Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Attaque terroriste au Louvre: le président américain évoque une France "à cran"

    Le président américain s'est exprimé sur Twitter après l'agression vendredi matin d'un militaire français au Louvre à Paris.

    Une réaction en moins de 140 caractères, comme à son habitude. Le 45e président américain Donald Trump a réagi en début d'après-midi à l'attaque d'un groupe de militaires français au Carrousel du Louvre à Paris sur le réseau social Twitter. 

       

    Le président a tweeté de son compte personnel, toujours en service, @realdonaldtrump : «Un nouveau terroriste islamique radical vient d’attaquer le musée du Louvre à Paris. Des touristes ont été enfermés. La France à nouveau sous tension. Ouvrez les yeux.» 

     

    «Terrorisme radical islamique»

     

    Alors que le «caractère terroriste» de l'attaque a été avancé par le Premier ministre Bernard Cazeneuve, qui reste malgré tout «prudent», Donald Trump n'hésite pas à qualifier l'attaque de «terrorisme radical islamique». Le préfet de police de Paris a cependant assuré que l'assaillant a crié «Allah Akbar» en agressant à coups de machettes les militaires en station au musée du Louvre. 

       

    Le nouveau président des Etats-Unis a signé il y a une semaine un décret présidentiel interdisant l'entrée aux Etats-Unis des réfugiés et de ressortissants de sept pays musulmans. Pour Donald Trump, ce décret est destiné à empêcher l'arrivée sur le sol américain des «terroristes islamiques radicaux».

     

    LE PARISIEN 

     

     

     

  • Paris: attaque de militaires à la machettte au Louvre: le suspect est égyptien

    L'homme, égyptien âgé de 28 ou 29 as, aurait atterri à l'aéroport Roissy Charles-de-Gaulle le 26 janvier dernier. Il était en provenance de Dubaï, où il aurait obtenu un visa pour la France.

    L'identité de l'assaillant du Louvre, qui a attaqué à la machette des soldats de l'opération Sentinelle ce vendredi matin, se dessine peu à peu. Hospitalisé dans un état grave à l'hôpital Georges-Pompidou, dans le 15e arrondissement de Paris, après avoir été touché au flanc et aux fesses par plusieurs tirs de riposte, on sait désormais que l'homme est un égyptien né en 1988.

     

    S'il ne possédait aucun papier d'identité, un téléphone portable ainsi que des bombes de peinture ont été retrouvés dans les sacs à dos qu'il portait. Ce sont ces éléments qui auraient permis aux enquêteurs d'établir son identité : Abdallah E-H. L'homme ayant loué une chambre d'hôtel rue de Ponthieu, non loin des Champs-Elysées, dans le très chic 8e arrondissement de la capitale, la police a alors rapidement pu perquisitionner les lieux. 

     

    Un billet de retour pour Dubaï

     

    La perquisition aurait permis de confirmer que l'assaillant est arrivé par avion, le 26 janvier dernier, à l'aéroport Roissy Charles-de-Gaulle, en provenance de Dubaï, aux Emirats arabes unis. Il serait entré en France avec un visa égyptien. L'homme avait un billet de retour pour les EAU au dimanche 5 février. Inconnue des services de renseignement français, son identité a été transmise à l'Egypte pour vérification. Par ailleurs, des analyses ADN et d’empreintes digitales sont en cours.

       

    Aucun explosif retrouvé sur lui

     

    Vendredi matin, vers 9h45, l'homme a fait irruption dans la galerie du Carrousel du Louvre chargé de deux sacs à dos. Après s'est approché des militaires en patrouille, il a sorti deux machettes pour les agresser. Selon le préfet de Paris Michel Cadot, l'homme s'est précipité sur les militaires, «a proféré des menaces» et a crié «Allah Akbar». 

     

    Dans la riposte, l'agresseur, âgé d'une trentaine d'années, a été grièvement blessé, au flanc et aux fesses. Conscient, il a été pris en charge par les secours. Aucun explosif n'a été retrouvé dans ses sacs à dos.

     

     

  • La Lettre de Marine Le Pen - 3 octobre 2017

    Mes chers amis,

    Encore une fois, malheureusement, les vraies menaces qui pèsent sur la France se sont rappelées à nous. Vendredi matin, un homme a agressé à la machette des soldats de l’opération Sentinelle au musée du Louvre. Je salue le sang-froid, le courage et la compétence de nos militaires qui ont parfaitement bien réagi et mis le terroriste hors d’état de nuire. Selon les informations disponibles, cet individu était animé par l’idéologie islamiste. Cet événement nous rappelle combien la lutte contre l’islamisme terroriste doit être une priorité du prochain quinquennat, après l’inaction coupable de Sarkozy, Hollande et tous leurs ministres.

    Oui, cette élection présidentielle est l’occasion d’un choix de civilisation historique. Les enjeux sont essentiels pour l’avenir de notre pays. Le bruit médiatique, parasité par la débâcle du camp Fillon, ne doit pas nous faire oublier l’essentiel. Il faut à la France un président qui soit réellement décidé à assurer son indépendance, sa défense et sa liberté. Et ce président, je le crois sincèrement, ne peut être aucun de mes concurrents. Aucun d’entre eux n’a pris la mesure de la tâche qui nous attend contre l’islamisme.
    Je veux renforcer les effectifs de police et de gendarmerie pour assurer notre sécurité sans épuiser les hommes qui nous protègent, reconstituer des douanes dignes de ce nom pour contrôler nos frontières, lutter impitoyablement contre les réseaux islamistes. Il faut expulser les prêcheurs de haine étrangers, fermer toutes les mosquées radicales, interdire les financements étrangers et contrôler ce qui se passe dans les associations parfois prises en main et détournées de leur objet initial par des islamistes qui viennent s’y livrer au pire des prosélytismes.

    Mais cette semaine, j’ai aussi eu le plaisir de rencontrer ceux qui font vivre la France et lui permettent d’avancer malgré les menaces et les difficultés. Je me suis rendue mercredi 1er février au Salon des Entrepreneurs, où j’ai pu discuter avec de nombreux chefs d’entreprise et leur exposer mes mesures en faveur de l’économie : mettre en place un protectionnisme intelligent et un véritable patriotisme économique, mener une politique de réindustrialisation, favoriser le « fabriqué en France »… Il faut pour cela prendre les mesures qui s’imposent, et oser défier l’Union européenne. Je le ferai.

    Nous ne pouvons plus laisser le tissu agricole et industriel de notre pays disparaître sous l’effet de la mondialisation sauvage et de la concurrence déloyale que l’Union européenne nous impose entre autres avec la monnaie unique et la directive détachement des travailleurs. Il faut mettre fin à ces politiques désastreuses et reconstruire un système réellement favorable aux entreprises. Je mettrai d’ailleurs en place un guichet unique dédié pour les PME-TPE afin que la gestion administrative ne leur prenne pas toute leur énergie.

    La France est un pays magnifique, qui saura se relever des difficultés dans lesquelles ses dirigeants irresponsables l’ont trop longtemps plongée. Mais, pour cela, il faut que nous nous mobilisions tous pour convaincre les Français que le projet que je porte pour la France est le bon. Je compte sur vous ! Et comme chaque semaine, bonne campagne à vous mes amis !

  • HUMOUR - Deux mondes...

    12745625_10207618077397284_6186927512392708437_n.jpg

    C3oFVX5WIAA2BLM.jpg Peynet.jpg

  • Marseille - Deux policiers en tenue traditionnelle islamique pour arrêter un trafiquant de drogue

    https://francais.rt.com/france/33385-marseille-deux-policiers-deguisent-musulmans-arreter-trafiquant-drogue

    589357f3c46188bf788b45f8.jpg policirs.jpg

  • Trump menace de couper les vivres à Berkeley après les émeutes

    Le président a menacé de couper les financements fédéraux de l’université de Berkeley, où des manifestants ont violemment protesté la veille contre la venue d’un éditorialiste du site Breitbart.

    « Si l’UC Berkeley ne permet pas la liberté d’expression et pratique la violence sur des personnes innocentes qui ont des points de vue différents – PAS DE FONDS FEDERAUX ? », a écrit M. Trump sur Twitter.

     

    Scandant « faites-le taire », des centaines de manifestants, pour la plupart des étudiants, ont brisé hier soir des vitres sur le campus, mis le feu à des palettes en bois et jeté des pierres sur la police qui a répondu par des tirs de gaz lacrymogène.

     
    Le 2 février 2017 par Le Figaro
  • Macron "révolutionnaire anti-système" !

    (merci à Dirk)

  • Dessin de presse

     

    11766579.jpg Fillon.jpg

    par Soulcié

  • Affaire Fillon: l'enquête s'étend aux enfants et au Sénat

    Selon nos informations, le Parquet National Financier (PNF) a demandé aux policiers d’étendre leur enquête à deux des enfants du couple.

    Après laS mère, les enfants...L’enquête sur les soupçons d’emplois fictifs concernant Penelope Fillon continue tambour battant. Selon nos informations, le Parquet National Financier (PNF) a demandé aux policiers, par soit-transmis comme on dit dans le jargon judiciaire, d’étendre leur enquête à deux des enfants du couple, Marie et Charles Fillon, soupçonnés comme leur mère d’emplois fictifs. Les deux ont été employés comme assistants parlementaires alors que leur père était sénateur à partir de septembre 2005.

     

    Les deux enfants devraient être rapidement auditionnés 

     

    Selon nos informations, les deux enfants du candidat de la droite à l’élection présidentielle devraient être rapidement auditionnés par les enquêteurs de l’Office central de la lutte contre la corruption et des infraction financières et fiscales (Ocliff). Par ailleurs, une perquisition devrait également avoir lieu dans les jours prochains. À cette heure, selon nos informations, ni Marie Fillon, ni son frère Charles n’ont reçu la moindre convocation de la part des policiers. Par ailleurs, aucune demande d’autorisation de perquisition n’a encore été transmise auprès du président du Sénat, Gérard Larcher, de la part du PNF. Cette procédure est incontournable pour pouvoir aller fouiller dans les bureaux administratifs du Sénat à la recherche notamment des contrats de travail des enfants Fillon. Le PNF pourrait, comme il l’avait fait avant de perquisitionner l’Assemblée Nationale, se border en déposant une requête auprès du Juge des Libertés et de la Détention (JLD), garant de la légitimité de la procédure.

       

    À LIRE. L'enquête en cinq questions

     

    Marie et Charles Fillon sont soupçonnés d’avoir touché à eux deux 84.000 euros, comme l’a révélé hier le Canard Enchaîné. Autour de 3800 euros brut par mois pour Marie, d’octobre 2005 à décembre 2006. A l’époque l’étudiante de 23 ans venait tout juste de terminer ses études de droit et ne prêtera son serment d’avocate que deux ans plus tard. Son frère âgé de 23 ans également à l’époque, aurait perçu, lui, 4846 euros brut de janvier à juin 2007. Or François Fillon avait déclaré sur TF1, le 26 janvier dernier, avoir « rémunéré deux de ses enfants avocats lorsqu’il était sénateur pour des « missions précises »en raison de leurs compétences. Contactés mardi par le Parisien, Marie et Charles Fillon n’ont pas souhaité répondre à nos questions.

      leparisien.frJean-Michel Decugis et Eric Pelletier

  • ZOOM - Johann Gudenus (FPÖ)

    TVL

  • Johann Gudenus (FPÖ) : « Nous sommes prêts à gouverner l’Autriche »

    Johann-Gudenus-FPÖ-Autriche-600x319.jpg FPO.jpg

     

     

    02/02/2017 – AUTRICHE (NOVOpress) : Johann Gudenus a 40 ans. Il est, avec Heinz-Christian Strache, Norbert Hofer et Harald Vilimsky, l’une des quatre personnalités principales du FPÖ (Freiheitliche Partei Österreichs, Parti de la liberté d’Autriche), le parti associé au FN au Parlement Européen. Il a été de 2003 à 2009 le responsable du RFJ, la section jeunes du FPÖ. Depuis 2015, il est vice-maire de Vienne (sans portefeuille) en sa qualité de chef du premier groupe d’opposition au conseil municipal de la capitale autrichienne.

    Après l’élection présidentielle de 2016 et les 47 % obtenus par Norbert Hofer, le FPÖ est plus proche qu’il ne l’a jamais été d’accéder au pouvoir lors des prochaines élections législatives, qui auront lieu au plus tard en 2018. Il répond aux questions de Nicolas de Lamberterie pour la télévision française TV Libertés.

  • «Envoyé Spécial» : quand Penelope Fillon ne parlait pas de politique à la maison

    6650418_penelope2-new_1000x625.jpg Pénélope.jpg

     

    >Elections>Election présidentielle|Carine Didier|02 février 2017, 23h28|1

     Penelope Fillon interrogée en 2007 par le Sunday Telegraph

    Capture France 2
     
     
    Carine Didier
     
    Election présidentielleSarthePenelope FillonSunday TelegraphEnvoyé Spécial
     

    «Envoyé Spécial (France 2) a diffusé ce jeudi soir, comme prévu, une interview accordée le 18 mai 2007 au quotidien britannique The Sunday Télegraph par Penelope Fillon dont le mari venait d’être nommé à Matignon. Troublant. 

    «Je n’ai jamais été son assistante ou quoi que ce soit de ce genre. Je ne m’occupe pas non plus de sa communication ». Ainsi s’expliquait Pénélope Fillon sur son rôle auprès de son mari dans une interview accordée le 18 mai 2007 au quotidien britannique The Sunday Télegraph alors que François Fillon venait d’être nommé à Matignon.

     

    Des propos «oubliés» pendant dix ans et dévoilés ce jeudi soir par le magazine « Envoyé Spécial » (France 2) qui a retrouvé ce document en enquêtant sur l’emploi d’assistante parlementaire de 1998 à 2002 de l’épouse de l’actuel candidat à la Présidentielle des Républicains.

     

    «J'allais voir les personnes âgées, rien de plus»

     

    Dans cet entretien mené par la journaliste Kim Willsher, Pénélope Fillon raconte sa vie parisienne, précisant avoir repris des études de littérature anglaise. «Je me suis dit que cela me remettrait au travail...Je me suis rendue compte que mes enfants ne me voient que comme une mère», précise-t-elle alors.

     

    Interrogée sur son implication auprès de son mari, elle indique l’avoir « toujours accompagné dans ses campagnes électorales et aux meetings pour aider...». Quand François Fillon était maire de Sablé-sur-Sarthe , « j’allais voir les associations de personnes âgées. Mais rien de plus », ajoute sa femme.

       

    «Je ne m'implique pas»

     

    Mais ce n'est pas tout. Si les journalistes d'«Envoyé Spécial», Yvan Martinet et Tristan Waleckx, n'ont obtenu aucun commentaire des proches de François Fillon sur le travail de sa femme lors de son meeting à Paris dimanche dernier, ils ont poursuivi leurs investigations dans la Sarthe.Et ils y ont retrouvé un autre document. Il s'agit d'un article de la presse régionale d’octobre 1999 où Pénélope Fillon affirmait : « Nous ne parlons jamais de politique à la maison (....). Les gens savent que je ne m'implique pas dans la vie de mon mari».

     

    De nouveaux éclairages qui, selon le magazine de la Deux, pourraient«mettre à mal» la ligne de défense du candidat des Républicains.

     

    LE PARISIEN