En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Quelle Paix, ce qui pourrait être paix, et se trouve par la folie des hommes enjeu de pouvoir des dogmes.
Quelle paix, si cette magie de Noël pouvait ramener un peu de raison à la raison de l'Humanité
Quelle Paix, si chacun pouvait penser un instant que sans l'Autre aucune vie n'est possible en ce lieu, comme en tout lieu de notre ère.
Quelle paix, je ne peux que souhaiter me fondre, moi agnotiste, en ce lieu pour appeler à ce qui fait que l'Homme existe en communautés bien supérieures à son propre cercle.
Paix, que la magie de Noël, fasse son oeuvre !
Amicalement
Je ne connais pas Hans Baldung mais j'aime beaucoup Lucas Cranach et Durer qui sont aussi exposés à la pinacothèque de Munchen,je crois.
Cher marcel, moi non plus, je ne connaissais pas Hans Baldung (je connais un peu les deux autres que vous citez!) - en regardant bien cette Nativité, elle m'a semblé étrange. Le socle en marbre n'est pas en ruines, si le haut s'est effondré... L'espoir est minuscule lumière de chair dans un linge aporté par des anges... La Vierge mère est par ses cheveux couronnée de soleil... Le boeuf et l'âne sont impressionnants, apparemment incongrus dans ce palais aux pilastres très nets, presque contemporains d'aspect. Cette Nativité ne ressemble pas aux autres. C'est une ville en ruines, mais elle va être rebâtie, même si l'architecte n'est encore qu'un bébé minuscule... le symbolisme de cette toile m'a paru très riche. Aussi l'ai-je choisie parmi dix autres... plus conventionnelles.
Pour les poètes français, je ne peux que souscrire à ce que tu écris!
Je vais mettre plus souvent des poèmes.
Amitiés!
Très belle peinture, mais aussi assez étrange, en effet comme vous la décrivez bien, chère Gaëlle. Comme quoi, les peintres qui se disent ‘modernes’ n’ont pas innové !
Cher abad, ma réponse à propos des Touaregs n'est pas parti: "Impossible d'ouvrir la page". Bon, j'ai ré-inialisé la clé Web. Cela tient une heure... - Je suis désolée pour les Touregs, je n'ai fait que reproduire l'information du Parisien à propos des deux journalistes français qui risquent la mort au Niger, précisément pour être allés recueillir la parole des Touaregs. Je suis prête à parler de la persécution de ce peuple nomade, très mal connu, si j'ai des documents. La décolonisation de De gaulle a fait un mal incommensurable à l'Afrique: on le voit clairement aujourd'hui.
Commentaires
Quelle Paix, ce qui pourrait être paix, et se trouve par la folie des hommes enjeu de pouvoir des dogmes.
Quelle paix, si cette magie de Noël pouvait ramener un peu de raison à la raison de l'Humanité
Quelle Paix, si chacun pouvait penser un instant que sans l'Autre aucune vie n'est possible en ce lieu, comme en tout lieu de notre ère.
Quelle paix, je ne peux que souhaiter me fondre, moi agnotiste, en ce lieu pour appeler à ce qui fait que l'Homme existe en communautés bien supérieures à son propre cercle.
Paix, que la magie de Noël, fasse son oeuvre !
Amicalement
Je ne connais pas Hans Baldung mais j'aime beaucoup Lucas Cranach et Durer qui sont aussi exposés à la pinacothèque de Munchen,je crois.
Cher marcel, moi non plus, je ne connaissais pas Hans Baldung (je connais un peu les deux autres que vous citez!) - en regardant bien cette Nativité, elle m'a semblé étrange. Le socle en marbre n'est pas en ruines, si le haut s'est effondré... L'espoir est minuscule lumière de chair dans un linge aporté par des anges... La Vierge mère est par ses cheveux couronnée de soleil... Le boeuf et l'âne sont impressionnants, apparemment incongrus dans ce palais aux pilastres très nets, presque contemporains d'aspect. Cette Nativité ne ressemble pas aux autres. C'est une ville en ruines, mais elle va être rebâtie, même si l'architecte n'est encore qu'un bébé minuscule... le symbolisme de cette toile m'a paru très riche. Aussi l'ai-je choisie parmi dix autres... plus conventionnelles.
Pour les poètes français, je ne peux que souscrire à ce que tu écris!
Je vais mettre plus souvent des poèmes.
Amitiés!
Très belle peinture, mais aussi assez étrange, en effet comme vous la décrivez bien, chère Gaëlle. Comme quoi, les peintres qui se disent ‘modernes’ n’ont pas innové !
Cher abad, ma réponse à propos des Touaregs n'est pas parti: "Impossible d'ouvrir la page". Bon, j'ai ré-inialisé la clé Web. Cela tient une heure... - Je suis désolée pour les Touregs, je n'ai fait que reproduire l'information du Parisien à propos des deux journalistes français qui risquent la mort au Niger, précisément pour être allés recueillir la parole des Touaregs. Je suis prête à parler de la persécution de ce peuple nomade, très mal connu, si j'ai des documents. La décolonisation de De gaulle a fait un mal incommensurable à l'Afrique: on le voit clairement aujourd'hui.
Amitiés!