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  • Italie : La victoire du « non » au référendum scelle la désintégration de la zone Euro

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    Posted by La Rédaction on 5th décembre 2016
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    BREIZATAO – ETREBROADEL (05/12/2016) Après la victoire du Brexit et la chute de David Cameron au Royaume Uni, celle de Hillary Clinton puis de François Hollande en moins d’un mois, l’Italie vient de faire tomber le premier ministre socialiste Matteo Renzi à l’occasion d’un référendum national. Annonçant sa démission, le départ du chef du gouvernement italien remet clairement en cause l’adhésion de la péninsule à l’Euro. La défaite de Merkel est désormais inévitable.

    Déroute du camp européiste italien

    L’ampleur de la défaite est considérable. Matteo Renzi avait fait du référendum sur le pouvoir du sénat italien – qu’il identifiait comme un frein aux réformes économiques pro-UE qu’il menait – un moment clef de l’histoire politique du pays. En remportant la victoire avec près de 60% des suffrages, le camp du « non » a fait tomber celui qui était probablement le dernier dirigeant italien à même de faire converger l’économie nationale avec l’Eurozone.

    Avec un secteur bancaire en crise grave comme nous le rappelions récemment (lire ici), l’Italie n’a plus aucune visibilité politique. Puissamment travaillée par des partis populistes (Lega, M5S) qui veulent une sortie de l’Euro, l’instabilité politique resurgit dans ce pays à un moment où l’UE est déjà ébranlée par la sortie du Royaume-Uni.

    Dans ce contexte, des élections anticipées sont très probables d’ici à six mois. Elles seront marquées par la montée en puissance des partis eurosceptiques désireux de faire un référendum sur la sortie de l’Euro. De quoi ruiner la confiance des investisseurs et acteurs économiques et faire plonger davantage encore le pays dans le marasme économique.

    La désintégration de l’Eurozone est lancée

    Tout concourt donc à une politique du « cavalier seul » face à la banqueroute des grandes banques du pays. La question des politiques d’austérité et de « convergence » entre le sud et le nord de l’Eurozone va se poser avec une acuité renouvelée à la faveur du très probable renflouement des banques nationales italiennes.

    Avec la seconde industrie d’Europe et représentant sa troisième économie, l’Italie n’est pas la Grèce : aucun plan de sauvetage financier piloté par Berlin ne sera possible. Ce qui ruinera la cohésion économique et politique de l’Eurozone à court terme et devrait déclencher une fuite massive des capitaux vers les États-Unis et un renchérissement massif du dollar, déclenchant à son tour l’envolée du service de la dette global, notamment des pays émergents.

    L’axe Fillon/Merkel déjà vaincu

    Cette défaite de Matteo Renzi n’est pas qu’une mauvaise nouvelle pour le socialisme occidental. C’est aussi une défaite pour François Fillon. Le candidat de centre-droit à l’élection présidentielle française a fait du renforcement de l’intégration politique et économique de la zone euro une priorité.

    C’est dans cette logique que son programme est volontairement « austéritaire » et très « germano-compatible ». Problème : il intervient à contretemps et va aggraver la dépression économique qui frappe le continent et qui va encore s’amplifier à la faveur de la migration massive du capital européen vers l’Amérique.

    C’est aussi un coup très dur porté à Angela Merkel, à la tête de la principale économie du continent. Avec un secteur bancaire allemand en perdition (voir ici), la chancelière va être confrontée à un choix identique à celui des Italiens, des Grecs et des Français : sauver les banques nationales de façon unilatérale et faire imploser l’euro ou conserver la monnaie unique et voir laisser les banques s’effondrer, précipitant l’économie nationale dans le chaos.

    L’opinion publique allemande, déjà en colère suite au sauvetage temporaire de la Grèce et révoltée par la politique d’immigration massive de la chancelière, est arrivée à bout de patience. Ce qui rend illusoire une quelconque solidarité entre l’Allemagne et l’Italie dans l’année qui vient.

    Merkel devrait perdre à son tour les élections qui se dérouleront en 2017 en Allemagne, aboutissant à la chute du dernier véritable soutien du projet globaliste en Europe.

  • Violée et menacée d’une machette par un Ivoirien: « j’ai vu la mort en face » (93)

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    19h35
     

    La jeune femme violée a déclaré avoir “vu la mort en face”. 

    Le violeur présumé d’une jeune femme a été interpellé la semaine dernière dans la commune de Romainville, en Seine-Saint-Denis. La Brigade départementale de protection de la famille (BDPF) a enfin réussi à mettre la main sur lui, presque un mois après une agression à Bordeaux.

    Les faits remontent au 28 octobre. Ce jour-là, aux environs de 12h30, une jeune femme de 25 ans se fait accoster devant son domicile par un SDF (on apprendra par la suite qu’il est Ivoirien), dont les intentions apparaissent on ne peut plus claires : l’homme exhibe une machette et la contraint à une relation sexuelle. Terrorisée, la jeune femme croit que sa dernière heure est venue. Une fois le viol commis, elle se retrouve séquestrée puis violentée dans sa propre salle de bains. Le SDF quitte finalement les lieux en embarquant au passage le portable et l’ordinateur de sa victime.

    Pétrifiée, la victime se réfugie ensuite chez une voisine. L’alerte est donnée. Les experts du service d’identité judiciaire et la BDPF sont sur le coup. Les objets volés sont découverts abandonnés sur une pelouse, comme la machette utilisée par l’agresseur pour menacer sa victime. Ces éléments plus les témoignages de voisins vont permettre de remonter le fil de l’agression et d’identifier le SDF. Une découverte facilitée par le fait que ce dernier était déjà connu des services de police. Le mandat de recherches diffusé a donc conduit à son arrestation la semaine dernière en région parisienne.

    L’Ivoirien de 26 ans a été placé en garde à vue. Sa victime l’a formellement reconnu. Même s’il reste présumé innocent, il a été mis en examen pour viol aggravé et placé en détention provisoire.

    Le Nouveau détective

  • Allemagne : Le violeur et assassin présumé de Maria L. est un réfugié afghan de 17 ans (MàJ : une seconde victime ?)

     

    19h55

    Maria Ladenburger, étudiante en médecine à Fribourg et fille d’un haut fonctionnaire de l’UE (Clemens Ladenburger), était bénévole dans un centre pour migrants sur son temps libre, comme le relate Bild.

    [...] C’est un migrant afghan de 17 ans qui a rejoint l’Allemagne en 2015. « Comme c’est un mineur, il risque dix ans de prison au maximum », a précisé David Müller, le chef des enquêteurs.

    Une autre victime? Il existe plusieurs points communs troublants avec la disparition de Carolin G. (37). Son corps a été retrouvé le 10 novembre dernier dans un bois de Fribourg, à seulement 30 kilomètres de la rivière où a été découvert le corps sans vie de Maria Ladenburger. Elle a aussi été violée. [...]

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    La victime, Maria Ladenburger, était étudiante en médecine et était la fille d’un haut-fonctionnaire travaillant à la Commission Européenne.

    Maria aidait dans un centre de réfugiés sur son temps libre, mais on ne sait pas encore si elle connaissait son meurtrier présumé.

    The Sun (Traduction FDS)


    La famille a demandé des dons – qui iront aussi à une association qui soutient les réfugiés

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     Bild.de

  • JOURNAL TVLibertés DU O5/12/16

  • Emission spéciale TVL - Guerre d'Algérie: Les oublis de l'Histoire!

    Le 5 décembre à Paris s’est déroulée une manifestation patriotique intitulée “1 000 drapeaux pour 100 000 morts”, un hommage aux 75 000 Français de souche nord-africaine et aux 25 000 soldats français tués durant la guerre d’Algérie qui n’a pas pris fin à la date du 19 mars 1962. Pour prolonger les rassemblements et les cérémonies organisées partout en France, en partenariat avec le Secours de France, TV Libertés consacre une émission spéciale aux “oublis de l’Histoire”. Spécialistes, anciens combattants, historiens et responsables associatifs se succèdent pour nous faire revivre cette page de l’Histoire de France et rétablir la vérité. Les interventions des invités et les débats sont articulés autour d’un grand film documentaire “Le destin d’un capitaine”, portrait d’un officier SAS, emblématique de sa génération. Un document exceptionnel, récit d’une aventure humaine tout aussi exceptionnelle ! TV Libertés et le Secours de France vous proposent une émission spéciale pour rendre hommage aux combattants français, aux rapatriés et aux Harkis. Un événement à ne pas manquer.

  • Marion Maréchal-Le Pen sur BFM TV (05/12/16)

    http://www.frontnational.com/videos/marion-marechal-le-pen-sur-bfm-tv-13/

    4 VIDEOS  A VOIR ABSOLUMENT !

  • Autriche: juste une petite défaite de la démocratie

     

    Avec sa défaite du 4 décembre, le FPÖ n’a peut-être fait que reculer pour mieux sauter.

    Satiriste polémiste

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    Alors que les sondages donnaient au coude à coude le candidat écologiste Alexander Van der Bellen et le candidat de la droite populaire et conservatrice Norbert Hofer, nos impayables journalistes subventionnés titraient sur le risque du retour au pouvoir de l’extrême droite au pays natal d’Adolf Hitler. À en croire nos Tartuffe cathodiques, les élections de dimanche devaient départager le vert, couleur du candidat Van der Bellen, et le brun, couleur du parti nazi ; la couleur officielle du FPÖ étant le bleu, le procès pour crypto-nazisme était sans ambiguïté.

    Les premières réactions à l’annonce de la défaite de Norbert Hofer par 46,5 % des voix contre 53,5 % sont du même acabit. Citons, par exemple, le tweet de Christian Estrosi, saluant une victoire « des démocrates autrichiens » contre « l’extrême droite ». Gageons que cette arrogance du « camp du bien » ne fera que discréditer encore un peu plus les faiseurs d’opinion, car la réalité oblige à reconnaître que la victoire de Van der Bellen est juste une petite défaite de la démocratie.

    C’est une défaite de la démocratie car Alexander Van der Bellen avait obtenu son élection au second tour de l’élection présidentielle du mois de mai 2016 de façon malhonnête.

     La commission électorale qui a annulé le scrutin a, en effet, dénoncé un nombre très important d’irrégularités au moment du dépouillement, sans compter le recours étonnamment massif aux votes par correspondance, qui concernait à la fois les Autrichiens de l’étranger – pour l’essentiel des gagnants de la mondialisation -, mais aussi les maisons de retraite !

     

    Cette annulation, en elle-même, était une preuve de bonne vitalité de la démocratie autrichienne. Songeons à l’aveu de Roland Dumas, ancien président du Conseil constitutionnel, qui assura qu’il aurait dû annuler l’élection présidentielle de 1995 en raison des irrégularités des comptes de campagne de Jacques Chirac, mais qu’il ne l’a pas fait pour « sauver la République » ! Les institutions autrichiennes ont été plus respectueuses de la légalité ; dommage que la population ait fait preuve de tant de mansuétude à l’égard du fraudeur.

    C’est aussi une défaite de la démocratie dans la mesure où Van der Bellen représentait les intérêts de l’Union européenne et de l’hyperclasse mondialisée alliée à l’extrême gauche pro-migrants par antipatriotisme. Le candidat du FPÖ, en comparaison, était un candidat on ne peut plus modéré : un euroscepticisme raisonnable, une simple exigence de contrôle des frontières de Schengen, même pas de sortie de l’Union européenne ; un désir de rapprochement avec la Hongrie de Viktor Orbán et la Russie de Vladimir Poutine ; un programme économique plutôt libéral. Il n’y a rien, dans le programme du FPÖ, de très différent du programme de campagne de François Fillon !

    Norbert Hofer se voulait simplement le défenseur des intérêts de la classe moyenne autrichienne ; ceux qui se sont laissés impressionner par le procès en crypto-nazisme ont voté contre eux-mêmes et contre leurs descendants.

    Cette courte défaite n’est, cependant, qu’une toute petite défaite en termes d’enjeux, dès lors que le président de la République autrichienne a un rôle presque exclusivement honorifique. Même pour exercer son pouvoir de nomination des hauts fonctionnaires, il doit s’en tenir aux propositions du gouvernement. Quoique Van der Bellen ait assuré qu’il userait de sa fonction pour empêcher l’arrivée au pouvoir des populistes en cas de victoire aux législatives de 2018, son pouvoir de nuisance est, en réalité, très limité et son sectarisme pourrait faciliter la victoire du FPÖ lorsque le jeu en vaudra la chandelle. Avec sa défaite du 4 décembre, le FPÖ n’a peut-être fait que reculer pour mieux sauter.

    BV

  • IVG: Marine Le Pen recadre sa nièce

    La députée FN Marion Maréchal-Le Pen a jugé aujourd'hui qu'il fallait "revenir sur le remboursement intégral et illimité de l'avortement", des propos qui lui ont valu un recadrage immédiat de sa tante Marine Le Pen.

    » IVG : les 3 sites dans le viseur du gouvernement

    Interrogée par le quotidien d'extrême droite Présent sur les réponses qu'"apportera le programme présidentiel de Marine Le Pen", l'élue du Vaucluse estime qu'il "faudra soutenir financièrement les structures qui proposent d'accompagner les femmes isolées et hésitantes" et surtout "revenir sur le remboursement intégral et illimité de l'avortement car les femmes sont des êtres responsables qui doivent être traités comme tels". "Le périmètre de l'accès à l'IVG et son remboursement ne font pas partie de (son) programme", a aussitôt réagi Marine Le Pen, en rappelant que c'est elle la candidate du Front national à la présidentielle.

    En novembre 2015, Mme Le Pen avait déjà dû recadrer sa nièce quand elle avait exprimé, pendant sa campagne pour les élections régionales en Paca, sa volonté de supprimer les subventions des régions aux "associations politisées, dont les plannings familiaux", qui "véhiculent une banalisation de l'avortement". "Ce n'est pas dans les projets du Front national", avait aussitôt répliqué Marine Le Pen.

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    NdB: Triste, cette mésentente sur un sujet aussi grave...

  • LE ZAPPING

  • Matteo Renzi démissionne après l'écrasante victoire du «non» au référendum

     

    Avec 60% des suffrages et une participation avoisinant les 70%, le «non» l'a très largement emporté en Italie dimanche 4 décembre. Matteo Renzi, le chef du gouvernement, a annoncé sa démission suite à ce désaveux cuisant.

    Les Italiens ont rejeté massivement dimanche la réforme constitutionnelle portée par le chef du gouvernement Matteo Renzi, qui a annoncé sa démission. Il a par ailleurs salué «les partisans du non pour leur victoire nette» tout en remerciant «l'Italie qui s'est mobilisée et croit à la politique».

    Selon les premiers résultats partiels relayés par les médias italiens après le début du dépouillement : le «non» réaliserait un score situé autour de 60% contre 40% pour le «oui». Avec une participation très forte, aux alentours de 70%, c'est un très fort désaveux pour le Premier ministre Matteo Renzi.