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Premier cas probable du syndrome de Guillain-Barré après vaccination

C’est une affaire qui tombe mal au moment du lancement de la vaccination anti- pour le grand public. La ministre de la Santé, , voulant rassurer, s’est elle-même fait vacciner hier à . Mais l’affluence a été très faible dans les centres, notamment à Bordeaux et à Marseille où les personnels réquisitionnés n’ont vu quasiment personne.

Ce qui pourrait changer si la gravité de l’épidémie augmente. Pour l’instant, le scepticisme ambiant risque d’être amplifié par une nouvelle rendue publique hier.

Une femme, travaillant dans le monde de la santé, a contracté la maladie neurologique dite de Guillain-Barré, six jours après avoir été vaccinée contre la grippe A, à l’hôpital.


Selon les données de la science, cette pathologie neurologique, potentiellement très grave, se traduit par des tremblements dans les membres inférieurs pouvant entrainer une paralysie et un décès dans 5 % des cas. Parfois, cette maladie est provoquée par la grippe elle-même ou par le vaccin anti-grippe. Il a été rapporté des cas de Guillain-Barré après la vaccination contre la grippe A, notamment en 1976 aux Etats-Unis où 500 personnes l’ont contractée, et 25 en sont décédées, entraînant l’arrêt de la campagne de vaccination.

 « Aucun lien de causalité prouvé »

Dans le cas de cette femme, francilienne, qui serait âgée d’une trentaine d’années, les manifestations de la maladie sont heureusement moins graves en l’état. « Il s’agit d’un cas de Guillain-Barré probable et modéré, survenu quelques jours après la vaccination, mais sans que le lien de causalité ne soit en l’état prouvé. Des investigations sont en cours », nous indique Fabienne Bartoli, adjointe au directeur général de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps).

La personne souffre de tremblements des jambes et « d’atteinte des nerfs périphériques ». Elle a développé ces symptômes quelques jours après sa vaccination. Prise en charge une journée en hôpital, elle a pu rentrer ensuite chez elle : « Des neurologues de l’établissement l’ont vue, et nous ont notifié lundi 9 novembre leur déclaration de pharmaco vigilance par écrit dans le cadre du suivi des effets potentiels du vaccin », ajoute Fabienne Bartoli.

C’est l’Agence de presse médicale, qui a révélé cette information, grâce à « des sources médicales », et non le ministère de la Santé, qui avait promis toute transparence sur le sujet.

Au cabinet de Roselyne bachelot, on explique avoir été alerté de ce cas dès mardi, deux jours avant le début de la vaccination de la population générale. Mais l’information n’a pas été rendue publique.

Le laboratoire GSK, producteur du vaccin en question, reconnait « l’existence de ce cas de Guillain-Barré, mais estime que le lien de causalité avec le vaccin n’est pas prouvé en l’état ».

Le parisien - 13 novembre 2009

Commentaires

  • "le lien de causalité n'est pas prouvé en l'état"

    L'inocuité du "vaccin" n'est pas prouvée en l'état, serait-il plus honnête et courageux de dire, mais le Fric a beaucoup d'odeur, n'en déplaise à Vespasien et son nez fricard, l'argent à de l'odeur, il pue, il empeste tout , il tue sans remords ni scrupules.
    Robert Mac Namara :" Il faut prendre des mesures DRACONNIENNES de réductions démographiques, CONTRE LA VOLONTE DES POPULATIONS, réduire la natalité s'est avéré impossible, il faut DONC AUGMENTER LE TAUX DE MORTALITE. Comment := FAMINES ET MALADIE .
    Cette ordure ne se sent pas de trop sur terre, les autres le sont pour cette merde sur pieds.
    Famines en tuant notre agriculture, Maladie par saloperies Chimiques dont on nous casse les oreilles de plus en plus.
    Alors ne soyons pas des veaux, informons et Réagissons.

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