Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Marine Le Pen: "la France est devenue une république bananière"

Marine Le Pen, vice-présidente du Front national (FN), a estimé aujourd'hui que "Nicolas Sarkozy prend la France pour une République bananière" avec la nomination envisagée de son fils cadet Jean à la tête de l'Etablissement public du quartier d'affaires de la Défense (Epad).

"Nicolas Sarkozy va donc faire nommer son fils, Jean, 23 ans, bac + 1, à la tête de l'Epad. Après les affaires Polanski et Mitterrand, la France n'aura donc plus rien à envier aux pires républiques bananières", écrit Marine Le Pen dans un communiqué.

"Cet étudiant semble-t-il médiocre (à 23 ans, on est généralement bac + 5 !) sans diplôme, sans expérience et sans compétence particulière, va régir le sort de 150.000 employés et brasser des milliards !", ajoute-t-elle.

Selon la vice-présidente du FN, "passe-droit, privilège de naissance, confusion des genres, fait du prince, sont devenus le quotidien imposé aux Français".

Le Figaro - 12 octobre 2009

Marine a raison!

Commentaires

  • J’avais calculé que le fils du nain avait 3 ans de retard dans ses "études". En fait d’après Marine, c’est 4 ans de retard qu’il aurait (il serait BAC+1 et non BAC+2) ! Plus nul que cela c’est pas possible ! Cela prouve qu’il a bien le profil idéal pour diriger un organisme tel que l’EPAD. Et bravo au cabinet de chasseur de têtes chargé de recruter le nouveau directeur de l’EPAD d’avoir déniché une telle perle !

  • pas beaucoup de cervelle mais beaucoup de cheveux pour faire du volume

  • comme nous ne pouvons rien changer attendons donc le spectacle.
    Enfin pour les employés j'espère qu'il ne s'agit que d'une histoire marseillaise

  • C'est vrai qu'il est juif donc les affaires de sou il connait.

  • @mélanie: les histoires marseillaises n'ont jamais existé, pas plus que les histoires bretonnes.

Les commentaires sont fermés.