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  • JOURNAL TVLibertés DU 26 OCTOBRE 2016

  • Essonne: cinq villes privées de policirs afin de protéger l'ex-femme de Manuel Valls

    Deux policiers affectés 24 heures/24 devant l’appartement de l’ex-femme de Manuel Valls à Évry. Trois autres avec le rabbin de Ris-Orangis, Michel Serfaty, dès qu’il quitte son domicile. Deux de plus qui accompagnent le recteur de la mosquée de Courcouronnes, Khalil Merroun. Sans compter les nombreux équipages nécessaires à la protection du Premier ministre lors de ses récurrentes visites dans le département. Les policiers de l’Essonne sont chargés de protéger de nombreuses personnalités. Mais face au manque de moyens et d’effectifs, ils sont de plus en plus nombreux à considérer cette mission comme « une tâche indue ».

     

    Une situation qui a atteint son paroxysme ce lundi matin, vers 6 heures. Pour « surveiller la résidence de la famille du Premier ministre » à la demande du centre de commandement d’Évry, le commissariat de Brunoy a été contraint d’envoyer un équipage sur place… Et s’est retrouvé sans policier disponible sur sa propre circonscription. Car comme le précise une note de service confidentielle, c’était « l’unique patrouille disponible » pour intervenir durant toute la matinée sur ce secteur de 55 000 habitants comprenant les villes de Boussy-Saint-Antoine, Brunoy, Epinay-sous-Sénart, Quincy-sous-Sénart et Varennes-Jarcy.

        

    Dans cette note confidentielle, un policier indique être « seul » au commissariat de Brunoy pour répondre au téléphone.

     

     

    Dans les locaux, le rédacteur de cette mention de service indique qu’il reste donc « seul » au poste de police pour répondre au téléphone, avec un collègue affecté au service radio. « Finalement un équipage d’Évry a pu se libérer un peu plus tard afin d’assurer la surveillance de cette personnalité, notre patrouille a pu revenir sur notre circonscription », précise toutefois le commissaire de Brunoy.

     

    « Nous n’avons pas les effectifs suffisants pour nous permettre d’assurer des missions de sécurité auprès des personnalités »

     

    71 policiers de terrain sont affectés au commissariat de Brunoy. Ces effectifs sont répartis entre les équipes du matin, de l’après-midi et celles de la nuit. « Et avec les repos et les blessés, le planning est à flux tendu », signale Claude Carillo, du syndicat de police Alliance, qui réclame le renfort de 300 policiers dans le département. « Nous n’avons pas les effectifs suffisants pour nous permettre d’assurer des missions de sécurité auprès des personnalités. »

     

    L’Essonne compte aujourd’hui près de 2 050 policiers, soit 150 de moins qu’en 2011, à une époque où la menace d’attentat et le plan Vigipirate n’étaient pas aussi chronophages. Face à la grogne des fonctionnaires après l’agression de policiers aux cocktails Molotov à la Grande Borne le 8 octobre, le directeur central de la sécurité publique avait affirmé que certaines de ces missions allaient se finir. La préfecture de l’Essonne — qui a mis fin à la protection de sa porte d’entrée — annonce ainsi « être en phase de concertation avec les policiers sur les tâches indues ».

      leparisien.fr

  • Incendies dans la « Jungle » de Calais : le préfet parle « d’une tradition de la population migrante »… L’assimilation n’est pas pour demain !

       

     

    La « Jungle » de Calais a été en partie ravagée par les flammes dans la nuit de mardi à mercredi. Une trentaine de départs de feu ont été observés, notamment dans la zone des commerces à l’entrée du camp. Interrogée ce mercredi matin sur ces incendies, la préfète du Pas-de-Calais a évoqué « des traditions de la population migrante de détruire leur habitat avant de partir »… Sic !

    NDF

  • Des allocations estimées à 360 000 euros par an pour un réfugié, ses 4 femmes et 23 enfants ! Tollé en Allemagne

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    17h04

    Ghazia A. a fui la Syrie en 2015 avec ses quatre épouses et leurs 23 enfants pour trouver refuge en Allemagne. Leur cas suscite la polémique, au vu du montant des allocations que leur verse l’Etat allemand.

     

    L’histoire de Ghazia A. suscite de nombreuses réactions outre-Rhin, après que le journal BILD a publié un article détaillant les conditions dans lesquelles ce Syrien de 49 ans, après avoir fui la Syrie par la Turquie, a finalement trouvé refuge dans la région de Rhénanie-Palatinat avec ses quatre épouses et ses 23 enfants.

    Si la polygamie est autorisée dans la tradition musulmane telle que la reconnaît le droit syrien, elle n’est pas reconnue par le droit allemand. A son arrivée, Ghazia a donc dû choisir l’une de ses épouses comme «femme officielle», afin de pouvoir percevoir les aides sociales auxquelles il a droit.

    Son choix s’est porté sur Twasif, sa femme «principale» : avec leurs cinq enfants, ils forment donc un foyer officiel aux yeux de l’Etat. Les trois autres femmes sont depuis considérées juridiquement comme de simples «partenaires» et ont dû se partager la garde des 17 enfants restants, l’une de ses filles étant déjà mariée en Arabie saoudite.

    Si tous vivent dans un rayon de 50 kilomètres, dans la province de Montabaur, Ghazia passe cependant la plus grande partie de son temps sur la route afin de leur rendre visite. «Selon notre religion, j’ai le devoir de passer autant de temps avec chaque famille et je ne dois pas favoriser l’une d’entre elles», explique-t-il.

    La polémique enfle autour de la question des prestations sociales
    L’histoire de Ghazia a commencé à prendre une ampleur nationale lorsque la question des aides financières étatiques a gagné la Toile, d’autant que l’intéressé, qui était à la tête d’une entreprise prospère de location de voitures en Syrie, a admis ne pas avoir de travail en Allemagne. «Je suis pratiquement toujours en route pour être avec ma famille. Mais je serais heureux de travailler», a-t-il déclaré au BILD.

    [...]

    Réagissant au cas de Ghazia, un syndicat patronal, le Deutscher Arbeitsgeber Verband, a publié une estimation du montant total des aides cumulées auxquelles, compte tenu du nombre d’enfants et d’épouses à sa charge, le réfugié aurait droit. Le résultat du calcul s’élève à 360 000 euros par an, un montant qui reste indicatif et qui n’a rien d’officiel.

    (…) RT.com

  • "Pas de migrants dans le Vaucluse": Discours de Marion Maréchal-Le Pen et d'Hervé de Lépinau

    http://www.fdesouche.com/781789-pas-de-migrants-dans-le-vaucluse-discours-de-marion-marechal-le-pen-et-herve-de-lepinau

    à la Tour-d'Aigues

  • Le livre qui accuse Jean-Marie Le Guen, Rachida Dati et Nicolas Bays (avec un s) d'avoir tenté d'obtenir des cadeaux du Qatar

     

    Dans "Nos très chers émirs", les journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot citent notamment Jean-Marie Le Guen, Rachida Dati et Nicolas Bays.

    20/10/2016 18:50 CEST | Actualisé 20/10/2016 19:07 CEST

     

     

    Jade Toussay  

    POLITIQUE - L'ambassade du Qatar en France aurait-elle trop gâté certains élus? Dans leur livre "Nos très chers émirs" paru ce jeudi 20 octobre, Christian Chesnot, reporter au service étranger de France Inter, et Georges Malbrunot, spécialiste du Moyen-Orient au Figaro, reviennent sur les (gros) cadeaux de l'ambassade qatarie à Paris, et dévoilent les noms de certains élus soupçonnés d'en avoir profité.

    Interrogés par Léa Salamé à l'antenne de France Inter, les deux journalistes livrent un compte-rendu de leurs deux années d'enquête. Dans leur viseur, le groupe France-Qatar et certains de ses membres, qui se seraient servis de leurs positions pour obtenir quelques avantages. "L'ambassade du Qatar à Paris, c'était tout à la fois un distributeur de billets de 500 euros, une agence de voyage et la boutique du père Noël", décrit Christian Chesnot, qui précise que "les milliards du Qatar et de l'Arabie saoudite" ont tourné "la tête de beaucoup de nos hommes et femmes politiques."

    The Huff

  • Jean-Frédéric Poisson ne sait pas pour qui il voterait dans un duel entre Alain Juppé et Marine Le Pen

     

    Jean-Frédéric Poisson est en train de subir une pression inouïe de la part des journalistes. Son engagement à défendre la droite des valeurs et ses idées commencent à se heurter au système qui aimerait bien le détruire. L'interview accordé à Lyon en marge de son meeting risque de déclencher une nouvelle salve d'attaques en tous genres :

    Pour qui appelleriez-vous à voter lors d’un éventuel second tour opposant le candidat Les Républicains à celle du Front National ?

    On verra. Plus je vois évoluer Alain Juppé, plus je me dis que le projet de société multiculturelle qui a mis la France par terre est décidément à côté de la plaque. Et puis il peut se passer beaucoup de choses en 6 mois.

    Vos convictions passent-elles avant les « valeurs de la République » ?

    Le gros avantage de ces valeurs est que l’on ne sait pas ce qu’elles veulent dire. La réalité est que tout le monde y met ce qu’il veut. Mes convictions consistent à considérer que les valeurs de la République sont d’origines chrétiennes, et sont universelles car chrétiennes, cela a du sens, pas le reste.

    Et si c'étaient les 6 autres candidats de la primaire qui trahissaient les valeurs de la république, de la droite et du centre depuis 40 ans ?

    Addendum : Jean-Frédéric Poisson a précisé sa pensée :

    "Je continue cependant de penser que, malgré leurs faiblesses, les familles politiques de la droite et du centre sont les plus à même de diriger le pays et de le réformer dans la tranquillité à partir de 2017. Ce qui n'est pas le cas du Front National. Ce que veut dire le "on verra" repris par des médias n'est en aucun cas de ma part la marque d'une quelconque hésitation qui m'inclinerait vers le projet de Marine Le Pen. J'y suis opposé et en ai déjà donné les raisons." 

    Philippe Carhon

    Le Salon Beige

  • Poisson n'xclut pas voter FN dans un second tour Juppé - Le Pen

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    Par Arthur Berdah
    Mis à jour le 25/10/2016 à 19h02 | Publié le 25/10/2016 à 14h59

    LE SCAN POLITIQUE - Le candidat du Parti chrétien démocrate désobéirait ainsi à l'une des règles fondatrices de la primaire. Dans un communiqué publié ce mardi, il s'est toutefois défendu de toute «hésitation» sur le sujet.

    Sera-t-il la prise de guerre dont ils rêvent à voix haute? Alors que le Front national s'évertue depuis quelques années à attirer de nombreux transfuges de la droite dans ses filets, une cible potentielle leur adresse des appels du pied: Jean-Frédéric Poisson. Candidat à la primaire à droite au nom du Parti chrétien démocrate, le député des Yvelines multiplie les déclarations ambivalentes. Ainsi, après avoir estimé qu'il fallait «en finir avec le cordon sanitaire» autour de l'extrême droite et s'être affiché au côté d'un soutien de Marine Le Pen lors du débat télévisé de la primaire, l'héritier de Christine Boutin vient aujourd'hui de franchir un nouveau cap.

    Interrogé par Lyon People, il n'a effectivement pas exclu de voter FN dans un second tour Le Pen-Juppé. «On verra», élude-t-il d'abord. Avant de glisser mystérieusement: «Il peut se passer beaucoup de choses en 6 mois». «Plus je vois évoluer Alain Juppé, plus je me dis que le projet de société multiculturelle qui a mis la France par terre est décidément à côté de la plaque», poursuit-il encore. Une défiance qui rappelle un indiscret révélé en avril dernier par RTL, où il se disait prêt à «tout pour le faire perdre».

    Une attitude qui irait à l'encontre de ses engagements écrits et oraux

    Toutefois, cette attitude l'inscrirait en faux par rapport à l'une des règles fondatrices de la primaire: la charte, signée par les candidats, impose de soutenir le candidat qui sera désigné au terme du scrutin. Si Jean-Frédéric Poisson ne respectait pas cette règle, il ne trahirait pas «simplement» un engagement écrit mais aussi une promesse orale. En effet, comme l'a soulevé l'entourage d'Alain Juppé auprès du Figaro, le parlementaire avait donné sa parole aux journalistes lors du premier débat télévisé de la primaire, organisé le 13 octobre par RTL, Le Figaro et TF1. «Oui», avait-il sobrement promis, quand les autres candidats y avaient tous ajouté un «bien sûr», «évidemment» ou «sans réserve».

     

    Dans un communiqué publié mardi en fin de journée, l'ancien maire de Rambouillet a tenté de clarifier sa position. Se disant «inquiet» par «le projet que porte Alain Juppé», l'élu assure cependant qu'il «continue de penser que, malgré leurs faiblesses, les familles politiques de la droite et du centre sont les plus à même de diriger le pays dans la tranquillité à partir de 2017». «Ce qui n'est pas le cas du Front national», ajoute-t-il, jurant être «opposé» au projet de Marine Le Pen. Sans jamais aller jusqu'à dire clairement qu'il votera pour le candidat désigné par la primaire quel que soit le scénario en mai prochain, il affirme que sa réponse au site rhodanien ne traduit pas de «quelconque hésitation».

    Cette déclaration, si elle reste suffisamment ambiguë pour ne pas l'inquiéter outre mesure, intervient dans un contexte peu favorable pour le parlementaire. Vivement contesté par l'ensemble de ses adversaires pour avoir cru bon de dénoncer la supposée «proximité de (Hillary) Clinton avec les super-financiers de Wall Street et sa soumission aux lobbies sionistes», l'élu a fait l'objet d'une saisine de la Haute-Autorité de la primaire, qui cependant décidé de le maintenir dans la compétition.


    Maréchal-Le Pen ouvre la porte à des «discussions» avec Poisson

    Pourrait-il venir se réfugier chez le voisin, là où l'herbe est plus bleue? Menacé d'exclusion de la primaire à droite pour ses propos sur les «lobbies sionistes» auxquels serait soumise Hillary Clinton, Jean-Frédéric Poisson est conspué à droite mais soutenu à l'extrême droite. Et notamment par Marion Maréchal-Le Pen, comme elle l'a déclaré ce mardi sur RTL. «Moi je n'aurais pas utilisé cette expression», a-t-elle d'abord esquivé, avant de confier sa «sympathie humaine et même politique» pour le parlementaire, qu'elle ne suspecte pas «une demi-seconde» d'être antisémite. De même, elle exclut toute disqualification de la primaire à droite: «Ils en (feraient) un martyr, donc je pense qu'il ne le feront pas», analyse-t-elle. Mais elle ajoute immédiatement: «J'ai beaucoup d'accointances politique avec (lui), c'est loin d'être la caricature qu'on essaie (d'en) faire, donc discuter oui, bien sûr, pourquoi pas».

    Le Figaro