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  • Discours CPAC : Trump «Paris n'est plus Paris» (24/02/17) - sous-titres français

    NdB: Comme c'est vrai! Comme Trump dit la vérité au monde!  

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Après 250 morts et 800 blessés, Hollande répond à Trump au sujet de Paris : « Ici, il n’y a pas de personnes qui prennent des armes pour tirer dans la foule »

    Après 250 morts et 800 blessés, Hollande répond à Trump au sujet de Paris : « Ici, il n’y a pas de personnes qui prennent des armes pour tirer dans la foule »
     

    BREIZATAO – POLITIKEREZH (25/02/2017) S’extirpant difficilement des récentes révélations (voir ici) au sujet de Théo Luhaka et de sa famille qu’il avait soutenus aveuglément, François Hollande a cru pouvoir rebondir en raillant le président américain qui venait de déclarer que « Paris n’est plus Paris » (source).

    « Et je ne ferai pas de comparaison mais ici il n’y a pas de circulation d’armes, il n’y a pas de personnes qui prennent des armes pour tirer dans la foule« , a poursuivi François Hollande.

    Devant l’énormité du commentaire, les réactions ont été nombreuses sur les réseaux sociaux.


    En savoir plus sur http://breizatao.com/2017/02/25/apres-250-morts-et-800-blesses-hollande-repond-a-trump-au-sujet-de-paris-ici-il-ny-a-pas-de-personnes-qui-prennent-des-armes-pour-tirer-dans-la-foule/#Xy7dxx87LBTJUKtJ.99
     
     
     
     
     
     
     
  • Effet bénéfique du Brexit : baisse de l’immigration au Royaume-Uni

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    25/02/2017 – GRANDE-BRETAGNE (NOVOpress)
    C’est Valeurs Actuelles qui nous l’apprend : de septembre 2015 à septembre 2016, le solde migratoire net du Royaume Uni est tombé à 273 000, soit une chute de près de 50 000 unités par rapport à la période précédente, atteignant ainsi son plus bas niveau depuis juin 2014.

    Le Premier ministre Theresa May s’est félicitée de ce résultat, tout en souhaitant « en faire davantage pour atteindre l’objectif d’un solde migratoire de seulement quelques dizaines de milliers de personnes ».

  • (CPAC de Washington) : Nigel Farage dit aux Conservateurs américains que 2016 n’était qu’un début !

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    1h27

     

    L’ancien leader du parti souverainiste britannique Ukip Nigel Farage a été acclamé vendredi à la conférence annuelle des conservateurs américains en affirmant que les victoires du Brexit et de Donald Trump n’étaient que les prémices d’une révolution contre « les mondialistes ».

    « 2016, on l’a fait!  » s’est exclamé Nigel Farage sur la scène de CPAC, peu après la venue du président américain au rassemblement, près de Washington.

    « Lorsque les prochaines générations étudieront l’histoire de cette période, une année sortira du lot, et cette année sera 2016″, a déclaré le Britannique, qui fut l’un des principaux acteurs de la campagne pour le Brexit en juin dernier.

    Évoquant les échéances électorales prochaines aux Pays-Bas, en France, en Allemagne et éventuellement en Italie, Nigel Farage a martelé que 2016 n’avait été que « le début d’une grande révolution globale. Elle atteindra le reste du monde occidental ».

    Et même si dans ces pays des défaites étaient essuyées en 2017, « le centre de gravité de tout le débat se sera déplacé », s’est-il félicité par avance, sans citer nommément Marine Le Pen, et en dénonçant les « mondialistes », un terme qui fait également partie du vocabulaire de Donald Trump.

    Le Britannique, très applaudi par plusieurs centaines de personnes, a rappelé qu’il avait soutenu Donald Trump pendant la campagne électorale américaine et plaisanté que, depuis sa victoire en novembre dernier, il se sentait « de plus en plus américain ».

    Le souverainiste a félicité le milliardaire pour son premier mois au pouvoir. N’est-ce pas « surprenant », a-t-il demandé, « de voir un dirigeant appliquer le programme sur lequel il a été élu? »

    RTBF et Fox News

     

     

     

  • Le projet économique de Macron fait l'unanimité contre lui

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    Par Jean-Baptiste Garat


    Mis à jour le 24/02/2017 à 18h54 | Publié le 24/02/2017 à 18h42

    Pour la gauche, le candidat En marche ! s'inspire de Fillon ; pour la droite, il poursuit la politique de Hollande.

    De l'extrême droite à l'extrême gauche, en passant par les Républicains et le Parti socialiste, les réactions sont unanimes. Le projet économique qu'Emmanuel Macron a présenté vendredi matin est rejeté par tout le monde.

    «C'est un remède d'eau tiède. Il ne fera pas 10 % de ce qu'il annonce et quand bien même il ferait ce qu'il annonce, ça ne suffirait en rien à permettre le redressement de notre économie.»

    Thierry Solère

    À droite, les propositions de l'ancien ministre de l'Économie sont jugées globalement insuffisantes. «De la soupe à l'eau tiède», selon une formule entendue au siège de campagne de François Fillon. Le député de Paris a d'ailleurs réservé une bonne place à Emmanuel Macron dans le discours qu'il a préparé pour son meeting de Maisons-Alfort vendredi soir. «Tout ce plan Macron, c'est à peine mieux que Hollande et c'est surtout beaucoup moins fort que le plan Fillon», juge-t-il. «C'est un remède d'eau tiède, a expliqué pour sa part Thierry Solère sur Radio Classique. Il ne fera pas 10 % de ce qu'il annonce et quand bien même il ferait ce qu'il annonce, ça ne suffirait en rien à permettre le redressement de notre économie.» «Les mesures qu'il propose sont soit inutiles soit des demi-mesures qui ne feront rien bouger tant la situation du pays est dégradée», complète Éric Woerth. «Chez Emmanuel Macron et François Bayrou, tout est faible, de la baisse des dépenses publiques à celle des prélèvements obligatoires! ajoute l'ancien ministre du Budget. Macron, c'est la poursuite du hollandisme par d'autres moyens.»

    Inscrire la candidature de l'ancien secrétaire général adjoint de l'Élysée dans la continuité de celle de l'actuel président? L'argument fait également florès au Front national. Conseiller économique de Marine Le Pen, Philippe Murer juge que le candidat d'En marche! s'inscrit «dans la continuité de François Hollande». «Macron, ce sont des petits boulot ubérisés ou le chômage», ajoute-t-il. Bernard Monot, autre conseiller de la candidate, estime, lui, qu'«Emmanuel Macron peut bien annoncer ce qu'il veut, en vérité sa feuille de route lui est donnée par Bruxelles».

    «Vieilles recettes»

    À gauche, on n'est pas plus tendre avec la copie économique du leader d'En marche!. Mais pour les communistes comme pour les socialistes, le projet de l'ancien banquier d'affaires est avant tout comparé à celui du candidat de LR. «60 milliards d'économie, 120.000 fonctionnaires en moins, c'est du Fillon en modèle réduit!», s'est exclamé Pierre Laurent, sur LCP. Le secrétaire général du PCF juge que «les masques» sont tombés depuis l'alliance d'Emmanuel Macron avec François Bayrou, car le président du MoDem cherche «depuis quinze ans» à «créer un centre droit destiné à voter des projets libéraux avec la droite».

    Au Parti socialiste, aussi, certains n'hésitent pas à rapprocher le programme du candidat d'En marche! de celui des Républicains. «Emmanuel Macron choisit les vieilles recettes de la droite: moins de fonctionnaires, moins de services publics et plus d'inégalités. Où est le progrès là-dedans?», fait mine de s'interroger l'adjoint au maire PS de Paris Bruno Julliard.

    «Qui peut penser aujourd'hui que la solution pour notre pays est de faire ce qu'ont fait tous les pays qui aujourd'hui sont en récession, c'est-à-dire continuer à réduire la dépense publique ?»

    Benoît Hamon

    Candidat vainqueur de la primaire de la gauche, Benoît Hamon ne va pas jusque-là, même s'il explique avoir ressenti «une forme de consternation» à la lecture du projet d'Emmanuel Macron. «Qui peut penser aujourd'hui que la solution pour notre pays est de faire exactement ce qu'ont fait tous les pays qui aujourd'hui sont en récession, c'est-à-dire continuer à réduire la dépense publique?, s'est interrogé l'ancien ministre sur France 2. C'est une obsession chez celles et ceux qui à Bruxelles, depuis maintenant plusieurs années, ne pensent qu'à cela.»

    Et qu'en pensent les Français? À deux mois du premier tour, les électeurs hésitent encore sur le projet économique qui leur paraît le meilleur. Selon une étude BVA pour La Tribune, Emmanuel Macron (22 %) et François Fillon (22 %) sont les candidats les plus cités pour la qualité de leurs propositions, devant Benoît Hamon (14 %), Jean-Luc Mélenchon (11 %) et Marine Le Pen (11 %).

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 25/02/2017. Accédez à sa version PDF en cliquant ici