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La directrice d'une maison de retraite suspendue pour "racisme"

La directrice d'une maison de retraite privée de Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) a été suspendue de ses fonctions après avoir été accusée de racisme par une partie de son personnel, a-t-on appris auprès groupe Medica France gérant l'établissement.

"Une enquête interne a été ouverte. Pour l'instant, cette directrice continue d'être rémunérée mais elle est relevée de ses fonctions", a annoncé mercredi à l'AFP une porte-parole de Medica France.

La décision a été prise mardi, alors qu'une grève, révélée par Le Parisien, avait été déclenchée par une partie du personnel pour demander le départ de cette responsable, qui avait pris ses fonctions en mai dernier.

"Elle disait y'a trop de Noirs et trop d'Arabes, je vais faire le ménage, mettre du sang propre ici", a témoigné sur place une infirmière, accompagnée d'une collègue.
"Le problème, c'est qu'il n'y a que des Noirs et des Arabes qui acceptent de faire ce travail", a-t-elle ajouté, en requérant l'anonymat.

Mais la discussion a rapidement tourné court, une supérieure hiérarchique étant venue signifier aux deux infirmières qu'elles n'avaient "pas à parler à un journaliste pendant les heures de travail".
Aucun autre responsable de la structure, qui dispose de 96 lits, n'a souhaité répondre à l'AFP.
Le groupe Medica France dispose de 126 établissements en France et en Italie, dont 89 établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad).
Ex-filiale de la Caisse des dépôts (CDC), Medica France a été vendu au fonds de pension britannique Bridge Point en 2003, puis racheté par le fonds BC Partners en 2006.
17.09.08

Commentaires

  • "Le problème, c'est qu'il n'y a que des Noirs et des Arabes qui acceptent de faire ce travail", a-t-elle ajouté, en requérant l'anonymat."

    Les blancs acceptent de faire ce TYpe de travail mais en étant mieux payés.
    Le mythe du travail que les autochtones ne veulent pas faire est une supercherie entretenue par le patronat esclavagiste
    et leurs alliés gauchistes ou cryptogauchistes (UMP)

  • On sait depuis longtemps qu’en France la liberté de penser et d’expression n’existent plus et ceux qui se permettent de ne pas penser dans les clous sont impitoyablement punis. Derrière cette volonté c’est la suprématie des immigrés sur les raciniens que l’on veut imposer, avec tout ce qui en découle sur la vie au quotidien. Mais quand toute la France sera ainsi réduite à un pays africain, il n’y aura plus d’argent pour tous les nourrir, les soigner, les loger et ils repartiront d’eux mêmes chez eux, se demandant ce qu’il sont venus faire dans cette foutue galère ! Ah, la vie est belle !

  • "Ex-filiale de la Caisse des dépôts (CDC), Medica France a été vendu au fonds de pension britannique Bridge Point en 2003, puis racheté par le fonds BC Partners en 2006."
    Tout çà pue l'esclavage; ce sont bien ces financiers cosmopolites qui détruisent l'Europe dissimulés derrière l'anonymat et bien sûr ils embauchent en priorité des immigrés, c'est moins cher !

  • @Philippe Maréchal: c'est pourquoi j'ai mis cette note, ces immigrés sont mal payés, ce sont les "esclaves" du projet Attali! Quant aux malheureuses personnes âgées, elles ne comptent pas, et si elles sont maltraitées, man soignées, dénutries, qu'importe! Le racisme ne doit pas s'exercer que dans un seul sens, et les Blancs âgés sont bien à plaindre...
    Cette Directrice "suspendue" sans véritable enquête a dû voir et entendre des choses, elle aussi : a-t-elle le droit de se défendre de ces accusations trop faciles, de s'exprimer à son tour? On se le demande, d'avance elle est condamnée sur des témoignages douteux par définition...

  • Et elle est certainement jugée sur des phrases sorties de leur contexte. Car elle n'est tout de même pas folle au point de dire comme ça de but en blanc les paroles qu'on lui prête.

  • A mélanie: vous avez sûrement raison.

  • @marcel: je peux te dire que tu as entièrement raison par expérience avec la maison de retraite privée et assez chère où résidait ma mère, de 2003 à 2008. Au début, aides-soignantes, infirmières, personnel blanc dans son ensemble. Puis le propriétaire (dont je te passe l'origine ethnique) refuse d'augmenter ces personnes, avec qui je parlais lorsque j'allais voir ma mère. Elles démissionnent et vont chercher ailleurs des places en rapport avec leur diplôme, leur formation médicale, enfin des places rémunérées convenablement. Même le cuisinier blanc démissionne... Aussitôt le patron embauche des personnes de la cité proches, dont on ignore les qualifications. Les problèmes "racistes" commencent... Ces personnes font assez bien leur travail, mais sont très souvent négligentes ou tête en l'air, ou désemparées par le moindre petit problème matériel (remettre un rideau en place, revisser un truc, etc...). Elles sont gentilles avec ma mère, mais les vêtements sont mélangés, perdus, la blanchisserie est un foutoir, la cuisine se résume à des potages tout faits, à des petits pots... Demander un verre d'eau devient un problème... Au téléphone, elles ne comprennent rien et coupent carrémment les communications! L'hygiène est "à peu près", bien que je doive apporter sans cesse gels douche, savons, serviettes de toilette, tout disparaît très vite, bien que marqué au nom de me mère. C'est cependant une petite structure de 60 résidents. Enfin, les soins, tout commence à décliner. Je dois sans cesse faire des observations pour le bien-être minimum de ma mère (l'aider à s'habiller, à se coiffer, etc...). Le ménage est fait en dépit du bon sens... Plus personne ne parle aux pauvres dames et messieurs âgées, quasiment abandonnés dans leurs fauteuils, dans leur chambre. Je précise qu'il s'agit de personnes âgées mais non malades d'Alzheimer. Qui ne plaignent jamais, résignés... Elles ont peur des représailles!
    La facture mensuelle, elle, augmente, sans qu'on voit d'améliorations. Le journal où j'ai abonné ma mère est volé tous les matins... apporté trois-quatre jours plus tard... Enfin, c'est le désordre... Si je dis quelque chose, on entend: " Les Français, ils croient que nous sommes tous des voleurs... ils sont racistes..." - Bon, tu as compris. Qu'on paye mieux les Blancs, et ils travailleront à nouveau dans les maisons de retraite.
    Merci pour ton commentaire très juste.

  • Chère Gaëlle, ce que vous dites là est abominable. Votre témoignage est accablant, mais ne nous étonne guère. On sait que c’est ce que veulent les mondialistes. Les gens baissent la tête et font sembler d’ignorer cette situation. Mais quand la substitution de populations sera réalisée, que s’imaginent-ils donc qu’il va se passer : ce n’est pas l’Afrique qui sera élevée au niveau de l’Europe, mais l’Europe qui sera rabaissée au niveau de l’Afrique ! Et sur le dos de qui vivront ces mondialistes qui veulent la destruction de l’Europe ?

  • @GAELLE

    Votre commentaire a ravivé le souvenir d'effroyables moments vécus (dans un hôpital public) à l'occasion de la maladie de mon père en 2002, qui heureusement pour lui l'a emporté en un mois.
    La plupart du personnel soignant était d'origine européenne, mais les réunions syndicales étaient le seul sujet de préoccupation; ces monstres, le terme est encore loin de ce que j'éprouve à leur endroit, se plaignaient d'être dérangés (car ils étaient toujours en réunion syndicale et pas un de permanence pour répondre aux besoins des malades) lorque je venais les solliciter pour mon père ( qui ne se plaignait jamais par habitude et parce qu'il était atteint d'un tumeur cérébrale affectant sa capacité de réaction) ou pour les autres malades qui appelaient au secours.
    Je savais déjà que la FRANCE ne méritait plus le nom de pays, mais là j'ai réalisé le degré de barbarie qu'il avait atteint.
    La description de la vie de votre mère est malheureusement celle décrite par des collègues de travail, dont les parents sont en maison de retraite, et souvent la description est encore plus atroce que celle que vous faites.
    Sans compter les choses ignorées.
    Et toute la journée on nous rabâche la rengaine des droits de l'homme, des "sans-papiers", du taumatisme causé aux enfants par des croix gammées peintes sur les murs etc...
    Le sort réservé aux personnes âgées qui n'ont pas de famille, je prèfère ne pas y penser.
    Salutations.

  • Vos commentaires sont édifiants et j'ai vu les mêmes choses, j'ai été témoin des mêmes situations, tout cela se généralise.
    Résumé : entre les fainéants bolchéviques avec leurs réunions et leur absentéisme, les parasites qui vivent d' allocations et de traffics en tous genres, les intouchables lobbyistes et politiciens taxeurs et les bobos assistés - idiots utiles, tout ce petit monde pompe avidement comme des vampires le peu d'énergie vitale qui reste à notre pays.
    L'ennemi c'est le Français travailleur qui a gardé des valeurs d'honnêteté et de courage et qui reste attaché à une saine morale et à son pays.
    Ce n'est pas un karcher qu'il faut mais un lance flammes, car un nettoyage en profondeur va s'avérer nécessaire à un moment ou à un autre; et ce ne sont pas des nains métisseurs à talonnettes qui "en auront" pour faire le travail !

  • Ce que vous racontez Gaelle doit être malheureusement très commun. J'ai entendu ma mère qui en revenant de voir des amies dans les maisons de retraite dire la même chose et c'était dans un autre coin de France.
    Malheureusement dans d'autres maisons, le personnel blanc est syndiqué et ne fait pas vraiment mieux. Je connais une maison ou des employés refusent de ramasser ce que la personne âgées laissent par maladresse tomber à terre. " Ce n'est pas écrit dans le contrat". Une employée à la région dont le travail est de jeter un oeil sur les maisons de retraite me disait cet été en france dans plus de 80¨% des maisons de retraites les personnes sont maltraitées d'une manière ou d'une autre. C'est effrayant. Mais cela doit être encore plus difficile pour une personne âgée lorsque le personnel n'a pas sa culture, et comment échanger avec des personnes ne parlant pas très bien votre langue lorsque l'on devient dur d'oreilles ? Je serais assez pour le système employées à Nantes à la révolution : les noyades collectives .

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