Un Français de 37 ans, connu pour avoir des antécédents psychiatriques, a violemment cogné la tête de sa petite fille de 4 ans contre un monument à Rome. Il a été arrêté et incarcéré. Son enfant, très grièvement blessée, a été hospitalisée.
Choqués, les nombreux témoins de la scène évoquent un acte d'une violence terrifiante. A Rome, dans la nuit de samedi à dimanche, Julien M., un Parisien de 37 ans, a violemment cogné la tête de sa petite fille de 4 ans sur un monument de la capitale italienne. Opérée d'urgence dans un service de neurochirurgie, la petite Luna se trouve dans un état grave.
« Sa vie est en danger », précisait-on hier à l'hôpital de l'Enfant-Jésus où la fillette, dans le coma, a été admise pendant la nuit. Immédiatement interpellé, son père a lui été incarcéré dans une prison romaine. Très confus, cet homme qui a des antécédents psychiatriques n'a pas expliqué son geste.
Les faits se sont déroulés vers 23 heures place de Venise, une des plus imposantes esplanades de Rome où se trouve notamment le majestueux monument dédié au roi Victor-Emmanuel II. Avant qu'il ne commette son terrible geste, le comportement suspect de Julien M. avait attiré l'attention d'autres touristes, inquiets de le voir maltraiter sa fille en pleurs. Mal en point, le père de famille avait également été aperçu en train de vomir. Avisée de la situation, une policière italienne a alors tenté, avec l'aide de passants, d'arracher la petite fille des bras de son père. Pour seule réaction, l'homme a subitement saisi la fillette par les cheveux avant de violemment cogner sa tête par trois fois sur le socle en marbre du monument.
« J'ai pensé qu'elle était morte », a confié la policière à la presse italienne. Très perturbé, le père de la petite fille s'est ensuite mis à se taper la tête contre le sol.
Contactée par les autorités consulaires françaises, la mère de Luna ne se trouvait pas en Italie au moment du drame mais en vacances en Turquie. Elle a expliqué qu'elle n'était pas au courant de la présence de ses proches en Italie. Selon elle, son compagnon et leur fille auraient dû se trouver à Paris. Elle devait rejoindre Rome hier dans la journée. Alertée rapidement, la consule de France Hélène Larose a passé la nuit au chevet de la fillette.
Incarcéré à la prison Regina-Coeli, son père est pour l'heure resté totalement silencieux. Il n'a fourni aucune explication sur son soudain déchaînement de violence. Ses analyses de sang n'auraient pas révélé la présence d'alcool ou de stupéfiants. Il aurait en revanche, selon sa compagne, déjà séjourné dans un hôpital psychiatrique en France. Dans son sac à dos, les enquêteurs romains ont d'ailleurs retrouvé des médicaments qui laissent à penser qu'il suivait un traitement psychiatrique. L'expertise que devrait diligenter la justice italienne permettra sans doute d'en savoir plus.
« La coopération avec les autorités italiennes est excellente », se félicite-t-on de source diplomatique française. Si sa fille venait à succomber à ses blessures, Julien M. serait alors poursuivi pour homicide.
Tout récemment, les médecins ont refusé à un père diabétique, qui se soignait, d'avoir la garde partagée de son enfant estimant qu'il pouvait "avoir un accident de santé" tel que tomber dans le coma...
Commentaires
Le vrai malade, c’est notre système judiciaire et psychiatrique.
Très juste, Gaëlle!
La possession n'est pas un vain mot! Lorsque l'individu n'est pas maître de sa conscience, c'est quelqu'un d'autre qui est aux commandes. Mais pas pour son bien. Les expressions sous l'emprise de l'alcool, ou de stupéfiants, le démontrent.
A part leur donner des cachets (pour se cacher la vérité?), les toubibs ne savent que les écouter. Résultat, ils sont complètement ensuqués. Je pense qu'ils ont la belle vie ces fadas. Ils sont chouchoutés, ce qui ne les ramène pas à la réalité. Ils ne sont pas confrontés à la survie, car trop assistés. Je pense que si on leur rentrait dans le lard, style stage commando en pleine jungle, une baïonnette dans les miches pour celui qui n'avance pas, et une ration de combat tous les 50 km, ils reviendraient aux fondamentaux, c'est à dire la survie et le fonctionnement normal du cerveau. Les chocs émotionnels, vous dis-je, les chocs émotionnels...
NB: En occitan, le fada a la même racine que fée. Le fada est celui qui parle aux fées. Ils étaient très respectés, comme dans nombre de sociétés, car on pensait qu'ils étaient des ponts avec d'autres réalités...
Cher Arauris, je savais pour "fada".
Oui, une bouleversement physque, l'instinct de surcie, pourait peut-être remettre leur pauvre cerveau en place...
Autrefois, on leur donnait des douches glacées, on pratiquait des électro-chocs.
Je méprise les psychiatres actuels. Ils ne recherchent que l'argent. Bpc d'entre eux sont des "élus". Ceux qui ne sont pas dentistes ou avocats internationaux sont des "médecin de l'âme"! on voit le résultat! A noter que sa mère était partie en Turquie, la laissant à un fou (elle savait qu'il était dangereusement malade) et voilà le terrible résultat. Encore un enfant victime... Sauvée peut-être, mais avec qulles lourdes séquelles...
Comme Gaelle je méprise les psychiatre actuellement en place car non seulement ils ne soignent pas mais ils rendent malade des personnes ayant tout à fait autre chose. Ils ne savent que donner des psychotropes.
Une personne un peu dans notre genre tombant dans leur mains devient très rapidement malade. Puisque pour ces gens tout raisonnement logique est anormal et preuve de schizophrénie. J'ai vu un militant FN un peu dépressif (au chômage avec 4 enfants) qui "grace" à son généraliste est tombé malheureusement dans les mains des neuro psychiatres (les pires) aujourd'hui il est un zombi a qui je ne ferais guère confiance tant ces réactions sont surprenantes.
Il faut également savoir que l'invasion est également importante dans ce domaine. Alors essayez de penser à une femme allant raconter ses problèmes de déprime dûs à des harcelements à un bon musulman. Elle est forcement folle et en avant les psychotropes. Une de moins !
ni fada ni rien du tout. Un pauvre minable lâche hystérique, devenu dément d'etre sous le joug de sa femelle, abandonnant régulièrement, père et fille, pour courir à ses plaisirs en Turquie ou ailleurs...
De + En + de ces "mâles", mal rasés, accentuant les attributs secondaires d'une virilité ostensible, en proportion de l'amoindrissement de leur virilité intérieure...
Ils sont souvent en proie à des colères impuissantes, hystériques...
bien d'accord avec vous Gaelle, "Ceux qui ne sont pas dentistes ou avocats internationaux sont des "médecin de l'âme"! , et de + en + dans le bizness, juteux, si je puis m'exprimer de la sorte, des "hyménoplasties".....
Naguère,les petits enfants de 4 ans étaient confiés aux soins de leurs mère,grand-mères,tantes et cousines ,non?
Ah, mais chère Tania, vous ne suivez pas ! Il n’y a plus de différence entre les hommes et les femmes ! Que faites-vous de principe d’égalité et de non-discrimination ?
Amicalement !