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  • Lyon : ouverture d’une salle de boxe identitaire

     

     

    22/01/2017 – LYON (NOVOpress) : Le vendredi 27 janvier ouvrira officiellement à Lyon la première salle de sport identitaire de France : l’Agogé. Réservée aux patriotes de tous âges, elle propose à ses adhérents 4 cours de boxe par semaine dont une séance féminine, mais aussi des séances de musculation, de cross-fit et des stages d’auto-défense encadrés par des professionnels.

    L’ouverture de ce nouvel espace sportif de 90m2 s’inscrit dans le cadre du développement de la maison de l’identité « La Traboule » présente depuis déjà 7 ans dans le Vieux-Lyon.

    Répondant à une demande de plus en plus importante des Lyonnais en matière d’auto-défense, dans un contexte d’insécurité généralisée qui n’épargne pas Lyon, l’Agogé permettra à tous de se former physiquement dans des conditions optimales avec un tarif attractif adapté aux jeunes dont profitent déjà ses 70 adhérents.

    Avec l’aboutissement de ce projet, Génération Identitaire Lyon​ anime désormais plus 180 m2 de locaux enracinés au cœur de la ville, offrant en plus de l’action politique, un espace de conférence, une structure sportive de qualité et s’impose comme le premier mouvement de jeunesse de la région.

    Pour toute demande de renseignements : contact@traboule-lyon.fr

  • Trump fait supprimer du site de la Maison Blanche les pages dédiées aux LGBT et au réchauffement climatique

     

    14h01

    « Donald Trump veut du changement, même sur le site internet de la Maison Blanche. Certaines pages ont d’ailleurs été supprimées, notamment celles dédiées aux droits LGBT créées sous la présidence Obama. Même sort pour les références au réchauffement climatique ».

  • Notre mémoire - 21 janvier 1793: assassinat de Louis XVI, roi de France

    21 janvier : anniversaire du régicide (récit + testament) 21 janvier 2017 par admin4

    Vu chez Thibaut de Chassey : Le 21 janvier 1793, la racaille révolutionnaire, ivre de haine et de rage, assassinait le roi de France, Louis XVI, âgé de 38 ans. Cet acte sauvage recelait une grande force symbolique : en décapitant celui qui était le père de la nation organique et le sommet de l’Etat monarchique, c’était l’ordre ancien qui était abolit, en profondeur, au profit d’une contre-civilisation qui allait s’instaurer progressivement et inexorablement et dont nous connaissons aujourd’hui une certaine étape. Pour l’anecdote, et contrairement à ce que laissait espérer l’innovation technique que constituait la guillotine, l’exécution du roi martyr fut particulièrement horrible.

    Revenons donc à ce triste épisode, au cœur des heures les plus sombres de notre histoire. Craignant un ultime rebondissement si le roi faisait un discours devant la foule, le commandant de la garde nationale donna l’ordre de faire jouer tous les tambours au pied de l’échafaud, qui était d’ailleurs fortement protégé. Sur la dernière marche cependant, le roi fit un signe impérieux aux tambours qui, surpris, cessèrent de battre, et cria d’une voix tonnante : « je meurs innocent de tous les crimes qu’on m’impute. Je pardonne aux auteurs de ma mort, et je prie Dieu que le sang que vous allez répandre ne retombe jamais sur la France. Et vous, peuple infortuné… » Déjà, des ordres étaient donnés et les tambours reprenaient. Un journaliste de l’époque écrivit : « est-ce bien le même homme que je vois bousculé par quatre valets de bourreau, déshabillé de force, dont le tambour étouffe la voix, garrotté à une planche, se débattant encore, et recevant si mal le coup de la guillotine qu’il n’eut pas le col mais l’occiput et la mâchoire horriblement coupés ? » D’après certains témoignages, il fallut s’y reprendre à deux fois pour trancher la tête, tandis que d’autres affirment que le bourreau dut appuyer de tout son poids sur la lame qui avait à peine entamé le crâne – au lieu du cou – afin de détacher la tête…

    Le prêtre présent raconta qu’ensuite « le plus jeune des gardes, qui semblait avoir dix-huit ans, saisit immédiatement la tête, et la montra à la populace en faisant le tour de l’échafaud ; il accompagna cette monstrueuse cérémonie des gestes les plus atroces et les plus indécents ». Certains spectateurs se barbouillèrent le visage du sang du malheureux. On notera avec inquiétude que l’idéologie républicaine, contre-nature et forgée dans le sang de très nombreux Français, connaît aujourd’hui un regain de popularité dans la « mouvance nationale », même si certaines structures comme le Renouveau français y ferraillent inlassablement contre la doctrine mortifère issue des Loges.

    Ci-dessous, le beau testament de Louis XVI, rédigé le 25 décembre 1792, envoyé à la Commune de Paris le 21 janvier 1793 : Lire la suite
    Retrouvez cet article et l'info alternative sur : http://www.contre-info.com/ |

  • Les manifestants anti-Trump sont payés par Soros

    http://www.fdesouche.com/813105-les-manifestants-anti-trump-sont-payes-par-soros-evelyne-joslain-specialiste-des-etats-unis

    NdB: On finit par croire que tout le monde le sait, mais non: il faut le dire et le redire, jusqu'à ce que l'on ne rencontre plus de regards sceptiques!

  • La question allemande et l’islam – par Guillaume Faye

     

    21/01/2017 – FRANCE (NOVOpress avec Guillaume Faye)

    Pour la première fois, l’Allemagne a été frappée par un attentat musulman d’envergure revendiqué par Dae’ch, le 19 décembre 2016, dans le symbolique marché de Noël de Berlin, après une série de moindres attaques annonciatrices. Le terme ”musulman” est préférable à ”islamiste”, car ce dernier vocable suggère qu’il ne s’agit pas de l’islam mais de sa déformation extrémiste. Ce qui est faux : l’islamisme et toutes ses exactions, dont le terrorisme, sont le produit du véritable islam, parfaitement conforme au Coran, livre de chevet de tous les djihadistes. Cet attentat est la conséquence de la politique d’encouragement de l’invasion migratoire de son pays – et des voisins européens– de la très perverse chancelière Angela Merkel, folle vêtue de la robe des sages. Le nouveau Président Trump a parfaitement compris la nocivité de la Chancelière.

    Face à l’agression, la réponse bisounours

    Et comme toujours, à cet attentat de Berlin, on a réagi avec des larmes, des bougies, des bouquets de fleurs, des pleurs, des pardons. Les Allemands sont aussi affaiblis que les Français, voire plus. On exprime la ”tristesse”, pas la colère. On donne de soi une image de défaite, de déréliction et donc de soumission, catastrophique.

    Les viols et agressions sexuelles de masse commis à Cologne par des Maghrébins (faux réfugies et vrais envahisseurs) pour le nouvel an 2015 contre des Allemandes de souche n’ont pas tellement fait réagir l’opinion allemande (sauf une minorité diabolisée comme politiquement incorrecte), totalement abrutie par la propagande du système. Ces faits participent du début de la guerre civile ethnique qui menace l’Europe.

    Après l’attentat de Berlin ; Angela Merkel s’est dite « très fière du calme avec lequel un grand nombre de personnes ont réagi à la situation ». Ce ”calme” n’est que de l’apathie et de la soumission. Et Angela Merkel est objectivement complice – organisatrice plutôt – du processus d’invasion migratoire et donc de tous les maux que cela provoque, dont la criminalité et le terrorisme. Le cynisme froid de cette femme de tête obéit à une logique, non pas en fait la plus nuisible des dirigeants politiques européens depuis 1945. Et, malheureusement, la plus influente, du fait du rabaissement tragi-comique du partenaire français – entièrement de sa faute, l’Allemagne n’étant pour rien ans les clowneries de François Hollande.

    En Allemagne, 168.000 clandestins déboutés du droit d’asile restent en attente d’expulsion. Ils ne risquent pas grand–chose, tout comme en France et ailleurs en Europe. Les agressions sexuelles massives du nouvel ans 2015 à Cologne par de faux réfugiés maghrébins (voir plus haut) ont été réfutées dans leur réalité par l’idéologie antiraciste du déni, dont Mme Merkel est la gardienne, elle qui a invité et fait entrer plus d’un million d’envahisseurs, appelés ”migrants”, et qui continuera à le faire si elle est réélue. Une partie de l’opinion publique allemande, abrutie et infantilisée, appelle la chancelière Mutti (”maman”), comme si elle était une protectrice du peuple allemand ; alors qu’elle en est une destructrice.

    L’Allemagne, malade et masochiste

    En pleine forme économique (provisoire), l’Allemagne meurt néanmoins à petit feu, pour d’implacables raisons démographiques. Elle vit son chant du cygne, sa dernière illusion. De moins en moins de jeunes Allemand(e)s de souche naissent et se reproduisent. Le pays doit aller chercher sa main d’œuvre ailleurs. Un peuple qui vieillit est comme un capital qui s’épuise. Si rien ne change, dans deux générations, le peuple allemand aura disparu sous le double choc de la dénatalité et de l’invasion migratoire. C’est plié. Même la langue allemande deviendra doucement une langue morte. La dégermanisation de l’Allemagne est entamée.

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  • Donald Trump signe son premier décret présidentiel sur l'Obamacare

    À peine investi, le nouveau président des États-Unis a marqué sa rupture avec l'ancienne administration en signant un décret contre le système de santé «Obamacare». Cette réforme, qu'il a promis d'abroger, est un symbole des années Obama.

    Donald Trump, nouveau président des États-Unis, a signé vendredi un premier décret contre l'emblématique loi «Obamacare» de son prédécesseur, engageant la politique de rupture présentée plus tôt au monde dans un discours aux accents populistes et nationalistes. Le texte, signé peu après la fin de la parade militaire inaugurale, demande aux services gouvernementaux de «lever, reporter, décaler l'application ou octroyer des exemptions» pour les dispositions de l'Affordable Care Act imposant des contraintes fiscales aux États, sociétés ou personnes.

    L'abrogation et le remplacement de l'Affordable Care Act, réforme emblématique de l'assurance maladie de Barack Obama qui a fourni une couverture santé à 20 millions de personnes, est l'une des promesses clés de la campagne de Trump. Le décret demande aussi aux agences d'accorder plus de flexibilité aux États dans la mise en œuvre des programmes d'assurance santé en développant «un marché libre et ouvert dans le cadre d'un commerce inter-États pour offrir des services de santé et d'assurance santé».

    Les experts anticipent en particulier un assouplissement de l'obligation individuelle d'être assuré mise en œuvre par Obama, ou de l'obligation de fournir une assurance-santé pour les entreprises de plus de 50 employés. Une réduction de la couverture maladie en matière de maternité ou de maladies mentales est également attendue. La Maison blanche n'a pas fourni davantage de précision sur le contenu de ce premier décret présidentiel.

    »Donald Trump promet de placer «l'Amérique d'abord»

    Deux ministres confirmés

    Les élus républicains au Congrès n'ont pas encore publié de plan concret pour succéder à la loi votée en 2010 et entrée en vigueur le 1er janvier 2014, dont ils dénoncent notamment l'effet sur les primes d'assurance et les franchises, en hausse. Lors d'une cérémonie organisée à la hâte, Trump s'est assis vendredi soir au bureau présidentiel, le Resolute desk, et a signé le décret entouré de ses plus proches conseillers.

    Il a également certifié la nomination de l'ex-général James Mattis au secrétariat à la Défense et celle de l'ancien général John Kelly à la Sécurité intérieure, peu après la confirmation apportée par le Sénat vendredi. Les deux hommes ont été investis par le vice-président Mike Pence lors d'une cérémonie distincte.

    LE FIGARO

  • Un peu de bonheur!

  • Donald et Melania Trump ouvrent le bal !

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    Washington (Etats-Unis), vendredi soir. Melania et Donald Trump, Karen et Mike Pence dansent au Bal des Forces armées. REUTERS/Yuri Gripas

     
     
     
     
    ModeEtats-UnisWashingtonInvestitureDonald TrumpMelania Trump
     
     
     

    La nouvelle Première dame Melania Trump a conçu avec le couturier français Hervé Pierre la robe qu'elle a portée vendredi soir à l'Armed Services Ball, le premier des trois bals auxquels elle devait assister avec son mari. Plus tôt dans la journée, et pour la cérémonie d'investiture, la nouvelle First Lady avait porté un manteau et une robe bleue du créateur américain Ralph Lauren

     

    Hervé Pierre officie aujourd'hui en tant qu'indépendant après avoir quitté, en février 2016, la maison Carolina Herrera, où il a été directeur de la création durant quatorze ans. Selon plusieurs médias, il a travaillé avec Melania Trump sur le modèle de cette robe crème fendue et aux épaules dénudées, rehaussée d'un volant brodé qui serpente de haut en bas.

       

     

    Dans une déclaration transmise au site spécialisé Women's Wear Daily, Hervé Pierre a souligné qu'il avait habillé successivement les quatre dernières Premières dames des Etats-Unis. Hillary Clinton, tout d'abord, alors qu'il était designer chez Oscar de la Renta à la fin des années 90, puis Laura Bush et Michelle Obama pour le compte de Carolina Herrera, avant de travailler avec Melania Trump, sous son propre nom, cette fois.

     

    Outre ces deux maisons, Hervé Pierre (51 ans) est passé par d'autres créateurs prestigieux comme Dior et Balmain, en France, avant de rejoindre les Etats-Unis, en 1992. Hervé Pierre Braillard, son nom complet même s'il est surtout connu dans le monde de la mode comme Hervé Pierre, a été nommé directeur de la création de la maison Balmain à 25 ans seulement. Il est également connu pour ses collaborations avec des troupes de danses, notamment celle du chorégraphe français Angelin Preljocaj.

     

    Le Parisien