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Des jeunes violent une handicapée mentale de 15 ans en Seine-Saint-Denis

Mélanie* revit son calvaire à travers des flashs. C’est grâce à ces souvenirs revenus par éclairs que les agresseurs de cette jeune handicapée mentale de 15 ans ont été arrêtés. Les quatre jeunes de 16 et 17 ans ont été déférés hier au parquet de Bobigny qui a ouvert une pour et agression en réunion sur personne vulnérable.


Samedi dernier en fin d’après-midi, l’adolescente souffrant d’un « retard mental manifeste » s’apprête à rendre visite à une amie, à Stains. Quand elle frappe à la porte de l’appartement de cet immeuble proche de la cité du Clos-Saint-Lazare, il n’y a personne. En redescendant, Mélanie croise quatre jeunes dans la cage d’escalier. Les garçons la traînent dans les caves du bâtiment. A l’abri des regards, les trois collégiens et le lycéen violent la jeune fille avant de partir.
Sans attendre, la victime prévient ses parents qui l’accompagnent aussitôt au commissariat déposer plainte. Malgré sa déficience mentale, la jeune fille revoit la scène. Elle décrit très précisément ce qu’elle a subi et ses agresseurs, qu’elle ne connaissait pas. Les garçons sont rapidement identifiés et interpellés.
Les deux premiers sont arrêtés mercredi, les deux autres jeudi. Un seul d’entre eux était déjà connu des services de police, mais pour des faits de tout autre nature. Placés en garde à vue, ils reconnaissent partiellement les fellations en assurant que l’adolescente était consentante. En revanche, ils nient formellement toute autre relation sexuelle. « Les constats médicaux sont sans équivoque », assure une source judiciaire, ajoutant que la victime a été violée par les quatre garçons. Les suspects devaient être présentés hier soir à un juge de la liberté et de la détention.
* Le prénom de la victime a été modifié.

Le parisien - 14 novembre 2009

On mesure toute l'absurdité et la perversité d'un débat sur l'identité nationale alors que la France devient le territoire des bonobos et de leurs tribus!

Commentaires

  • Quand un Français ( je n'aime pas le mot : de souche) fait une connerie, son nom ou prénom s'étale les quatre fers en l'air dans les merdias, nous avons encore un exemple de l'occultation voulue des noms des simiesques étrangers (j'aime le mot :merde de souche), qui souillent notre CHEZ NOUS;
    Bamboula-mohamerde, dehors !!!

  • @turigol: bien de votre avis - ils sont si bas, si répugnants...

  • A Turigol : permettez-moi de co-signer votre commentaire.
    A Gaëlle : le nabot considère certainement que le viol dans les cages d’escalier des cités est une des valeurs de l’identité nationale de la France d’aujourd’hui ! Il faut vivre avec son temps!

  • ''le métissage " ,je n'ai pas peur du mot a dit Sarko
    Ce sera bientot un devoir républicain . Ces petits jeunots l'ont bien compris . meme s'il a fallu pour cela forcer la dose .
    Au tribunal de Bobigny ,Indulgence sera de mise .

  • @ tramonii: violer les malades, les handicapés, ça ne les gêne pas! Salopards! Ils faut qu'ils niquent sans arrêt, comme les singes!

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