Malgré les efforts d'Angela Merkel, qui proposait une réduction de moitié des gaz à effet de serre (GES) d'ici 2050, le G8 climatique n'a pu aboutir qu'à un "consensus" vague qui n'engage par accord aucune des 8 puissances les plus industrialisées. Les Etats-Unis sont parvenus en effet à bloquer tout objectif chiffré et mesurable dans le temps des émissions de CO2, car il y a encore des "éléments qui manquent" pour parvenir à des accords datés et quantifiables. Les pays "émergents" contribuant de plus sans contrainte à la pollution de l'atmosphère.
Le G8 sur la protection climatique s'est avéré être en fin de compte un échec, malgré la bonne volonté exprimée par chacun des participants.