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Voilà un grand artiste, dont la peinture se marie si bien à la musique de Schubert !
J’ai cliqué trop vite, je voulais ajouter que pour regarder ces tableaux il faut écouter « Le voyage d’hiver » de Schubert.
Cher abad, je vais le chercher sur Youtube!
Squelettes sombres élancés
Vers un ciel si lourd
Vers un ciel si dense
Vous jugulez l'ombre et la lumière
Une note, claire d'un pur cristal
Joint sa mélodie au blanc manteau
Dans une harmonie froide et douce
Où tout se joint, se disjoint
sous les morsures de l'Hiver.
Sombres scultures,
Vous appelez au repos.
Un beau poème, cher Christian, dont je te remercie!
Trop peu connu Caspar David Friederich.
Car non seulement son nom est trop peu connu, mais encore il faut savoir que au-delà de l'intense plaisir visuel il y a une lecture symbolique à faire de ses peinture, à fortes connotations chretiennes et nationnales (ceci expliquant celà?).
Par exemple, dans le deuxieme paysage, les symboles sont multiples: la tombe hunnique, les arbres à branches mortes...
Merci, Christian pour ce mélancolique, mais très charmant poème, en complète harmonie avec ces tableaux.
@gm: oui, il y a une lecture symbolique, et mystique même, à faire des oeuvres de C. D. Friedrich. J'en avais placé beaucoup d'autres en 2006-2007. Ce peintre me touche et m'émeut profondément.
Ses tableaux ont tant de choses à nous dire. Les arbres en hiver ne sont pas que la simple et parfaite représentation d'arbres en hiver, sous la neige. Il y a un tableau sublime, que je ne parviens pas à retrouver, une grande croix dominant la forêt... il y a aussi les abbayes en ruine... oui, tant d'éléments à décrypter, dans chacun de ses tableaux, tous d'un intense beauté.
Il est trop peu connu, en effet.
"une grande croix dominant la forêt... ": l'autel de Tetschen?
"les abbayes en ruine... "; il s'agit souvent de ruines du monastère de Eldena.
Eldena, comme le savon qu'on vend chez Aldi. 9a devrait avoir le gout de la decadence; au contraire, je l'achète à chaque fois que j'en ai l'occasion, avec une pensee melancholique pour tout le romantisme allemand...
Ne vous en moquez pas; le grands espaces sont invisibles à l'oeil nu.
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Voilà un grand artiste, dont la peinture se marie si bien à la musique de Schubert !
J’ai cliqué trop vite, je voulais ajouter que pour regarder ces tableaux il faut écouter « Le voyage d’hiver » de Schubert.
Cher abad, je vais le chercher sur Youtube!
Squelettes sombres élancés
Vers un ciel si lourd
Vers un ciel si dense
Vous jugulez l'ombre et la lumière
Une note, claire d'un pur cristal
Joint sa mélodie au blanc manteau
Dans une harmonie froide et douce
Où tout se joint, se disjoint
sous les morsures de l'Hiver.
Sombres scultures,
Vous appelez au repos.
Un beau poème, cher Christian, dont je te remercie!
Trop peu connu Caspar David Friederich.
Car non seulement son nom est trop peu connu, mais encore il faut savoir que au-delà de l'intense plaisir visuel il y a une lecture symbolique à faire de ses peinture, à fortes connotations chretiennes et nationnales (ceci expliquant celà?).
Par exemple, dans le deuxieme paysage, les symboles sont multiples: la tombe hunnique, les arbres à branches mortes...
Merci, Christian pour ce mélancolique, mais très charmant poème, en complète harmonie avec ces tableaux.
@gm: oui, il y a une lecture symbolique, et mystique même, à faire des oeuvres de C. D. Friedrich. J'en avais placé beaucoup d'autres en 2006-2007. Ce peintre me touche et m'émeut profondément.
Ses tableaux ont tant de choses à nous dire. Les arbres en hiver ne sont pas que la simple et parfaite représentation d'arbres en hiver, sous la neige. Il y a un tableau sublime, que je ne parviens pas à retrouver, une grande croix dominant la forêt... il y a aussi les abbayes en ruine... oui, tant d'éléments à décrypter, dans chacun de ses tableaux, tous d'un intense beauté.
Il est trop peu connu, en effet.
"une grande croix dominant la forêt... ": l'autel de Tetschen?
"les abbayes en ruine... "; il s'agit souvent de ruines du monastère de Eldena.
Eldena, comme le savon qu'on vend chez Aldi. 9a devrait avoir le gout de la decadence; au contraire, je l'achète à chaque fois que j'en ai l'occasion, avec une pensee melancholique pour tout le romantisme allemand...
Ne vous en moquez pas; le grands espaces sont invisibles à l'oeil nu.