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  • "La France n'a pas colonisé l'Algérie. Elle l'a fondée"

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    On l’oublie souvent mais l’identité algérienne n’existait pas avant 1830.

     
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    Ces mots ne viennent pas d’un nostalgique de l’Algérie française mais de Ferhat Abbas, ex-leader FLN et président de la République algérienne du temps du GPRA.

    On l’oublie souvent mais l’identité algérienne n’existait pas avant 1830. Jusqu’au VIIIe siècle, les populations qui y vivaient étaient d’origine phénicienne, berbère, romaine et de religion majoritairement chrétienne. Ce sont les Arabes, peuple nomade venant du Moyen-Orient, qui ont envahi toute l’Afrique du Nord et converti de force toutes ces populations. Ainsi, et après quelques siècles de domination arabo-islamique, il ne restait plus rien de l’ère punico-romaine.

    Plus tard, au XVIe siècle, en profitant du chaos répandu par les Espagnols, mais aussi en soufflant habilement sur les nombreuses divisions existant entre les différentes tribus de la région, les Ottomans en prirent le contrôle avec Alger pour capitale.

    C’est alors que se développa, pendant près de 300 ans, la piraterie barbaresque, arraisonnant tous les navires de commerce en Méditerranée, permettant, outre le butin, un trafic d’esclaves chrétiens, hommes, femmes et enfants.

     

    Ainsi, dans l’Alger des corsaires du XVIe siècle, il y avait plus de 30.000 esclaves enchaînés.

     

    Plusieurs tentatives de destruction de ces bases furent alors entreprises. D´abord par Charles Quint, à l’action duquel succédèrent les bombardements anglais, puis ceux des Néerlandais et même ceux de la jeune nation américaine également victime de ces perfidies…

    Toutefois, seul le débarquement des troupes françaises en 1830 mit fin définitivement à trois siècles d’atrocités.

     

    Par la suite, et à l’inverse des autres puissances colonisatrices, comme les Américains avec les Indiens ou les Britanniques avec les Aborigènes ou encore les Turcs avec les Arméniens, la France ne massacra pas les peuples qu’elle venait de conquérir. Au contraire, la France soigna, grâce à ses médecins, toute la population, amenant cette dernière de moins d’un million en 1830 à dix millions en 1962. De plus, la France draina, assécha, fertilisa des sols à l’abandon depuis des siècles, transformant une agriculture moyenâgeuse en une agriculture riche, prospère et exportatrice.

    La France respecta aussi la langue arabe, l’imposant même au détriment du berbère, et respecta la religion musulmane.

    Bien entendu, la France ne faisait pas dans la philanthropie, mais cela n’enlève rien au fait qu’elle a réussi à désarmer les différentes tribus et mis en place une infrastructure durable (encore utilisée aujourd’hui), qui a été capitale pour l’État naissant de l’Algérie. Par ailleurs, le nom même du pays a été donné par la France en 1839 : jusqu´alors, il était officiellement appelée « le pays de Barbarie ».

    In fine, renier l’œuvre de la France, c’est logiquement renier l’Algérie en tant qu´État unifié et souverain.

    BV

  • Théo : très violente manifestation à Paris place de la République. Un policier sérieusement blessé (MàJ)

    http://www.fdesouche.com/823785-theo-tres-violente-manifestation-paris-place-de-la-republique-un-policier-serieusement-blesse#

    Cinq vidéos

     

  • Pays-Bas: Geert Wilders lance sa campagne et attaque la "racaille marocaine"

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    Le député néerlandais anti-islam Geert Wilders a lancé sa campagne pour les législatives du mois de mars par une attaque contre «la racaille marocaine» dont il a dit vouloir débarrasser le pays pour le «rendre au peuple néerlandais».

    «La racaille marocaine en Hollande... bien sûr, ce ne sont pas tous de la racaille, mais il y en a beaucoup, qui rendent nos rues dangereuses, principalement des jeunes... et il faut que ça change», a déclaré Geert Wilders à la presse avant un bain de foule dans la petite ville de Spijkenisse, au sud de Rotterdam.

    Geert Wilders est donné en tête par les sondages pour les élections du 15 mars au cours desquelles les Néerlandais sont appelés à renouveler le Parlement.

    «Si vous voulez récupérer votre pays, si vous voulez faire des Pays-Bas un pays pour les Néerlandais, votre pays, alors votez» pour le Parti de la Liberté (PVV), a-t-il lancé.

    Selon les derniers sondages, le PVV pourrait remporter 24 à 28 sièges, devançant ainsi de deux à quatre sièges l'actuel parti au pouvoir, le parti libéral du Premier ministre Mark Rutte. Le parlement néerlandais compte 150 sièges.

    A la question de savoir qui sont ses électeurs, le candidat nationaliste a répondu: «Chaque Néerlandais ayant du bon sens ... et heureusement, nous avons beaucoup de gens avec du bon sens». Et d'ajouter : «Les Néerlandais voulant récupérer leur pays voteront pour nous indépendamment de leur éducation ou de leur passé», a-t-il ajouté.

     

    En décembre 2016, le député, qui prône l'interdiction du Coran et la fermeture des mosquées, avait été jugé coupable par un tribunal d'incitation à la discrimination pour des déclarations à propos des Marocains vivant aux Pays-Bas. En 2014, le député avait demandé à des sympathisants s'ils voulaient «plus ou moins de Marocains» dans leur ville et aux Pays-Bas.

     

    Les prises de position de Geert Wilders contre l'islam lui ont valu plusieurs menaces de mort notamment du groupe Etat islamique et d'Al-Qaïda. Sous protection policière permanente, il est considéré comme «l'homme le mieux protégé des Pays-Bas».

    Une coalition qui s'annonce difficile

    Martin Bosma, également député du PVV et considéré comme le bras droit de Wilders, a déclaré à l'AFP que son parti en cas de victoire aux élections rechercherait des partenaires pour former une coalition. Mais il a reconnu que «ce serait très difficile» car la majorité des grands partis politiques du pays - dont le VVD du Premier ministre Mark Rutte - refusent de travailler avec le PVV depuis les déclarations de Geert Wilders à propos des Marocains et le verdict du tribunal.

    Lire aussi : Geert Wilders se présente comme un incontournable du prochain gouvernement

    RT 

  • Le maire FN de Hayange mis en examen pour des phocopieuses!

     

     
    Le maire Front National de Hayange Fabien Engelmann a indiqué samedi avoir été mis en examen mercredi dans le cadre d'une enquête sur les conditions de location de photocopieurs destinés aux écoles de la ville, mais conteste avoir commis une infraction.

    "Il m'est reproché de ne pas avoir respecté les procédures applicables pour les marchés publics, ce qui est minime", a-t-il affirmé, confirmant une information du Républicain lorrain. Deux autres chefs d'accusation ont été abandonnés, a-t-il souligné.

    "M. Engelmann a été mis en examen pour favoritisme. Il aurait acheté des photocopieuses pour un montant de 100.000 euros, soit 10 fois plus que la valeur objective", a-t-on indiqué de source proche de l'enquête. "Il n'y a pas de détournement de fonds publics, et à l'heure qu'il est, pas d'enrichissement personnel", a-t-on ajouté de même source.

    "Je ne reconnais pas les faits. Nous allons examiner le dossier avec mon avocat et nous répondrons à toutes les questions du juge d'instruction. Je ne suis pas inquiet par cette affaire", a assuré Fabien Engelmann.

    "Les faits datent du début de l'année 2015. J'étais en fonction depuis 8-9 mois et nous avons loué une dizaine de photocopieurs couleur destinés aux écoles de la ville. Un contrat sur trois ans de quelques dizaines de milliers d'euros. Il s'agissait de répondre rapidement à un besoin. Nous avons suivi ce que faisait l'équipe de mon prédécesseur socialiste, qui a lui aussi commandé des photocopieurs sans passer d'appel d'offres et n'a jamais été inquiété", a-t-il expliqué.
     
    Le Figaro
  • VIDEOS - Toulon: Les pieds-noirs ont manifesté contre Macron

    http://www.leparisien.fr/provence-alpes-cote-d-azur/videos-toulon-les-pieds-noirs-manifestent-contre-macron-18-02-2017-6691683.php

  • Florian Philippot sur LCI

  • L’islamophobie, nouveau péché capital. Par Guillaume Faye (rediff)

     

    18 février 2017 par Guillaume Faye

    L’islamophobie, une variante du ”racisme” pour l’idéologie dominante soft–totalitaire, est aujourd’hui poursuivie ; comme l’anti–nazisme pendant l’Occupation ou l’antisoviétisme dans l’ex–URSS. La même logique de soumission et de collaboration (dont la peur est le ressort) du dominé envers l’envahisseur est à l’oeuvre. L’islam est devenu intouchable, surtout pour les pouvoirs de gauche, même si ses racines sont liées à la dictature, à l’antisémitisme, à l’oppression des femmes, à l’obscurantisme ; sans oublier l’explosion de la délinquance, de la criminalité et du terrorisme, dont l’immense majorité des auteurs est d’origine musulmane. L’accusation d‘islamophobie vise à intimider et à soumettre. Au nom de la démocratie et de la liberté. Bonjour Orwell.

    Un désir masochiste d’être envahis et soumis

    Plusieurs manifestations de musulmans, soutenus par des islamo–collaborateurs, répètent ce slogan (parfaitement totalitaire) inscrit sur des banderoles : « l’islamophobie n’est pas une opinion, c’est un délit ». Le CCIF (Collectif contre l’islamophobie en France), officine militante d’islamisation de la France et de colonisation migratoire, poursuit en justice pour ”racisme” (!) l’historien George Bensoussan parce qu’il a déclaré que les Arabo–musulmans sont élevés dans l’antisémitisme (voir plus bas). Nous vivons ce paradoxe : l’islamophobie est condamnée alors que l’islam et les musulmans sont, partout dans le monde, les principaux acteurs de terreur, de meurtres, d’oppression et d’obscurantisme ! Et la christianophobie est parfaitement autorisée ! (L’islamophobie est même punie de mort par les musulmans eux–mêmes : voir le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo qui, pourtant, s’en prenait très rarement à l’islam mais répétitivement au christianisme)

    L’antisémitisme (ou judéophobie) n’est poursuivi que s’il provient (les cas sont rares) des milieux d ‘”extrême droite” et français de souche, mais pas des musulmans, qui bénéficient d’un privilège d’innocence. La judéophobie, comme le racisme anti–Blanc, d’origine arabe, musulmane, africaine sont très généralement ignorés et impunis par les autorités françaises objectivement collabos. Alors que, partout dans le monde, et jusqu’en France, les agressions, meurtres et persécutions contre les chrétiens sont commis au nom de l’islam. On marche sur la tête. Il s’agit de servitude volontaire. (1)

    Peu répandue, l’islamophobie mériterait-elle de l’être ? 

    Pour Pascal Bruckner, auteur d’un récent essai, Un racisme imaginaire (Grasset), l’islamophobie est une invention, qui ne correspond pas à un sentiment répandu en Occident : cette fiction servirait à neutraliser les résistances à l’ ”islamisme” et à culpabiliser, comme ”racistes” (accusation magique et paralysante) les opposants au salafisme. C’est parfaitement exact. Mais cette position est ambigüe. Car Bruckner rejette par là même l’islamophobie comme immorale, et en élimine la possibilité. Il sous-entend que ” ce n’est pas bien” d’être islamophobe ; pourquoi l’islamophobie ne serait-elle pas légitime, alors que nous sommes objectivement agressés par l’islam chez nous, son invasion, ses exactions et ses crimes ?   

    Bruckner cède à la première étape de la soumission à l’islam invasif. Les islamophobes sensés sont donc condamnés par cet intellectuel prétendu adversaire de l’ ”islamisme ”. Bruckner obéit à l’esprit munichois : surtout pas de conflit ! L’angélisme politique et l’optimisme des bons sentiment sont le psoriasis mental des intellectuels élégants, qui pensent que la cohabitation, le ”vivre ensemble” en langue de bois, sont possibles dans l’harmonie.

    L’oxymore de l’ ”islam modéré et tolérant”

    La fable de l’ ”islam modéré” (pourquoi pas le ”nazisme centriste”, le ”stalinisme libéral”, le ”catholicisme athée”, etc. ?) est diffusée par l’idéologie officielle. Les premiers à s’élever contre cette idiotie sont d’ailleurs des écrivains et intellectuels arabes lucides, femmes et hommes, très minoritaires, mais courageux face aux menaces de leurs coreligionnaires obscurantistes et fanatisés, pour lesquels les ”apostats”, coupables de trahison, sont les pires ennemis.     

    L’historien George Bensoussan (2) est poursuivi pour racisme par le CCIF – Collectif contre l’islamophobie en France, association militante objectivement alliée à l’islam radical, suivi des idiots utiles collabos habituels : la Licra, la Ligue des droits de l’homme, Sos Racisme et le Mrap (le marché de l’ ”antiracisme”). On l’attaque pour avoir déclaré que dans les familles musulmanes, l’antisémitisme était inculqué culturellement dès l’enfance, ce qui est une évidence sociologique.

    Ivan Rioufol (Le Figaro, 03/02/2017) note : « La trahison des mouvements antiracistes qui trouvent chez des magistrats l’appui pour poursuivre ceux qui dénoncent la nouvelle judéophobie, fait mesurer l’emprise de l’idéologie conquérante sur les esprits. Elle fait répéter […] que le musulman est le juif des années trente, en dépit des attentats au nom d’Allah. Une même inversion des réalités permet aux embrigadés de soutenir que l’antisionisme, qui dissimule souvent la haine du mécréant, est un antiracisme. » Il déplore la « désintégration de la nation, sous le poids du communautarisme surprotégé ». Ce qui signifie, en langage journalistique correct, que la nation est menacée par l’immigration en majorité musulmane. « La désislamisation de la France reste un objectif atteignable à la condition que l’État cesse de reculer devant une contre-société agressive ». Certes. Mais cette nécessaire ”désislamisation” ne pourra en aucun cas être pacifique…

    La pathologie islamophile

    L’idéologie dominante affirme que la France et l’Europe auraient une dette culturelle envers l’islam. La valorisation de l’islam – au prix d’énormes mensonges historiques– est proportionnelle aux dégâts qu’il cause en Europe, aux États–Unis et dans le monde et à son indigence intellectuelle et culturelle.

    Témoigne de cette pathologie mentale le livre collectif Histoire mondiale de la France, dirigé par Patrick Boucheron  (Le Seuil). C’est un bréviaire de l’ethno – masochisme, de la repentance et de la haine de soi, qui raconte que la France et l’Europe auraient depuis le haut Moyen–Âge une part brillante de leur identité due à l’islam. Alors que ce dernier a toujours été l’adversaire le plus acharné et le plus destructeur.

    Dans la revue identitaire belge Renaissance européenne (N°110, premier trimestre 2017), on apprend que le bulletin de la paroisse universitaire de Louvain–la–Neuve se félicite que la communauté musulmane inaugure une nouvelle mosquée. Vive l’invasion ! Le bulletin catholique parle de « nos frères et sœurs musulmans » et appelle à s’ouvrir à « la face lumineuse de l’islam ». Les chrétiens d’Orient persécutés, spoliés, massacrés apprécieront ce masochisme pathologique, angélique et délirant des autorités catholiques européennes. Ces malheureux savent, pour l’avoir vécu et le vivre, que l’islam n’est pas lumineux mais obscur et sanguinaire. Il brûle les églises, égorge les prêtres, et produit fort peu d’œuvres culturelles. Détruire et non pas construire, c’est la logique intrinsèque de l’islam et de ses racines anthropologiques.

    Paradoxe : plus l’islam tue, plus on réprime l’islamophobie

    Les médias, la classe politique, en Europe et en Amérique du Nord, sont très souvent, par bêtise, naïveté et culpabilisation, victimes de la propagande des idéologues islamiques. Même la hiérarchie catholique tombe dans le panneau. Voici les trois arguments mensongers intimidants : 1) critiquer l’islam et faire remarquer que tous les attentats terroristes ont été commis par des musulmans au nom de l’islam est une ”stigmatisation” des musulmans, donc relève du péché capital de racisme. 2) Il ne s’agit pas de terrorisme musulman mais de ”terrorisme” tout court, non imputable à l’islam. 3) L’islam est une religion de paix et d’amour et la critiquer est, là encore, du racisme. Ces sophismes favorisent discrètement la terreur islamique, ainsi que l’immigration invasive. L’antiracisme ? La principale source de racisme (anti–Blanc) et d’antisémitisme en France, parfaitement tolérée, provient des immigrés musulmans. Les idéologues musulmans ont pour stratégie (depuis le VIIIe siècle) de se présenter en victimes alors qu’ils sont des agresseurs. Les premiers persécutés dans le monde sont les chrétiens (par les musulmans) ; les seconds sont les musulmans (par leurs coreligionnaires). Dans les deux cas, l’islam est un facteur de mort, de guerre, de destruction.       

    L’islamophobie est poursuivie à mesure que l’islam s’impose comme la principale source de terreur, de crimes, d’obscurantisme dans le monde. Paradoxe démentiel. L’islamophobie est même punie de la peine de mort, comme on l’a vu avec le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo, après un meurtre semblable en Europe du Nord, voici quelques années ; actuellement, en Europe, nombre d’ ”islamophobes”, souvent journalistes, sont sous le coup d’une fatwa (appel au meurtre) et sous protection de la police. (3)

    L’ ”islamophobie” de Trump choque, malgré sa modération 

    La mesure minimaliste de Donald Trump, prise par décret fin janvier 2017, annulant (provisoirement et timidement) des visas de séjour aux Etats-Unis pour sept pays musulmans hébergeant des terroristes (bien en dessous de ses promesses d’interdire toute immigration musulmane, ce qui serait pourtant indispensable), a provoqué au Congrès et dans le monde, un vague de réprobation démesurée, auxquels se sont joints les immigrationnistes, la chancelière Merkel et son subordonné français Hollande.

    Le décret de Trump, qui a d’ailleurs été annulé par les juges, preuve de leur dictature contre le peuple, est assimilé à un crime islamophobe. Hollande a sermonné que « l’accueil des réfugiés est un fondement des démocraties », alors que c’est l’inverse, cet ”accueil” invasif imposé étant parfaitement antidémocratique puisque refusé massivement par les peuples européens autochtones et les Américains. Pour l’idéologie dominante devenue folle, bannir les immigrants musulmans est un péché – et la lutte antiterroriste ne saurait y servir de prétexte, même si 100% des terroristes sont musulmans.

    Les démocrates du Congrès ont accusé Donald Trump de discriminer les musulmans. Et le chef du groupe démocrate au Sénat, Charles Schumer, a déclaré que « les larmes coulaient sur les joues de la statue de la Liberté ». Elles ne coulent pas quand des migrants musulmans installés aux USA massacrent régulièrement des citoyens américains ? Décidemment, il faudrait que la couronne posée sur la tête de la statue de la Liberté à l’entrée du port de New–York soit remplacée par un voile islamique, ce serait important pour ne pas offenser l’islam, non ?   

    Le vice–premier ministre turc, Numan Kurtulmus, a intimé au président Trump, avec une sereine impudence, de revenir sur son décret, motivé selon lui par «  l’islamophobie, les sentiments anti–immigration et la xénophobie croissante de l’Occident ». Les musulmans revendiquent donc le droit de nous envahir. Deux poids deux mesures : l’Europe, les États–Unis, le Canada sont sommés d’accueillir les ”migrants” de Syrie et d’ailleurs, mais les riches monarchies arabes absolutistes, pas plus que d’autres pays musulmans n’en accueillent un seul. Cherchez l’erreur.

    L’ ”islamophobie” assimilée aux persécutions antijuives

    Les idéologues musulmans et leurs collaborateurs de gauche comparent les persécutions antijuives entre 1940 et 1945 et la prétendue ”islamophobie” qui règnerait en France et en Europe, notamment à la suite de l’interdiction (théorique, limitée, et peu suivie d’effets) des tenues vestimentaires imposées aux femmes, tchador intégral et ”burkini”.

    Cette comparaison est d’autant plus insultante pour les Juifs qu’ils sont la cible d’un antisémitisme musulman meurtrier depuis les crimes de Merah et de Coulibaly. Les abominables ”identitaires” ou le FN, ni les très supposés dangereux et subversifs cathos intégristes ne sont impliqués dans cet antisémitisme meurtrier. Dans de récentes déclarations, Vincent Peillon, Jean–Christophe Cambadélis (le patron du PS, le plus bête de la bande), Jean–Luc Mélenchon, Edwy Plenel, Tarik Ramadan ont défendu l’idée, avec l’aide des médias américains démocrates, que les musulmans sont persécutés en France et victimes de ”racisme” comme les Juifs du temps de Vichy. Alors qu’ils sont privilégiés ! Contrôler, arrêter ou condamner un voyou arabe ou africain qui vient de commettre un délit équivaudrait aux rafles antijuives de la Seconde guerre mondiale.

    Qu’on puisse, en France, être poursuivi pour ”islamophobie”, mais non pas pour ”christianophobie”, est un signe suicidaire de démission et de soumission face à l’islam.

    (1) Le christianisme est, aujourd’hui, dans le monde, la religion et l’appartenance la plus persécutée et poursuivie. Hors Chine et Corée du Nord, l’islam en est la principale cause. Les atteintes contre les lieux de culte chrétiens en France entre 2008 et 2016, (églises, cimetières, etc.) ont augmenté de 245%. En 2016, pour la première fois dans l’histoire, un prêtre (le Père Hamel) a été égorgé par des musulmans pendant sa messe. Mais, bien sûr, le grand péril, c’est l’islamophobie, n’est-ce pas ?

    (2) Une France soumise, est le dernier essai de Georges Bensoussan, ( Albin Michel, 2017)

    (3) Les poursuites judiciaires contre l’hebdo de droite Valeurs actuelles (le seul en progression de ventes par rapport à ses concurrents, ce qui inquiète l’oligarchie) simplement pour avoir dénoncé une islamisation et une invasion migratoire, prouvent que les médias résistants sont assaillis par une justice politisée et partiale. État de droit ?

  • 2017 : le centenaire des abominations en Europe

      

      Auran Derien, universitaire ♦

    En cette année 2017, deux événements auront un siècle: la révolution bolchévique et l’entrée en guerre des États-Unis.

    En 1917 le monde européen a commencé son mouvement de bascule de la civilisation vers l’abîme. Les néantologues qui tiennent le haut du pavé vont certainement fêter ces anniversaires. La question du XXIème siècle reste celle qui fut posée dans l’après-guerre de 1914: Comment les empêcher  de nuire? Nous savons qu’il n’y a presque plus de peuples pour réagir en Europe. Heureusement, l’humanité européenne est s’étendue. Comme toujours d’autres Aurores, mais pour d’autres peuples, vont luire.

    Les bolchéviques réintroduiront l’inquisition, la chasse aux figures culturelles, la destruction des livres, le trafic d’œuvres d’art, la libération des bas-fonds emprisonnés. Ils s’inspiraient de leur corréligionnaire Frank, affirmant  que la nouvelle société se construit à travers la destruction du présent. La police secrète démarra (la cheka), le mensonge devint permanent et systématique, le vocabulaire de la haine réligieuse réapparut, les normes morales d’une civilisation furent détruites.

    Les bolchévique appliquèrent des mesures qui ont été généralisées aujourd’hui. Lénine imposa la destruction des Universités qui devaient recevoir les personnes cherchant un diplôme plutôt que des connaissances. Les attentats pullulèrent pour démarrer la terreur contre les indigènes. Seule la richesse devait entrer dans les poches de la haute finance mondialiste pour transiter vers les USA notamment, en remerciement des financements qui avaient permis la révolution. Cet aspect n’a pas changé : derrière les haineux,  les escrocs qui s’emparent du pouvoir au nom du bien tout en organisant le génocide des autochtones, il convient de retracer les circuits de l’argent. Dans le cas bolchévique, on trouve une banque suédoise, Nya Banken, contrôlée par  Aschberg, une banque estonienne (Harju Bank), et la liste des banquiers de Wall Street, notamment Schiff et Warburg.

    La structure de pouvoir établie en Russie bolchévique  est exactement celle qui fut imposée à l’Europe dans le cadre de Maastricht et Lisbonne :

    – Le Parlement de l’Union Européenne est un organisme croupion, très accessoire, sans pouvoir législatif, exactement comme le Parlement bolchévique qui n’eut jamais la moindre autorité.

    – Le Conseil Européen, le gouvernement en quelque sorte, dépend des propositions faites par la Commission pour décider. Le Conseil des ministres de l’URSS fut lui aussi dans l’incapacité de prendre quelque décision que ce soit sans les directives du Politburo.

    – La Commission de l’Union Européenne détient le pouvoir réel et peut prendre des décisions à partir du moment où sont présents quasimment la majorité des membres. Les délibérations ne sont pas publiques, les comptes rendus demeurent secrets. L’organe suprême du Parti communiste de l’URSS, le Politburo, centralisait le pouvoir réel et ses délibérations restaient secrètes.

    – Enfin, le Président de la Commission, depuis la fondation de l’Union Européenne le 1er novembre 1993, a reçu le pouvoir exhorbitant d’aprouver les candidats au poste de Commissaires, dénomination qui pue la crasse obscurantiste et criminelle des commissaires politiques de la tyrannie bolchévique. Justement, le Secrétaire Général du Politburo disposait de ce pouvoir totalitaire.

    De plus, les liens entre mafias prospèrent au sein du monde politique européen puisque le tout économique essaie d’éliminer toute autre préoccupation. Enfin, depuis la révolution française, tout homme de qualité connaît les horreurs commises par les sectes maçonniques dans l’extension de la barbarie. Même si une tyrannie  s’exerce sur l’Europe et interdit d’en parler, on sait que la situation a empiré depuis le XVIIIème siècle en proportion de l’emprise des internationales financières. Ces dernières exterminent l’humanité européenne autrefois développée et civilisée pour convertir le continent en poubelle.

    L’entrée en guerre des USA

    En octobre 2016, des sionistes  de Russie et d’autres pays de l’Est promirent aux Anglais de faire entrer l’Amérique en guerre contre l’Allemagne en échange de la Palestine où ils instaureraient un État-consistoire, un État-ghetto peuplé uniquement de juifs. Ainsi l’Amérique entra en guerre le 6 Avril 1917.

    Ainsi, l’internationale financière payait d’une part les bolchéviques et d’autre part les tueurs américains, sans oublier leur rôle dans les refus d’offre de paix qui pourtant se succédèrent à partir de 1916.

    En cette année 2017, le soviet suprême de la finance ( G20, Davos, etc.) va certainement fêter à sa manière ces deux dates fondamentales .

    Elles expriment la double morale (le mensonge  vis-à-vis des autres et un code de conduite différent de celui en usage dans la secte).

    Elles expliquent pourquoi les escrocs ont du succès et éclairent l’extension de leurs méthodes à tous les domaines de la vie, de sorte que Orwell a pu parler de novlangue.

    Cent ans d’inhumanité : une belle performance et toujours la même question : comment les empêcher de nuire ?