur principal du vote pro-Clinton est son expérience. C'est un vote de raison. Or, dans les « swing states », où quelques milliers de voix peuvent faire la différence, les électeurs votent plus par ferveur que par raison. L'électorat de Trump, ces petits Blancs modestes, laissés pour compte et peu éduqués, sont plus motivés car ils ont le sentiment que c'est la dernière fois que leur est offerte la possibilité de voter pour une Amérique blanche, traditionnelle. Les Blancs représentent 63 % de la population. En 2050, ils ne seront plus que 46 %. D'ailleurs, malgré ses écarts de langage, Trump n'a pas vu sa cote dramatiquement chuter jusqu'à présent.

       

    La conjoncture ne joue-t-elle pas en faveur de Clinton ?

    L'économie va mieux, mais la précarité reste élevée. Surtout, les questions de sécurité et d'immigration sont centrales. Il suffirait d'un attentat pour que Trump en tire profit. Et puis Clinton a toujours plusieurs boulets aux pieds : les e-mails, certains aspects de sa politique extérieure quand elle était secrétaire d'Etat et surtout son image de membre de l'establishment. Enfin, elle n'a toujours pas fait de discours fondateur. Obama, en 2007, avait su inscrire son élection dans l'histoire américaine.

     

    Et comme première femme présidente, surtout en regard du sexisme de Trump ?

    Clinton n'a joué sur cette corde que récemment. Elle est de la génération des « civil rights », pour qui la bataille des droits des Noirs est essentielle, pas celle des femmes qui pour cette classe d'âge ne doivent bâtir leur réussite que sur leur mérite. Je ne suis pas sûr qu'elle arrive à mobiliser les jeunes femmes, tout comme les jeunes Noirs, d'ailleurs. C'est pour cela qu'elle a envoyé Michelle Obama à la rescousse. Ces dernières semaines, on voit beaucoup la first lady battre la campagne. Reste à savoir si, après les dernières révélations sur Trump, les féministes se mobiliseront pour Clinton.

    LE PARISIEN

  • La guerre civile ethnique se prépare. Par Guillaume Faye

    http://www.gfaye.com/la-guerre-civile-ethnique-se-prepare/

    A lire absolument!

    Une analyse remarquable de la réalité que nous vivons

  • Les patrouilles de la Charia à Londres

     

    (merci à Dirk)

  • La Lettre du Front National - Edito de Nicolas Bay

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    ÉDITO

    Nous sommes avec nos policiers !
    Si le travail de nos forces de l’ordre est rendu plus périlleux et complexe depuis de nombreuses années, ces dernières semaines ont été le théâtre d’actes d'une rare violence envers les policiers. Des actes qui ne sont pas le fait de « sauvageons » comme l'a exprimé Bernard Cazeneuve, mais bien l’œuvre de véritables criminels. Des actes qui traduisent l'ensauvagement de notre société que Marine Le Pen avait déjà dénoncé voici 5 ans.
    Symboles de l'engagement au service des autres, et cela bien souvent au prix de sacrifices personnels et familiaux, nos policiers sont confrontés à des restrictions budgétaires constantes. Les conditions dans lesquelles nos forces de l'ordre exercent leur mission sont devenues indignes de notre pays : commissariats mal entretenus voire insalubres, manque de moyens matériels et humains, parcs automobiles délabrés, diminution des effectifs, etc.
    Ces difficultés à exercer leur travail dans des conditions décentes se sont accumulées, et aggravées, avec la complicité ou la passivité des gouvernements successifs. Sur le simple plan des effectifs, rappelons que Nicolas Sarkozy a supprimé 12 500 postes de policiers et gendarmes, et que, d'après la Cour des Comptes, François Hollande n'en a pourvu que 390 depuis 2012. Il en avait pourtant promis 9 000 !
    Au manque de moyens se sont ajoutées les politiques laxistes conduites par Rachida Dati et Christiane Taubira. Elles ont largement contribué à l'épuisement moral de policiers trop souvent contraints de pourchasser les mêmes délinquants qu'ils avaient arrêtés la veille.
    Face à cette situation intenable, face au mépris de leur hiérarchie mais surtout face à l’inaptitude d'un ministre de l'Intérieur ajoutant désormais l'arrogance à l'incompétence, de nombreux rassemblements de policiers ont eu lieu partout en France. Le Front National les soutient infailliblement et tient à rappeler que seule la tolérance zéro, dont notre police sera le fer de lance avec l'entier soutien de la nation, permettra d'éviter que la loi de la jungle s’abatte sur notre pays.

    Nicolas Bay - Secrétaire Général du Front National