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Immigration: la polygamie africaine en France

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Retour d'urgence au Mali!

Depuis la visite « chez elles », à Villiers-le-Bel, le matin du 29 juillet, de la police et de l’huissier chargés de recenser et relever l’identité des squatteurs de l’immeuble, par ailleurs remarquablement "bien tenu" par les habitants, elles dorment mal et leurs enfants difficilement. Elles sont une douzaine de mamans maliennes à occuper illégalement cette partie de la grande barre vétuste.

Trois autres, victimes de marchands de sommeil, sont dans la légalité, mais payent des loyers exorbitants pour occuper les lieux (de 1 100 € à 1 350 €). Qui sont ces marchands de sommeil? Des Africains?

Toutes ces femmes vont faire l’objet dans quelques semaines d’une expulsion des logements où elles ont trouvé refuge, souvent illégalement, après quelques nuits à l’hôtel, dans la grande barre de la Cerisaie, l’une des copropriétés les plus dégradées de la commune.

« Je cumule plusieurs emplois déclarés, mais impossible de trouver un toit »

Une partie de cette résidence de la fin des années 1950 va faire l’objet d’un plan de sauvegarde et d’un plan de démolition et de reconstruction dans le cadre d’une prochaine convention Anru (Agence nationale de rénovation urbaine) et les propriétaires des logements squattés, notamment le bailleur social Valestis, veulent récupérer leurs biens pour les rénover et les relouer.

Deuxièmes ou troisièmes épouses de leur mari, leurs petits sous le bras, ces femmes, âgées de 19 à 46 ans, ont renoncé au mariage ou fui le domicile conjugal où elles devaient souvent vivre avec ses autres femmes.
Venues d’Afrique, elles croyaient, au nom du regroupement familial, qu’elles pourraient obtenir un titre de séjour. Mais la loi française ne reconnaît qu’une seule épouse et s’oppose à la polygamie. Elle peut aider ces femmes souvent sans papiers lorsqu’elles « décohabitent »… si elles sont entrées sur le territoire avant 1993 . « Je me suis retrouvée ici sur les conseils d’une association, raconte Kani, 22 ans, son bébé dans les bras. Avant, j’étais hébergée chez une dame, mais on ne s’entendait pas. » Lamatha, 30 ans, a trois enfants en bas âge : « Je cumule plusieurs emplois déclarés de gardienne ou de femme de ménage, explique-t-elle. Mais impossible de trouver un toit ailleurs : comme je ne suis pas embauchée en CDI, les propriétaires ou les agences refusent de me louer quoi que ce soit alors que je dispose de plus de 1 500 € de revenus par mois. » « Quand j’ai quitté mon mari, raconte Maria, 25 ans, l’assistante sociale m’a envoyée à l’hôtel trois jours et m’a donné cette piste en attendant mieux. Après six mois ici, je viens enfin de trouver un logement grâce à une agence. Mais c’est très cher. »

« C’est vrai que ces familles ont des conditions de vie très difficiles, reconnaît le maire PS, Didier Vaillant. Mais elles devront partir, car les logements sociaux Valestis squattés reviennent à d’autres qui sont sur des listes d’attente depuis des années. En revanche, ces mamans bénéficieront d’un accompagnement social qui les aidera à trouver une solution durable pour se loger. »

Le Parisien - 27.08.08

Que dit la loi française sur la polygamie?

Il est en droit impossible de se marier ou de se pacser avec plusieurs partenaires en France.

L'ordonnance de 1945 sur les étrangers interdit la délivrance de titre de séjour aux étrangers en situation de polygamie, mais en pratique, l'administration française tolère depuis longtemps la polygamie pour les immigrés, en vertu du respect traditionnel du statut personnel des étrangers.

Commentaires

  • Ah, ces pauvres "mamans" maliennes ! Quand on est un Européen émasculé et qu'on est incapable d'assumer les responsabilités de la vie adulte, on n'a d'autre refuge que l'infantilisation pour mieux faire passer la pillule et acheter la sympathie à peu de frais. Elles dorment mal, et leurs enfants difficilement. C'est vrai qu'avec le son des djembés toute la nuit, ça ne doit pas être facile. Comment ? Non ? Ce sont les soucis et la terreur de l'expulsion par les forces policières fascistoïdes les plus sombres de notre histoire ?
    Heureusement que ces immeubles volés aux Français qui les entretienent en tant qu'esclaves légaux avec leurs impôts sont "remarquablement bien tenus". Et de faire mine de s'émerveiller de ce qui n'est que la normalité pour des Européens. Tous les Africains ne tiendraient-ils pas remarquablement leurs logements ? Je n'ose croire à cette suggestion qui sent les fagots de la loi Fabius-Gayssot.

    "Venues d’Afrique, elles croyaient, au nom du regroupement familial, qu’elles pourraient obtenir un titre de séjour.
    Mais la loi française ne reconnaît qu’une seule épouse et s’oppose à la polygamie. Elle peut aider ces femmes souvent sans papiers lorsqu’elles « décohabitent "

    Elles croyaient. Au nom, sinon du père ou du saint esprit qui avait enfanté de si nombreux fils, du Saint Regroupement Familial (encore un concept artificiel érigé plus haut que les principes naturels de bon sens par la néo-religion cathodique et apotropaïque obligatoire sous peine d'inquisition). Des papiers. Ah ces papiers magiques qui permettent de faire venir des torchées de gosses et de s'installer pour en pondre d'autres en toute tranquilité, au nom du saint principe, cette fois-ci, du "droit du sol" (ou comment une vache née dans une étable est baptisée cheval, qu'on se le dise et qu'on ne se permette plus d'en douter) et de l'artifice "parent étranger inexpulsable d'enfant pond... heu, fwançais puisque nés sur le sol français".
    Et ces barbares inhumains de Fwançais qui ne reconnaissent pas la polygamie, ces arriérés dont on se demande encore ce qui peut pousser ces Chances Pour la Civilisation de venir les faire profiter de leur enrichissante présence. On aimerait bien en connaître un peu plus sur les modalités de la "décohabitation", le papa saint-esprit volatilisé en cours de route, la dame hébergeante avec qui Kani ne s'entendait pas (logement "blanc" ?) mais la curiosité des journalistes n'est pudiquement pas allée jusque là, à moins que le rédacteur en chef n'ait prudemment fait occulter toutes les vérités qui pourraient fâcher les moyennement naïfs.

    "l’assistante sociale m’a envoyée à l’hôtel trois jours et m’a donné cette piste en attendant mieux. Après six mois ici, je viens enfin de trouver un logement grâce à une agence. Mais c’est très cher. "

    Eh oui, l'assistante sociale, notre variété à nous de la sorcière bienfaisante du village (payée avec nos impôts barbares de citoyens-esclaves tout de même) vous a envoyée à l'hôtel (payé par les mêmes à moins que l'hôtelier ne soit un philanthrope, on ne sait jamais). Il reste que c'est cher les logements en Fwance. Surtout pour les Fwançais, dont les ancêtres étaient vaguement là au paléolithique, mais c'est un détail sans intérêt pour l'affaire qui nous concerne.
    A part piler le mil et repeupler la Terre, que savez vous faire pour gagner votre vie, madame ?

    "les logements sociaux Valestis squattés reviennent à d’autres qui sont sur des listes d’attente depuis des années. En revanche, ces mamans bénéficieront d’un accompagnement social qui les aidera à trouver une solution durable pour se loger."

    En voici un qui, soit prend sincèrement la mesure des choses et essaie de concilier les lambeaux de ses rêves 68ards en voie de déliquescence par poussée jusqu'au bout dans leur logique à grand renfort de "mamans" et de "solution durable", soit comprend que ses électeurs sur listes d'attente depuis des années (et plus si affinités) pourraient bien ne plus en être aux prochaines élections.

    Question subsidiaire : mais que font ces gens-là chez nous ? Sous quel prétexte s'y sont-ils infiltré ? Pourquoi, comment et par qui sont des non-questions, mais il semble que même ceux qui ne l'ont pas connue regrettent le tems bén... maudit de la Colonisation. Au point d'en appliquer le principe... dans l'autre sens.
    Quant aux "associations", mentionnées une seule fois, elles semblent d'une discrétion de vierge farouche. Mais Lev Davidovitch Bronstein, dit Trotski, a toujours aimé planter les couteaux dans le dos et ses émules modernes suivent fidèlement les principes du saint homme. A défaut de pouvoir génocider les Européens franchement (la franchise n'est pas une de leurs vertus cardinales), ils génocident par submersion et enfouissement. C'est plus discret et moins risqué, surtout que le courage physique ne figure pas dans leur cahier des charges, ces névropathiques étrons.

    J'ai été un peu longuet dans mon rôle de râleur patenté, mais ça fait autant de bien qu'un séance chez le psy... et c'est plus efficace, à condition d'être suivi d'action.
    En attendant, Sainte Gaelle du Décillage, priez pour nous au nom du Père, du Fils et du saint Internet.

    PS Lire le livre de Bernard Lugan sur la colonisation mentionné par Gaelle dans la colonne de gauche. Edifiant et décomplexant. Une bouffée d'air en plus d'un argumentaire détaillé pour contrer les idiots utiles du système. Se faire des fiches est un excellent exercice.

  • @Voyageur : Excellente analyse de cet article du "Pharisien". Merci et amitiés.

    Il serait bon que les dames commentent aussi ces affaires de polygamie et nous comptons sur Gaëlle, Mélanie, Tania, Décée et nos autres commentatrices ;o)

  • Merci à voyageur pour son excellente analyse.
    Soulignons le mensonge suivant du pharisien :
    "Mais la loi française ne reconnaît qu’une seule épouse et s’oppose à la polygamie."
    En réalité la polygamie n’est interdite qu’aux Français de souche, les raciniens.
    Mais, sous Gisacrd, avec le regroupement familial, la polygamie a été tout à fait reconnue par les services administratifs. Par la suite on a fait semblant de pondre des lois visant à l’interdire, mais ces lois étaient, comme d’habitude des faux-semblants. D’ailleurs wikipedia le rappelle :
    « Un arrêt d'assemblée du Conseil d'État du 11 juillet 1980, l'arrêt Montcho, a admis le regroupement familial d'étrangers dans le cas de polygamie »
    Avec un tel arrêté, les immigrés, appuyés par les ‘assos’ obtiennent sans problème la reconnaissance de la polygamie.
    On comprend fort bien pourquoi le pharisien ment : c’est pour rassurer le bon bourgeois bobo-gogo qui peut s’endormir tranquille.

  • Merci pour ces trois excellents commentaires qui analysent parfaitement la situation.

    Le fait d'avoir mis cet article compassionnel est déjà mon propre comentaire!

    La France est vraiment un dépotoir. Ces maliennes n'ont rien à faire chez nous. Et les maris si féconds, où sont-ils?

    Cet article larmoyant a au moins le mérite de rappeler une situation inadmissible que l'on ignore trop souvent: la polygamie africaine dans les cités. Et les quatre femmes permises par le Coran si on peut les entretenir - ce qui n'est pas le cas.

    Je suis écoeurée par toutes ces nouvelles, cesinfos... Il n'y a que le visage de Poutine qui me redonne quelque espoir... Je vis à Moscou!

    Encore merci de votre soutien!

  • Et le reportage qu'on nous a passé,il y a quelque temps,à la TV,(lors d'une énième "régularisation de sans-papiers"),qui nous montrait le "désarroi",le non-respect des droits-de-l'homme pour ces "familles polygames",qui souffraient d'être "séparées" car on ne leur proposait pas d'appartements assez grands pour loger TOUS les membres de la famille (3 ou 4 femmes,je ne sais plus,+ environ 5 ou6 enfants par femme ) ?

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