Aïcha, assistante maternelle de Mohamed
Chaque année, depuis quatre ans, Mohamed, 11 ans, désormais en 6ème , devient « un peu plus violent ». « Les enseignants m’ont toujours dit : On ne peut rien faire pour lui. J’ai en permanence été seule à gérer le problème », témoigne Aïcha, 35 ans, assistante maternelle.
« A l’école, il ne pouvait pas rester assis une seconde, dévisageait les profs et était impliqué dans toutes les histoires de récré », se souvient-elle. En CE 1, celui qui n’a « jamais fait le deuil de la maternelle » a consulté un psy au centre médico-psycho-pédagogique. Sans résultats. « Je n’en pouvais plus, alors je l’ai envoyé dans le Nord chez sa grand-mère qui l’avait élevé jusqu’à l’âge de 5 ans », précise-t-elle. Les choses ne s’arrangent pas. Il y a quelques jours, il a tenté d’étrangler un camarade.
Il va se faire exclure du collège, s’alarme-t-elle. Y a que le bled qui peut le sauver ! J’envisage de l’envoyer en Algérie. Car, à 15 ans, si ça continue, c’est un délinquant… »
Le Parisien- 15.10.08
Commentaires
l va se faire exclure du collège, s’alarme-t-elle. Y a que le bled qui peut le sauver ! J’envisage de l’envoyer en Algérie. Car, à 15 ans, si ça continue, c’est un délinquant… »
Excellente conclusion qui sera ,je l'espère,suivie d'un retour au bled de la crapule et de sa supposée innombrable famille
Tous les intervenants de ce blog approuveront sans réserve cette idée et souhaiteront qu'elle s'étende à tous les enfants en phase de prédélinquance.
Le retour au bled ou à la brousse devrait être étendu aussi aux chômeurs (nombreux),aux bénéficiaires d'allocations et à leurs familles ,dont le poids financier grève dramatiquement les comptes de l'Etat .
Ce n’est pas la meilleure solution, c’est la seule et vraie solution. On ne déracine pas ainsi impunément les gens. D’ailleurs, on voit sur la photo qu’il s’agit d’une assistante maternelle du……bled et non en France ! Tout est dans cette photo !
"On ne peut rien faire pour lui."
Non, à part la réintrocuction dans le biotope naturel, bien sûr.
En revanche on peut beaucoup pour ceux qu'il violente et dont il obère gravement l'avenir en perturbant leur scolarité. Mais de ceux là on ne parle pudiquement jamais, les jounalistes préférant toujours détourner le problème vers les problèmes existentiels supposés des déliquants et leurs solutions envisagées, toujours les mêmes, ce qui signifieinvariablement beaucoup d'argent des controbuables-esclaves dépensés en vain.