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VIDEO Quel gaspillage!

Korotoumou, réfugiée ivoirienne, vit avec ses deux enfants dans une chambre d'hôtel insalubre de Joinville-le-Pont (Val-de-Marne). Un logement payé plus de 1500 euros par mois par l'Aide sociale à l'enfance du département.

Depuis plusieurs mois, elle dénonce ses conditions de vie lamentables auprès du gérant de l'hôtel, des assistantes sociales qui la suivent, de la mairie et de la police. Mais qu'attend-elle pour retourner en Afrique?  



 http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafJYuR.html

26.11.08

 

 

Commentaires

  • LE MAIRE, DIXIT, A PRIS SES RESPONSABILITES !
    S'IL AVAIT PRIS SES RESPONSABILITES, IL NE SERAIT PAS A L'UMP.

  • C’est évident elle serait infiniment mieux chez elle ! Mais quel culot de venir réclamer en France où elle profite d’allocations dont sont privés, à cause d’elle, les plus pauvres des français !

  • Et puis,si elle retourne chez elle,elle y retrouvera le père de ses enfants qui jouera son rôle de chef de famille et fera vivre sa petite tribu.

  • Elle est reprise comme réfugiée mais réfugiée de quoi et de qui?

  • Réfugiée de la jobardise et de la crétinerie niaiseuse des Français, et surtout pantin envahisseur bien conscient de son intérêt instrumentalisé par les "associations" trostkistes égales à elles-mêmes et leurs méthodes sournoises pour faire effondrer la civilisation la plus évoluée de la planète (jusque là).

    La lâcheté des français leur retombera cruellement dessus, pas de doute et c'est bien fait. Dommage pour la minorité lucide et courageuse que le troupeau entraînera dans l'abîme avec lui.

  • @voyageur

    Permettez-moi de vous féliciter pour votre commentaire.

  • Eh bien Catherine, permettez-moi de vous féliciter à mon tour d'être du même avis que moi... et d'écrire des messages dans lesquels je me retrouve généralement pleinement !

  • @Voyageur: Je me joins à Catherine. La conclusion de votre commentaire résume ce que beaucoup d'entre nous ici pensons de la situation. Cordialement.

  • Toutes les fin de cycle des civilisations et des cultures qui nous ont précédé au cours des millénaires prouvent exactement le contraire de la conclusion de Voyageur (excusez-moi, Voyageur), à savoir qu'il subsiste toujours une minorité lucide et courageuse pour assurer le renouveau (voir Mircea Eliade à ce sujet); le troupeau disparaît, lui, inéluctablement. Sinon, à quoi servirait de vous exprimer, et notamment sur ce blog, si vous pensez que tout est foutu et vous avec ?

  • Malgré le pessimisme de mon commentaire, je pense la même chose que vous, Dragon, mais n'ose parfois plus l'espérer. Le potentiel de destruction dû à la technologie (blanche, pardon pour le pléonasme) est tel aujourd'hui que nous savons depuis les années 60 que nous sommes parfaitement capables de faire disparaître toute notre espèce. L'Eternel Retour peut ne plus jamais avoir lieu.
    Je suis plus difficile que vous, c'est la fin de notre race que je redoute. Je crois que la civilisation est potentiellement contenue dans nos gènes. Même si elle est détruite, tant qu'il reste des Blancs en nombre suffisant, elle réapparaîtra. Si l'espèce humaine entière y passe, ce n'est plus un problème. Même en cas de destruction nucléaire totale, la Terre a 5 milliards d'années pour s'en remettre.

  • "La lâcheté des français leur retombera cruellement dessus"
    C'est déjà fait, le futur n'est plus de mise.

  • Fin d'un cycle;peuples apatrides,pensées cosmopolites,les philosophies du règne de la quantité .
    "si le dernier âge est celui d'effrayantes destructions, ceux
    qui parviennent,malgré tout,à s'y tenir debout peuvent obtenir des fruits difficilement accessibles aux hommes des
    autres âges" J Evola
    courage,haut les cœurs
    Sirius

  • Dans la sicience fiction des années 70 notre situation actuelle était évoquée et je me souviens d'un livre qui faisait le récit d'une petite partie d'habitants de la terre qui avait été transportée sur une autre planête lui ressemblant mais vide. ils ne devait passer que quelques jours sur cette planête mais malheureusement le vaisseau fut très endommagé en arrivant et bien grâce à leur savoir à le mémoire de chacun aux petits morceaux de civilisation que chacun possédait ils avaient réussi à reproduire leur civilisation et construire sur cette nouvelle planête.

  • Je crois bien mélanie que cette histoire était dans "Météor" l'hebdo des jeunes des années 50-60. je le prenais toutes les semaines. Un régal. J'y avais lu cette histoire. Mais elle a peut-être été souvent comtée sous d'autres formes dans d'autres hebdos.
    Je viens d'être grandement étonné en lisant le nouveau numéro de "Ecrits de Paris" par un article de P-A Cousteau intitulé "Être ou ne plus être" datant du 2 Octobre 1958. Oui 1958 !

    Vision prophétique? Je suis pourtant certain qu'en 1958 il n'y avait pas encore d'étrangers en France. Ou alors je ne les voyais pas.
    Voici la dernière page de cet article qui mérite d'être lu en entier mais cela serait un peu trop long ici et il n'existe pas de lien internet.

    "ETRE OU NE PLUS ETRE

    ...Pour les Allemands, les Italiens ou les Espagnols -"soulagés" depuis beaucoup plus longtemps que nous de leurs prolongements d'outre-mer-, la tâche est aisée. Elle l'est beaucoup moins aux USA où vingt millions de noirs sont prêts -pour peu que faiblissent les "étranges" préjugés des Sudistes -à faire de l'Amérique du Nord un nouveau Brésil. Il faut croire -à en juger par les émeutes de Notting Hill -que la situation n'est pas non plus de tout repos en Angleterre.
    Mais c'est tout de même la France qui est la plus menacée. Au moment où elle est privée de tous les avantages matériels de son impérialisme, elle se trouve condamnée à en subir les inconvénients décuplés. On lui a ôté des sujets; on lui impose en échange, par dizaines de millions, des citoyens essentiellement inassimilables dont l'intégration réelle -si jamais elle se faisait -mettrait un terme à son existence, en tant que nation française, beaucoup plus sùrement que la plus sévère défaite sur un champ de bataille européen.
    Issue des Celtes, des Romains, des Germains et des Vikings, la France a supporté gaillardement d'être parcourue, au cours des siècles, par les armées anglaises, espagnoles et allemandes, et elle peut se permettre sans inconvénient de recruter aujourd'hui ses joueurs de football en Pologne et ses maçons en Sicile. Je n'imagine pas qu'elle résisterait au brassage dans le « grand ensemble africain » contre lequel ne la dresse aucune de ces solides préventions racistes qui ont assuré la survie des Afrikanders et des Sudistes américains. A moins bien sùr que l'on ne trouve dans les couches populaires les réflexes de défense qui scandalisent tant France-Observateur et que les intellectuels distingués, eux, sont bien incapables d'avoir.
    J'ajoute que je suis sans illusion. Les évidences que je viens d'exposer sont tellement aveuglantes qu'il n'y a pas la moindre chance qu'un gouvernement de la République en fasse jamais la base de sa politique. Mais, du moins, en égrenant ces constatations scandaleuses, j'aurai fait mon devoir.
    P.-A. COUSTEAU. "

  • Merci, cher zelionaya lagouchka, pour ce grand texte de P.A. Cousteau, écrit en 1958 ! Remarquable de clairvoyance et de bon sens. Il décrit exactement ce qui s’est passé en 50 ans et on n’en voit pas la fin !

  • Dragon et Sirius ont raison. Ce sont tjrs les minorités idéologiquement armées qui modifient l'histoire. A la condition que cet armement idéologique permette de décrypter l'Histoire et ainsi d'entrevoir comment s'achèvera une crise majeure comme celle que ns vivons. C'est ic une fois de plus qu'interviennent les données de la Tradition. Des textes de l'Inde Arya, de la Perse, de la Grèce (cf/ Hésiode) ou nordiques sont unanimes en ce qui concerne l'involution résultant de Règne de la quantité (dixit Guénon et Evola). Ils sont également unanimes quant à la remontée (violente et brutale).Une minorité armée idéologiquement et spirituellement sera prête à le vivre mais pas la masse actuellement amorphe.
    Après la confusion générale dont le melting-pot ethno-culturel est la plus visible des manifestations, on devrait assister à une prise de conscience. Certains signes encore infimes apparaissent: ainsi cet habitant de Dijon apprenant la fermeture d'Amora : "D'ici peu on aura de la moutarde chinoise".
    Encore un peu plus de mélamine et la sinophilie olympique s'effondrera et disparaitra dans les consciences.
    La crise du Capitalisme est également la bienvenue.

  • @Roderik

    Concrètement, comment cette modification peut-elle être envisagée.

    Pas aussi optimiste que vous sur la prise de conscience de l'habitant de Dijon; en effet il fera la rélexion que vous décrivez, mais après il ira gratter son Keno, et continuera sa petite vie de robot qui pensera ce qu'il convient de penser, pour "être tranquille", car se boucher les yeux, il a l'habitude pour avoir attendu la fermeture d'Amora pour oser un petit petit mouvement d'humeur et choisir la solution la plus politiquement correcte : c'est la faute aux chinois; remettre en cause la substitution de population oisive et dépensière, qui se produit sous ses yeux, il ne le fera pas s'il n'a pas encore été capable de le faire , alors que cette réalité crève les yeux.

    @Dragon

    Même question : concrètement comment le troupeau peut-il disparaître?
    pourquoi ,même désespérés, continuons-nous à nous exprimer? parce que c'est dans notre nature d'humain et qu'en effet peut-être la loi de la nature veut que certains continuent à résister pour que la vie continue (pardon pour ma prétention); en cela, il n'est pas interdit d'espérer un nouveau rééquilibrage à long terme.

  • Catherine, les forces qui mettent tout en oeuvre pour nous imposer un monde uniforme peuplé d'une race de "saigneurs" d'un côté et d'esclaves de l'autre s'acharnent à déraciner les hommes et les peuples pour arriver à leurs fins. On voit bien qu'ils y parviennent. Certains continuent, résistant à la tempête, à "s'accrocher aux branches". Tout simplement parce qu'ils puisent leurs forces dans le plus lointain passé, dans leurs plus lointaines racines. (Voir à ce sujet le site de la revue Hyperborée magazine, en lien de Gaëlle Mann). Les hommes déracinés - l'immense troupeau décérébré - s'envoleront comme fétu de paille au moindre vent; les grands chênes subsistent aux grandes tempêtes; seuls résisteront ceux qui sont armés de ce bagage spirituel et qui sont fondés à faire repartir la grande roue. Dans 10000 ans, il ne restera rien de notre civilisation technicienne; Stonehenge sera toujours là, sauf expressément visé par nos ennemis. Et même s'il n'en reste qu'un grand trou, ce sera toujours celui de Stonehenge. Les forces telluriques et divines ne sont pas détruites par l'homme.

  • Comme vous catherine j'espère et j'essaie de transmettre aux enfants et petits enfants mais j'ai aussi conscience que ce ne sont que des petits grains de blés.
    Qu'en sera t-il à l'echelle millienaire de ces petits grains de blé si jour après jour la meule passe dessus.
    Puisque nous parlons de lecture il me souvient non pas d'un livre mais d'un film encore de science fiction, Il s'agissait là de nourriture. était interdite toute nourriture ne sortant pas dune fabrique paraphée par un monsanto. Un monsieur âgé faisait lui pousser des tomates tout à fait naturelles
    elles étaient fort appréciées et un jour l'on pourchassa cet homme qui faisiat pousser une plante non passée par monsanto. On l'accusa d'être responsable de beaucoup de maladies et on fini par l'arrêter. Il avait eu la sagesse de confier des graines à des enfants. L'un de ces enfants sema les graines pour les générations futures dans un terrain abandonné.

  • D'accord avec Roderick. Ce sont des minorités qui ont toujours conduit les grands changements, jamais les "majorités, qui suivent lorsqu'elles sont convaincues que le vent a tourné. Deux siècles de propagande démocratique égalitariste nous ont insidieusement convaincu que sans la "majorité", rien ne peut se faire. Même notre famille de pensée est touchée, en toute bonne foi. Le mal est profond.

    Je crois comme Catherine que l'ouvrier qui a fait cette réflexion risque effectivement, la paupière un instant entrouverte, de bien vite se réfugier (inconsciemment) dans une des multiples explications partielles sans issue soigneusement préparées par la propagande constante : C'est de la faute aux Chinois / au capitalisme / au patron / à Sarkozy, etc..., sentant l'oreille ou la queue de l'éléphant mais ne voyant pas tout l'animal, selon la fameuse parabole bouddhique.
    Les yeux auront plus de chance de s'ouvrir grands et longtemps que le ventre se videra, et le service "croyance rassurante" du cerveau limbique avec lui.

    Je crois à la fois autant, moins et plus que vous, Catherine : c'est notre nature d'animal qui nous pousse avant tout à survivre, selon les particularités humaines certes, mais nature animale avant tout. Le biologiste et écrivain Howard Bloom le démontre brillamment dans son "Principe de Lucifer" : la masse n'est là que pour permettre statistiquement à l'exception de surgir et améliorer l'espèce, tendant ainsi à assurer l'immortalité de celle-ci en tant qu'espèce. Une stratégie qui nous vient du premier organisme monocellulaire. La démonstration est impressionnante et passionnante.

    Je crois comme Dragon dans la sagesse de la Tradition, qui est peut-être plus que sagesse, souvenir d'événements qui se sont déjà produits dans les temps préhistoriques (un autre passionnant sujet... tabou comme il se doit). Le fait que tout tourne autour de dieux et de rois à la peau trop claire pour être honnête n' y est bien sûr certainement pas étranger.
    Tous égaux, de gré ou de force, n'est-ce pas ?

  • @dragon, arthur et voyageur

    Merci pour vos réponses; je crois comprendre le message du commentaire d'arthur.

    Pour les commentaires de dragon et de voyageur, je saisis le sens de certaines assertions, mais la "substantifique moelle "m'échappe, je vais me rendre sur le lien proposé.

    dragon, vous dites : "tout simplement parce qu'ils puisent leurs forces dans le plus lointain passé, leurs plus lointaines racines", mais l'ensemble du troupeau , et quelque que ce soit leur niveau d'échelle dans la société a de "plus lointaines racines", et pourtant l'idée , l'instinct animal même, de résister ne les effleure pas.

    Je suis issue d'un milieu social assez modeste, mes racines européennes ne sont pas à 100% françaises, j'ai vécu en France beaucoup moins que d'autres français, et pourtant j'ai cet instinct animal de résister et cette capacité instinctive de décrypter les événements.

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