«Le président va bien, il parle normalement avec le personnel soignant», a assuré Claude Guéant, secrétaire général de l'Elysée, après l'hospitalisation de Nicolas Sarközy, victime d'un malaise pendant son jogging dimanche midi à Versailles. Le chef de l'Etat reste hospitalisé jusqu'à lundi matin, selon l'Elysée. Mais son déplacement mardi au Mont-Saint-Michel est maintenu.
Nicolas Sarközy se trouvait à sa résidence de la Lanterne, à Versailles, contiguë au parc du Château, lorsque son malaise s'est produit. Il a été pris en charge par son médecin, puis transféré par hélicoptère à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce à Paris, où il subit actuellement des examens complémentaires. Selon l'entourage du président, son épouse Carla «se trouve actuellement à ses côtés». Le premier ministre François Fillon a écourté son séjour dans la Sarthe pour rentrer à Paris.
Le Figaro - 26 juillet 2009
Commentaires
" il parle normalement avec le personnel soignant"
S'il parle normalement, c'est qu'il ne va pas bien.
Génial, Catherine !!!
Ouais, mais au "personnel soignant", peut-être que c'était seulement :
- T'as mal où ? Là ?
- Non
-Là ?
-Oui-oui
nota bene : le tutoiement, c'est parce qu'il a des zamis partout.
On ne se doutait que le squatter du château de Versailles n'avait rien du tout : ce malaise vagal était bidon ! L’expression ‘malaise vagal’ ne veut rien dire ! Au fait quand expulse-t-on ce squatter clandestin ?
Tous les ouvriers,employés et cadres qui cette année se retrouvent au chômage longue durée pour cause de fermeture de leur entreprise auront une pensée émue pour leur Président ,magicien en activité.
@JLA: il y a en France des gens trop pauvres pour se soigner, ou prendre du repos. Les soucis d'argent, ça use, ça stresse terriblement aussi... A eux, on ne pense pas... Moi, j'y pensais et j'avais une grande peine. Tous ces petits vieux qui trottinent sans se plaindre, que les médecins refusent, qui vont humblement aux urgences...
Pour eux, pas de vacances, le footing, c'est dans des villes sales qu'ils le font, dans l'indifférence ou la grossièreté des passants...
Que Dieu les ait en sa sainte garde!
Tu vois, je suis très écoeurée par ce que je lis, je place ces infos avec un certain dégoût!