Florent Pagny a présenté ses excuses, mercredi sur RTL, après ses propos tenus la veille contre le langage «rebeu» (beur). «Je tiens à m'excuser si j'ai blessé, choqué, offensé des gens, a déclaré le chanteur. Moi raciste, c'est l'antipode de ce que je peux être». «Je voyage suffisamment, et je partage ma vie avec suffisamment de gens de races différentes pour ne pas l'être», a-t-il ajouté.
Mardi matin, au micro de Chérie FM, il racontait sa nouvelle vie à Miami et la scolarisation de ses enfants aux Etats-Unis, meilleure qu’en France à ses yeux. « Il y a un moment où ton môme, il rentre à la maison et d’un seul coup, il se met à parler rebeu… », expliquait-il en évoquant les écoles françaises.
Florent Pagny a présenté ses excuses, mercredi sur RTL, après ses propos tenus la veille contre le langage «rebeu» (beur). «Je tiens à m'excuser si j'ai blessé, choqué, offensé des gens, a déclaré le chanteur. Moi raciste, c'est l'antipode de ce que je peux être». «Je voyage suffisamment, et je partage ma vie avec suffisamment de gens de races différentes pour ne pas l'être», a-t-il ajouté.
Mardi matin, au micro de Chérie FM, il racontait sa nouvelle vie à Miami et la scolarisation de ses enfants aux Etats-Unis, meilleure qu’en France à ses yeux. « Il y a un moment où ton môme, il rentre à la maison et d’un seul coup, il se met à parler rebeu… », expliquait-il en évoquant les écoles françaises.
Le Conseil représentatif des associations noires (Cran) avait aussitôt dénoncé un «dérapage raciste», estimant que ses propos rappellaient ceux de Jean-Marie Le Pen. Le leader du Front national avait déclaré «avoir acheté une maison de campagne pour permettre à ses enfants qui habitaient le XVe arrondissement de voir des vaches, au lieu de voir des Arabes».
Le Cran avait demandé à Florent Pagny de retirer ses propos. Ce qu’il n’a pas vraiment fait puisque, mardi soir, en direct dans «Le Grand Journal» de Canal +, face à Michel Denisot, admettant que « l’expression employée n’était pas la bonne», il a jugé l'attaque «injuste», ajoutant même : «Je n’ai évidemment rien contre les rebeus qui parlent rebeu...»
Le Parisien - 10/11/10
Commentaires
De l'art de baisser son froc. Mais bon la pression était trop forte, on le comprend un peu.
marrant , ces saltimbanques du chaud-bises qui se laissent aller à des propos que beaucoup pensent bien bas, mais qui carriére oblige , doivent présenter leurs excuses et faire profil bas , en disant le contraire de ce qu,ils pensent!! des futurs dhimmis!!
salutations.