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  • Le policier mis en examen accuse Théo de l’avoir frappé et remet en cause sa version des faits

     

    20h32

    Il revient d’abord sur les circonstances de l’incident. En patrouille dans ce quartier sensible d’Aulnay avec trois autres policiers, il repère « un individu déjà connu de nos services pour son implication pour le trafic de produits stupéfiants ». Après avoir été pris à parti, les gardiens de la paix décident de procéder à un contrôle. Ils encerclent le petit groupe. « Il devait y avoir une dizaine de personnes à contrôler », précise-t-il. Selon la version du policier, une bagarre se déclenche lors de la palpation d’un deuxième individu. La situation est d’abord confuse. La patrouille tente d’interpeller Théo et, dans le même temps, est encerclée par les autres personnes présentes. « Pris dans l’action, nous ne pouvions faire appel aux renforts », dit-il. Il décrit alors une interpellation qui dégénère en raison de la résistance de Théo.

     

    « J’usais alors de ma matraque télescopique »

    « Alors que je venais de lui saisir le bras, je recevais de sa part un coup de poing au niveau de la pommette gauche. Durant quelques instants, j’ai été sonné. J’ai compris à ce moment-là que l’individu serait prêt à tout pour se soustraire. Il se débattait, portait des coups de poing à tout va, gesticulait en tout sens, même des jambes. Le gardien de la paix D. parvenait toutefois, mais très difficilement, à le conduire au sol en le ceinturant. Tous deux basculaient au sol de manière très brutale ».

    D’après le policier, Théo n’est pas encore maîtrisé, ni calmé. « J’usais alors de ma matraque télescopique, déclare-t-il, et lui portais des coups en visant l’arrière des cuisses. L’individu continuait de se débattre, il se retournait, gesticulait en usant de son gabarit musclé, et il parvenait à se relever », explique-t-il. « Là je le voyais piétiner le collègue D. qui était encore au sol dos contre terre et subitement un jet de gaz lacrymogène s’échappait de la bombe du gardien D ». Et d’ajouter: « Je suppose alors que ce jet a été causé accidentellement dans l’agitation de l’individu. » Toujours selon ce témoignage, malgré le renfort d’un nouveau policier, aucune amélioration: « il continuait de piétiner le gardien de la paix D qui se trouvait toujours dos contre sol ».

    « Il continuait de se débattre »

    Une deuxième fois, le policier fait usage de son arme de défense. Mais à aucun moment, dans ses propos, il n’évoque des coups sur les fesses. « Je décidais de porter à l’individu des coups de matraque télescopique en visant ses membres inférieurs dans l’espoir de lui faire perdre l’équilibre et de l’amener au sol. Mon effort portait ses fruits et l’individu basculait à terre. Au sol, il continuait de se débattre continuant de porter des coups de pied. J’ai à nouveau riposté par un coup de télescopique au niveau d’une de ses jambes. A l’issue de cet épisode, Théo est finalement menotté.

    Le policier dit ne remarquer à ce moment aucune blessure sur le jeune homme. « Je procédais à une palpation de sécurité sur sa personne et lui remontais son bas de survêtement lequel était descendu jusqu’à ses genoux durant sa rébellion ». Puis, « je le plaçais en position assise. Là, il se plaignait d’être installé de façon inconfortable et avoir mal. Il ne disait pas où ». Fait troublant: une fois au commissariat, Théo déclare sur procès-verbal: « je ne désire pas faire l’objet d’un examen médical ». Le policier qui l’entend indique pourtant qu’il « n’est pas physiquement en mesure de signer » le PV, alors même qu’il saigne du nez.

    « Je n’ai aucune idée de la façon dont cette plaie a été faite »

    Le témoignage du gardien de la paix qui va être mis en examen pour « viol » résonne différemment. « L’individu se plaignait de douleur au visage ainsi qu’aux fesses. Je regardais rapidement s’il avait quelque chose au niveau des fesses en tirant son bas de survêtement. Je constatais alors qu’il présentait une plaie saignante. Je n’ai aucune idée de la façon dont cette plaie a été faite. D’autre part, je ne m’en suis aperçu qu’une fois arrivé au poste, lorsque l’individu s’est plaint. Nous faisions donc appel aux sapeurs pompiers lesquels intervenaient et le prenaient en charge ».

    (…) L’Express

    69832fb71079b77d969fd77b06fb0.jpg  Théo et Hollande.jpg

  • Selon Emmanuel Macron : « La colonisation est un crime contre l’humanité »

     

     

    « Je pense qu’il est inadmissible de faire la glorification de la colonisation. Certain ont voulu faire cela en France, il y a dix ans. Jamais vous ne m’entendrez tenir ce genre de propos. J’ai toujours condamné la colonisation comme un acte de barbarie. La colonisation fait partie de l’histoire française. C’est un crime contre l’humanité », a affirmé Emmanuel Macron, candidat du Mouvement En Marche !  à l’élection présidentielle française, dans une interview accordée mardi à la chaîne privée algérienne Echourouk News.

    « La colonisation fait partie d’un passé que nous devons regarder en face en présentant nos excuses à l’égard de celles et ceux vers lesquels nous avons commis ces gestes », a-t-il ajouté. Selon M. Macron, il ne faut pas balayer tout le passé. Il a rappelé la formule exprimée lors de sa rencontre publique, lundi soir, à l’hôtel Sofitel à Alger. « La France a installé les droits de l’Homme en Algérie, mais elle a oublié de les lire. C’est une jolie formule qui vaut pour l’Algérie pour expliquer cette période. Il y a eu des crimes terribles, de la torture, de la barbarie ».

    La colonisation est un acte de domination et de non reconnaissance de l’autonomie d’un peuple. Tout en reconnaissant ce crime, je ne veux pas qu’on tombe dans la culture de la culpabilisation sur laquelle, on ne construit rien. C’est ce chemin de crête que je veux que nous prenions ensemble », a-t-il souligné.

    En novembre 2016, Emmanuel Macron a, dans une interview à l’hebdomadaire français Le Point, abordé la question de la colonisation en des termes ambigus. « Oui, en Algérie, il y a eu la torture, mais aussi l’émergence d’un État, de richesses, de classes moyennes, c’est la réalité de la colonisation. Il y a eu des éléments de civilisation et des éléments de barbarie », a-t-il soutenu.

    Une phrase qui, selon lui, a été sortie de son contexte. « Je ne parlais pas que de l’Algérie. Il ne faut absolument pas lire mes propos comme des éléments qui nient le fait de la colonisation et sa barbarie. Si certains l’ont lu comme tels, je m’en excuse auprès d’eux », a-t-il expliqué à Echourouk News.

    Selon lui, les pieds-noirs ont une autre vision de la colonisation. « Elle nie les crimes qui ont été commis. Je ne m’y retrouve pas. Mais, en même temps, on ne peut pas leur dire vous n’avez rien été, vous étiez simplement des criminels. Ils ont leur histoire intime avec l’Algérie. Et, donc, on doit savoir vivre, tresser ces mémoires tout en reconnaissant la responsabilité de l’État français et de ce qui s’est passé ici Algérie », a ajouté Emmanuel Macron.

    Source : tsa-algerie.com

  • Marion Maréchal-Le Pen invitée des 4 Vérités - 14.02.17

    http://www.francetvinfo.fr/politique/front-national/les-4-verites-face-aux-violences-urbaines-marion-marechal-le-pen-preconise-une-politique-de-tolerance-zero_2059878.html#xtor=EPR-502-[newslettervideo]-20170215-[video4]

  • Au moins 10% des Français ont au moins un parent immigré (INSEE)

     

    J-5

    Au moins 10% des Français ont au moins un parent immigré. C’est le chiffre fort publié par l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), mercredi 8 février. Un chiffre d’autant plus fort alors que le thème de l’immigration est fort, dans les programmes des candidats à la présidentielle. «En 2015, 7,3 millions de personnes nées en France ont au moins un parent immigré, soit 11% de la population», précise le rapport.

    Sur le site de l’INSEE :
    Selon la définition adoptée par le Haut Conseil à l’Intégration, un immigré est une personne née étrangère à l’étranger et résidant en France. Les personnes nées françaises à l’étranger et vivant en France ne sont donc pas comptabilisées. À l’inverse, certains immigrés ont pu devenir français, les autres restant étrangers. Les populations étrangère et immigrée ne se confondent pas totalement : un immigré n’est pas nécessairement étranger et réciproquement, certains étrangers sont nés en France (essentiellement des mineurs). La qualité d’immigré est permanente : un individu continue à appartenir à la population immigrée même s’il devient français par acquisition. C’est le pays de naissance, et non la nationalité à la naissance, qui définit l’origine géographique d’un immigré.

    Ces parents sont largement d’origine européenne, à 45%, majoritairement venant d’Italie, d’Espagne et du Portugal, et 31% viennent du Maghreb (Algérie Maroc Tunisie). 11% viennent d’Afrique subsaharienne et 9% d‘Asie. Les quatre derniers pourcents viennent d’Amérique ou d’Océanie.

    Autre donnée apportée par l’Insee, elle concerne l’âge et la région où vivent ces descendants d’immigrés. Ils sont plus jeunes que la moyenne de la population, plus de 45% d’entre eux ont moins de 25 ans, les plus jeunes étant originaire du Maghreb ou d’Afrique subsaharienne. Concernant leur lieu de vie, près d’un tiers sont en Ile-de-France, et seulement 11% vivent dans des zones rurales.

    m6info.yahoo

  • Macron veut favoriser la mobilité entre l’Algérie et la France

     

    15h25

    Emmanuel Macron veut proposer à l’Algérie un approfondissement de ses relations avec la France, en s’inspirant d’initiatives franco-allemandes qui ont consolidé la paix entre les deux pays comme la création d’une chaîne télévisée sur le modèle d’Arte.

    presidentielle-macron-en-algerie-pour-asseoir-sa-stature-internationale

     

    (…) « Je proposerai au gouvernement algérien la création d’un Office franco-algérien de la Jeunesse, à l’instar de ce qui existe entre l’Allemagne et la France, pour favoriser la mobilité entre les deux rives de la Méditerranée », écrit-il dans une tribune publiée sur le site d’information algérien Tout sur l’Algérie, à l’occasion de sa visite dans le pays.

    (…) Le Figaro

  • Martin Schulz accusé de fraude lors de son mandat au Parlement européen

     

    Ingeborg Grässle, à la tête de la commission de contrôle budgétaire de Bruxelles, a déclaré vouloir ouvrir une enquête pour fraude, après les articles du Sunday Times et de Der Spiegel sur l’ancien président du Parlement européen, Martin Schulz.

     

    Après avoir quitté les arcanes de Bruxelles, Martin Schulz risque de voir sa candidature face à Angela Merkel pour la chancellerie allemande mise à mal par une affaire de fraude datant de son mandat européen.

     

    Rappel : qui est Martin Schulz ?

     

     

    Parmi les révélations du Sunday Times et de Der Spiegel, on apprend que l’ancien président du Parlement européen aurait fréquemment utilisé un jet privé coûtant 20 000 euros de l’heure, pour voyager entre Bruxelles, Strasbourg et Berlin. Or, son lieu de travail n’est limité qu’à la capitale belge.

    L’ancien président du Parlement aurait aussi demandé à ses assistants de se livrer à des tâches non comprises dans leurs prérogatives. Ainsi, l’un d’eux aurait démissionné après s’être vu demander à plusieurs reprises... de repasser les pantalons de Martin Schulz.

    Sont aussi évoquées des pratiques de clientélisme : des alliés de Schulz auraient été nommés à des postes grassement payés au sein de l’administration du Parlement, sans passer par les procédures régulières de recrutement. En outre, les personnes nommées n’auraient, dans de nombreux cas, pas disposé des qualifications requises pour ses postes.

    En réaction à ces révélations, Ingeborg Grässle, qui dirige le puissant comité de contrôle budgétaire des fonds de l’Union européenne, a déclaré que l’ancien président du Parlement avait créé un « système stalinien de clientélisme » et qu’il était nécessaire d’ouvrir une enquête.

    « Schulz a outrepassé les règles sans gêne pour satisfaire son ambition politique. J’espère que ces révélations feront l’objet d’une enquête », a-t-elle déclaré.

    Martin Schulz n’a, jusqu’à présent, pas souhaité répondre à ces accusations, qui tombent peu après sa nomination en tant que candidat du SPD pour ravir la chancellerie à Angela Merkel lors du scrutin de cette année.

  • CETA : 3,5 millions de signatures contre le traité de libre-échange avec le Canada

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    14/02/2017 – FRANCE (avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Le chiffre est phénoménal : 3,5 millions de personnes ont signé la pétition contre le CETA, le traité de libre‑échange économique entre l’Union européenne et le Canada. « Les signataires, explique le Journal de Montréal, demandent aux députés européens de s’opposer au traité commercial que l’UE a conclu avec le Canada (CETA), mais aussi à celui qu’elle négocie avec les États-Unis (TTIP, ou Tafta), dont les discussions sont gelées depuis l’élection de Donald Trump. »

    Le texte doit être voté ce mercredi à Strasbourg par le Parlement européen. De nombreuses manifestations sont aussi prévues pour perturber la venue de Justin Trudeau, le jeune Premier ministre canadien qui doit intervenir lui jeudi devant le Parlement européen. Si le Parlement vote le texte, le traité pourra être appliqué dès avril dans les grandes lignes, avant d’être ratifié par les Parlements des Etats membres de l’UE.

  • Des "personnalités" signenr la tribune d'un élu de l'Essonne contre les violences policières

    http://www.leparisien.fr/essonne-91/bretigny-un-elu-local-mobilise-ses-relations-du-show-biz-apres-l-affaire-theo-14-02-2017-6681237.php