Une nouvelle piste serait étudiée pour comprendre les causes du crash.
Selon "une source informée", citée dans la première édition du Journal du Dimanche, publiée ce samedi, le Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) étudierait "la piste d'une fuite sur un circuit d'eaux usées de l'appareil, signalée très peu de temps après le décollage par un premier message automatique d'alerte de l'Airbus A330".
Quelle serait l'hypothèse examinée par les enquêteurs?
"La fuite, indécelable pour l'équipage" peut avoir "provoqué un écoulement prolongé d'eau", explique Le Journal du Dimanche. Puis, quand l'appareil aurait traversé des températures de -50°C, l'écoulement d'eau aurait pu se tranformer en "un gel important dans la membrane composite (moitié métal, moitié matériau composite de type carbone)", explique l'hebdomadaire.
Cette membrane composite se trouve à l'intérieur du fuselage, dans la partie arrière de l'appareil. Selon la "source informée", citée par Le JDD, ce serait donc "le gel, qui aurait pu provoquer une rupture subite de la structure de l'appareil en plein vol".
Quelle confiance accorder au BEA?
Odile Saugues, députée socialiste du Puy-de-Dôme, prépare un rapport sur l'Agence européenne de la sécurité aérienne (EASA). Elle reste sceptique quant à la neutralité du BEA: "Cet organisme dépend du gouvernement. Nous ne saurons que ce que l'on veut bien nous dire (...) On a l'impression que certaines choses se règlent en famille." a t-elle déclaré au JDD.
Si le mystère du vol Air France Rio-Paris demeure, le Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) a annoncé cette semaine qu'il publierait un rapport d'ici à la fin du mois.
Selon "une source informée", citée dans la première édition du Journal du Dimanche, publiée ce samedi, le Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) étudierait "la piste d'une fuite sur un circuit d'eaux usées de l'appareil, signalée très peu de temps après le décollage par un premier message automatique d'alerte de l'Airbus A330".
Quelle serait l'hypothèse examinée par les enquêteurs?
"La fuite, indécelable pour l'équipage" peut avoir "provoqué un écoulement prolongé d'eau", explique Le Journal du Dimanche. Puis, quand l'appareil aurait traversé des températures de -50°C, l'écoulement d'eau aurait pu se tranformer en "un gel important dans la membrane composite (moitié métal, moitié matériau composite de type carbone)", explique l'hebdomadaire.
Cette membrane composite se trouve à l'intérieur du fuselage, dans la partie arrière de l'appareil. Selon la "source informée", citée par Le JDD, ce serait donc "le gel, qui aurait pu provoquer une rupture subite de la structure de l'appareil en plein vol".
Quelle confiance accorder au BEA?
Odile Saugues, députée socialiste du Puy-de-Dôme, prépare un rapport sur l'Agence européenne de la sécurité aérienne (EASA). Elle reste sceptique quant à la neutralité du BEA: "Cet organisme dépend du gouvernement. Nous ne saurons que ce que l'on veut bien nous dire (...) On a l'impression que certaines choses se règlent en famille." a t-elle déclaré au JDD.
Si le mystère du vol Air France Rio-Paris demeure, le Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) a annoncé cette semaine qu'il publierait un rapport d'ici à la fin du mois.
Le Post - 20 juin 2009
Commentaires
On se rapproche de plus en plus du gros caca de goéland sur le pare brise ;o)
…et du tout à l’égout du CapBlack !
Faut supprimer les toilettes sur les airbus et équiper les passagers avec "pampers" 15 kilos.
c'est vraiment n'importe quoi parce dans ce cas il n'y aurait eu, comme le rapportent les messages ACARS, déconnexion du pilote automatique et de l'automanette (réglage automatique de la poussée des réacteurs) puis des ordinateurs de pilotage, puis de tous les systèmes qui ont besoin de données de vitesse pour fonctionner puis enfin dépressurisation cabine .
Il y aurait d'abord eu une dépressurisation cabine due à la rupture de la structure, suivie des autres évènements .
L'avantage de cette hypothèse que l'on attendait - celle là ou une autre tout aussi fantaisiste - c'est quelle innocente Airbus et Air France puisque qu'il s'agirait vraiment d'un accident, au pire imputable à l'obscur sous traitant ayant fabrique les toilettes, alors que l'hypothèse pitot, c'est à la fois une faute de conception et une faute opérationnelle qui met en cause toute la chaine politico-industrielle qui remonte très haut dans l'État.
en somme, c'est une pipi-piste ?