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Le grand emprunt ou la grande arnaque?

Quelle est la ligne à ne pas franchir pour ne pas déstabiliser notre pays en terme d'endettement ?" A cette question, Alain Juppé répond, 20 à 40 milliards d'euros. Le co-président de la commission sur le grand emprunt estime dimanche dans Sud Ouest, avis d'experts à l'appui, que cette fourchette représentait une estimation raisonnable du montant à emprunter.

 
La commission remettra ses conclusions au  président de la République "à la fin de la semaine" prochaine selon Alain Juppé. Selon lui,
Nicolas Sarkozy semble "tout à fait en phase" avec l'analyse, qui propose de "générer des dépenses d'investissements pour préparer  l'avenir, dans la recherche, le développement et l'innovation. Et d'éviter  d'utiliser cet argent pour des dépenses de fonctionnement".
 
Selon un sondage Ifop, 67% des personnes interrogées se prononcent nettement en faveur d'un emprunt national au montant limité, estimant que le pays est déjà très endetté. Alain Juppé juge ce sondage "très encourageant" et "conforte les travaux de notre commission". Il exprime "le bon sens de nos concitoyens qui comprennent  que la situation des finances publiques est telle qu'il faut raison garder".

Annoncé par Nicolas Sarkozy le 22 juin, le grand emprunt prévu pour début  2010 vise, parallèlement au plan de relance, à doper l'économie à plus long terme, en faisant financer par l'Etat des "investissements stratégiques" pour les "générations futures".

Juppé et Rocard.jpg
Rocard et Juppé
LCI le 08 novembre 2009 à 08:05

Commentaires

  • Je me demande combien d'argent va rapporter les 10 centimes supplémentaires sur les carburants !

  • Ni dettes, Ni emprunts, la France doit créer de l'Argent !

    Non à l'emprunt Sarkozy !

    Face au pillage de notre pays organisé, depuis plus de 30 ans, par les marchés financiers qui gonflent artificielle, par les taux d'intérêt, la dette de notre pays, et afin de promouvoir des politiques de bien commun le gouvernement Français doit rompre avec la loi Giscard-Ponpidou du 3 janvier 1973, et tous les traités européens depuis Maastricht.

    Le gouvernement doit reprendre sa souveraineté économique et émettre du crédit productif Publique émit par une nouvelle Banque de la France.

    Le château de cartes de la finance est entrain de s'effondrer, il faut sortir de la spéculation et remettre l'argent au service de la population.

    David C.
    david.cabas.over-blog.fr

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