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  • Allemagne : « Il faut montrer cette photo dans le journal ! », demande une vieille dame agressée

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    19 janvier 2017 par Pierrot

    « Le soleil était si beau, je voulais aller voir le jardin… » Hilde M., 80 ans, se promène dans la rue Graffstraße à Leipzig-Neulindenau [Saxe].

    C’est samedi après-midi, le 14 janvier 2017, il est 15 heures lorsqu’elle rencontre par hasard un homme : » Il était là à côté des poubelles. Un type méditerranéen avec une casquette. Je l’ai juste regardé une seconde. Je n’ai rien dit – mais soudain il s’est précipité sur moi et m’a frappé du poing en plein visage ! » Comme le rapporte le journal « Bild », la vieille dame couverte de sang s’est traînée en direction de la rue Lütznerstraße. Elle pensait à chaque instant : « Surtout ne pas tomber. » Elle a encore remarqué que l’étranger la suivait à quelques mètres de distance. Puis arrive un passant, il vient en aide à la vieille dame, l’étranger disparaît. Peu après, la vieille dame se retrouve couverte de sang dans le véhicule des secours, avec de très fortes douleurs et le visage enflé, ses lunettes en morceaux. Elle fait faire une photo . Tout le monde doit la voir : « Il faut la montrer dans le journal. »

    D’autres agressions contre des personnes âgées à Leipzig. […]


    Retrouvez cet article et l'info alternative sur : http://www.contre-info.com/ |

     

  • Italie : de nombreux morts dans un hôtel touché par une avalanche

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     L'établissement, situé à Farindola, dans le centre du pays, a été en partie submergé par la neige. 30 personnes y résidaient, deux ont pu être secourues.

    Une avalanche a frappé un hôtel italien mercredi soir dans une station de ski du centre du pays. La coulée de neige pourrait avoir fait de nombreux morts. «Entre les clients et le personnel de l'hôtel Rigopiano, près de 30 personnes manquent à l'appel», a déclaré Fabrizio Curcio, directeur de l'agence italienne de la Protection civile cité par des médias transalpins.

    Selon d'autres responsables, il est encore trop tôt pour avancer un bilan. «Nous ne savons pas combien il y a de morts ou de disparus», a indiqué de son côté sur sa page Facebook Antonio Di Marco, président de la province. «Ce qui est certain, c'est que le bâtiment a été directement frappé par l'avalanche, à tel point qu'il s'est déplacé sur une dizaine de mètres». L'agence de presse Ansa explique, que l'hôtel a été partiellement submergé par la neige et se serait en partie effondré.

    Deux personnes qui étaient à l'intérieur du bâtiment ont pu être secourues. L'une d'entre elles était en état d'hypothermie et a été transportée à l'hôpital par hélicoptère. «Je suis sain et sauf parce que j'étais sorti prendre quelque chose dans la voiture», a déclaré l'un des survivants, Giampiero Parate, à la télévision Rai. Enseveli par l'avalanche, cet homme de 38 ans a réussi à s'extraire et à gagner sa voiture, où les secours l'ont retrouvé et transporté à l'hôpital. Mais son épouse et leurs deux enfants étaient toujours sous les décombres.

    Le Figaro

     

  • Marion Maréchal Le Pen à Fougères. Les antifas appellent à « ruiner la campagne » du Front national

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    17/01/2017 – 08H15 Fougères (Breizh-info.com) –  Marion Le Pen donnera un meeting à Fougères ce vendredi 20 janvier. Pour les « antifas » et l’extrême gauche rennaise ce meeting marquera le début d’une opération visant à « ruiner la campagne » du Front national.

    Tout le monde a encore en tête les violents incidents ayant émaillé différents meetings du FN à Rennes ces dernières années, incidents provoqués par l’extrême gauche. Mais également la multiplication des dégradations visant les permanences du Front national, à Brest, à Vannes ou à Nantes.

  • « Bikers For Trump » : des dizaines de milliers de motards convergent vers Washington pour prévenir les manifestations anti-Trump lors de l’investiture

    http://lesobservateurs.ch/2017/01/17/bikers-for-trump-des-dizaines-de-milliers-de-motards-convergent-vers-washington-pour-prevenir-les-manifestations-anti-trump-lors-de-linvestiture/#comment-167292

    Vidéos !

  • Voulant en finir avec la honte du nazisme et de l'Holocauste, un cadre de l'AfD fait polémique

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    © Tobias Schwarz Source: Reuters

    Un responsable du parti populiste de droite AfD a suscité l'opprobre en Allemagne mercredi en déplorant l'existence à Berlin d'un mémorial «de la honte» rappelant l'Holocauste et en appelant le pays à cesser de se focaliser sur son passé nazi.

    La communauté juive et les dirigeants des partis politiques en Allemagne ont exprimé leur indignation suite aux remarques d'un haut dirigeant du parti allemand anti-immigration AfD, qui a suggéré que l'Allemagne devrait repenser sa politique de se souvenir des crimes nazis et du Mémorial de l'Holocauste à Berlin.

    Björn Hoecke, leader de l'AfD dans l'Etat fédéral de Thuringe, essaie maintenant de s'excuser en disant que ses paroles ont été mal interprétées.

    «Jusqu'à ce jour, notre état d'esprit est celui d'un peuple totalement vaincu [...] nous Allemands, notre peuple, est le seul peuple au monde qui a planté au cœur de sa capitale un monument de la honte», a dit Björn Höcke lors d'un événement partisan mardi soir, selon une vidéo mise en ligne, faisant référence au célèbre monument inauguré en centre-ville de Berlin en 2005.

    «Il nous faut rien de moins qu'un virage à 180° de notre politique de mémoire», a-t-il martelé, dénonçant qu'on enseigne une histoire «tournée en mal, en dérision» au lieu de se focaliser sur «les grands bienfaiteurs, les célèbres philosophes, les musiciens, les explorateurs et inventeurs géniaux».

    Ce responsable de l'AfD en Thüringe (est) a réclamé «une vision positive de (l')histoire» de l'Allemagne afin que le peuple allemand échappe à l'«autodissolution», et puisse pleurer «ses victimes» de la Seconde guerre mondiale, particulièrement celles tuées dans le «crime de guerre» qu'étaient les bombardements alliés.

    Ces propos ont été vivement dénoncés en Allemagne, à l'instar de la secrétaire générale du parti social-démocrate (SPD) Katarina Barley qui estime que Blörn Höcke «parle la langue du NSDAP», autre acronyme du parti nazi.

     

    «L'AfD montre avec ces mots des plus antisémites et inhumains son vrai visage [...] je n'aurais jamais cru que de telles déclarations d'un politique allemand étaient possibles 70 ans après l'Holocauste», a jugé le chef du Conseil central des juifs d'Allemagne, Josef Schuster.

    Le secrétaire général du Conseil de l'Europe Thorbjorn Jagland a lui dénoncé un vocabulaire «blessant et alarmant».

     

    Björn Höcke, un habitué des polémiques appartenant à la frange la plus radicale de l'AfD, s'est dit «étonné» sur Facebook de ces critiques, dénonçant «une interprétation malveillante» et proposant en échange sa propre lecture.

    «J'ai qualifié l'Holocauste, c'est-à-dire le génocide des Juifs par les Allemands, de honte pour notre peuple. Et j'ai dit que nous Allemands avons placé au cœur de Berlin un monument dédié à ce crime inconcevable», écrit-il.

    Pas de quoi convaincre Frauke Petry, figure de proue de l'AfD, qui a qualifié Björn Höcke de «fardeau pour le parti». Mais signe des tensions idéologiques, un autre responsable du mouvement, Alexander Gauland, a lui défendu son collègue.

    L'AfD a le vent en poupe en capitalisant notamment sur les craintes suscitées par l'arrivée de plus d'un million de demandeurs d'asile depuis 2015.

    Le parti espère entrer à la chambre des députés à l'occasion des législatives du 24 septembre prochain, ce qui serait une première pour un parti de ce type depuis 1945. Il veut priver la chancelière Angela Merkel de la majorité nécessaire pour obtenir un quatrième mandat.

    Cette polémique intervient alors que l'AfD avait déjà été secoué par des remous après la décision de Frauke Petry d'organiser une réunion de certaines droites radicales européennes à Coblence samedi 21 janvier, certains dirigeants du parti allemand s'opposant à la présence de la leader du Front national, Marine Le Pen.

    RT International

  • Trois quarts de musulmans et 5 % d’Européens dans les prisons, l’islam radical se généralise

     

    23h19

    Même si les prisons ne sont pas la filière privilégiée du recrutement djihadiste, l’islam radical s’y est généralisé. Face à cette menace, les personnels pénitentiaires sont handicapés par le manque de moyens et l’absence d’arsenal judiciaire approprié.

     

    « Dans les prisons parisiennes, il y a à peu près trois quarts de musulmans et seulement 5 % d’Européens. »

     

    Prières collectives illégales, apologie du terrorisme, prosélytisme omniprésent : le dernier ouvrage du sociologue Farhad Khosrokhavar dresse un portrait alarmant des prisons françaises, devenues l’un des théâtres de la propagation de l’islam radical en France. Il aura fallu des centaines de morts pour que, en haut lieu, on prenne le problème au sérieux. Reste à se demander si les moyens mis en œuvre sont à la hauteur des enjeux.

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    Que se passe-t-il vraiment à l’ombre des cellules, derrière les portiques de sécurité, dans le secret des parloirs, entre les yeux des miradors ? Nous avons interrogé surveillants, hauts fonctionnaires de la pénitentiaire, directeurs honoraires ou en fonction, experts et conseillers qui, tous, vivent ou ont vécu la prison au quotidien. Derrière les grilles, on ne parle pas. Aussi ont-ils tous tenu à être protégés par un strict anonymat, refusant d’être identifiés, fût-ce par de faux prénoms.

    Pour commencer, il faudrait connaître la véritable ampleur du problème. [...]« Lors du ramadan, 80 % des détenus des prisons franciliennes demandent des plateaux-repas compatibles avec leurs impératifs religieux ».

     

    L’une de ses collègues confirme : «Le Coran est, avec le Code de procédure pénale, l’ouvrage le plus emprunté dans les prisons.»

     

    Pour autant, tous deux rejettent toute corrélation systématique entre prison et radicalisation. « Il est ridicule de jeter la pierre à la seule pénitentiaire. Avant d’atterrir chez nous, ils ont fréquenté des terreaux infiniment plus favorables à la radicalisation. Il peut exister un phénomène de contagion, mais la prison est loin d’être un élément déclencheur. » [...]

    Causeur

  • Manuel Valls: la gifle

    http://giphy.com/gifs/valls-vallsgifle-26xBwIkXnEqOxj4Os?utm_source=iframe&utm_medium=embed&utm_campaign=tag_click

    Contre-info.com

  • Grammaire: "Le prédicat est une erreur fondamentale"

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    Par Marie-Estelle Pech
    Mis à jour le 18/01/2017 à 19h52 | Publié le 18/01/2017 à 18h52

    INTERVIEW - Pour le linguiste français Alain Bentolila, derrière cette notion grammaticale « se cache une idéologie épouvantable ».

    Alain Bentolila est un linguiste français, professeur à l'université Paris Descartes. Il a participé à l'écriture des programmes scolaires en 2008.

    LE FIGARO. - Que pensez-vous de cette querelle autour de la notion de «prédicat»?

    Alain BENTOLILA. - L'introduction du prédicat dans les petites classes n'a aucun sens. Le prédicat est une notion de théorie classique aristotélicienne. J'enseigne cette notion à mes étudiants de master 2. L'homme est le seul animal vivant à «dire des choses à propos de». Voilà ce qu'est le prédicat. Votre pensée prend le pouvoir sur votre perception comme lorsque vous dites «le chou a mangé la chèvre» ou «la terre est bleue comme une orange». Avec le prédicat, vous entrez dans la poésie, l'image. C'est une notion philosophique formidable pour mes étudiants mais, pour des enfants, ça n'a aucun intérêt. C'est une erreur fondamentale. La grammaire met en scène ce que vous voulez dire pour l'autre. On doit commencer par décrypter la mise en scène. Le prédicat est une «notion plus globale», nous affirme Michel Lussault, le président du Conseil supérieur des programmes. Il est géographe et ne comprend visiblement pas pourquoi c'est une aberration de repousser l'apprentissage du complément d'objet direct et du complément circonstanciel, lesquels permettent à l'enfant de comprendre ce qu'il lit. Pourtant dans la phrase: «Je construis une maison avec des briques et du ciment», ce qui importe à l'enfant c'est de savoir que la maison est un objet sur lequel on agit, que les briques et le ciment sont des compléments de moyen ou d'accompagnement. Vous allez situer votre action dans le temps et lui donner du sens. C'est très concret, la grammaire.

    «J‘avais dit à Michel Lussault, le président du Conseil supérieur des programmes, de ne pas céder à cette mode imbécile qui donne la priorité à la nomenclature sur le sens»

    Alain Bentolila

    En 2008, vous vous étiez élevé, dans un rapport rendu au ministre de l'Éducation Xavier Darcos, contre un abus de jargon en grammaire.

    Derrière un terme comme le prédicat se cache une idéologie épouvantable dont les enfants défavorisés sont les premières victimes. Pourtant j'avais prévenu Michel Lussault. Najat Vallaud-Belkacem m'avait demandé de le rencontrer. Je lui avais dit de ne pas céder à cette mode imbécile qui donne la priorité à la nomenclature sur le sens. Tout cela vient de la grammaire générative américaine du linguiste Noam Chomsky, très influent à partir des années 1970. Ce dernier pensait que le cerveau était programmé pour le langage et que l'enfant retrouverait tout seul la logique des phrases (sujet, prédicat) qu'il a naturellement dans sa tête. Ce n'est pas faux. Une part de l'apprentissage se fait par imprégnation. Mais au nom de cet universalisme, on a balayé une partie de la grammaire traditionnelle. L'université française a voulu rompre avec le structuralisme pour avoir une grammaire qui avait un aspect très rigoureux. Mais on était à mille lieues de ce qu'est l'apprentissage d'une langue.

    «Le drame, c'est qu'à force de changements, on a déboussolé les enseignants qui ont fini par ne plus faire de grammaire»

    Alain Bentolila

    Vous fustigez particulièrement la «grammaire de texte» introduite dans les programmes des années 1990…

    Les élèves se sont mis à étudier la grammaire au fil des textes, sans logique, par imprégnation, sans progression. Si vous avez un texte avec une proposition relative avant d'étudier les phrases simples, tant pis! Cette linguistique sous influence américaine a fait dévier la grammaire de ses rails. Cette grammaire de texte a quasi disparu avec les programmes de 2008. Les programmes de 2015 sont un peu retombés dans l'ornière. Ils n'assoient pas assez la compréhension des élèves. On a tendance à mettre l'élève au centre des apprentissages alors que la vérité est entre les deux. Il faut qu'il découvre par lui-même, certes, mais il faut aussi le guider.

    Quelles sont les solutions?

    Le drame, c'est qu'à force de changements, on a déboussolé les enseignants qui ont fini par ne plus faire de grammaire. La formation des maîtres est une catastrophe absolue. Je commencerai par retirer ces formations des universités lesquelles ne connaissent que très peu de choses en matière des besoins d'apprentissage des enfants.

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 19/01/2017. Accédez à sa version PDF en cliquant ici

  • VIDEO - Xavier Raufer: "Malheureusement Juvisy-sur-Orge est tout sauf une exception"


    Xavier Raufer : "Malheureusement, Juvisy-sur... par bvoltaire

    Excellent!

    BV