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  • Affaire Fillon: une enquête judiciaire a été ouverte

    Le parquet national financier a décidé de l'ouverture d'une enquête judiciaire ce vendredi 24 février. pour détournement de fonds publics, abus de biens sociaux, complicité et recel de ces délits, trafic d'influence et manquements aux obligations de déclaration à la Haute Autorité sur la transparence de la vie publique.

    Le parquet national financier (PNF) a confirmé ce vendredi soir avoir ouvert une information judiciaire dans l'affaire des emplois fictifs présumés de la famille Fillon,comme nous vous le révélions. Les investigations vont être désormais confiées à trois juges d'instruction parisiens.

     

    L'information judiciaire est ouverte pour «détournement de fonds publics, abus de biens sociaux, complicité et recel de ces délits, trafic d'influence et manquements aux obligations de déclaration à la Haute Autorité sur la transparence de la vie publique», a précisé le parquet dans un communiqué.

     

    Les trois magistrats instructeurs ont désormais la possibilité de convoquer le candidat à l'Elysée à tout moment en vue d'une éventuelle mise en examen ou d'un placement sous le statut intermédiaire de témoin assisté. Mais le calendrier, extrêmement serré, rend peu probable une telle hypothèse avant le scrutin.

     

    DOCUMENT. Le communiqué du parquet national financier (PNF)

     

      

     Dans son édition du 25 janvier, «Le Canard enchaîné» avait affirmé que Penelope Fillon avait perçu 500 000 € en tant qu'assistante parlementaire de son mari, l'hebdomadaire satirique mettant -témoignages à l'appui- en doute la réalité de ce travail. Le PNF avait ouvert une enquête préliminaire le jour même pour «détournement de fonds publics, abus de biens sociaux et recel de ces délits». Avant que de nouvelles révélations du «Canard enchaîné» fassent grimper le montant des sommes concernées et impliquent deux des enfants de François Fillon.

     

     

    Le candidat de la droite et du centre à la présidentielle avait, directement ou par la voix de ses avocats, plusieurs fois remis en cause la compétence du PNF et demandé qu'elle soit dessaisie de l'enquête en cours. Le 16 février, cette institution judiciaire avait annoncé ne pas envisager «en l'état» de classement sans suite de l'affaire.

     

    «L'innocence des Fillon sera reconnue par des juges indépendants»

     

    Mes Antonin Lévy et Pierre Cornut-Gentille, avocats de François Fillon : «Le PNF confirme, ce faisant, qu'il n'a pas pu démontrer la réalité des infractions poursuivies». Selon les deux avocats, l'innocence des époux Fillon «sera enfin reconnue» par «des juges indépendants».

    Bruno Retailleau (LR) : «Le PNF n'a pas d'éléments pour une citation directe qui est sa pratique habituelle»

    Le Parisien

     

  • JOURNAL TVL DU 24.02.17

  • Immigration : un rapport alarmant sur les risques épidémiologiques en Europe

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    24/02/2017 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Un rapport publié en 2014 par la Revue Médicale Suisse, intitulé « Maladies tropicales persistantes chez les migrants », alerte sur l’incidence de l’immigration extra-européenne en matière de santé publique. C’est le site lesobservateurs.ch qui remet fort opportunément en lumière ce rapport qu’à l’époque, la presse s’était empressée d’occulter. Notons que trois des sept co-auteurs, les docteurs Géraz, Lozano Becerra et Wolff, exercent au service de médecine pénitentiaire du canton de Genève, un poste d’observation sans doute privilégié pour faire le point sur les différentes pathologies dont souffrent les migrants originaires de pays extra européens.

    Qu’affirme le rapport ? Selon ses auteurs, les migrants sont particulièrement vulnérables à plusieurs maladies infectieuses persistantes, en raison d’une exposition dans leur pays d’origine et de leurs conditions de vie particulières. Le rapport met entre autres l’accent sur des maladies parasitaires persistantes souvent négligées, telles que la schistosomiase, la strongyloïdiase, ou encore la maladie de Chagas.3.

    Ces maladies exotiques ne sont pas les seules à poser problème. Un peu plus de 10 % des migrants originaires d’Afrique subsaharienne et d’Asie de l’Est sont ainsi porteurs d’une hépatite B chronique. Concernant le VIH, le virus du sida, le rapport relève que les populations migrantes, principalement originaires d’Afrique subsaharienne, représentent « une proportion considérable des infections en Europe ». En cas de co-infections avec le VIH ou les hépatites B et C, note le rapport, certaines des parasitoses précédemment mentionnées induisent une morbidité plus grave. Ces aspects sont d’autant plus importants à connaître, soulignent les auteurs, que l’ensemble de ces maladies, tant virales que parasitaires, sont particulièrement fréquentes chez les migrants.

    Quid les maladies bactériennes ? La tuberculose, entre autres, est surreprésentée au sein des populations migrantes,
    alerte le rapport, qui précise que dans de nombreux pays d’Europe occidentale, plus de la moitié des cas de tuberculose active sont ainsi diagnostiqués chez des personnes nées à l’étranger, une proportion qui monte à 70 % en Suisse…


    Les risques sanitaires ne concernent pas que l’immigration récente. 
    Selon les auteurs, certaines maladies infectieuses peuvent, durant de nombreuses années, rester asymptomatiques, c’est à dire n’induire aucune pathologie avérée, avant de provoquer des complications cliniques parfois sévères. Parler d’insécurité sanitaire est donc un euphémisme : ce sont de véritables bombes épidémiologiques qui menacent l’Europe dans les prochaines années.

  • GENERATION IDENTITAIRE: Agressions à la Citadelle Vauban de Lille : l’insécurité doit cesser !

     

     

    Dimanche 12 février à 16h, Lucie, étudiante de 22 ans, est victime d’une tentative de viol alors qu’elle effectue son jogging à la Citadelle Vauban de Lille. Son courage et sa détermination lui permettront de sortir indemne de ce guet-apens. Les agresseurs, six adolescents, sont issus de la communauté Roms dont le camp situé à quelques centaines de mètres du lieu de l’agression avait fait l’objet d’une ordonnance d’expulsion en 2015 qui n’a jamais été exécutée par la préfecture.

    Face à cette montée de l’insécurité, face à l’inaction coupable des pouvoirs publics et face à cette agressivité intolérable de personnes qui n’ont rien à faire sur notre territoire, Génération Identitaire Flandre-Artois-Hainaut dénonce une banalisation de cette violence qui revêt de plus en plus souvent un caractère sexuel et dont les femmes sont particulièrement victimes.

    Génération Identitaire Flandre-Artois-Hainaut exige des autorités municipales et préfectorale, d’une part, l’application de la décision de justice visant à l’expulsion du camp d’où sont issus les agresseurs ; et d’autre part, la mise en œuvre de mesures de sécurité pour la Citadelle Vauban de Lille telles que des patrouilles régulières des forces de l’ordre tant que les camps ne seront pas démantelés.

    En assurant de notre soutien Lucie et toutes les autres personnes victimes de ce type de violence, nous encourageons les Français à réagir pour prendre leur destin en main et ainsi retrouver leur liberté et leur sécurité.

    Communiqué officiel de Génération Identitaire

  • Pays-Bas : un policier néerlando-marocain chargé de la protection de Geert Wilders arrêté. Le PVV suspend toute activité (MàJ)

     

    18h11

    23/02/2017

    Le dirigeant néerlandais du Parti de la liberté, Geert Wilders, attend les résultats d’une enquête sur un policier soupçonné d’avoir communiqué des informations le concernant.

    Un agent néerlando-marocain du Service surveillance et sécurité (DBB), en charge notamment du leader d’extrême droite, est suspecté d’avoir livré des informations secrètes à « un groupe criminel impliqué dans du recel et du blanchiment d’argent », a indiqué, mercredi 22 février, le NRC Handelsblad, quotidien du soir néerlandais.

    Candidat aux législatives du 15 mars aux Pays-Bas, Geert Wilders a annoncé, jeudi 23 février, la suspension de ses «activités publiques». Le député d’extrême droite attend les résultats d’une enquête ouverte sur un policier accusé d’avoir transmis des informations relatives à sa sécurité.

    «Une nouvelle extrêmement inquiétante, a affirmé sur Twitter le dirigeant du Parti de la liberté (PVV). Jusqu’à ce que tous les faits soient connus au sujet de l’enquête pour corruption, le PVV suspend toutes ses activités publiques.»

    france24 ; Le Monde


    22/02/2017

    Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a reçu aujourd’hui le dirigeant d’extrême droite Geert Wilders après l’arrestation d’un policier soupçonné d’avoir fourni des informations sur la sécurité de ce dernier à « un groupe criminel marocain », a rapporté aujourd’hui la presse néerlandaise.

    Si je ne peux pas avoir une confiance aveugle dans (l’équipe) chargée de me protéger, (…) c’est inacceptable! », a réagi M. Wilders dans un tweet.

    M. Rutte et le ministre de la Justice et de la Sécurité Stef Blok ont reçu M. Wilders après qu’un agent de sécurité a donné des informations classées secrètes sur les déplacements du dirigeant du Parti de la Liberté (PVV), selon les médias. « Je ne fais jamais de commentaire sur de telles rencontres », a seulement déclaré ensuite M. Rutte à des journalistes.

    L’agent en question, dont l’identité n’a pas été révélée, faisait partie d’une équipe chargée de sécuriser les espaces publics avant des apparitions d’hommes politiques ou de membres de la famille royale, selon le quotidien De Telegraaf.

    Le Figaro

  • Nigel Farage estime que Theresa May est « folle » de n’avoir aucun respect pour Marine Le Pen

     

    18h29

    L’ancien numéro un de l’UKIP, Nigel Farage, a exhorté le Premier Ministre Theresa May à rencontrer la candidate à la Présidence française, Marine Le Pen, et tout du moins de lui accorder un minimum de respect.

    L’impétueux « Brexiteer » a déclaré qu’il ne comprenait pas pourquoi madame May a accueilli le candidat de centre gauche Emmanuel Macron et n’offrirait pas la même hospitalité à madame Le Pen.

    Mr Macron a eu une furtive entrevue avec Theresa May.

    S’exprimant au micro de la station de radio LBC, Mr Farage a averti que madame Le Pen pourrait tout à fait devenir la future Présidente de la France prochainement et que le Royaume-Uni devrait pourtant avoir tiré les leçons du passé en ayant snobé Donald Trump au profit d’Hillary Clinton pendant la campagne électorale américaine.

    « Madame May, si vous m’entendez, sachez qu’il n’est pas impossible du tout que Marine Le Pen gagne cette élection ».

    Le député européen de 52 ans a dit  » A quel titre le Premier ministre britannique fait la promotion d’un candidat socialiste qui aspire à devenir président de la France alors que celui-ci croit fermement au projet européen ? Je ne comprends pas ».

    « Pourquoi une telle attitude alors qu’elle refuse de rencontrer Marine Le Pen qui est rappelons le pour le moment, en tête des sondages du premier tour ? »

    « C’est complètement dingue que le gouvernement britannique s’implique à ce point là dans des élections étrangères et ne fasse pas preuve d’un peu plus de respect pour les deux candidats équitablement »

    « N’est ce pas une réminiscence de ce que tout le monde a déjà fait en Grande-Bretagne en soutenant Hillary Clinton et en disant que Donald Trump était le mauvais dans l’affaire et finalement c’est lui qui a gagné »

    Traduction FDS du Daily Express et IBC

  • EXCLUSIF- La famille de Théo Luhaka au coeur d'une enquête financière

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    La famille de Théo est au coeur d'une enquête financière pour abus de confiance et escroquerie. Les interrogations portent sur une somme de 678 000 euros.

    C’est une affaire qui embarrasse les autorités, et ce jusqu’au plus haut sommet de l’Etat. La famille de Théo, et Théo lui-même, se retrouvent au coeur d’une affaire financière. Selon nos informations, une enquête a été ouverte par le parquet de Bobigny (Seine-Saint-Denis) pour « suspicion d’abus de confiance et escroquerie » en juin dernier, soit bien avant le viol présumé du jeune homme lors d’une interpellation brutale, le 2 février dernier, à Aulnay-sous-Bois.

     

    Cette enquête, confiée au Service départemental de la police judiciaire (SDPJ) de Seine-Saint-Denis ne remet évidemment pas en cause les violences policières présumées subies par Théo.

     

    Tout commence courant 2015 par un contrôle de l’Inspection du travail d’Ile-de-France concernant l’association Aulnay Events dont le président est Mickael Luhaka, l’un des frères de Théo. L’association est censée avoir embauché 30 salariés, formés pour être animateurs de rue. Le but d’Aulnay Events ? Lutter contre la violence dans le département... L’association aurait reçu, entre janvier 2014 et juin 2016, 678 000 euros de subvention d’Etat par le biais de contrats d’accompagnement à l’emploi, dit contrat aidés.

      

     Mickael Luhaka se défend d’avoir employé des salariés fantômes

     

    S’agit-il d’employés fantômes ? Lors du contrôle de l’Inspection du Travail aucun élément matériel probant n’a pu être produit par les dirigeants de l’association pour étayer la réalité des emplois. Par ailleurs, plus de 350 000 euros de cotisation sociales, notamment URSSAF, n’ont pas été réglées. Entre temps, l’association a mis la clef sous la porte. D’où un signalement en avril 2016 de l’Inspection du Travail auprès du procureur de la République de Bobigny.

     

    Toujours selon nos informations, les investigations des policiers du SDPJ 93 auraient montré que huit membres de la famille Luhaka, tous habitant à Aulnay-sous-Bois, ont perçu de l’association plus de 170 000 euros par virement, dont 52 000 euros sur le seul compte de Théo. Contacté par « Le Parisien », Mickael Luhaka se défend d’avoir employé des salariés fantômes, précisant avoir recruté en CDI plus d’une trentaine de salariés, dont les membres de sa famille. Il confirme avoir été interdit bancaire, tout comme son frère.

     

    Retrouvez l'intégralité de l'interview de Mickael Luhaka dès 23h30 sur LeParisien.fr.