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  • VIDEO - Un canard sauvage défie un tigre de Sumatra !

    (regarder en plein écran)

    Coup de folie ou goût du risque ? Un canard sauvage est entré dans la petite piscine de l'enclos de Jalur, un tigre mâle de Sumatra, pesant 126 kg, au parc animalier Symbio d'Helensburgh, à 45 km de Sydney (Australie). La vidéo a été postée sur Facebook par les employés du zoo, mercredi 18 janvier.

    Dix minutes de jeu du chat et de la souris

    Le jeu semble beaucoup plus amusant pour le canard que pour le tigre, explique le zoo Symbio sur sa page YouTube. A chaque fois que le tigre s'approche, le canard plonge pour lui échapper, avant de réapparaître un peu plus loin. Au bout de dix minutes, Jalur a fini par renoncer, frustré, et est parti se reposer à l'ombre des arbres. Le canard, lui, a tranquillement passé le reste de l'après-midi à se rafraîchir dans la piscine.

  • Brigitte Bardot : «Pour redonner de l’éclat au pays, il faudrait un régime autoritaire»

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    Née le 28 septembre 1934 à Paris

    © Philippe Wojazer Source: Reuters
    Brigitte Bardot

    L'ex-actrice a donné un entretien dans lequel elle affirme que «trente ans de laxisme» ont fait perdre au pays «la majesté qu’il avait». Partisane d'un retour des frontières, elle souhaite l’arrivée du FN pour «reprendre la France en main».

    Brigitte Bardot n'a pas sa langue dans sa poche. Elle l'a encore prouvé lors d'une interview donnée au Figaro dans laquelle elle dépeint la situation sociale de la France en pleine décrépitude.

     

    «C’est lamentable ! Nous vivons dans une période où tout est vulgaire, ordinaire et médiocre. La France n’a plus le rayonnement, la majesté qu’elle avait. Aujourd’hui, le pays est à l’image de ceux qui le dirigent», a estimé la star de cinéma. «Pour redonner de l’éclat au pays [...] Il faudrait mettre en place un régime autoritaire», a-t-elle assuré.

    Interrogée sur Marine le Pen, Brigitte Bardot a salué sa «volonté de reprendre la France en main», de remettre des frontières et de redonner la priorité aux Français». «Je suis contre le vivre ensemble, mais je ne suis pas facho, pas plus que Marine Le Pen», a-t-elle déclaré. 

    RT

  • Jackie Evancho, 16 ans, chante l'hymne national américain pour l'investiture de Donald Trump

    Ex-finaliste d'un télé-crochet américain, la jeune fille âgée de 16 ans a chanté à Washington ce 20 janvier, pour célébrer l'arrivée au pouvoir du président élu des États-Unis.

  • «Le carnage américain s'arrête ici» : le discours intégral de Donald Trump

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    >International|Th.B.|20 janvier 2017, 19h02 | MAJ : 21 janvier 2017, 0h06|14

    Donald Trump lors de son discours d'investiture, vendredi, à Washington.

     
     
    Th.B.
     
    InternationalDonald TrumpInvestitureWashingtonDiscoursEtats-Unis
     

    Anti-élites, anti-déclin et combatif. Le discours d'investiture de Donald Trump devant le Capitole a duré une quinzaine de minutes. Le voici en intégralité.

    Le nouveau président des Etats-Unis Donald Trump s'est engagé vendredi, sur les marches du Capitole, lors de son discours d'investiture, à ce que sa présidence montre la voie pour l'Amérique et pour le monde «pour des années». «A compter de ce jour, une nouvelle vision va gouverner notre pays. A compter de ce jour, ce sera l'Amérique d'abord», a lancé le 45e président des Etats-Unis. «Nous allons suivre deux règles simples : acheter américain, embaucher américain».

     

    Dans un discours politique combatif d'une quinzaine de minutes, juste après avoir prêté serment sur la Bible, le 45e président des Etats-Unis a également promis de «renforcer les vieilles alliances et d'en forger de nouvelles», tout en déplorant que depuis des années l'Amérique ait «subventionné les armées d'autres pays», sans dire à quels Etats étrangers il faisait référence. Il a également promis «d'unifier le monde civilisé contre le terrorisme islamique radical, que nous allons éradiquer complètement de la surface de la Terre», sous les applaudissements.

       

    Dénonçant les élites, promettant de ramener l'emploi aux Etats-Unis, les usines et des équipements publics de qualité, Donald Trump a déclaré : «Ce carnage américain s'arrête ici et maintenant».

     

    VIDEO. Le discours d'investiture en intégralité de Donald Trump (par France24)

     

     

    Le texte intégral du discours de Donald Trump

     

    «Juge en Chef Roberts, Président Carter, Président Clinton, Président Bush, Président Obama, mes concitoyens américains et peuples du monde : merci.

    Nous, citoyens d'Amérique, sommes maintenant unis dans un grand effort national pour reconstruire notre pays et pour restaurer ses promesses à l'égard de tout notre peuple.

    Ensemble nous déterminerons la voie pour l'Amérique et pour le monde pour des années.

    Nous ferons face à des défis. Nous serons confrontés à des épreuves. Mais nous finirons le travail.

     

    Barack et Michelle Obama ont été magnifiques

     

    Tous les quatre ans, nous nous rassemblons sur ces marches pour procéder dans l'ordre et la paix à ce transfert de pouvoir et nous sommes reconnaissants au président Obama et et à la Première Dame Michelle Obama pour leur aide courtoise pendant la transition. Ils ont été magnifiques.

    La cérémonie d'aujourd'hui cependant a une signification très particulière. Parce qu'aujourd'hui non seulement nous transférons le pouvoir d'une administration à une autre ou d'un parti à un autre, mais nous transférons le pouvoir de la capitale Washington et le donnons à nouveau à vous, le peuple Américain.

    Pendant trop longtemps, un petit groupe dans notre capitale a récolté les avantages du gouvernement tandis que le peuple en a assumé le coût.

    Washington a prospéré mais le peuple n'a pas eu de part de cette richesse.

    Les politiciens ont prospéré mais les emplois se sont taris et les usines ont fermé.

    L'establishment s'est protégé lui-même mais n'a pas protégé les citoyens de notre pays.

    Leurs victoires n'ont pas été les vôtres; leurs triomphes n'ont pas été les vôtres; et pendant qu'ils festoyaient dans la capitale, il n'y avait guère à célébrer pour les familles démunies dans tout le pays.

    Tout cela va changer, ici et à partir de maintenant parce que ce moment est le vôtre: il vous appartient. Il appartient à tous ceux réunis ici aujourd'hui et à tous ceux qui regardent à travers l'Amérique.

    Cette journée vous appartient. C'est votre célébration.

    Et cela, les Etats-Unis d'Amérique, c'est votre pays.

    Ce qui importe vraiment ce n'est pas quel parti contrôle notre gouvernement mais si notre gouvernement est contrôlé par le peuple.

     

    Le jour où le peuple dirige à nouveau la nation

    Le 20 janvier 2017 restera dans les mémoires comme le jour où le peuple dirige à nouveau la nation.

    Les hommes et femmes oubliés de notre pays ne seront plus oubliés. Tout le monde vous écoute maintenant.

    Vous êtes venus par dizaines de millions faire partie d'un mouvement historique, tel que le monde n'en a jamais vu.

    Au coeur de ce mouvement, réside une conviction fondamentale: celle qu'une nation existe pour servir ses citoyens.

    Les Américains veulent de bonnes écoles pour leurs enfants, des quartiers sûrs pour leurs familles et de bons emplois pour eux-mêmes.

    Ce sont des revendications légitimes et raisonnables pour un public juste.

    Mais pour trop de nos concitoyens, une réalité différente existe: mères et enfants sont piégés dans la pauvreté de nos quartiers défavorisés; des usines délabrées sont essaimées comme des pierres tombales dans le paysage de notre nation; un système éducatif, plein d'argent, mais qui laisse nos jeunes et beaux étudiants privés de savoir; et le crime, les gangs et la drogue qui ont volé tant de vies et spolié notre pays de tant de potentiel non-réalisé.

    Ce carnage américain s'arrête ici et maintenant.

    Nous sommes une nation et la douleur des autres est la nôtre. Leurs rêves sont nos rêves; et leur succès seront notre succès. Nous partageons un coeur, une patrie et un glorieux destin.

    Le serment de fonction que je viens de prononcer est un serment d'allégeance envers tous les Américains.

     

    Nous avons enrichi l'industrie étrangère

    Pendant des décennies, nous avons enrichi l'industrie étrangère aux dépens de l'industrie américaine; subventionné les armées d'autres pays tout en permettant le très triste appauvrissement de notre armée; nous avons défendu les frontières d'une autre nation tout en refusant de défendre les nôtres; et dépensé des milliards de milliards de dollars à l'étranger pendant que les infrastructures de l'Amérique se sont délabrées et abimées.

    Nous avons rendu d'autres pays riches alors que l'abondance, la force et la confiance de notre pays ont disparu de l'horizon.

    Une par une, les usines ont fermé leurs portes et quitté nos rives sans même une pensée pour les millions et millions de travailleurs américains laissés sur le carreau.

    La classe moyenne a été privée de son patrimoine qui a été distribué à travers le monde.

    Mais cela appartient au passé. Et maintenant, nous ne regardons que l'avenir.

    Nous nous sommes retrouvés aujourd'hui et nous décrétons, pour être entendus dans chaque ville, chaque capitale étrangère et dans chaque lieu de pouvoir, qu'à compter d'aujourd'hui une nouvelle vision prévaudra dans notre pays: ce sera l'Amérique d'abord et seulement l'Amérique. L'Amérique d'abord.

    Chaque décision sur le commerce, les impôts, l'immigration, les affaires étrangères sera prise pour le bénéfice des familles et des travailleurs américains.

    Nous devons protéger nos frontières des ravages des autres pays fabriquant nos produits, spoliant nos entreprises et détruisant nos emplois. La protection conduira à une grande force et prospérité.

    Je combattrai pour vous de toutes mes forces et je ne vous laisserai jamais tomber.

    L'Amérique va recommencer à gagner, à gagner comme jamais auparavant.

    Nous ramènerons nos emplois. Nous reconstruirons nos frontières. Nous regagnerons notre prospérité. Et nous retrouverons nos rêves.

    Nous construirons de nouvelles routes, autoroutes, ponts, aéroports, tunnels et voies ferrées à travers notre merveilleux pays.

    Nous extrairons notre peuple de l'aide sociale pour le mettre au travail, rebâtissant notre pays avec des bras américains et du labeur américain.

    Nous allons suivre deux règles simples: acheter américain et embaucher américain.

    Nous rechercherons l'amitié et la bonne volonté des autres nations du monde mais nous le ferons avec l'idée que c'est le droit de tout pays de mettre ses propres intérêts en avant.

    Nous ne cherchons pas à imposer notre mode de vie mais plutôt à le rendre éclatant comme un exemple à suivre.

    Nous allons éradiquer l'islamisme radical

    Nous renforcerons nos vieilles alliances et en forgerons de nouvelles et unirons le monde civilisé contre le terrorisme islamique radical, que nous allons éradiquer complètement de la surface de la Terre.

    Le fondement de notre politique sera une totale allégeance aux Etats-Unis d'Amérique et grâce à notre loyauté au pays, nous redécouvrirons la loyauté envers les uns les autres.

    Quand vous ouvrez votre coeur au patriotisme, il n'y a plus de place pour les préjugés.

    La Bible nous le dit "qu'il est bon de vivre quand le peuple de Dieu vit ensemble dans l'unité".

    Nous devons nous exprimer franchement, discuter nos désaccords honnêtement mais toujours rechercher la solidarité.

    Quand l'Amérique est unie, on ne peut absolument pas l'arrêter.

    On ne doit pas avoir peur, nous sommes protégés, et nous serons toujours protégés.

    Nous serons protégés par les grands hommes et femmes de notre armée et de nos forces de sécurité, et surtout, nous sommes protégés par Dieu.

    Enfin, nous devons voir grand et rêver encore plus grand.

    En Amérique, nous comprenons qu'une nation n'est vivante que dans l'effort.

    Nous n'accepterons plus des hommes politiques qui parlent et n'agissent pas, tout le temps en train de se plaindre sans jamais rien faire.

    Le temps des paroles creuses est fini

    Le temps des paroles creuses est fini. Maintenant, c'est l'heure de l'action.

    Ne laissez personne vous dire que cela ne peut pas être fait. Aucun défi n'est assez grand pour le coeur, la combativité et l'esprit de l'Amérique.

    Nous n'échouerons pas. Notre pays va être florissant et prospérer à nouveau.

    Nous sommes à l'orée d'un nouveau millénaire, prêt à dévoiler les mystères de l'espace, à libérer la terre des fléaux et à exploiter les énergies, les industries et technologies de demain.

    Une nouvelle fierté nationale va animer nos âmes, élever nos regards et guérir nos divisions. Il est temps de se remémorer ce vieux dicton que nos soldats n'oublieront jamais: que l'on soit noir, métis ou blanc, le même sang patriote court dans nos veines, nous jouissons tous des mêmes libertés et nous saluons tous le même grand drapeau américain.

    Et qu'un enfant soit né dans la banlieue de Detroit ou dans les plaines balayées par les vents du Nebraska, ils regardent tous le même ciel la nuit, leur coeur est plein des mêmes rêves et ils sont habités du même souffle de vie du Créateur tout-puissant.

    Ainsi, à tous les Américains, dans chaque ville, qu'elle soit proche ou lointaine, petite ou grande, d'une montagne à l'autre, d'un océan à l'autre, entendez ces mots: vous ne serez plus jamais ignorés.

    Votre voix, vos espoirs, et vos rêves vont définir notre destinée américaine. Et vos courage, bienveillance et affection nous guiderons tout au long du chemin.

    Ensemble nous allons rendre à l'Amérique sa force. Nous allons rendre à l'Amérique sa prospérité. Nous allons rendre à l'Amérique sa fierté. Nous allons rendre à l'Amérique sa sécurité. Et oui, ensemble, nous allons rendre à l'Amérique sa grandeur.

    Merci, Dieu vous bénisse et que Dieu bénisse l'Amérique.»

     

    LE PARISIEN

     

  • Marine Le Pen: "Nous sommes majoritaires en Europe"

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    Par Emmanuel Galiero
    Mis à jour le 20/01/2017 à 18h10 | Publié le 20/01/2017 à 18h00

    INTERVIEW - La présidente du Front national se rend pour la première fois en Allemagne, samedi. En s'affichant avec son homologue du parti populiste AfD, la candidate veut poser les bases d'une Europe des souverainetés et d'une nouvelle vision du couple franco-allemand.

    LE FIGARO. - Quel sens voulez-vous donner à votre discours de Coblence?

    MARINE LE PEN. - Nous sommes dans un monde en train de changer à vitesse grand V. Aujourd'hui, nous ne sommes plus présentés comme un courant de pensée isolé. En réalité, nous sommes majoritaires en Europe. La seule isolée est Mme Merkel et tous ceux qui persistent à défendre sa politique. Les récentes déclarations de M. Trump en sont une révélation supplémentaire (le nouveau président américain a dénoncé la politique de la chancelière concernant l'accueil des migrants, ndlr).

    Pourquoi croyez-vous à une recomposition politique européenne?

    Nous sommes en train de vivre la grande histoire du retour des nations. Cela est éminemment enthousiasmant et tout à fait fondamental pour la survie de nos pays, tels que nous les connaissons.

    Quel peut être l'impact réel de cet affichage européen sur votre campagne présidentielle?

    Evidemment, cela va porter. Avec ce renversement des alliances, toute la question de la négociation avec l'Union européenne va se poser.

    Vos alliances européennes ne sont-elles pas fragilisées par des visions divergentes sur certains sujets comme le Brexit ou la monnaie unique? Votre homologue du FPÖ autrichien brillera par son absence à Coblence....

    Cela est une totale invention. Les seules individualités ayant émis des contestations à l'AfD ont rejoint un autre groupe à Berlin. Quant à Heinz-Christian Strache, le président du FPÖ (le parti d'extrême droite autrichien), avec lequel je me suis entretenue, il est absent à Coblence pour cause de déplacement à l'étranger mais son secrétaire général, Haral Vilimsky est bien là et il n'y a aucune remise en cause de quoi que ce soit.

    Mais les divergences sur les solutions ne sont-elles pas réelles?

    Chacun fait ce qu'il veut. Il faut comprendre que nous ne sommes pas en Union soviétique et que notre objectif n'est pas de mettre en place un système avec une souveraineté limitée. Nous sommes pleinement pour la souveraineté. Que nous puissions avoir des visions différentes sur les besoins de nos économies respectives, compte tenu de l'identité de nos pays, cela est totalement normal. Et nous avons pleinement intégré cette donnée dans nos relations. J'ajoute qu'il est parfaitement compréhensible que l'Autriche, située dans la zone mark, subisse moins que la France les conséquences de l'euro. Mais ce qui nous lie est l'idée que chacun doit être capable de pouvoir décider pour lui-même.

    N'êtes-vous pas dans l'obligation de trouver des accords préalables, par exemple sur l'euro, pour faire émerger les solutions que vous proposez?

    Pas du tout. Il n'y a pas d'accord à trouver. Soit l'Union européenne nous rend notre souveraineté, soit nous ferons voter la sortie de l'UE par le peuple. Cette ligne n'a pas bougé. Nous la défendons depuis cinq ans. Les Autrichiens admettent parfaitement que nous puissions déterminer ce qui est le mieux pour nous. Et nous de même.

    L'une des images prévues à Coblence est votre présence à côté de Frauke Petry, présidente du parti AfD. Quel est le message que vous souhaitez véhiculer?

    Les patriotes européens s'organisent pour restituer à leur pays, leur liberté. Cette grande alliance, qui était encore inenvisageable il y a quelques années, avance de belle façon. Nous venons de récupérer un député européen italien du Mouvement cinq étoiles (Marco Zanni a rejoint le groupe ENL le 11 janvier, ndlr). Et Frauke Petry a un bel avenir devant elle.

    Le Figaro